Chapitre 7

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Je décide donc d'appliquer les conseils de mon amoureux et de me faire plaisir en profitant du moment, de la bonne ambiance, du cocktail et des délicieux amuses-bouches…

Pendant que les garçons discutent entre eux de voitures ou de jeux vidéo !... Françoise et moi parlons de nos études. Elle fait des études pour travailler dans la police scientifique et Marc lui des études de droit, il veut être avocat Et bien sûr, en même temps, on boit, encore et encore, au point que je commence à avoir la tête qui tourne et qu'une vague de chaleur envahit mon corps… Je ressens des frissons entre mes cuisses ! ... c'est bon !

C'est alors que Françoise m'annonce qu'elle aimerait me montrer ses derniers achats de sous-vêtements qui sont d'après elle particulièrement “craquants”.

Les gars nous regardent nous lever avec étonnement et nous demandent où nous allons.

Moi, sans hésiter, peut-être sous l’effet de l’alcool. Françoise veut me montrer les sous-vêtements qu'elle s'est achetée !

Qui sait ? Probablement vais-je en apprécier certains ?

Marc ne voulant profiter de l'occasion lance à Françoise

- Et pourquoi tu ne nous ferais pas un défilé... pour que nous aussi, on puisse donner notre avis ?

Après un court instant d'hésitation tout en me regardant avec insistance, Françoise se retourne vers moi et dit

- Et pourquoi serais-je la seule à défiler ?

Moi, sans réfléchir, je lui répond : Bah moi, je veux bien défiler !

Françoise me prit donc la main et m'invite à la suivre dans la chambre, sous le regard d'Esteban dont je peux facilement deviner l'envie de me voir défiler en sous-vêtements. Par ailleurs, l'idée de le faire devant Marc ne me dérange pas.

En effet, lors de vacances passées ensemble, il m'a déjà vu en petite culotte, voir en string et en soutif.

En revanche, je n'ai aucune idée de ce que Françoise a acheté. A

Elle sort de son armoire à vêtements un string mauve avec de la dentelle sur les côtés ainsi que le soutien assorti. Ils sont très beaux et tout à fait dans le style que j'aime.

Françoise me les tend pour que je les essaye. Il faut dire que nous nous ressemblons elle et moi et faisons les mêmes mensurations, au point que nous pouvons échanger nos sous-vêtements sans aucun problème…

Toutes les deux, nous avons une toute petite poitrine. Et, mes seins sont un véritable déclic chez moi lorsque Esteban joue avec mes tétons, il sait me faire mouiller comme une fontaine.

Pendant que je m'habille, Françoise enfile de son côté une très belle guêpière rouge et un string noir, sans oublier bas et porte-jarretelles ! Elle est magnifique ainsi (dé) vêtue ! Françoise d’un air amusé me lance

- Quand nos amoureux vont nous voir comme ça, ils ne vont pas pouvoir se retenir, ils vont nous sauter dessus, c'est obligé ! Et, pourquoi pas ? lui dis-je !

Lorsque nous nous présentons ainsi devant les garçons, un silence absolu règne tout à coup dans le salon. Nos hommes nous regardent bouches bées.

À croire qu'ils sont devenus muets ou qu'ils ont vu un fantôme !

Nous en profitons pour nous approcher encore afin qu'ils puissent bien observer tous les détails de notre lingerie…

C'est très important, les détails dans la lingerie ! Soyons franches, notre but en nous approchant ainsi est également qu'ils puissent mater nos courbes ! Nous tournons donc tout doucement sur nous-mêmes avec de lents gestes sensuels pour leur montrer notre côté fesse après notre côté face…

- Heu, enfin, vous voyez ce que je veux dire ! ... Chers lecteurs !

Déjà, je remarque qu’une belle bosse s'est formée au niveau de l'entrejambe d'Esteban qui semble avoir du mal à se contrôler.

Françoise, elle, n'hésite pas à s’asseoir carrément à califourchon sur son homme, les cuisses croisées autour de sa taille. Marc transpire, il a chaud visiblement et embrasse furtivement sa chérie.

Esteban, lui, entreprend pendant ce temps de passer sa main sous mon soutif. Je le laisse faire quelques instants pour lui donner envie de moi et l'exciter encore plus, mais rapidement, je sens en moi monter le désir, il sait qu’en me caressant les seins et me pinçant les tétons, je décolle de suite, je l'arrête d'un geste :

Lui chuchotant - Ce n'est pas encore l’heure !...

Mon homme surexcité me souffle - Est-ce que ça veut dire que plus tard, ce sera l'heure ?

Je lui fais signe de se taire et de se calmer.

- Mais comment veux-tu que je me calme Hoani ?, tu es là devant moi en string !

Sans hésiter, je commence à caresser la bosse prometteuse qui s'est formée dans son pantalon.

Je lui chuchote le plus sensuellement possible

- C'est vrai que tu sembles avoir du mal à te contrôler ! Il va donc falloir que je m'occupe de toi ! Car tu bandes dur mon chéri…

Mais, déjà, Françoise se lève et me fait signe de l’accompagner à nouveau dans la chambre. Nous échangeons nos affaires et cette fois, je porte alors la guêpière et Françoise le string et le soutif.

Nous retournons dans le salon, je regarde Estéban droit dans les yeux avec un sourire qui paraît vouloir dire : " Viens me manger ! Vient croquer ta petite Hoani chéri ! Mon minou et mon bouton d'or n'attendent que ta langue ! Je suis dans le même état que toi... tu vois ? " je suis toute mouillée hé… ! Oui…

Eh oui, tout ça dans un seul regard ! Ça vous étonne !

Mais, je n'ose pas le lui dire vraiment, car nous ne sommes pas seuls… Même si lorsque j'observe Marc, j'ai l’impression qu'il aimerait bien lui aussi goûter à sa petite femme…

Nos hommes nous applaudissent, nous sifflent, les yeux leur sortant de la tête à la façon du loup de Tex Avery. Ils n'en peuvent plus ! Génial…


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