Chapitre 8

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Nos hommes nous applaudissent , nous sifflent,les yeux leur sortant de le tête à la façon du loup de Tex Avery .

Ils n'en peuvent plus !

Avec Françoise, nous ne pouvons-nous empêcher de les allumer encore davantage en nous dandinant devant eux et en effleurant leurs corps.

On s'amuse même à leur faire une petite séance de gym improvisée dos à eux et nos mains posées à plat sur le sol... Inutile de préciser que dans cette position, ils ont une vue imprenable sur nos petits culs tendus aux maximums et à peine cachés par la ficelle de nos strings...

Nous sommes tous très excités et l'alcool n'y est pas étranger.

Je sens qu'il va falloir que mon chéri trouve une solution rapidement pour que l'on s'isole et qu'il éteigne le feu qui monte dans mon bas ventre…avec sa langue sur mon minou ...

Moi : - Heu, il faudrait peut-être s'arrêter là, sinon...

Françoise d’un air mutin : - Sinon quoi ?

Moi : - Sinon... eh bien, ça va finir en partouze !!

Françoise me susurrant à l’oreille : - Et pourquoi pas ?... C'est un de mes fantasmes !... Mais je ne pourrais le réaliser qu'avec vous !

Moi : - Françoise, quand même !

Françoise : - Je blague !....... Ou peut-être pas !... A toi de deviner ! .....

Moi : - Tss tss ! Hi,hi, hi rhooooo ! Tu vas arrêter ! Mais son idée n’est pas bête ? à voir !

Françoise : - Bon, d'accord... mais on continue à chauffer nos hommes !

Devant mon air réprobateur, Françoise m'assure qu'elle blague encore, mais je suis sûr que si j'avais été d'accord pour continuer, on se serait retrouvé à poil en train de sucer nos hommes… j'imagine déjà la scène ! … humm mais ce n’est pas possible, pas pour l'instant ?

Quelle coquine cette Françoise ! …Je l’adore

Vous allez pouvoir…La découvrir par la suite ! ...

Nous retournons donc nous changer, mais plutôt que de remettre mon jean, je demande à Françoise si elle peut me prêter une jupe...

En effet, j'ai envie de sentir les mains de mon chéri sur mes cuisses nues, voire, entre elles... Françoise me trouve une jupe.

Moi : - Mais elle est vraiment très courte !

Françoise : - C'est la seule que j’ai de disponible pour le moment, je n’ai pas fait de machine ...

Moi : - Ce n'est pas grave car nous sommes entre nous, mais c'est sûr que je ne l'aurais pas mise pour une soirée normale !

Françoise : - Je ne la mets que lorsque Marc a envie que l'on fasse un "jeu de rôles", si tu vois ce que je veux dire !

Ha ... je crois que oui ? Je vois tout à fait les jeux, et moi qui me fais très rapidement des films dans la tête, j’imagine déjà Françoise en quatrième années de fac, se faisant des cours particuliers avec un apollon comme prof ! ....

Et là ! en même temps je repense à sa proposition ?

La jupe est effectivement vraiment trop courte, mais quelque chose me dit que personne ne songera à me le reprocher, et en tout cas pas mon homme qui adore voir mes jambes bronzées !!

Puis nous revenons dans le salon.

Marc : - Mais je la connais cette jupe ! Elle te va très bien à toi aussi, mais elle ne fait pas tout à fait le même effet sur toi que sur Françoise !

Forcément, vu qu'on n'a pas la même couleur de peau ! en tentant de détourner son imagination

Pensai-je.

Marc semble être en train d'étudier la question de manière approfondie car il a visiblement du mal à détacher son regard de mes jambes, et pour être plus exact de mes cuisses...

Dans cette tenue, j'ai un peu l’impression d'avoir oublié de mettre une jupe mais mon chéri, lui, semble très content.

Marc recommence à nous servir à boire.

Je ne peux pas m'empêcher de faire des bisous dans le cou de Estéban.

Il faut vous dire que je deviens très câline quand j'ai trop bu, et ce même s’il y a du monde...

C'est alors qu'à la surprise générale, Estéban propose un jeu de dés.

Estéban : - La règle en est simple : Lorsque sort un chiffre impair, les filles décident de ce que leur chéri doit leur faire.

Lorsque sort un chiffre pair c'est le contraire…

L'ambiance aidant, nous sommes tous d'accord sur les principes du jeu, mais je tiens quand même à préciser aux autres que je n'accepterai pas les gages obligeant à un rapport sexuel, ce qui est accepté.

Estéban lance le dé en premier.

Il fait un “3”. C'est donc à lui de me demander quelque chose.

Il reste soft pour l'instant et veut que je l'embrasse.

Mes lèvres se posent sur les siennes pour un baiser tendre et langoureux, mes yeux se ferme, afin de pouvoir apprécier ce moment comme à chaque fois que je roule à patin à mon chéri.

Françoise ironique et de plus en plus éméchée : - Pfff ! Hihihi Tu appelles ça un baiser, Haoni ?

Tu veux que je montre à ton mec ce que c'est qu'un vrai baiser ? ...hein… allez je vais te faire voir Haoni !

Moi : - Hé ho, tu ne t’imagines pas que je vais te laisser embrasser Estéban, quand même ?

Piquée au vif par les moqueries de Françoise, je décide de sortir le grand jeu et m’assois à califourchon sur les genoux de mon chéri en ne tenant aucun compte de ma micro-jupe.

J'encadre son visage de mes mains puis approche mes lèvres des siennes.

Une douce chaleur vient envahir ma bouche quand celle-ci entre en contact avec la sienne.

Ma langue semble dotée de sa propre vie.

Elle se fraie un passage dans la bouche de mon chéri et commence à entamer avec sa sœur une danse frénétique, tournant et tournoyant l'une contre l'autre.

Nous ne contrôlons plus rien.

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