Chapitre 119 : « derniers jours avant la rencontre d’avec le « Kannn ». »

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Chapitre 119 : « derniers jours avant la rencontre d’avec le « Kannn ». »

« A bord du « Kannn », dans la salle de contrôle. »

Tous sont devant l’écran principal, visiblement horrifiés par la vision des deux vaisseaux ruches en perdition, leurs coques semblant fondre comme neige au soleil, en laissant apparaitre la carcasse de soutènement à travers laquelle sont expulsés différents débris, mais surtout un nombre impressionnant de corps sans vie.

Le tout tournant en orbite autour des carcasses des vaisseaux, parfois envoyés au loin au contact des nombreuses navettes s’échappant de ses flancs.

Thomas n’arrive plus à maintenir son regard de l’écran, tandis qu’autant Kim que Sam et Andréas, sont pour leurs parts comme subjugués par la scène de guerre se déroulant en direct sous leurs yeux.

Le nombre de navettes diminues drastiquement d’un seul coup, sans doute due à la mort trop rapide des occupants des vaisseaux et qui est arrivée sans prévenir.

Florian pointe une navette plus grosse que les autres, donnant un ordre au « Kannn » qui d’un mouvement rapide se rue vers elle pour la détruire en l’ouvrant d’un coup de griffe comme une simple boite de conserve.

Florian cherche des yeux la deuxième navette de secours royale, il la repère alors qu’elle semble se cacher derrière divers débris du vaisseau.

Le « Kannn » une fois averti n’en fait à son tour qu’une bouchée et s’apprête à appliquer le même sort à celles proches de lui, quand Florian l’en empêche.

Ricoh en comprenant qu’il les laisse s’enfuir lui pose alors la question.

- Pourquoi donc empêcher le « Kannn » d’en finir une bonne fois avec eux ?
- Pour deux raisons, la première te serait facile à comprendre si seulement tu regardais la jauge à prière qui n’a jamais autant été sollicitée. La deuxième me permettra de prendre une décision en toute justice sur l’avenir des neufs vaisseaux restants.
- Comment ça ?
- Leurs reines montreront elles ou non quelque humanité à leurs égards, voilà la question qui définira la destinée que je leurs réserves.

Lorgan qui avec Antonin suivait avec intérêt la conversation donne alors sa pensée profonde sur le sujet.

- Je ne pense pas qu’une seule d’entre elles choisira de secourir les membres d’une autre ruche, si encore leurs vaisseaux n’avaient pas été détruits je ne dis pas, mais vu que ce n’est pas le cas je ne vois pas pourquoi elles le feraient car ce serait accepté des bouches inutiles à nourrir.

Antonin semble de l’avis du « jeune » prince Elfe.

- Je pense comme Lorgan, pour elles les ouvrières ne sont que des pions qu’elles utilisent, alors pourquoi prendre la peine de montrer un peu de compassion envers la progéniture d’une autre reine, défunte qui plus est.
- Nous en aurons la certitude dans quelques jours standards, quand les navettes seront à porter de leurs armements, en attendant récoltons le plus de prières possible pour notre ami toujours bloquer sur sa planète.

Florian revient sur les écrans auxiliaires, en ayant vu assez sur la fin tragique des deux vaisseaux ruches et s’intéresse alors à l’avancement du réarmement dont il a confié la charge à l’IA.

Il a maintenant suffisamment de données pour connaitre le nombre exacte des besoins en ogives des deux sortes, il fait ensuite le calcul des besoins en sucs gastriques du « Kannn », ingrédient clé qui sera nécessaire pour celles destinées à attaquer la coque des vaisseaux.

- Un problème « Flo » ?

Florian lève la tête pour sourire à Thomas, qui tout comme lui semble en avoir eu assez du spectacle de désolation délivrer sur le grand écran.

- Ça va être tendu mais ça devrait le faire, il va juste nous falloir faire en sorte de garder un peu plus longtemps l’écart qui nous sépare.
- Ne serons-nous pas alors dangereusement près du système solaire où se trouve votre ami ?
- Suivant la décision que je prendrais sur leurs devenir… hum… non en fait le risque est quasiment insignifiant.

Florian connait bien le regard que lui jette alors Thomas, il hésite pourtant entre deux significations à lui donner.

- J’aimerais comprendre ce regard ! Hi ! Hi !
- Comment ça ?
- Vient-il de quand j’ai dit que cela allait être tendu, ou bien du choix qu’il me reste à prendre sur l’avenir des neufs vaisseaux ?

Thomas qui n’avait pas vraiment à ce moment là l’esprit à ça, il cherche en quoi consiste son début de phrase jusqu’au moment ou il capte le sourire lubrique de son petit rouquin qui a les yeux à hauteur de sa ceinture et qui semble comme hypnotiser par le renflement pourtant tout à fait au repos de se que contient sa braguette.

Aussitôt qu’il s’en fait la remarque, cette dernière semble décider à montrer jusqu’où peut aller l’élasticité du dit vêtement, l’objet la contenant prenant brutalement vie.

- Yep !! J’ai ma réponse ! Hi ! Hi !

Thomas n’a pas le temps de le contredire que des doigts habiles s’attaquent déjà avec dextérité aux quatre boutons et cela pas vraiment dans l’intention de venir en aide au pauvre pantalon.

En effet ces derniers à peines déboutonnés que déjà plusieurs doigts vont crochetés l’élastique du sous vêtement pour le rabaisser au maximum, en libérant comme il se doit la friandise qui se retrouve embouchée goulument sans autres formes de procès.

Bien sûr, la surprise plus le plaisir perçu, amène un petit hoquet de gorge du grand blond qui suffit à lui seul pour rallier le reste du groupe visiblement intrigué autour d’eux.

Comme une mécanique bien rodée depuis le temps qu’elle fonctionne ensemble, chacun prend l’initiative qui lui vient en premier lieu, dans un esprit se voulant ouvert et surtout participatif.

Samuel s’agenouille derrière Thomas et avec la dextérité d’un geste maintes et maintes fois réaliser, il lui dégrafe le dernier bouton en lui faisant tomber le pantalon sur les chevilles.

Le sous vêtement blanc le rejoint rapidement, alors qu’Andréas et Ricoh s’occupent eux d’ôter en premier lieu les chaussures et les chaussettes de Thomas avant de le débarrasser de se qui l’entrave encore à pouvoir écarter correctement les jambes, ayant bien comprit pour leur part l’intention de Samuel quant à s’occuper du magnifique fessier tout en rondeur du grand blond.

Thomas se prête au jeu de façon visiblement coopératif, l’idée de Samuel allant elle aussi dans son envie, aussi prend-t-il à deux mains la tête de son petit rouquin gourmand pour le calmer quelque peu dans son rythme, qui sinon l’amènerait trop rapidement au point de non-retour et pouvoir de ce fait résister le temps qu’il se retrouve en phase avec Samuel qui déjà le prépare avec quelques coups de langues bien baveuse, avant de se redresser pour lui donner le coup d’estoque qui cette fois l’amène au septième ciel à ne plus pouvoir contrôler ses gémissements.

Les deux compères lui ayant ôter ses vêtements du bas ne restent pas là inactifs bien longtemps et rapidement le tee-shirt rejoint le reste, tandis que chacun s’occupe des lèvres et de la langue, d’un téton déjà fortement ériger par une excitation atteignant les sommets.

Andréas pour le moment simple spectateur avec Willy, il voit bien que Thomas n’en a plus pour longtemps avant de donner sa ration à l’affamer de service.

Il suit les coups de reins de Samuel et décide d’aider son ami à prendre son plaisir en même temps que Thomas, faute de quoi il risque de devoir se la remettre à l’oreille une fois le grand blond vider de son énergie.

Il s’approche de lui par derrière et d’une lenteur calculée amène son pouce jusqu’à sentir la chair plus douce de la corolle annale et tourne autour de façon appuyée tout en surveillant la montée du plaisir de Thomas et quand il juge le bon moment arriver, son pouce entre d’un coup en conquérant, pour venir masser et titiller le renflement prostatique en occasionnant du même coup le déclenchement de l’orgasme conjoint de ses deux amis/amants.

Willy devant le spectacle s’est approché de Florian en se masturbant quasiment sous son nez, profitant du moment ou ce dernier doit gérer l’afflux hormonale pour lui en remettre une dose, maculant le visage grêlé du petit rouquin de trainées blanchâtres du plus bel effet, partant de son menton jusqu’à sa chevelure en pétard.

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