Chapitre 080 : « à bord du vaisseau extra-terrestre. »

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Chapitre 080 : « à bord du vaisseau extra-terrestre. »

Daniel observe ses amis en comprenant qu’il a perdu d’avance s’il insiste à plus urgent que la fameuse partie de jambes en l’air invoquer, de plus il doit bien reconnaitre que l’idée en soit lui convient plutôt bien.

Pas qu’il ressente déjà le manque d’énergie, loin de là du simple fait déjà que depuis qu’ils ont tous mit cartes sur tables en décidant de ne plus rien se cacher, cela n’a pas été les opportunités qui lui ont manqué de faire nombre de galipettes autres que celles du mercredi avec Louis, qui maintenant qu’il y a pris goût réclame pitance à la moindre occasion.

Il voit donc parfaitement les mains d’Anthony faire leurs petits bonhommes de chemins sur le corps magnifique du blondinet, partant depuis la partie récemment découverte pour s’immiscer de l’autre côté de la force et attraper tout en douceur la colonne de chair qui ne demandait d’ailleurs rien d’autre qu’on s’en occupe de cette façon.

Du coup Ralphy en fait tout autant sur Marc, ayant lui aussi une vue direct sur cette partie de son corps déjà dénudée, appréciant à sa juste valeur le fessier tout aussi affriolant quoi qu’en dise Kai.

Du coup Daniel cherche des yeux son prince charmant qui se mordille les lèvres en n’osant pas imiter ses autres amis, après sans doute l’avoir entendu dire que ce n’était pas là la priorité du moment.

Son regard croise également celui de Lee-Rim qui depuis qu’il lui a rendu un certain service ne cherche plus qu’à se réconcilier d’avec Charles, sans pour autant lui montrer déjà qu’il a changé d’opinion sur le fait de les accompagnés ou non dans ce voyage interstellaire.

Un bref soupire de résignation qui précède de peu les quelques pas qui l’amènent devant son prince, qui en le voyant venir vers lui a soudainement les yeux qui brillent de plaisir anticiper.

Daniel va directement à l’essentiel en portant les mains sur la ceinture du pantalon de Louis qu'il déboucle avec une certaine dextérité et qui rapidement se retrouve au sol comme ceux de ses deux amis, qui maintenant ronronnent comme des chatons à se faire caresser la zone dénuder sans plus de retenue par leurs amants respectifs.

Jusque là rien ne montre qu’ils sont bien un mercredi soir, car tout semble se faire en couple uniquement et cela reste comme ça durant toute la première heure ou lentement, mais surement, chaque pièce de vêtements ont trouvé une place sur le sol, éparpillés çà et là au travers de la salle.

Les gémissements ayant un effet pervers sur ceux qui les entendent, en leurs déclenchant une excitation qui fini par amener venant de Daniel se son de gorge si particulier qui comme un aimant les rassemblent autour de lui dans une partie de jambes en l’air ou cette fois les orgasmes nombreux et répéter, résonnent sans sembler vouloir ne jamais cesser.

Charles qui confiné avec eux dans la navette n’a pas eu l’occasion de trouver d’échappatoire,n’est du coup pas le dernier à participer à la sauterie, prenant et se faisant prendre sans retenue, qu’importe le partenaire du moment.

***/***

« Beaucoup plus tard. »

Charles se réveille avec cette étrange sensation d’humidité au niveau du sexe, son regard s’y porte alors et c’est avec surprise qu’il voit Louis lui prodigué cette douce fellation, aussi c’est en le laissant continuer cette prestation de luxe, qu’il observe autour de lui l’amas de corps encore plus ou moins actifs et réactifs à recevoir ou donner en douceur les mêmes marques d’affection qu’il reçoit d’un de ses deux meilleurs amis, à tout du moins avant de rencontrer le reste de la bande.

Bien sur celui qu’il a la curiosité de chercher des yeux n’est personne d’autre que Lee-Rim, il aperçoit le prince Estrien recevant une gâterie identique à la sienne, venant cette fois du blondinet qui s’y adonne visiblement avec gourmandise.

Les voir tous les deux nus se prodigués du plaisir le fait sourire et ne lui amène aucune surprise, comme d’ailleurs d’avoir Louis engloutissant avidement son membre, ce dernier plus très loin d’envoyer le peu qui lui reste d'énergie liquide après toutes ces heures passées à jouir.

Lee-Rim et Kai tout comme lui avec Louis, mais pour des raisons différentes évitaient de se tourner autour, l’un à cause du manque d’exclusivité de l’autre et pour sa part n’ayant jamais voulu de liaison avec qui que ce soit en pensant au désastre que cela aurait été pour cette planète, alors que Louis était son fantasme bien avant qu’il ne rencontre Lee-Rim.

Un léger halètement venant de l’un, un petit cri de pamoison venant d’un autre et un râle viril de sa part quand Louis reçoit son cadeau tant espérer, annonce la fin de cet épisode libidineux en étant bientôt suivit d’un concert de ronflement.

***/***

« Encore plus tard à l’heure du petit déjeuné. »

Ils arrivent tous après un bref passage aux toilettes, la figure encore enfarinée d’avoir trop abusés de leurs corps et viennent s’assoir pour avaler d’un trait la boisson insipide servit par le distributeur.

- Il va vraiment falloir faire quelque chose à se sujet, c’est vraiment dégueulasse à avaler !
- Pour l’instant ce n’est plus d’actualité alors réjouissez-vous.
- Comment ça ? de quoi tu parles encore ?
- Si vous m’aviez écouté hier au lieu d’avoir voulu baiser à tout prix, vous le sauriez déjà.
- Hum… à t’entendre tu n’en faisais pas parti, pourtant il me semble t’avoir entendu battre le rappel pour ensuite être le plus actif dans l’histoire.

Daniel préfère ne pas répondre, connaissant trop bien la mauvaise foi de Kai, surtout quand il s’agit pour lui de se trouver des excuses, aussi reprend-t-il une gorgée de ce qui ne mérite pas vraiment l’appellation de boisson, mais qui pourtant contient tous les oligoéléments nécessaires au corps humain.

- Pour tout vous dire, hier j’ai eu de la visite.
- Comment ça ? tu es fou ou quoi ! On est au fond d'une fosse abyssale à plus de deux mille huit cent mètres de profondeur !
- Pas une visite comme vous l’entendez, mais…

Daniel explique alors comment son meilleur ami l’a retrouvé et quelle est la situation actuelle les concernant tous, Charles reste sans voix quand il l’entend dire que deux vaisseaux ruche se dirigent vers cette planète pour la détruire.

Il ne comprend pas vraiment comment les amis de Daniel pourraient sortir vainqueur d’un combat les impliquant et c’est donc la première question qui lui vient à l’esprit quand ce dernier termine son rapport.

- Nous sommes tous des morts en sursis, jamais rien n’a pu résister à un vaisseau ruche, alors encore moins quand ils sont deux, ton ami est fou de croire qu’il s’en sortira vainqueur.
- Tu oublies juste qu’il est comme moi ?
- Je n’oublie rien du tout et c’est justement en sachant qu’il est comme toi que je prédis le pire. Bien sur, que ce soit toi ou lui, voir ceux qui sont apparemment avec lui et qui viennent de ton monde, vous vous en tirerez sans doute sans trop de casse, mais penses à nous autres qui sommes mortels et qui allons prendre de plein fouet les armes de destructions massives qui ont fait de mon peuple les seuls êtres encore pensant de notre galaxie. Vous n’avez même pas idée du nombre de monde qui sont partis en fumées juste pour ne pas qu’un jour ils puissent avoir une chance de surpasser notre technologie.
- Quand tu dis ne rien oublier, tu penses certainement au manque de piété de ce monde et au fait que mon ami ait épuisé ses dernières réserves pour entrer en contact avec moi ?
- De quoi d’autre voulais-tu que je fasse allusion, certainement pas à un éventuel manque d’énergie après encore ce que nous venons de vivre cette nuit, pour ça je te fais confiance et tu dois être charger à bloc.
- Tu aurais écouté au lieu de voir déjà tout en noir, tu m’aurais entendu dire qu’il s’arrangeait pour m’envoyer de quoi recouvrer quelques bribes de puissances, à moi ensuite de les utilisés au mieux pour tenter de sauver tout le monde. De plus ils ont déjà détruit un vaisseau ruche et cela en quelques secondes, pourquoi devraient-ils en avoir plus peur ? parce qu’ils sont deux ?

Charles lève les yeux au plafond devant une telle confiance en soi.

Les vaisseaux ruche n’étaient plus armés depuis des millénaires, puisqu’il n’y avait plus rien ni personne à craindre, mais ils ont eu surement le temps depuis de le faire après avoir été pris par surprise.

Daniel va pour argumenter une fois de plus, quand il sent son corps se soulager subitement comme d’un poids qui depuis qu’il a retrouvé sa mémoire ne voulait pas le quitter, indiquant mieux que tout le vide que son esprit ressentait de ne plus avoir accès aux pouvoirs qui étaient les siens.

Il comprend alors qu’il vient sans doute de recevoir ce que Flo a appelé la deuxième dose, la première devant être trop insignifiante en soi pour que son corps réagisse ou tout du moins que sa conscience s’en rende compte, il est tenté de vérifier tout de suite la nature des pouvoirs qu’il a retrouvé, mais est arrêté par un vrai dilemme, celui venant des paroles de Flo lui demandant d’attendre le dernier moment que son corps fasse le plein avec la troisième, voir la quatrième dose qu’il pensait pouvoir encore lui envoyer.

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