LE CHAT BLESSÉ, 21,10,22, rêve 2

Une minute de lecture

En ville à travers des ruelles sombres, un marché où je trouve un sac avec un veston gris chiné rose et bleu et une veste polaire rose, sac que j'oublie par terre peu après. Je déambule à travers cette ville que j'ai déjà arpentée dans d'autres rêves, j'en ai conscience.

Au détour d'une rue, sur une placette, je vois un petit chat qui miaule désespérément, blessé, taché et postillonnant du sang tandis que des enfants le bousculent, hilares. Je leur demande si c'est eux qui lui ont fait ça et comme ils me répondent affirmativement en riant encore, je prends la pauvre bête dans mes bras et je leur crie :

« Foutez le camp, bande d'enculés de sales gosses, batards de merde ! » (Je cite, le moi du rêve)

Je m'éloigne avec le chat serré sur mon cœur, tout chaud, endormi.
Je suis en voiture avec la mère de N. qui me conduit quelque part, le chat ronronne. Elle freine brusquement et évite de peu un groupe de piétons qui protestent énergiquement. Elle s'excuse et une voiture de police arrive avec plusieurs personnes à bord. Discussion avec tous ces gens . Finalement ils ne nous verbalisent pas et devant mon air étonné leur chef fait remonter ses huit collègues dans sa voiture disant : « je ne vous verbalise pas car nous non plus on n'est pas en règle ! »


Réveil

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