Premiers contacts

22 minutes de lecture

Me voilà descendant du train. Deux jours et deux nuits à la capitale. Le sac à dos bien rempli, en poche l'adresse de l'hôtel que j'ai réservé pour la première nuit et la façon de m'y rendre. C'est que je ne suis pas un grand habitué de Paris, alors j'ai pris les devants.

Je suis un peu fébrile, un peu excité. Il faut dire que je ne suis pas venu ici pour le travail. Loin de là! Je m'avance comme prévu, et finis par repérer celui qui devait m'attendre près des guichets. Je me dirige droit vers lui et il me sourit. Je suis tout sourire aussi.

Il s'appelle Franck, et je vais baiser sa femme Roxanne. On se serre vivement la main, et je remarque avec plaisir qu'il semble aussi heureux que moi. Il est à peu près comme je l'imaginais, le visage peut-être un peu plus doux. Mais on sent bien le biker en lui.

Après les civilités d'usage, il m'invite à le suivre jusqu'à sa voiture. Je souris en montant dans le SUV. J'ai lu tellement de choses qui se sont passées dans cet habitacle... Franck m'amène boire une bière dans un bar qu'ils apprécient tous les deux.

-- Pas de risque de tomber sur elle, Jéjé, m'explique-t-il. Alyssa s'occupe d'elle, rajoute-t-il avec un petit sourire en coin. Elles sont parties faire les magasins, ça va me coûter un bras!

Je ris avec lui, alors que nos bières arrivent. Alyssa, c'est la maîtresse de Franck. Tellement officielle qu'elle a vécu un temps avec eux. Il sait mettre les gens à l'aise. Il faut dire que d'une part, rencontrer des gens pour passer une nuit de luxure est quelque chose qui leur arrive régulièrement. Franck et Roxy sont des libertins endurcis.

D'autre part, j'ai passé du temps sur internet à me chauffer avec Roxy. Elle n'a pas son pareil pour vous faire bander et jouir à distance. Petit à petit, elle m'a avoué que c'était réciproque, comme sensation. Depuis le début, Franck était au courant de nos échanges. Et je dois avouer que ça m'excitait d'autant plus. Elle m'appelait "son amant", et Franck a même fini par me considérer comme tel. Nous n'avons eu que peu de contacts directs l'un avec l'autre. Mais tous étaient aussi faciles et détendus. Et si tout le long du trajet, je sentais une pointe de stress à l'idée de cette rencontre, Franck réussit facilement à me la faire oublier.

Nous trinquons, et je me lance sur le sujet. Je crois que c'est bien que ce soit moi qui commence.

-- Je te remercie d'avoir accepté qu'on se voit avant sans elle. Je sais que tu es d'accord pour cette rencontre, et tout, mais... C'était important pour moi.

-- Et je te remercie d'avoir organisé cette petite surprise! Roxy va adorer. T'as bien fait de me demander ça. C'est une première pour moi, mais je trouve ça super de ta part. Ça montre que c'est plus que me supporter que tu feras, mais que tu m'inclues à 100% dans cette rencontre.

-- Je vais pas te mentir, Franck, réponds-je en ricanant. Je viens pour baiser ta femme, mais pour vous rencontrer tous les deux.

-- C'est exactement comme ça que je vois les choses, aussi. Et me contacter sans lui dire, pour qu'on lui fasse ensemble la surprise de ta venue... J'adore cette idée! Putain, elle va kiffer! Et moi aussi, bordel! Tu sais que t'y es pas totalement pour rien, dans ma pratique du candaulisme. Alors crois-moi, je vais pas me priver!

-- Ahah! Ben je lui avais promis que le jour où je pourrais venir, je te contacterais toi pour organiser ça. Je lui ai jamais dit que je lui en parlerais à elle!

Nous rions ensemble et j'insiste pour offrir la deuxième bière avant de nous séparer. Ce soir, ils ont un repas de famille, mais la journée de demain nous appartiendra. Le courant passe très bien avec Franck, et je dois bien avouer que c'était le seul point d'ombre dans tous mes fantasmes. Rapidement, nous commençons à parler de plein d'autres choses. En grande partie de ce que je vais faire de ma soirée. Je lui dis que je dois d'abord passer à l'hôtel, puis je vais manger avec une tante. Un peu barbante, mais je l'aime bien, donc pour une fois que je passe près de chez elle. Il me conseille quelques lieux à visiter, comme les Buttes Chaumont, m'indique sur ma carte où tout se trouve et plus rapidement que ce qu'on aurait cru, il est temps de séparer.

-- T'as notre adresse, Jéjé. Viens pour 15h mais ne sonne pas. Je viendrai te chercher, ok? me demande-t-il avec un air malicieux.

-- Ok, Franck! À demain! lui dis-je en me dirigeant vers la station de métro la plus proche.

***

Après une soirée tranquille à marcher, manger et marcher, il m'a quand même fallu me soulager à la main de toutes ces images qui m'assaillaient. Roxy hantait mes pensées. À chaque instant. Même chez ma tante, il m'avait fallu dissimuler une érection naissante. En marchant pour rentrer, j'avais une bosse entre les jambes que la standardiste de l'hôtel n'avait pas pu rater en rougissant. J'ai laissé mon foutre sur la petite table de nuit, en espérant que la femme de ménage apprécie le cadeau!

Mais à présent que je suis devant leur maison, je ne fais plus vraiment le fier. 14h57. Franck ne va pas tarder à venir me chercher et m'emmener lui-même jusqu'à Roxanne. Je fais les cent pas sur le trottoir quand j'entends des pas, puis vois la tête de Franck, grand sourire aux lèvres:

-- Salut Jéjé!

Il s'approche et me serre la main avec un entrain qui a le don de me réveiller. Puis il enchaîne, sans vraiment me laisser le temps de lui répondre. Il est clairement excité. Apparemment bien plus que moi. Sauf qu'il a quand même l'air de mieux maîtriser, lui!

-- File-moi ton sac, je m'en occupe. Suis-moi. Comme je t'ai dit, on a la maison pour nous jusqu'à demain. Roxy t'attend. Je vais vous laisser une vingtaine de minutes pour faire connaissance.

J'ouvre de grands yeux étonnés sur lui, mais ça n'a que l'effet d'agrandir son sourire. Je ne comprends pas où il veut en venir, et je vois qu'il est content de m'avoir surpris.

-- Héhé! T'es pas le seul à savoir faire des petites surprises. Je t'aime bien. Alors tu vas rentrer, prendre le couloir à droite, et tu la trouveras derrière la deuxième porte à droite. Elle t'attend là. Elle sait pas que tu viens, hein! Alors surprends-la. Je vous rejoins dans vint minutes. Mais j'exigerai une seule chose: ta bite reste dans ton pantalon.

-- Heu... Ok, Franck... balbutie-je.

-- Alors à tout à l'heure! Dépêche-toi, reste pas là! me dit-il en me poussant à l'intérieur de la maison.

Quelques secondes plus tard, me voici devant la porte. J'ai les mains moites et le cœur qui bat la chamade. Elle est derrière et ne s'attend pas à me voir. Je descends la poignée et ouvre.

Je marque un sacré temps d'arrêt en la voyant. Elle sourit, l'oreille tendue vers la porte et j'entends aussi sa voix:

-- J'ai failli attendre, chéri.

Ce petit ton de provocation que j'ai mille fois imaginé est en tout point correspondant à mes fantasmes.

Je bande.

Je regarde l'heure. Il reste 18 minutes et Roxy est là, devant moi. Un bandeau sur les yeux et un collier de soumise pour toute tenue, attachée debout par les poignets avec des menottes fixées à une barre de fer qui fait toute la longueur du garage, jambes écartées. D'un simple coup d'œil, je remarque qu'elle mouille déjà. Elle est encore plus magnifique qu'en photo ou vidéo. Ses seins généreux sont déjà tendus, ses tétons dardés. Le piercing sur son sein droit reluit et attire mon œil. J'ai envie de sauter dessus et le tirer, mais je continue de la regarder. Sa bouche est maquillée, d'un rouge flamboyant parfaitement appliqué, et à son sourire, je devine ses yeux pétillants sous le bandeau. Ses hanches rondes qui surplombent le cul le plus provocateur qu'il m'a été donné de voir. Je n'en suis d'habitude pas un adepte, mais même ses pieds m'excitent.

Je bande comme un taureau.

Je referme la porte et m'approche doucement d'elle. Putain, Franck... Si je m'étais attendu à ça. En fait, j'y avais pensé. Mais pas sans lui. Je n'ai même pas besoin de la toucher pour la sentir se tendre un peu et lancer, une excitation mêlée d'une pointe de stress:

-- Ben chéri? Tu m'as ramené quelqu'un?

Je ne réponds toujours pas. Je tends une main devant moi et plaque ma main sur sa chatte. Elle a une ligne de poils sur le pubis, que je caresse du pouce en plantant directement deux doigts en elle. Ses gémissements sont délicieux. Elle se mord la lèvre inférieure et ondule directement sur mes doigts. Mais dans ces conditions, je ne peux juste pas résister plus longtemps.

Ma main libre s'écrase violemment sur sa joue. Elle lâche un cri de surprise mais se met aussitôt à onduler plus fort sur mes doigts en souriant. Je lui envoie le retour et retire mes doigts de sa chatte. Je les goûte, je les suce, je les... Putain, c'est délicieux. Je regarde ma montre. Dix-sept minutes. Ça va être long, très long, en fait.

D'un coup, je tire sur le bandeau et le fais glisser sur son cou. Elle jette juste un coup d'œil sur moi puis regarde dans la pièce, en demandant:

- Il est où, Franck? T'es qui?

On ne peut pas dire qu'elle soit en panique. Elle a toute confiance en son homme. Et si son homme la laisse seule avec un autre, c'est qu'elle n'a pas à avoir peur. Mais elle est surprise, clairement. Nous avons échangé beaucoup de photos, mais très peu avec nos visages, en fait. Enfin, surtout pour ma part. Ce qui fait qu'il lui faut un petit indice pour me reconnaître:

- Tu me demandes qui je suis, ma petite chatte? lui dis-je en plaçant ma main sur son cou et le serrant légèrement.

Les regards plantés l'un dans l'autre. Je peux presque suivre le flux électrique qui remonte jusqu'à son cortex et crée la lumière. Sa délicieuse bouche s'ouvre encore plus de surprise. Et je souris, fier de l'effet.

Nous nous reconnaissons et nous embrassons. Mes lèvres sur les siennes. Je fonds littéralement et je la sens faire de même. Et notre baiser s'enflamme rapidement. Très rapidement. Ma main se serre presque malgré moi sur son cou, l'autre la caresse, partout. Nos langues s'enroulent entre elles comme si on essayait d'en faire un nœud pour rester collés l'un à l'autre. Nos souffles trahissent rapidement l'excitation qui monte en nous.

J'ai mal tellement je bande.

Tremblant d'excitation, ma bouche descend sur ses seins. Ma langue joue avec le piercing sur son téton droit. Et elle en profite pour m'exciter. Cette fois, les mots ne seront pas écrits.

-- Baise ta maîtresse, défonce-la comme une petite chienne.

Je me recule un peu et la regarde. Elle a un filet de cyprine entre les cuisses. Bon Dieu ce qu'elle est magnifique! Et ce regard posé sur moi. Je pourrais quasiment jouir dans l'instant tellement le feu qui les anime est torride. Je me mords la lèvre inférieure en lui souriant et lui réponds:

-- Ma bite doit rester dans mon pantalon. On a encore un quart d'heure pour faire connaissance, chérie.

Je sais très bien dans quel état ce petit nom va la mettre. Elle réalise aussi bien que moi, maintenant, ce que Franck appelait "faire connaissance". D'un regard appuyé, elle m'indique un sac de sport posé au sol contre le mur et revient sur moi, plus excitée que jamais:

-- Alors viens t'occuper de ta pute. Fais-moi mal, bordel. J'en ai tellement souvent rêvé.

Je me rue sur le sac et l'ouvre en grand. Je fouille brièvement et en ressort un martinet et des pinces à tétons. Il faut que je respire, et c'est rien de le dire, hein! Je passe dans son dos et découvre son cul, sa cambrure. Je respire. Je me plaque à elle, quasiment en apnée, si ce n'est cette grande inspiration pour m'enivrer de son odeur. D'un mouvement de reins d'experte, ma bosse vient se caler entre ses jambes et elle se met à frotter sa vulve détrempée contre mon pantalon, alors que j'attrape déjà un téton pour y poser la première pince à molette:

-- Hummmm mon salaud... Tu sais à quel point j'aime que tu bandes pour moi, hein? me lance-t-elle.

-- Je suppose que t'auras tout ton temps pour la goûter, lui réponds-je. Je repars que demain après-midi.

Son ronronnement est tout simplement un supplice pour mon bas-ventre. Elle se crispe pour la deuxième pince que je serre juste ce qu'il faut pour qu'elle ne tombe pas. Et aussitôt, je me recule. Mon pantalon est taché de cyprine. Ça me rend dingue de désir. J'aurais pu être hésitant. Et peut-être même que Franck lui-même l'avait senti. Il voulait sûrement que je me lâche totalement, que je la découvre vraiment, dans toute sa splendeur. D'où la frustration. Car c'est clairement la frustration de ne pas pouvoir la baiser sur-le-champ qui guide mon bras à cet instant.

Le cuir du martinet claque sur sa fesse droite avec violence. Elle-même ne s'attendait peut-être pas que j'y mette autant d'entrain aussi vite. Elle crie sans se retenir. Je la vois commencer à tourner la tête, sûrement pour me provoquer et me pousser plus loin, mais elle n'a pas le temps d'ouvrir la bouche. La fesse gauche. Puis les coups pleuvent. Ses fesses rougissent devant mes yeux ébahis. Roxy se met à hurler de douleur, mais réussit toujours à m'inciter:

- Oh oui, mon amant! Prends ta chienne! Défonce-la!

Dans nos ébats virtuels, elle a toujours su me mettre dans des états pas possibles. Et là, je perds carrément pied. Le martinet remonte sur son dos et je le strie de marques rouges. Son corps se tend devant mes yeux et je suis en nage. De rage, je la fouette entre les jambes une dernière fois avant de m'arrêter. Elle lâche un cri perçant de douleur. Et je dois bien avouer qu'il m'excite.

Je retire mon pull en la contournant et je vois enfin ce regard. Il m'ordonne de continuer, de donner tout ce que j'ai. Sa respiration est saccadée, elle a encore mal du traitement que je viens de lui donner, mais en réclame encore. Je retire mon t-shirt et il me semble que la simple idée que je retire le reste est à deux doigts de la faire jouir.

Je ne regarde même pas ma montre et viens resserrer les pinces sur ses tétons. Elle serre les dents en grinçant de douleur, mais garde ce regard provoquant et en rajoute une couche:

-- T'aimes ça, me voir souffrir, hein, petite bite?

Ce n'est pas une réaction que j'aurais normalement. Mais rien n'est normal, avec elle. Je le sais. Alors je ne retiens pas ma main qui lui assène un autre aller-retour. Elle sourit de toutes ses dents en me sentant me plaquer contre elle. Ma main vient se plaquer sur sa chatte dégoulinante. Et malgré mes doigts rendus glissants par sa cyprine abondante, je serre son clitoris de toutes mes forces en lui soufflant à l'oreille alors qu'elle se tord de douleur:

-- J'imaginais même pas à quel point j'aimerais ça, sale truie...

Mes doigts relâchent son clitoris et je la sens se décrisper. Mais aussitôt, je la gifle de bon cœur entre les jambes. Sa cyprine m'éclabousse et son cri enchante mes oreilles. J'attrape ses seins à pleines mains et les serre malgré les pinces qui lui triturent les tétons. Je les lèche et les embrasse, l'entends gémir de plaisir et onduler contre moi. Je sais que ses poignets commencent à la faire souffrir pour de bon, mais elle remue ses seins devant mon visage. Ses gémissements trahissent la douleur que les pinces lui infligent, augmentée par mes mains.

Alors je les lui enlève. Je lis une légère déception dans son regard, au début. Mais quand elle me voit reprendre le martinet, elle sait qu'elle va aimer, et s'apprête à me recevoir. Je regarde enfin ma montre. Il reste huit minutes. Que le temps passe vite! Alors je lève le bras. Je peux voir Roxanne qui retient déjà son souffle, prête à recevoir le coup.

Sur les seins. En l'entendant crier sans presque me quitter des yeux, je deviens totalement fou et m'acharne dessus. Lorsque je m'arrête, elle suffoque. Je remarque seulement qu'elle pleure un peu. Mon instinct est à deux doigts de me faire la prendre dans mes bras. Mais il reste six minutes. Je me jette sur le sac et en sors un gode bien large et un tube de lubrifiant. Roxy me regarde mais apparemment, elle n'a plus la force de me provoquer.

Lorsque je reviens auprès d'elle, je m'agenouille devant elle. Je la regarde encore, elle me sourit. Je lui souris. Une demi-seconde, je me dis qu'il aurait peut-être été préférable que nous nous soyons retrouvés dans un bar, de laisser l'envie monter, d'y aller crescendo. Mais bordel, je repousse cette idée aussi vite. Ça fait des mois qu'on fait bien plus que se chauffer, on n'aurait de toute façon pas tenu cinq minutes avant de se sauter dessus, même dans un lieu public. Il reste cinq minutes.

Je jette mon visage sur sa chatte dégoulinante et elle en crie de plaisir, cette fois. Même si ce cri ressemble fortement à quand je la fouettais. Mais c'est du plaisir, sans aucun doute. Je suce son clitoris avec force, comme un dingue. Putain comme j'aimerais me branler en même temps. Ma langue la pénètre et elle se met à frotter sa chatte sur mon visage. Je suis au paradis. La cyprine dont j'ai souvent rêvé le goût est encore bien meilleure que je le pensais. Et elle m'en étale partout en gémissant de plaisir.

-- Oh oui, bébé! Tu vas me faire jouir, continue! Bouffe-moi le con!

Et je le bouffe. J'aime autant vous dire que je le lui bouffe! Au point que mes dents serrent son clitoris gonflé. Elle crie encore. Et putain, j'aime ça! Son bassin s'est calmé et c'était mon but. J'approche le gode de ses lèvres pendantes et pousse doucement. Elle serre les dents mais le monstre s'enfonce en elle comme dans du beurre. Je n'en suis pas sûr, mais je crois qu'elle commence à jouir à ce moment-là. Je n'ai pas vraiment le temps d'analyser, il ne me reste peut-être que trois minutes. Alors je l'enfonce encore, en lui suçant le clito, cette fois. Jusqu'à ce qu'il cogne au fond d'elle.

Et là, c'est sûr. Elle le crie, même, alors que je commence à aller et venir avec la bite en silicone, la cognant sans retenue à chaque fois contre l'entrée de son utérus:

-- Oh oui!! Je jouis!! Putain, tu me fais jouir!

Je reçois même une bonne giclée de cyprine en plein visage. Putain, c'est le pied! Je lui offre encore quelques va-et-vient qui la font tressauter. Elle est presque inerte mais n'arrête pas de me regarder. J'ai toujours rêvé de ce regard posé sur moi. Je lui retire le gode en me relevant et le laisse tomber au sol pour l'embrasser. Je dois lui tenir la tête, tellement elle est naze. Mais je sais que ce n'est que provisoire.

Et alors que nos langues s'emmêlent encore entre elles, que mon torse est plaqué contre ses seins, la porte s'ouvre. Roxanne et moi tournons la tête vers un Franck qui semble apprécier le spectacle:

-- Ben mon salaud, j'espère que tu me l'as pas cassée!

Il est sûrement mieux placé que moi pour savoir que ce n'est pas le cas, mais je rougis, ne sachant trop, pendant une seconde, s'il plaisante vraiment ou pas. Je m'écarte de Roxy qui lui répond presque à ma place:

-- J'adore quand tu me fais des surprises, chéri.

Je les regarde s'embrasser à pleine bouche. Et bordel, ça m'excite encore. Je pense un instant m'éclipser et aller me branler aux chiottes, mais le cliquetis des menottes que Franck défait me sort de mes pensées. Roxanne tangue un peu pendant que Franck lui retire le collier en lui précisant que ce ne sera sûrement que temporaire, puis elle prend Franck par la main pour l'embrasser à nouveau. Je les trouve beaux. Vraiment. Au sens le plus noble du terme.

Puis elle me prend la main et m'embrasse aussi. Je rougis encore, et Roxanne nous tire vers la porte:

-- Je sais pas pour vous, mais moi, je boirais bien un verre!

Et nous voilà au salon. J'ai récupéré mon t-shirt, mais une Roxanne qui nous sert en tenue d'Eve ne calme pas mon érection, je dois bien avouer. Pourtant, je remercie chaleureusement Franck pour sa surprise. M'offrir sa femme pour exprimer mon sadisme, sans sa présence. Peut-être avait-il senti que s'il avait été là, je n'aurais pas pu me lâcher autant.

Le verre de vin me fait le plus grand bien. Roxanne n'arrête pas de remercier Franck aussi, et de me dire que j'ai été génial, qu'elle est heureuse que même passé la barrière de l'écran, je puisse la comprendre aussi bien. Je rougis et je bande. J'ai de plus en plus besoin de décharger toute cette tension, mais je ne dis rien. Et c'est Franck lui-même qui finit par dire:

-- T'arrêtes pas de dire merci, mais je t'ai pas vue remercier Jéjé comme il fallait, petite salope ingrate!

Roxy ne se fait pas prier. En ondulant son corps, elle pose son verre et se lève du fauteuil dans lequel elle était assise pour s'agenouiller devant moi, déjà affairée à défaire mes boutons.

-- Montre-moi cette queue en vrai, mon chat. Je vais te la bouffer comme une grosse chienne. T'aimes ça, quand je suis chienne, hein?

Déjà, mon chibre est au garde à vous devant ses yeux. Elle me caresse le gland, la verge et les couilles du bout des doigts. Ses yeux pétillent d'envie à l'idée de la faire cracher son foutre.

-- Oh putain, sale pute, viens chercher ta récompense, lui dis-je en appuyant sur son crâne pour qu'elle m'avale en entier.

Franck rit de bon cœur et nous trinquons alors que Roxanne toussote sur ma queue. Je relâche la pression mais elle me garde au fond de sa gorge. Je sens sa langue me caresser le pieu de chair sur toute sa longueur, mon gland écrasé par ses haut-le-cœur. Sa bave coule déjà sur mes bourses et je lâche un râle puissant de plaisir. C'est le moment qu'elle choisit pour relever la tête, la bave au menton, les larmes aux yeux, et un large sourire aux lèvres. Elle tend une main vers l'entre-jambe de Franck et me branle énergiquement:

- Dommage que tu sois venu tout seul, je vais devoir m'occuper de vous deux moi-même.

Alors qu'elle est ravie d'avoir son homme et son amant pour elle toute seule. Elle en joue à présent, mais j'avais tenu à lui préciser que ma femme m'avait autorisé à venir, sans lui dire que c'était si imminent, bien sûr. Elle n'aurait pas voulu de moi si je venais en cachette.

Franck l'aide à sortir sa queue et elle se remet à me pomper en le branlant. Je ne rate pas une miette du spectacle. Je crois qu'on ne m'a jamais sucé comme ça. Elle joue avec sa langue tout en coulissant à une vitesse incroyable. Elle se baise elle-même la bouche avec ma bite. Elle me fait monter à une vitesse phénoménale.

Je baisse mon pantalon alors que ses doigts peinent un peu à malaxer mes couilles. À peine me suis-je bien remis au fond du canapé que je la sens descendre le long de mon périnée avec un sourire en coin alors qu'elle aspire à fond mon gland. Je lui ai souvent dit que j'aimais ça. Je sens son doigt fin commencer à forcer le passage. Et mon plaisir est si grand, sa salive si abondante, que son doigt se retrouve avalé par mon cul.

-- Ben putain, c'est rare! s'exclame Franck en rapprochant son chibre épais de la bouche de sa femme.

Celle-ci se jette dessus sans un mot et lui taille une pipe de tous les diables tout en me doigtant. Je reste là, incapable de bouger. Je la regarde pomper Franck comme une furie, je sens son doigt remuer dans mes tripes. Je suis à deux doigts de perdre connaissance tellement c'est bon. Les regards qu'ils s'échangent me rendent dingue. Je le vois sur eux: partager ça avec moi les excite au moins autant que moi. Finalement, Roxy pose des yeux enflammés sur moi en retirant son doigt:

-- Tu viens te mettre au chaud, chéri? me demande-t-elle en trémoussant sa croupe.

Sans même lui répondre, j'attrape mon pantalon et sors de la poche quelques capotes. Alors que j'allais commencer à en ouvrir une, Roxy pose une main sur les miennes.

-- T'as pas besoin de ça, toi... Je veux vraiment te sentir en moi, bébé.

Je jette un coup d'œil vers Franck qui hoche la tête avec un sourire béat, sûrement dû à la pipe qu'elle lui taille depuis quelques minutes. Je sais que ce n'est pas leur habitude, et par cet accord, Franck me renouvelle la confiance qu'ils ont en moi. Et je ne me fais pas prier. Rapidement, je me retrouve devant sa croupe dégoulinante. Il me faut prendre une grande inspiration, pour réussir à me contrôler. Je vais baiser Roxy.

Combien de fois n'ai-je pas rêvé ce moment? Des milliers de fois, à chaque fois différemment. Je pousse doucement ma queue entre ses lèvres brûlantes. Elle pose la tête sur la cuisse de Franck en soupirant de bonheur. Je regarde ma queue disparaître dans son ventre, juste en-dessous de son œillet frétillant. Il me semble arriver au fond mais je continue de pousser, écrase mes hanches contre ses fesses encore striées de mon traitement précédent. Elle se met à contracter violemment son vagin tout en reprenant sa fellation sur Franck qui ne rate pas un instant de ce qui se passe.

-- Oh oui, putain, baise-moi... Défonce ta maîtresse, mon amour...

Je recule doucement mon bassin en admirant le résultat: ma verge est enduite de cyprine. Et d'un coup, je l'enfonce à nouveau en elle. Aussitôt, je m'accroche à ses hanches et me mets à la culbuter avec une espèce de rage qui me fait presque oublier d'être impressionné de faire ça en faisant face à son mari.

-- Oui, bébé! C'est bon, défonce ta pute!

Elle se met à crier et allez savoir exactement dans quel état d'esprit Franck lui attrape les cheveux pour lui enfoncer sa queue dans la gorge. Il me sourit en coin alors que j'entends les haut-le-cœur de Roxy. Je lui claque violemment une fesse et y mets toutes mes forces. Excité comme je suis, je sais très bien que je ne vais pas tenir longtemps. Alors je lui offre l'intensité.

Elle relève la tête dans une grande inspiration, je peux voir la bave couler abondamment sur son menton. Tout en reprenant son souffle, elle branle Franck et remue sa croupe sur ma queue en m'attisant encore:

-- Qu'est-ce qu'elle est bonne, ta queue! J'en ai tellement rêvé, de la prendre dans le con!

Mais quand elle se tourne comme ça vers moi, la main poisseuse de salive sur la bite de Franck, et avec ce regard de braise, je me sens partir. J'essaye bien de me retenir, mais c'est sans compter sur elle et sa cambrure.

-- Hummmm viens en moi, chéri.

Et aussitôt, elle se cambre violemment en contractant son vagin. Mes doigts s'enfoncent dans ses fesses, mes ongles la font pousser un cri de douleur. Je sens de puissants jets de foutre remonter le long de ma verge et gicler au fond de sa chatte, tapisser ses parois dégoulinantes de cyprine. Je mets de longues secondes à me remettre de cette jouissance, alors qu'elle continue d'onduler sur ma queue. Franck semble de plus en plus aux anges, surtout quand Roxy me demande:

-- Tu me fais goûter ton sperme, chéri?

Et je ne me fais pas prier. Je me retire d'elle, la queue encore bandée, dégoulinante de cyprine et de foutre, et je plonge ma tête dans sa croupe. Ma langue récolte ma semence qui coule d'elle et je me mets à aspirer sa vulve. Elle se crispe sous le plaisir, même s'il ne dure pas longtemps. J'approche mon visage du sien. Franck en profite pour aller ma place derrière elle.

-- Cette fois, ce sera pas virtuel, fait-il joyeusement en insérant sa queue où je viens de jouir.

Il est vrai qu'à plusieurs reprises, dans les scénarios que l'on se faisait, Roxy imaginait rejoindre Franck la chatte encore pleine de mon sperme. Ou inversement, d'ailleurs!

J'offre ma langue pleine de sperme à Roxy, qui lèche, suce, avale, avec un délice non dissimulé. Pendant ce temps, Franck va et vient doucement, nous regardant nous embrasser de cette façon. Et lorsqu'elle me glisse un "Merci" libidineux, il se met à la culbuter plus férocement. Le résultat se fait entendre aussi sec:

-- Je t'aime! Mon amour, mon homme! Putain, défonce ta grosse chienne!

Je crois que je vais péter un plomb. Je me rends compte que malgré la jouissance, ma queue reste bien dure, quand Roxy l'attrape dans sa main et me la branle frénétiquement, la serrant aussi fort que Franck la baise. Son regard part en vrille. Elle est comme absente, et pourtant bien présente. Sa bouche se tord et lâche un râle grave.

-- Ooooohhhh! Je jouis! Ouiiiiii!

Je ne peux pas rester sans rien faire et je me mets en position pour lui enfoncer ma queue en bouche. Pendant que je la baise en rythme avec Franck, elle lève des yeux faiblards sur moi. Elle se laisse totalement faire. Comme un bout de viande. Et c'est mille fois plus excitant que ce que j'aurais pu imaginer de plus fou.

Je suis incapable de dire combien de temps ça dure. Franck jouit en elle et elle se laisse tomber aux pieds du canapé. Je m'assieds juste au-dessus d'elle et ne peut m'empêcher de me finir comme ça. Mon foutre gicle sur son corps, sur sa peau, alors qu'elle sourit aux anges en reprenant son souffle.

Franck vient aussi s'affaler dans le canapé et me tend mon verre que je n'ai pas eu le temps de finir:

-- Je vais pas y aller par quatre chemins, Jéjé, me fait-il. Je suis content que tu sois venu!

-- Et moi donc! réponds-je en trinquant avec lui.

-- Et elle aussi, je crois, dit-il en ricanant vers Roxy qui ondule au sol en étalant mon foutre sur sa peau.

Je la vois glisser sa main entre ses cuisses et récolter le sperme de Franck pour le mélanger au mien sur ses seins et son ventre.

-- Je vais plus jamais me laver, lance-t-elle.

Et le pire, c'est que je sais que quelque part, elle ne plaisante pas tant que ça. Elle a sa manière bien à elle, parfois, de déclarer son amour.

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