Une nuit inoubliable

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Après m'être installé dans la chambre d'amis et avoir pris une douche bien méritée, nous voilà partis tous les trois en promenade. Franck et Roxanne tiennent à me faire connaître leur ville telle qu'ils la voient, et je dois bien avouer qu'ils sont à deux doigts de me faire changer d'avis sur la capitale, même s'il y a clairement trop de monde pour moi. Nous prenons des photos, ils me racontent que tel écrit de Roxanne s'est passé ici ou là, et à plusieurs reprises, en voyant mon regard excité, Roxanne vient m'embrasser. M'allumer serait plus juste. Même quand elle jette son dévolu sur la bouche de Franck, j'ai le sentiment qu'elle m'allume. Peut-être n'est-ce que moi qui me fais des films. Je suis sur un nuage, l'impression d'avoir été invité dans l'intimité du couple le plus libertin qui existe. Et de devenir leur ami.

Nous restons assez sages, Franck et Roxanne tenant leur rôle de guides touristiques avec sérieux et enthousiasme. Nous terminons à la terrasse d'un café, avant d'aller dans un restaurant où ils aiment se rendre avec leurs amis. Les quelques heures passées à les suivre dans la capitale m'ont presque fait oublier la raison de ma venue ici: user et abuser de Roxanne. C'est pourtant Franck lui-même qui remet les choses à leur place, une fois nos verres servis et que nous ayons trinqué à cette rencontre. Il fouille dans sa poche et pose sur la table le collier de Roxy:

-- On va jouer, au resto, me dit-il avec un sérieux qui me fait demander si ce n'est pas un test.

Un instant, j'ai le sentiment qu'il veut voir jusqu'où je peux les suivre. Aurai-je les couilles de faire réellement tout ce que j'ai pu décrire en fantasme à sa femme? C'était ma grande question aussi. Combien de fois n'ai-je pas joui en m'imaginant en public? Mais je dois bien avouer une chose: maintenant que je suis devant eux, que Roxanne me sourit en coin, et que Franck attend ma réaction, je sens une violente brûlure dans mon bas-ventre, qui me fait sourire de toutes mes dents.

-- Je t'écoute, Franck.

Quiconque aurait lu les écrits de Roxanne saura que Franck a une imagination débordante lorsqu'il s'agit du plaisir de sa femme. Lui-même le sait, et il sait aussi que tout n'est pas au goût de tout le monde, alors il insiste:

-- Tu me dis si c'est trop pour toi, je comprendrais, hein. Tu sais à quel point on aime aller loin. Je veux être sûr que tu nous suivras avec plaisir.

-- Franchement, Franck, lui dis-je alors. Je suis venu là pour ça. Et quelle pudeur devrais-je avoir dans une ville où je ne connais personne? Dis-moi ce que tu as en tête.

son sourire s'élargit, ses yeux se mettent à pétiller de malice, et Roxanne semble être à deux doigts d'avoir un orgasme.

-- Une fois au resto, Roxy passera d'un côté à l'autre de la table. Le premier de nous deux qui la fait jouir la tringle dans les toilettes. Deux minutes à chaque fois, pas plus.

Je ricane alors que Roxy semble déjà si excitée. Je lève mon verre à cette idée et nous trinquons tous les trois avant que Franck ne passe le collier à Roxanne devant tout le monde. J'aime cette sensation des regards posés sur notre trio. Franck se rassied et dit durement à sa femme:

-- Enlève ta culotte.

Et ma belle amante ne se fait pas prier. Elle se tortille un peu en faisant glisser le bout de tissu jusqu'à ses pieds puis le pose sur la table. Les gens autour de nous sur la terrasse font de gros yeux, mais essayent pour la plupart de faire semblant de ne pas avoir vu. Franck sourit, fier de sa femme, et fier, sûrement, du regard de braise que je pose sur elle.

Le chemin jusqu'au restaurant ne dure pas longtemps, heureusement. Nous marchons chacun d'un côté de Roxy et la pelotons sans gêne en riant. Je la devine déjà trempée et me dis que celui qui passera le premier la fera sûrement jouir en peu de temps. La table réservée est contre le mur. Je m'assieds dos au mur et Franck en face de moi. Roxanne se met à côté de lui, après que son homme le lui ai dit.

-- Top départ quand l'apéro est servi, dit-il en sortant une pièce de sa poche. Pile ou face?

-- Pile!

Il lance la pièce en l'air et la rattrape pour me montrer la face de la pièce. Il ricane, mais quelque chose me dit qu'il aurait préféré commencer par moi. Lorsque le serveur vient nous demander ce que nous prendrons, je commande un Perrier en plus de tout le reste, prétextant avoir besoin d'un truc frais et sans alcool avec cette chaleur.

En fait, il n'en est rien. C'est un écrit de Roxy qui m'est revenu en mémoire. Et je ne suis pas mécontent de remarquer que ni Franck, ni Roxanne, ne semblent avoir compris quoi que ce soit à mon petit jeu. Alors pendant que Franck glisse sa main entre les cuisses de sa femme, je bois mon Perrier tranquillement après l'avoir versé dans un verre. Roxanne se trémousse sur cette main, en me fixant du regard. Je me mets à bander comme un âne, tellement elle me donne l'impression que c'est moi qui la fait gravement monter dans les tours.

Il me semble que certains clients ont déjà remarqué le petit jeu entre eux. Mais je suis tellement subjugué par cette femme sans limite que je m'en contrefous. Je commence à mieux comprendre Franck, en fait. Il n'y a qu'elle qui compte, elle sait parfaitement comment faire oublier qu'il y a un monde autour d'elle. Lorsqu'il lui ordonne de me rejoindre, je sursaute presque. Roxanne se lève, les joues en flamme, les yeux plein de malice. Mais moi, je fixe Franck, avec une gueule de petit merdeux qui va faire la connerie du siècle, et qui en est fier. J'attrape la bouteille de Perrier vide par le goulot et la pose l'envers sur la chaise près de moi avant que Roxanne n'ait le temps de s'y asseoir. Elle marque un temps d'arrêt, Franck explose de rire, et je suis devenu pivoine.

-- Allez, assise, dis-je à Roxanne en me tournant enfin vers elle.

Elle me lance un regard de défi et vient poser ses fesses sur la chaise. Heureusement, c'est le petit format de bouteille. Elle doit forcer, et je l'aide en agitant la bouteille vers le haut, mais sur ma main, je finis par sentir sa chatte brûlante. Elle souffle sur la table, pendant que je remue la bouteille en elle. Elle s'agrippe aux rebords et je sens un petit liquide chaud couler sur ma main.

-- Il... Il a gagné, chéri... murmure-t-elle difficilement avant de remonter le bassin.

Je suis comme un dingue, j'ai l'impression que tout le monde dans le restaurant sait ce qu'il vient de se passer. Et je crois que j'en suis encore plus excité. Histoire de ne pas trop montrer ma gêne, je m'amuse à lécher le cul de la bouteille, quand Franck me demande:

-- T'as pris exprès un Perrier, ou quoi?

-- La vérité, c'est que 'jaime pas le Perrier, lui dis-je. Mais l'idée ne vient pas de moi.

Franck, comme Roxanne, qui est retournée s'asseoir près de son homme, posent sur moi un regard interrogateur.

-- Elle vient de toi, Roxy, lui dis-je.

Je m'esclaffe en voyant son air ahuri, alors je me penche vers eux pour leur préciser tout bas:

-- Alyssa, sur la table du salon.

Immédiatement, ça leur revient. J'ai toujours en mémoire le récit de ce repas où Alyssa, alors soumise au couple, avait servi pour le même jeu avec des invités pendant l'apéritif. C'est Roxanne qui avait gagné en n'utilisant pas ses doigts mais une bouteille de vin. Nous rions tous les trois ensemble et discutons de la suite de la soirée en mangeant:

-- Je vous déposerai à la maison, puis j'irai chercher Alyssa au boulot, nous précise Franck. Qu'elle boive au moins un verre avec nous.

J'avoue que je suis aussi surpris qu'heureux. Je sais ce que représente Alyssa pour Franck et Roxanne, bien plus que l'amante de Franck. Alors qu'il ait préparé les choses pour que je la rencontre aussi, ça me touche. Mais Roxanne ne rate pas 'étincelle qui s'est mise à briller dans mon oeil, lorsque Franck a parlé d'elle:

-- Je crois que tu devrais venir prendre ta récompense avant de décharger dans ton pantalon en pensant à la bombe asiatique.

N'allez pas croire qu'il s'agisse là de jalousie. Ce n'est que de l'envie, et je la soupçonne d'être aussi excitée que moi à l'idée qu'on termine la soirée tous les quatre. Je la vois se diriger vers les toilettes et attends quelques secondes avant de la suivre, incité par son homme que je laisse seul à la table.

Lorsque j'arrive aux toilettes, je vois Roxanne me faire signe de la rejoindre dans la partie des femmes. Je n'ai même pas un moment d'hésitation et ça me surprend. Mais je devais me douter qu'en présence de cette créature, je ne serais plus tout à fait le même. Je m'engouffre donc dans la porte entrouverte et elle m'attire jusqu'à une cabine, où elle relève sa jupe pour me présenter sa vulve encore dégoulinante:

-- Dépêche-toi, bébé... Y a toujours plus de passage, chez les pissouses!

Je retiens un ricanement et m'empresse de sortir ma queue déjà bien raide. Penchée sur les latrines, Roxanne me lance un regard de braise auquel je réponds en la remplissant sans autre forme de procès. Je la vois se mordre la lèvre inférieure pour ne pas émettre de son trop fort. À peine ai-je le temps de me mettre à limer sa chatte qui clapote déjà, qu'elle agrémente mes va-et-vient des siens, roulant du bassin sur mon mât déjà prêt à exploser.

Entendant la porte s'ouvrir, on s'arrête net. Je me penche en avant pour mettre ma main sur sa bouche et ensemble, nous continuons d'onduler alors qu'une femme se soulage d'une toute autre manière non loin de nous. Je fais de mon mieux pour ne pas que mon souffle s'entende. Nos regards restent collés l'un à l'autre, surexcités par la situation. Malicieuse, Roxy se met à jouer du bassin à nouveau, nos mouvements lui laissant plus de possibilité d'action. Je devine ce qu'elle veut et j'avoue que je n'ai pas envie de lui refuser ce plaisir.

Je laisse venir, ne retiens rien, les yeux simplement plantés dans les siens, ma main lui écrasant toujours la bouche. Le jet d'urine se termine à peine que la porte s'ouvre à nouveau et que la dernière cabine de toilette se fait assaillir. Je sens les contractions que Roxy applique à son vagin, en complément de ses ondulations de déesse. Comme pour lui faire payer, ou pour l'amener avec moi, je suce mon index et lui l'enfonce dans le cul. Je vois ses yeux s'arrondir d'abord, mais rapidement, ses ondulations se font encore plus vicelardes.

Je ne tarde pas à décharger au fond d'elle, retenant très difficilement les râles que j'aurais bien envie d'exprimer. Ses yeux partent dans le vague en même temps que je sens un filet chaud couler sur mes couilles qui se vident par à-coups. J'enlève ma main, pour l'admirer. Elle me sourit aussitôt, continuant d'onduler sur ma queue et mon doigt. J'ai le sentiment de ne pas finir de me vider en elle, je sens mes jambes défaillir, et la seule chose qui me retient à ce monde, ce sont ses yeux.

Je pourrais rester là, en elle, à la regarder pendant des heures, mais elle me fait revenir à la réalité et se défaisant de mon emprise pour venir m'embrasser tendrement. J'ai la tête qui tourne, mais je pense à refermer mon pantalon. Je n'ai même pas le temps de me demander comment on va sortir de là sans se faire griller, qu'elle me pousse pour ouvrir la porte et se rendre aux lavabos. Ni une ni deux, je la suis. Devant le miroir, on se sourit sans un mot, alors que la dame sort de sa cabine, choquée de me voir ici:

-- Ben faut pas se gêner! qu'elle me fait. Les hommes, c'est à côté.

Mais avant même que je ne réponde, en jetant le papier dans la poubelle après m'être essuyé les mains, c'est Roxanne elle-même qui le fait en me prenant par le bras pour me faire sortir:

-- Il avait besoin de quelqu'un pour lui la tenir, j'allais pas faire ça chez les hommes!

La porte claque derrière nous et nous rejoignons Franck en pouffant de rire. Et lorsque la bonne femme repasse près de nous, un regard noir posé sur Roxanne, celle-ci embrasse Franck à pleine bouche avant de lui dire un "Je t'aime, mon amour" assez fort pour qu'elle l'entende. La dame pense alors que cet amour vient de se faire cocufier dans les toilettes et elle n'en est qu'encore plus choquée. À notre table, elle ne le saura jamais, mais cette dame a définitivement débridé l'ambiance.

Après le repas, avant de monter dans la voiture, Franck ordonne à Roxanne de se mettre à poil. Sans une once d'hésitation, elle s'exécute et s'assied nue sur le siège passager.

-- Et écarte tes cuisses de salope, lui sort-il avant de mettre le contact.

Sur la route, il roule doucement, de façon à ce que les piétons puissent se rincer l'oeil. Il lui fait se caresser les seins, arguer les mecs en soirée depuis l'habitacle de la voiture. Depuis l'arrière de la voiture, je peux mieux voir à quel point tout ça l'excite. Je n'ai toujours eu que le point de Roxy sur ce sujet et là, je prends en pleine face la puissance de son plaisir. J'ose alors m'avancer sur mon siège et commencer à poser mes mains sur elle à un feu rouge, où deux mecs et une nana en oublient de traverser. J'attrape ses seins et les malaxe fermement, les claque, pendant que Franck a glissé une main entre ses cuisses. Elle n'a plus qu'à gémir, nous berçant les oreilles de ses sons délicieux. Dès que le feu passe au vert, Franck démarre sous les applaudissements des passants et lorsqu'il nous dépose devant chez eux, Roxanne est clairement en chaleur.

-- Tiens, je te la laisse le temps de revenir avec Alyssa, me dit-il en me tendant le bout de la laisse qu'il vient d'attacher à son collier. Vous avez quartier libre, rajoute-t-il avec un sourire en coin.

Je ne me fais pas prier et sors de la voiture pour récupérer la laisse et tirer Roxy, nue, alors que n'importe quel voisin pourrait la voir depuis sa fenêtre, malgré la nuit qui commence à tomber. Franck démarre et la SUV s'éloigne. Roxy, elle, est tout sourire quand elle me dit:

-- J'espère que t'as pensé à lui demander les clés de la maison, parce que j'ai pas de poches, moi!

Je marque un temps d'arrêt, un air ahuri qui la fait ricaner. Alors je lui claque la fesse et elle couine de surprise, le regard attisé par la fessée.

-- Alors peut-être qu'il est temps que tu me montres la terrasse avec piscine! Passe devant!

Nous faisons le tour de la maison, elle me montre du doigt celle de son voisin voyeur et j'espère au fond de moi qu'il ne va pas rater ce qui va suivre. La terrasse en bois est large et la piscine me donne aussitôt envie. Ni une ni deux, je me débarasse de mes vêtements et plonge nu. Roxanne ne se fait prier, quand je lui dis de me rejoindre. Elle vient se blottir contre moi et m'embrasse tendrement:

-- Je n'ai pas eu le temps de te dire à quel point je suis heureuse que tu sois là, chéri.

Je réponds à son baiser, me laissant aller à ce moment sentimental:

-- T'imagines même pas à quel point je le suis aussi, bébé...

Mon bas-ventre commence déjà à me brûler, mais j'attrape la laisse qu'elle n'a pas enlevée et la tire vers le bord de la piscine:

-- Viens par là, j'ai un autre fantasme à assouvir...

Je la fais remonter sur la terrasse et l'amène devant un transat, lui intimant de s'y installer à quatre pattes. Un sourire en coin, elle s'exécute et trémousse sa croupe qui me fait déjà bander à nouveau. Je n'en reviens pas moi-même.

-- Tu veux mon petit cul, hein? me lance-t-elle avec assurance.

-- Comme si c'était un secret, ça! Mais pas tout de suite, sale truie, lui fais-je en claquant ma main sur sa fesse.

Elle se crispe aussitôt et roucoule en sentant ma main glisser jusqu'à son sexe et déjà la caresser fermement. Mon majeur et mon annulaire s'enfoncent facilement en elle et je l'entends ricaner de plaisir. Je tire sur la laisse pour la faire se cambrer et approche mon visage de sa joue pour la lécher, en fouillant son vagin avec virulence. Elle se met à couiner de plaisir, la chatte déjà clapotante, et je lui appuie sur la tête pour qu'elle la pose sur le transat. Une fois dans cette position, je retire mes doigts et me place derrière elle, pour admirer sa croupe offerte.

-- Viens baiser ta petit chienne, me fait une Roxanne déjà montée très haut dans les tours. Viens défoncer ta pute...

Je claque sa vulve et elle lâche un cri strident qui m'excite encore plus.

-- Oh oui, je vais te défoncer, ma belle salope.

Cette fois, ce sont trois doigts que j'insère dans son vagin. Bien profondément. Je les tourne et retourne, tout en me mettant à genoux devant le spectacle. Je ne sais pas si elle a compris, je pense que oui. Rapidement, je peux y insérer un quatrième doigt et prends mon temps, de façon à ce que, combinés à ces mouvements de bassin et ses contractions de vagin, mes efforts me permettent de les voir disparaître tous les quatre en elle. Par moments, je lui claque les fesses de ma main libre, lui lèche l'anus en bavant dessus. Ma salive coule jusque sur ma main, pour aider un peu à lubrifier. Mais elle n'en a pas vraiment besoin. Sa chatte dégouline littéralement.

-- Oh mon salaud! Tu vas réussir à y mettre toute la main! Putain, tu sais comme j'aime ça!

Je ne me presse pourtant pas. Ses râles et ses cris sont un vrai plaisir, autant que tout cette cyprine qui coule devant mes yeux sur le transat. Un instant, un court instant seulement, je me demande si des voisins l'entendent, mais rapidement, je n'y pense plus. Je suis subjugué par cette femme sans limite et qui réussit à briser les miennes d'un simple regard. Ce regard-là, celui qu'elle pose sur moi juste avant que je recule mon bras pour mieux rassembler mes cinq doigts. Je suis sans voix, ne contrôlant pas vraiment moi-même mes gestes. Mais Roxy, elle, est déchaînée:

-- N'hésite pas à pousser fort, bébé. Défonce-moi l'utérus...

Petit à petit, je pousse, n'osant d'abord pas y aller trop fort. Je tourne mon poignet dans un sens, puis l'autre, réussis à insérer un centimètre de plus. Je ne sais pas combien de temps ça dure, mais bientôt, je ne vois quasiment plus mes doigts. J'ai le souffle aussi court qu'elle, une gaule de tous les diables qui me fait mal, et le fait qu'elle m'invective de continuer me fait perdre toute douceur.

-- Vas-y, vas-y, vas-y! Aaaahhhh!

D'un mouvement vers l'avant, je vois ma main entière s'engouffrer en elle. Bientôt, ses lèvres entourent mon poignet. Je ne bouge plus, admire son sexe écartelé, dégoulinant à souhait, sa croupe suante, son cul parfait que j'ai envie de bouffer. Lorsqu'elle semble s'être habituée à mon invasion vaginale, je ferme mon poing du mieux que je peux et pousse encore en avant. Ses râles sont ressemblants à ceux de la douleur, mais lorsque je plaque ma langue sur sa rondelle, elle roucoule littéralement.

-- Putain, que c'est bon, bébé... Continue, cogne bien au fond...

Je relève la tête, un long filet de bave reliant ma langue à son anus, et m'exécute. Son cri lui arrache les cordes vocales. S'il n'a été entendu par personne, je ne comprends pas. Pour la première fois de ma vie, je sens l'entrée d'un utérus sur ma main. De ma main libre, je lui attrape les cheveux et la cambre au maximum.

-- Mords dans la serviette, petite pute... Tu vas morfler, faudrait pas réveiller tout le quartier...

-- Je m'en branle, de ces trous du cul!

Je crois bien l'avoir totalement déchaînée. Et j'aime ça. En l'entendant me répondre ainsi, je me perds totalement. Je ne suis plus vraiment là, plus vraiment moi. Ce n'est pas tout à fait moi qui bande ems muscles et tire de plus belle sur sa tignasse. C'est presque inconsciemment que mon poing se met à tabasser le fond de sa chatte, à l'en faire pleurer de joie. Elle ne retient rien non plus, me dit que je lui fais mal et qu'elle aime ça, qu'elle se sent femme avec moi, que je connais ses besoins et qu'elle m'aime.

Sa chatte se répand d'un liquide chaud, quand elle semble avoir perdu ses forces. Je sais que ce n'est pas une fontaine. Un laisser-aller qu'elle n'offre qu'à peu de personnes. Son état passif me calme un peu, je reviens à moi. Elle urine sur mon bras et je lui réponds que moi aussi, je l'aime. Pas de l'amour qu'on porte tous les deux à notre conjoint respectif, mais on se comprend, on est tous les deux exactement sur la même longueur d'onde.

Une fois avoir retiré ma main, je l'allonge sur le dos en lui souriant. Ses yeux sont magnifiques et me font fondre. Mais j'ai besoin de décharger toute cette tension en moi. Alors je me mets à genoux au-dessus d'elle, une jambe de chaque côté de son corps. Penché en avant, je plonge mon pieu dans sa bouche. Elle m'accueille sans broncher, me laisse la baiser ainsi, obstruant sa gorge de mon gland turgescent. Elle ne pose même pas les mains sur moi. Elle se laisse juste faire, et je me rends compte à quel point c'est délicieux de baiser un bout de viande quasiment amorphe.

Il ne me faut pas longtemps pour jouir, dans ces conditions. Mes yeux dans les siens, je remplis sa bouche de mon foutre, qu'elle avale en me souriant. Lorsqu'on s'embrasse ensuite, elle remercie, mais je n'ai même plus la force de lui dire à quel point je trouve que c'est moi qui devrais la remercier.

Nous somnolons presque l'un contre l'autre lorsque Franck revient accompagné d'Alyssa. Nous nous levons et Roxanne va l'embrasser directement.

-- Excuse-moi, j'ai peut-être encore le goût de son foutre dans la bouche, chérie.

Alyssa ricane timidement et s'avance vers moi en souriant. Nous nous faisons la bise, un peu gênés, mais Franck me tape l'épaule:

-- Hé ben apparemment, quand on te donne carte blanche, tu sais en profiter, mon salaud! On vous a réveillés, ou quoi?

-- Il faut dire qu'un fist au bord de la piscine, ça calme un peu! s'exclame Roxy.

Franck rit de bon coeur, même si je sens son excitation. Alyssa, elle, ricane, encore timide apparemment. Mais ses yeux se mettent à pétiller de plaisir. Une fois rhabillés et installés au salon, (Roxanne ayant été autorisée à quitter son collier), je peux vraiment me rendre compte à quel point Roxanne n'avait pas exagéré sur la beauté asiatique assise près de Franck. Elle porte un haut moulant, sa poitrine est un véritable appel à l'indécence. Tout comme Roxanne, ses yeux rieurs vous font fondre en moins de deux secondes. Une telle femme qui vous regarde avec envie, on ne peut simplement pas y résister.

Ce que j'avais pris pour de la timidité au début, n'était en fait que de la fatigue suite à la journée de travail. Maintenant, elle rit sans retenue, relance sur les allusions de Roxanne à propos de ce qui va passer par la suite. L'ambiance est tellement décontractée que j'ai l'impression d'être avec des amis de longue date.

Près de moi, Roxanne a repris du poil de la bête. Avoir raconté dans les détails à Alyssa comment nos corps ont fait connaissance dans le garage l'a rendue surexcitée. Et aux regards que me lance la belle asiatique, quelque chose me dit qu'elle n'aurait pas refusé se retrouver à la place de Roxanne. Ces regards mêlés aux caresses de plus en plus appuyées de ma voisine, qui semblent rendre si heureux Franck, me font bientôt bander à nouveau. Roxy se penche à mon oreille, passant une main sous ma chemise pour caresser mon torse, tout en me sussurant:

-- Ça te dirait de les regarder baiser? J'en ai très envie, moi...

Je me mords la lèvre inférieure en hochant la tête, lorsque Franck demande:

-- C'est quoi, ces messes basses?

-- Je disais à Jéjé à quel point vous êtes beaux, quand vous baisez, lui répond sa femme.

Et aussitôt, la chaleur monte d'un cran ou deux. Quand ces deux-là se cherchent et se trouvent, le monde entier pourrait devenir une partouze géante. Et Alyssa et moi n'avons aucunement l'intention de tenter une quelconque résistance. Tant et si bien que ce qu'il me semble n'être que quelques secondes plus tard, Alyssa est nue, cuisses grandes ouvertes, avec Franck qui la dévore avec douceur. Ses seins semblent m'appeler pour plonger la tête entre eux, sa bouche fine qui se tord de plaisir, les yeux fermés, ses cheveux bruns sur le visage, tout en elle est superbe. Roxy avait raison, c'est une bombe. Et voyant sûrement comment je scotche sur Alyssa, Roxanne vient se coller à moi en tâtant la bosse entre mes jambes:

-- Je t'avais prévenu, chéri...

-- Je veux vous voir tous les trois...

Je lui souffle ça comme une supplique, un besoin bien plus qu'une envie. Elle me sourit, m'embrasse et se lève:

-- Rejoins-nous quand t'en peux plus...

Le temps de faire le tour de la table basse, sa robe est tombée et elle est nue. Franck continue son broutage de minou avec une dextérité qui fait décoller Alyssa pendant que les deux femmes s'embrassent en me jetant des coups d'oeil aussi amusés qu'excités. Avant qu'Alyssa ne succombe à la langue experte de Franck, Roxanne l'assied sur le canapé. Rapidement, il est entouré des deux déesses qui se partagent son large pieu, l'avalant chacune son tour, mêlant leurs langues tout en léchant son gland.

Je commence à ne plus tenir et ai besoin de libérer mon sexe. J'ouvre mon pantalon et me caresse doucement en admirant le trio qui m'a tant fait fantasmer. Spectateur privilégié de ce qui les lie ensemble, je fais voler mes fringues à mon tour. Profitant d'un baiser au-dessus du mât de Franck, Alyssa demande à Roxanne:

-- Tu permettrais que je goûte ton amant?

-- Ce serait le comble de partager mon mari et pas le reste, chérie, lui répond Roxy avant de tourner la tête vers moi. Et quelque chose me dit qu'il n'est pas contre non plus!

Je rougis légèrement et de son index, Alyssa me fait signe d'approcher. Je me retrouve assis près de Franck qui se fait pomper par sa femme, pendant qu'Alyssa commence à me caresser de ses douces mains sur toute ma longueur:

-- Je ne suis pas aussi douée que Roxy...

Je ne réponds rien. Il n'y a rien à répondre, et lorsque ses yeux marron plongent dans les miens en ouvrant la bouche pour gober mon gland turgescent, j'en suis tout simplement incapable. Sa main qui tenait ma queue glisse rapidement sur mes couilles, qu'elle malaxe tout en allant et venant le long de mon chibre, apparemment soucieuse de s'assurer que j'y prends du plaisir, car elle ne me quitte pas des yeux.

-- On n'est pas bien, là? me lance Franck dans un moment où les deux femmes délaissent nos queues reluisantes de salive pour s'embrasser à pleine bouche.

-- T'as la belle vie, quand même! lui réponds-je en regardant Roxanne et Alyssa faire durer leur baiser tout en nous branlant.

-- C'est pas toujours de tout repos, avec ces deux harpies! s'exclame-t-il en riant.

Elles rient aussi, et Roxanne fait semblant d'être vexée:

-- Si vous voulez, on vous laisse ensemble vous reposer. On peut très bien se débrouiller toutes seules!

Je ne peux retenir la seule réponse qui me vient:

-- Et rater l'occasion de baiser ton cul d'enfer? Sûrement pas!

-- Le plus beau cul qui soit, dit Alyssa en le lui claquant.

L'idée que j'encule Roxanne semble mettre tout le monde dans une espèce d'euphorie et je me retrouve bientôt assis sur le canapé, à regarder Alyssa préparer l'anus de Roxy après avoir étalé de ses doigts précis du lubrifiant sur toute ma longueur. Mon amante vient s'asseoir sur moi, me tournant le dos. Alyssa la guide elle-même jusqu'à mon pieu, appuie sur ses hanches pour l'inciter à s'empaler sur moi.

Son cul ne résiste pas bien longtemps. Son anus se dilate avec une facilité déconcertante et rapidement, mon gland est au chaud en elle. Je ne saurais jamais si c'est elle-même qui se laisse tomber ou Alyssa qui appuie violemment sur ses hanches, mais le fait est que la seconde d'après, ma queue remplit son fondement.

-- Oh oui, bébé... Tu le sens bien, mon petit cul serré? Défonce-le, chéri...

Franck s'est levé du canapé et je m'y affale, en partie pour reprendre mes esprits, car je sens que ce cul va me faire exploser en peu de temps. je claque ses fesses toutes lisses et commence aussitôt à lui asséner de grands coups de boutoir, la faisant couiner devant Alyssa et Franck qui semblent bien partis pour baiser les yeux rivés sur ma queue qui écarte le petit trou de Roxanne.

Mais c'est peut-être mal les connaître. Je ne m'en rends pas compte, tout concentré que je suis à baiser ce cul parfait, qui m'accueille maintenant sans aucune résistance et semble même se lubrifier de lui-même. À moins que ça ne soit la sueur qui dégouline de son dos. J'attrape ses seins et les malaxe avec ferveur, sachant très bien à quel point elle aime ça, et c'est à ce moment-là que je vois Franck debout devant elle. Ces deux-là sont vraiment sur une longueur d'ondes bien à eux, parce qu'ils ne font qu'achanger un sourire avant que Roxanne ne se jette sur moi, en arrière, s'étalant sur moi.

D'où je suis, je vois Franck s'approcher de son entre-jambe, me demandant sur un ton qui montre qu'il connaît déjà la réponse:

-- Tu permets que je baise ma femme pendant que tu l'encules?

Comment dire? Je n'arrive pas à répondre avec des mots. Je sais ce qu'il va se passer, et c'est juste la cerise sur le gâteau! J'attrape les cuisses de Roxy et les lui ouvre encore plus. Aussitôt, je peux sentir les couilles de Franck sur ma hampe plantée dans son anus. Bientôt, nous voilà en train de la limer par les deux trous. Les sensations sont quasiment indescriptibles. Je sens sa bite contre la mienne, et loin de m'en sentir honteux, ça me rend totalement dingue. On se caresse presque mutuellement à travers la fine peau qui sépare ses orifices, Roxanne devient horriblement vulgaire et je dois bien avouer que même si je l'entends à peine, ces mots-là participent à mon état plus que second. Si je n'avais pas déjà joui de nombreuses fois aujourd'hui, j'aurais déchargé en deux secondes.

-- Oh putain! Défoncez-moi! Déchirez mes trous à bites! Vous me faites jouir, putain! Je vais vous gicler dessus!

Un autre sourire apparaît dans mon champ de vision. C'est Alyssa qui grimpe au-dessus de nous, face à Franck. Alors qu'ils s'embrassent à nouveau, Alyssa descend sa croupe. Pour me laisser la place, Roxanne se met un peu sur le côté. Ainsi, Alyssa peut s'asseoir sur moi. Son odeur, son goût, m'envahissent. Je la lèche, l'aspire, lâche els seins de Roxy pour lui claquer les fesses, lui les écarter pour dévorer son oeillet sombre.

De son côté, Franck fait quasiment tout le boulot. Je ne bouge plus, m'appliquant à faire monter Alyssa, et Franck pilonne Roxanne comme un dingue en suçant les magnifiques seins d'Alyssa qui couine de plaisir, même si bien moins fort que Roxy, en train de hurler qu'elle va jouir.

À l'étonnement de tout le monde ou presque, elle se défait de notre emprise avant d'exploser complètement. Franck se retrouve derrière elle, Roxy face à Alyssa au-dessus de moi qui n'a quasiment pas bougé. Je comprends en voyant mon amante me présenter sa chatte dans laquelle elle plante trois doigts.

-- Oh ouiiii!! Je jouis!! Putain!! Je gicle!! Prends ça dans la gueule, bébé!

Je reçois une véritable douche de cet éjaculat féminin, chaud et abondant. J'ai rapidement l'impression de sortir de la piscine et à peine ressort-elle ses doigts quand le flux diminue, que je me jette sur sa chatte, la lèche, le plus profond possible. Pendant ce temps-là, Franck s'est rabattu sur Alyssa. Il la prend en levrette près de nous et pendant que Roxanne se meut jusqu'au sol avec la ferme intention de me finir de sa bouche, je peux admirer le visage la maîtresse officielle de Franck en train de jouir sur le large pieu de Franck.

Me voyant sûrement en pleine extase devant la beauté de leur amie, Roxanne s'occupe avec douceur de ma queue, jetant elle-même des coups d'oeil vers le couple près de nous. Lorsqu'Alyssa semble reprendre un peu ses esprits après avoir été secouée par un orgasme visiblement fulgurant, elle se penche sur moi et passe sa langue sur mon torse pour lécher le jus de Roxanne sur ma peau. Je me laisse aller, souriant à mes deux anges, et voyant que Franck apprécie autant que moi la situation.

Je n'ai qu'à poser les yeux sur Roxanne à nouveau, la voir ruisselante de sueur, les yeux pétillants de joie et de luxure, la langue qui remonte le long de ma verge, pour décharger avec force. Autant mon orgasme est d'une douceur rare, comme s'il ne venait que s'ajouter à un état déjà extrême, autant mes giclées de foutre sont puissantes. Ma belle, délicieuse, admirable amie et amante rit en recevant mon jus sur le visage, tend les seins pour qu'ils en reçoivent leur dose. J'ai l'impression qu'elle jouit encore au fur et à mesure que mon sperme jaillit de mon gland tout rouge. Alyssa, elle, s'affale carrément sur moi en recevant les derniers assauts de Franck qui se vide au fond d'elle.

Dès qu'il se retire, la belle asiatique se met debout au-dessus de Roxanne qui reçoit sur le visage le sperme de son homme qui coule du puits d'Alyssa. Aussi heureux que moi, Franck vient s'asseoir près de moi en me tendant un verre et nous trinquons en les regardant se nettoyer mutuellement, s'embrasser et mêler nos jus dans leurs bouches, jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte à avaler.

Après ça, je me mets rapidement à somnoler. Je suis rincé, sur les rotules. Une fois dans la chambre d'amis, je ne tarde pas à sombrer dans un sommeil profond, pour me réveiller en sentant un corps contre le mien. Ma belle amante est là, s'est glissée sous la couette, et ce simple contact me fait bander comme un fou.

-- Fais-moi l'amour, me souffle-t-elle alors que je remarque que le soleil est déjà bien levé.

Sans plus de préliminaires, elle grimpe sur moi et je sens la chaleur et la moiteur de son sexe sur mon gland. Avec douceur, elle me prend en elle en me souriant. Je prends son visage dans mes mains et l'embrasse avec une tendresse qui me surprend moi-même. Rapidement, elle se met à onduler en allant et venant le long de ma verge, tout en me parlant:

-- Tu as été un amant formidable, Jéjé...

-- Tu es la meilleure de toutes... Tu n'imagines pas le nombre de fantasmes que j'ai réalisés hier.

-- La prochaine fois, c'est moi qui viendrai te voir, bébé. Han!

Elle appuie de toutes ses forces son bassin contre le mien, plante son regard dans le mien en se relevant, cambrant son dos au maximum en se caressant les seins pendant que je la sens déjà jouir, se contracter sur mon pieu planté en elle.

-- Donne-moi ton jus, chéri. Que je te sente encore au fond de moi même quand tu seras dans le train.

Mes mains sur ses hanches, un avant-goût de ce que doit être le paradis devant moi, je me laisse aller au plaisir de la contenter une dernière fois, cette fois rien qu'entre nous. Je me relève, la tête dans ses seins, et la fait tomber sur le dos, avant de me pecher sur elle, et l'embrasser en jouissant bien au fond d'elle.

Lorsqu'ils me déposent à la gare et que je monte dans le train pour rentrer chez moi, Franck me confirme qu'il y aura bien un retour à cette rencontre. Quelle forme prendra-t-elle exactement? Je sais que je n'en saurai rien avant le dernier instant, et c'est très bien ainsi. Je suis exténué mais si heureux. Et surtout, je dois bien avouer que penser à ma femme à cet instant me remplit d'un amour sans bornes, elle qui m'a laissé vivre ça, elle que 'jai tellement hâte de serrer à nouveau dans mes bras, elle que j'aimerais déjà sentir s'empaler sur mon sexe dressé dans mon short, quitte à choquer ma voisine!

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