3.

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Le colonel perdit ses moyens et lança une assiette à la figure vers son commandant.

Celui-ci l’attrapa avec agilité.

« Retrouvez votre fils, je vous arrache ça, vous n’êtes plus un des nôtres ! »

« Tant mieux ! »

Léo et Natasha arrivèrent sur une route où les Allemands passaient.

« Il y a trop de monde. »

« Tu vois la rivière là-bas, on va s’installer là pour la nuit. »

« Tu es courageux. » Dit Natasha

Ils traversèrent la route et se réfugièrent près d’une rivière.

Il y avait peu de personnes, surtout des jeunes.

« Tant qu’on vit, il y a de l’espoir Natasha. »

« On est en danger. »

« On ne peut faire retour arrière, tu as voulu cela hein ! »

« Je repense à ma mère. »

« Et moi mon père, et alors ? Nous sommes libres ! »

« La liberté c’est brisé les règles de la société ? »

« Non ! c’est faire ce qu’on veut, être libre comme la colombe innocente. »

« On a fait une énorme bêtise. » Soupçonnais-je inquiète.

Le colonel Marsha rechercha son fils. Des troupes Allemandes l’accostèrent.

« Le troisième Reich veut vous voir absolument. »

« Sous ordre de qui ? »

« Du commandant. »

« Quel lâche putain ! »

Cette nuit-là, Hitler reçut le colonel.

« Que voulez-vous ? »

« Vous faites honte aux Allemands. Il paraît qu’une fille s’est elle aussi échappée, comment avez-vous pu ? Quelles incompétences ! »

« Je ... »

« Je vais être franc, votre fils n’est t-il pas tombé amoureux de cette fillette ? Nous allons envoyer des troupes à leurs recherches. Ils seront tués, car vous m’avez déçus.

Je suis très remonté contre vous. »

Puis un garde se retourna doucement, sortant lentement son flingue et tua le colonel en plein cœur !

« Il fallait plier à mes désirs mon chère. »

Pendant ce temps, Léo et Natasha recherchèrent encore cette liberté.

Des jours s’écoulèrent, toujours cachés.

Léo tomba sous le charme de cette juive.

Ils arrivèrent en Bretagne.

Mais un immense camps de concentration y était installé.

« On va prendre un bateau de luxe. J’ai l’argent. »

Ils traversèrent doucement le camps, jusqu’à ce …

Un soldat les repéra.

« C’est une juive ! »

Ils furent arrêtés et interrogés par le commandant Légastine.

Léo vit les armes partout. Il avait des idées en tête.

« Que faites-vous là ? »

« On est … On est ... »

« C’est une juive, et toi ? Tu l’aides à fuir ? Petit ? On a le moyen de vous faire parler ! »

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