Terribles échos
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C’est au bout du monde, là où le ciel devient l’espace
Où les étoiles sont les derniers repères, avant l’infinité,
Où les étoiles sont les derniers remparts, avant l'obscurité,
Où la réalité n’est plus que l’ombre des rêves,
Où l’existence se heurte à l’incertitude,
Que tu demeures.
Ici bas, plus rien ne brille, plus rien n’est beau,
Et le temps suspendu à tes derniers mots,
Résonne en fracas, en terribles échos,
Je me souviens d’amour,
Je me souviens de vie,
Et le monde sans toi, n’a plus rien à m’offrir.
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