La pluie

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Quand la pluie cinglante s’abat sur la ville

Mélodie lancinante, lassante et sublime

Des perles fragiles, douces éphémères

De la terre font l’argile, de l’étang font la mer


Sous cette neige liquide, cette rosée puissante

Les rêves sont lucides et les rues sont glissantes

Et le ciel mouillé, a jusqu’ici bas

Bien assez pleuré, quels que soient ses ébats


Alors il se tait, et renvoie les nuages

Car la pluie a cessé, et le ciel se dégage

Et le soleil alors, l’éternel bienvenu

Ressemble à l’aurore, la lumière attendue

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