Chapitre 6

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J'attendais Maëva dans un petit café Parisien. Nous avions convenu de passer une dernière soirée ensemble avant mon déménagement sur Strasbourg. Pour me remonter le moral, elle m'avait promis une surprise, mais je n’arrivais pas à savoir ce qu’elle avait bien pu me concocter, mais ma pensée n’était pas concentrée sur cette promesse de plaisir.

J'étais arrivé volontairement une demi-heure en avance histoire de boire un ou deux verres, seul, pour prendre un temps pour moi et réfléchir. Tout était allé si vite. J'avais agi sur un coup de tête, sans savoir vraiment ce que je cherchais dans cette nouvelle aventure.

Pourtant, ma vie parisienne me plaisait, mon travail me plaisait, ma liberté me plaisait. Alors pourquoi prendre tant de risques ?

J'allais vivre avec ma sœur et son extravagance. Je ne pourrais plus ramener de filles, après mes soirées festives. Je devrais sûrement supporter les dessins animés de Ninon. Ma petite tête blonde... Elle aussi m'avait déjà demandé de l'emmener à l'école le matin. J'avais trouvé l'idée absurde au début et puis... Je finissais tard le soir, mais arrivais au bureau vers neuf heures. L'école était à mi-chemin entre l'appartement de ma sœur et mon travail. Le matin, je pourrais partir à pieds, main dans la main avec Ninon, la déposer et filer au bureau. Pas tous les jours, mais ça pourrait être sympa de temps en temps.

Je me surpris à sourire à cette idée.

C'était inexplicable ce pouvoir qu'avait Ninon sur moi. J'étais un célibataire dans l'âme, refusant le moindre point d'ancrage, mais avec Ninon, c'était différent.

― Hello mon chou, dit Maëva, en me sortant de mes pensées. Je te présente Lise une amie. Elle va passer la soirée avec nous.

― Bonsoir Lise.

Maëva pris place à ma droite et Lise en face de moi.

― J'espérais une soirée intime, chuchotais-je à l'oreille de Maëva, si tu vois ce que je veux dire.

― Mais j'espère bien, Lise est venue aussi pour ça, dit-elle à voix haute, en lui faisant un clin d'œil.

― Oui, Maëva m'a vanté tes qualités. Ça ne te pose pas de soucis ? demanda Lise.

― Oh, absolument pas Mesdemoiselles, je serais ravi de passer la soirée avec vous.

― Parfait ! Et bien commandons, dit Maëva.

― Je vous propose de prendre directement une bouteille de champagne. Ça se boit avec tout.

― Parfait mon chou, je vote pour. Et on finit la soirée chez toi ? ajouta Maëva.

― J'espère bien.

Le repas fut l'occasion de découvrir un peu mieux Lise. Banquière de trente ans, qui aimait beaucoup sortir et faire de nouvelles rencontres. Notre discussion porta beaucoup sur le sexe. Ce que j'aimais, ce qu'elles aimaient et j'en déduis qu'elle avait plus d'expérience et moins de tabous que moi.

― Bon un café mesdemoiselles ou un dernier verre chez moi ?

― Perso, j'ai pas envie d'un café, dit Maëva par un trait d’humour.

― Ok, je paye l'addition et vous pouvez m'attendre dehors.

Je proposais simplement aux filles de ne pas reprendre leur voiture, mon appartement n'étant qu'à dix minutes à pieds. Une fois arrivés, nous nous mîmes tous à l’aise. Je mettais un peu de musique et leur suggérais un rhum arrangé que j'avais rapporté de mes précédentes vacances.

― Parfait, dirent en cœur les filles.

Alors que je sortais bouteille et verres, les filles commencèrent à danser au milieu de mon salon. Mais je n'avais pas fini de servir le rhum que mes deux invités s'embrassaient en rythme.

― Tenez vos verres les filles.

Lise avala son verre cul-sec et s'approcha de moi pour me faire goûter la saveur de ses lèvres. Maëva prit le sien et à son tour m'attrapa par la taille. Elle prit dans mes mains le mien et mit du rhum dans sa bouche, pour le partager avec moi en un baiser torride. Les filles déposèrent les verres vides sur la table basse et reprirent leur danse sensuelle.

Se frottant à moi en enlevant un à un leurs vêtements, je sentais déjà mon manche au garde-à-vous. Je partageais encore avec Maëva une baiser langoureux quand je sentis Lise se mettre à genoux à mes pieds et ouvrir mon pantalon. Dès mon sexe libéré, je sentis une bouche avaler entièrement mon sexe. Et c'était la première fois qu'une femme réussissait à mettre la totalité de mon sexe dans sa bouche. Mon dieu que c'était bon. Elle arrivait à me sucer et à lécher mes bourses en même temps. Ça semblait presque irréel.

Maëva redressa Lise et nous accompagna tous les trois dans ma chambre. Ses deux déesses étaient, là, à genoux sur le lit, m'attendant. Je retirais le reste de mes vêtements lançais un préservatif sur le lit et les y rejoignais. J'étais face à Maëva et mes doigts la pénétraient pendant que je lui dévorais le cou. Lise, quant à elle, était derrière moi et me branlait doucement pendant que son autre main caressait la poitrine de son amie. Ma bouche se dirigea vers son entre-jambe en passant par sa poitrine et son ventre. Je m'allongeais sur le dos pour mieux lui dévorer le sexe. Je sentis Lise dérouler sur mon sexe, le petit emballage qui était sur le lit et se mettre à califourchon sur mon bassin. Elle vient s'empaler sur mon sexe, alors que mon visage était couvert de la cyprine de Maëva. Mon Dieu, j'étais aux anges, chevauché par deux magnifiques femmes qui s'embrassaient et se caressaient maintenant.

Après une heure nom stop de sexe, j'avais pénétré tous les trous de mes partenaires et les avais fait jouir chacune plusieurs fois, mais impossible pour moi de monter au septième ciel. Il fallait que je reprenne mon souffle, pendant que mes deux partenaires faisaient devant moi un soixante-neuf torride. Allongé sur le dos, je me régalais du spectacle qui m'était donné et reprenais un peu mes esprits. Voir leurs corps onduler de plaisir, les entendre gémir bruyamment faisait remonter mon plaisir. De nouveau, Lise et Maëva furent submergés par un orgasme. Reprenant leur esprit, elles se dirigèrent vers moi, toutes les deux, pour me sucer en cœur. Mon excitation monta en flèche et enfin, je sentis l'orgasme poindre le bout de son nez. Lise attrapa dans sa bouche mes bourses pendant que Maëva avalait ma queue en la branlant énergiquement. Quand enfin, je sentis mon plaisir sortir dans la bouche de ma partenaire.

― Putain les filles, vous m'avez épuisé, mais… la vache que c'était bon !

Toutes les deux vinrent contre moi et remontèrent le drap sur nos corps nus.

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