Cela faisait maintenant deux semaines que Michel n'avait plus eu de nouvelles d'Alexis. Le policier lui avait dit que ses horaires de travail avaient changé et qu'il ne pouvait plus se libérer sur le temps de midi. Il ne répondait que sporadiquement à ses messages. Michel ne comprenait pas ce changement de comportement. Il n'avait rien fait qui aurait pu contrarier son ami. Il vivait très mal cette distance qu'il n'avait pas choisie. Comment Alexis avait-il pu prendre autant de place dans sa vie en si peu de temps ? Et ensuite disparaitre aussi rapidement ?

Anaïs ressentit le malaise de son mari, même s'il ne lui avoua pas le fond de sa pensée. Ses sauts d'humeurs étaient mises sur le compte du boulot. Mais la jeune femme n'était pas dupe. Elle comprit assez rapidement que la séparation forcée avec Alexis le touchait bien plus que prévu. Elle ne supportait pas de voir Michel malheureux. Après plusieurs jours de réflexion, elle était prête à accepter le retour d'Alexis dans leur vie... Pour le bonheur de Michel. Cependant, elle n'avait pas encore la certitude que son mari soit attiré par un autre homme. Elle appella Alexis et échaffauda un plan avec celui-ci pour régler la question. Alexis, heureux de revoir l'homme qui peuplait l'imaginaire de ses nuits, accepta directement la proposition.

- Au fait, j'ai invité Alexis à venir manger samedi, dit-elle, en passant, à Michel.

- Ha bon ! Comme ça ? S'étonna Michel.

- Oui, je suis tombé sur lui tout à l'heure. On a un peu discuté et je l'ai invité. Ça ne t'ennuies pas j'espère ?

Michel tenta de cacher le sourire qui lui barrait le visage. Son coeur battait la chamade à l'idée de revoir le policier d'ici moins de quarante-huit heures. Il se sentait tout de même un peu trahi... Ou déçu ? Il ne savait pas trop. Son ami ne lui répondait pas, ou si peu, mais il acceptait une invitation de sa femme ? Se serait-il senti obligé ? Alors qu'il n'avait plus envie de voir Michel, il n'avait pas su dire non à Anaïs ? Il faut dire que la jeune femme avait du caractère et qu'il était parfois difficile de lui retirer les idées qu'elle avait en tête. Il décida qu'il éclaircirait la situation avec Alexis samedi, quand sa femme ne serait pas dans les parages.

***

Samedi, la soirée se déroula comme si les dernières semaines n'avaient jamais existé. Malgré ce qu'Alexis avait appréhendé, il n'y avait aucune tension de la part d'Anaïs. La jeune femme s'amusait toujours autant de voir ces deux hommes discuter voitures alors qu'elle n'y comprenait rien. Sur une impulsion, alors qu'ils discutaient d'un rallye touristique qui aurait lieu le lendemain, Anaïs leur proposa d'y aller ensemble. Elle préparerait même un pique-nique. Michel accepta avec plaisir et se dit qu'il attendrait la semaine prochaine pour éclaircir la situation avec Alexis. Ce dernier semblait toujours aussi à l'aise en sa présence. Il s'était attendu à quelques réticenses, mais il n'en était rien.

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Alors que les deux hommes étaient partis au petit matin, Anaïs essayait d'imaginer leurs journées. Et si elle avait vu juste ? Elle avait tout de même discuté avec Alexis des interdits. Leur plan était de savoir si Michel était attiré par le policier, pas de s'arrêter dans un bois et baiser comme des diables ! Alexis lui avait demandé quelle était la limite à leur rapprochement potentiel. Elle tolérait le fait qu'il embrasse son homme. Pas plus. En y repensant, le "plus" l'excita tout de même un peu et elle glissa sa main dans son pyjama.

Elle imagina Michel, à quatre pattes... Son petit cul bien huilé, l'anus béant attendant d'être rempli. Une grosse queue vint cogner contre son anneau de chair qui palpitait. Le bout du gland entra facilement. Le reste du mat peina à passer, une légère grimace de douleur se peignit sur le visage de son mari. Son amant se retira, cajola son trèfle pour y faire entrer progressivement deux doigts. Il se mit alors à grogner de plaisir et à en demander plus. Le policier introduisit alors sa verge en Michel qui haleta de plaisir. Il ne lui laissa aucun répit et commenca à le pilonner. Sa queue, si imposante, entra jusqu'à la garde pour resortir tout aussi prestement. Les jambes de Michel plièrent sous le poids de ces assauts empressés et il se retrouva étendu sur le lit. Son anus, complètement détendu par l'énorme queue, se contracta de plaisir, enserrant un peu plus son amant. Alors qu'il macula les draps de sa semence, Alexis remplit son rectum de la sienne et Anaïs jouit de concert. Elle en resta pantelante, elle n'avait jamais eu ce genre de pensées avant...