Chapitre 31 - Le proviseur (bonus)

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Alors je vous ai fait un petit épisode bonus qui va être dur, long mais très bon. Alors oui il est très dérangeant je ne vais pas vous le cacher mais cet épisode vous l'attendez depuis longtemps alors c'est aujourd'hui que je vous l'offre. Il va expliquer certaines choses et répondre surement à quelques questions que vous vous posez peut être. ll est temps je pense de vous offrir ce petit bonus (cadeau ?) Je vous laisse à la lecture et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.

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La nuit est tombée depuis un moment et je roule pour m’éloigner de celle qui occupe toutes mes pensées. Je repense à mes doigts dans sa chatte et son cœur qui s’affole face à la jouissance forcée. Je repense à la première fois que je l’ai vu passer les portes de mon université, qu’elle était belle, innocente, ne connaissant rien aux hommes, ça se voyait sur son visage angélique. Et puis il l’a cueilli et comme toutes, elle n’a pas sur dire non. Il me la fallait, il fallait que je jouisse en elle. La vie m’a vraiment offert une belle opportunité et je l’ai saisi. Et désormais, notre fille dort à l’arrière de ma voiture.

- Ça va chéri, tu ne fatigues pas trop ? Demande ma femme

Bien qu’elle soit magnifique, j’ai une nette préférence pour sa fille.

- Si je vais faire une pause.

Je me gare sur un petite aire d’autoroute, les gamins dorment sauf Jennie qui a ouvert ses beaux yeux bleus y a peu. Je m’arrête et je décide de m’octroyer un peu de bien être.

- Sors de la voiture.

Elle me regarde et déglutit.

- Dépêche-toi.

Elle sort en jetant un coup d’œil aux gosses endormis puis me regarde perdre patience.

- Ils dorment, maintenant relève ta jupe.

- Mais…

- Putain mais ferme là !

Je lui relève sa jupe, lui arrache sa culotte et lui fous dans la bouche. Je m’enfonce durement en elle et son visage se crispe. Putain qu’elle est étroite !!! Si sa fille j’ai pu l’assouplir, elle, elle me résiste. Je jette un regard dans la voiture et mes yeux se posent sur Jennie qui me regarde. Je lui souris pendant que je baise violement sa grand-mère. Elle ne détourne pas les yeux, faut dire que ce n’est pas la première fois qu’elle nous mate. Aussi salope que sa mère et aussi perverse que moi, nous avons vraiment eu la fille parfaite. L’autre recrache le morceau de tissu alors que ses larmes roulent sur ses joues.

- Tu me fais mal Henry.

- Plus tu me résistes et plus ça te fera mal chérie, tu le sais.

- Henry…

Je pose ma main sur son visage et lui plaque contre le capot.

- J’ai dis, de te la fermer. Obéis moi où je te jure que je vais te faire bien plus mal, t’as compris mon amour ?

Elle me fait oui d’un mouvement de tête et me laisse me vider en elle. Je reprends la route et nous arrivons dans la villa qu’on a louée pour les vacances au petit matin où je retrouve mon grand frère Marc qui y est depuis quelques jours.

- Wouahhhh c’est trop beau !!!! Crie Jennie en voyant le panorama.

Elle me fait penser à sa mère. Elle ne sait toujours pas que je suis son géniteur, un jour elle le saura mais pour le moment elle pense que je suis le mari de sa grand-mère et ça me va.

- Je peux aller dans la piscine ? Me demande-t-elle

- Bien sur, elle est là pour ça.

- Il est où mon maillot de bain ?

- Dans les bagages mais retire tes vêtements, pas besoin de maillot de bain, on est entre nous.

Elle me regarde et je vois sa gêne alors que les jumeaux sont déjà à poil entrain de faire des bombes. Faut dire qu’ils ont l’habitude de passer leurs vacances à poil.

- Mets-toi toute nue ma chérie et va jouer. Dit ma femme pour me soutenir.

- Et toi, c’est quand que tu vas te mettre toute nue ?

Elle me sourit gênée. J’en suis sur que sa fille serait déjà à poil, les cuisses bien écartées. J’attrape sa petite mâchoire entre mes mains puissantes et elle grimace.

- Fous-toi à poil.

Elle me fait oui de la tête et elle se déshabille. C’est la première fois qu’elle passe des vacances avec mon frère et ça doit être ça qui la dérange mais lui s’en tape. D’ailleurs je n’arrive pas à comprendre comment il peu être aussi insensible aux femmes. Depuis la mort de la sienne, il n’a jamais refait sa vie. Faut dire que l’avoir retrouvé pendue, a été un choc pour lui surtout qu’il venait de perdre leur fille. Ça a du être trop dure pour elle mais mon frère à du enterrer sa femme très peu de temps après sa fille et ça, ça l’a rendu dur.

- Bière ? Me propose-t-il

- Ouais ce n’est pas de refus. Dis-je en retirant mes fringues.

10 heures de route m’ont lessivé et le soleil d’Espagne cogne dur. Mon frère ricane en me voyant la bite à l’air, lui a gardé son short, pas forcément adepte du naturisme mais ne juge pas ma façon d’être.

- Papa, veux faire pipi.

- Viens.

J’accompagne ma fille aux toilettes alors que ma femme prend un bain de soleil et que Jennie joue avec les jumeaux qui sont très à l’aise avec leurs corps.

- Ça c’est le zizi à papa. Me dit-elle observatrice.

- Oui c’est le zizi de papa.

- Il est grand.

- Parce que je suis un grand.

- C’est quoi ça ? Me demande-t-elle en montrant mes testicules.

- Ça c’est les poches pour faire les bébés.

- Moi j’ai pas.

- Non toi ils sont cachés dans ton ventre. Dis-je en lui posant mes doigts au niveau de ses ovaires puis je lui fais une rafale de guili qui la fait rire.

- Je t’aime papa. Dit-elle en me faisant un câlin.

- Moi aussi mon bébé.

Elle repart aussi vite vers la piscine et saute dans les bras de sa mère. La journée se passe et nous décidons de faire un barbecue pendant que les enfants s’amusent encore dans la piscine. Mon frère ouvre une bonne bouteille de vin et nous trinquons au début des vacances.

- Comment va ma petite femme ? Dis-je en me collant à son cul.

- Ça va et toi ? Pas trop fatigué ?

- Un peu mais je veux profiter de mes vacances. Dis-je en prenant ses seins dans mes mains.

Je lui malaxe et elle commence à gémir tout en continuant de laver la salade. Je laisse une main glisser entre ses cuisses humides et caresse son petit bourgeon. Telle mère telle fille, il gonfle et sort bien. Il roule entre mes doigts et elle se tient au bord de l’évier.

- Oh Henry…

- Ouais, t’aimes ça hein ma petite salope.

- Oh tellement…

Un sourire se dessine sur mes lèvres quand Jennie entre dans la cuisine. Sa grand-mère se raidit d’un coup.

- Je peux vous aider ? Demande-t-elle

- Oui, regarde dans le frigo, t’as du concombre, faudrait l’éplucher s’il te plaît. Dis-je

Innocemment elle va chercher ce que je lui demande et s’installe sur la table de cuisine. Je me décolle de ma femme et viens prendre un des concombres. Je caresse la joue de ma fille et elle me sourit. Je retourne contre sa grand-mère qui sursaute.

- J’en ai pas finis avec toi.

- Non Henry…

Je passe le concombre sous l’eau pendant que mon doigt lui prépare son anus. Je regarde Jennie qui ne rate pas une miette. Petite vicieuse.

- Tu cries et je te l’enfonce en entier. Dis-je au creux de l’oreille de ma petite salope.

Elle ferme les yeux et tente de se détendre pendant l’insertion du légume qui prend place dans son ventre. Je regarde Jennie et lui souris.

- Ça avance ? Dis-je en lui parlant des concombres qu’elle épluche.

- Oui. Dit-elle d’une petite voix.

- C’est bien ma puce, continue.

Je fais aller et venir le concombre dans ce trou élargit. Silencieusement, elle se fait baiser comme je lui ai demandé mais le plaisir que je lui procure la fait gémir un peu trop fort à mon goût. Je cherche surtout une bonne excuse pour lui enfoncer complètement. Je pose ma main sur sa bouche et la punis.

- Chutttt, ça va aller mon amour.

Je vois son ventre plat se déformer et bouger en même temps que je tourne le légume en elle.

- Ouais t’aime ça quand ça bouge hein.

Encore un peu et du bout des doigts je le rentre entièrement, son anus se refermant par-dessus. Elle est essoufflée et c’est un sacré exploit quand elle prend ce que je lui rentre. Bon ce n’est pas comme ci elle n’avait pas l’habitude, j’adore jouer avec son corps.

- Retiens-le.

Elle contracte ses muscles et je lui ordonne de continuer à s’occuper de la salade pendant que je vérifie qu’elle ne rejette pas ce qu’elle porte.

- Allez, assez joué. Redonne le moi.

Elle se met à pousser et le légume sort de son corps, avec de la glaire un peu jaunâtre dessus.

- T’as jouis du cul petite salope, regarde il est tout sale.

Elle est honteuse devant ce qu’elle vient de faire et elle le lave avant de me le redonner. Je le dépose à Jennie pour qu’elle le prépare et je retourne auprès de mon frère.

- Je te déconseille de laisser traîner ta bite près du feu, si t’as pas envie de te cramer la merguez. Dit-il moqueur.

- Ça te dirait de baiser avec nous ce soir ?

- Non merci.

- Tu sais, il va bien falloir que tu tournes la page tôt ou tard.

Il m’envoi un regard noir et je ferme ma gueule.

- Bien, les gars, douche d’en haut. Dis-je

Les jumeaux grognent mais ce sorte de l’eau et file à la salle de bain.

- Douche pour toi aussi demoiselle. Dis-je à la petite qui me fait courir pour l’attraper.

Je vais préparer le bain puis je l’installe dedans.

- Alors qu’est ce que c’est ça ? Dis-je

- Tonton.

- Non téton mon cœur.

- Téton.

- Et ça ?

- Le ventre

- Oui c’est bien. Et ça ?

- La foufoune.

- Oui mais ça là c’est quoi ?

- Le litoris.

- Clitoris mon bébé.

- Clitoris.

- Et ça c’est quoi ?

- Les fesses.

Je fronce des sourcils et elle voit que ce n’est pas la réponse que j’attends.

- On a déjà vu ça, c’est quoi ça ?

- l’anu.

- L’anussss

- L’anus.

- Et ça ?

- Le nez !!!

- Ouiii !!! Bravo, allez zou, va chercher Jennie c’est à son tour.

Jennie arrive dans la salle de bain. Je suis assis au bord de la baignoire et lui fais signe de rentrer dedans.

- Tu sais que tu es très jolie ?

Elle fait oui de la tête.

- Comment tu le sais ?

Elle regarde mon érection et je lui souris.

- Pardon. Dit-elle gênée

- Non non ma puce, tu ne dois jamais avoir honte d’être très jolie, c’est normal que quand on te regarde, notre sexe se durcisse. Allez lave toi bien.

Elle prend un peu de savon dans ses mains et se savonne les cheveux puis son corps.

- Frotte bien partout ma puce.

Ses mains frottent son sexe puis elle fait ses fesses pour finir par ses jambes et ses pieds.

- Montre-moi que t’as bien savonné.

Elle écarte ses cuisses puis se tourne et se penche en écartant ses fesses mousseuses.

- Tu as bien fait l’intérieur ?

- Oui.

- C’est parfait, rince toi.

Je la regarde se rincer puis se sécher.

- Tu sais que maintenant t’es une grande alors j’ai pensé à te faire un petit cadeau. Dis-je en sortant un paquet de mon sac.

- Merci. Dit-elle étonnée de mon geste.

- Ouvre.

Elle déballe et ses yeux s’ouvrent en grand.

- Tu as le droit de l’utiliser, c’est le même que celui de mamy. C’est le tiens celui là mais rappelle toi, tu ne dois rien dire car pour beaucoup t’es encore un bébé. Mais est ce que c’est le cas ?

- Non.

- Tu penses à bien mettre le petit gel, sinon tu vas te faire mal et si tu appuies plusieurs fois sur le bouton, tu verras ça va bouger plus vite mais pour commencer, fais-le doucement. Ça te plaît ?

Elle me fait oui de la tête et je pose un baiser sur son front.

- Ça va t’aider à t’endormir le soir, tu verras.

- Merci.

- Va le ranger et va te mettre à table.

Nous dégustons un bon repas puis nous allons nous coucher mais je ne peux m’empêcher d’aller vérifier que les enfants soient tous bien endormis. Je vais voir les jumeaux, qui dorment à poing fermé puis les filles qui semblent dormir mais quand je m’assois sur le lit de Jennie, elle ouvre ses yeux.

- Alors, ça t’a aidé à dormir ?

- Un peu mais ça fait bizarre dans mes fesses.

- C’est normal, tu dois t’habituer, tu verras plus tu l’utiliseras et plus ça sera bon.

- J’ai peur que ça fasse mal et que j’aille à l’hôpital.

- Chérie, tu ne risques rien avec ça, c’est fait exprès. Si tu mets bien le gel, tu n’iras pas à l’hôpital je te le promets. Tu veux réessayer là ?

- Non, je suis fatiguée.

- D’accord, demain soir je viendrais te mettre au lit et on verra ça ensemble. Allez dors.

Je retourne auprès de ma femme et ferme les yeux. Les jours passent et je suis de plus en plus fier de ma nouvelle petite famille surtout de Jennie qui est aussi prometteuse que sa mère.

- Faut que jte parle. Me lance mon frère

- Je t’écoute.

- Ils savent.

- Quoi ?

- Les Parker savent pour moi ! Il a débarqué à l’hôpital en me demandant, on ne peut pas retourner là bas car il va vite faire le lien entre toi et moi.

- comment tu le sais ?

- Une de mes infirmières m’a appelé et ils ont demandé le transfert de Marielle. Si on y retourne, on est mort.

- Attends là, tu veux dire qu’on doit rester ici ?

- Ouais. Renvoi ta femme et tes gosses là bas et toi et moi on se casse avec le bateau.

- Mais t’es dingue ! Je ne vais pas tout lâcher comme ça !

- C’est ça ou la mort ! Si on ne risque rien avec la justice, Parker lui ne laissera pas passer ça et tu le sais. Ce mec va nous tuer si on y retourne.

Et merde.

- C’est lui qu’on aurait du buter !

- Ah ouais et comment ? Hein ?

- Donc on les laisse s’en sortir ? Et Alysson ?

- Parle pas D’Alysson !

- Pourtant c’est bien d’elle dont il est question Marc ! Il la tué.

- Je sais ! Mais on n’a plus le choix là.

- S’il nous tue, on l’enverra en prison.

Il me regarde et ricane.

- Parce que t’es vraiment prêt à mourir toi ? Parce que s’il te chope Henry, il ne va pas te foutre juste une balle entre les deux yeux, tu vas en baver. Ce mec, n’est pas un tendre.

Après réflexion, j’avoue que ça m’enchante pas de me retrouver face à ce mec en colère.

- Ok, je…je vais gérer ça.

- Ok, et vite.

- Ouais, compte sur moi.

Je prépare une dispute pour trouver une excuse pour renvoyer ma femme et les gosses. On va sur une plage et je simule une crise de jalousie.

- Tu m’expliques ce que t’es entrain de faire là !

- Mais…je…je ne fais rien Chéri.

- Tu crois que je ne te vois pas le mater le mec là bas ?!

- Non jamais ! Je je te jure Henry que je ne le regardais pas.

- On rentre.

On arrive tous à la villa, et je continue ma petite scène dans la chambre.

- Une vraie salope ! Comment tu peux nous faire ça !

- Je te jure que je ne l’ai pas regardé. Pleure-t-elle

Une dernière fois, je dois la cogner une dernière fois. Mon poing frappe son visage et ma queue trouve sa place une dernière fois en elle.

- Tu prends tes affaires et tes gosses et tu te barres.

- Quoi !!!

- Marc va te déposer à la gare et tu rentres en France.

- M’abandonne pas Henry !!!!

- Fallait y penser avant de faire ta pute.

- Je te jure que…

- Discute pas !

Ma scène prend fin et elle prépare en vitesse les affaires.

- Vous allez rentrer en France.

- Mais pourquoi grogne les jumeaux.

- Parce que c’est comme ça ! Vous obéissez !

Marc me fait un signe de tête pendant que la voiture se remplie. Pendant qu’il les amène à la gare, je fais mes bagages et nous nous retrouvons au bateau. On lève l’encre et on se dirige vers une île de la cote Africaine.

- Un verre ? Me propose-t-il

- Ouais.

- Bon, on l’aura quand même bien bousillé, elle ne récupèrera jamais totalement alors on peut se consoler avec ça.

- Parker doit être dingue.

- Grave.

On trinque en regardant le large.

- Et sinon…je voulais te parler de quelque chose. Me dit-il

- Je t’écoute.

- Je t’ai vu avec la gosse.

- Je ne vois pas de quoi tu parles.

- Dans la villa, la salle de bain et le sextoys que tu lui as filé.

Et merde.

- C’est pour qu’elle se découvre, c’est mieux que de se foutre n’importe quoi. Dis-je

- T’as fais ça à la mienne Henry ?

- Quoi !!!

- Aly, est ce que tu l’as touché, ou aidé à s’explorer ?

- Marc…

- Dis-moi la vérité. Elle passait chaque vacance avec toi, alors est ce que tu l’as touché ou amené à se toucher.

Je n’arrive pas à lui fournir de réponse alors que son regard s’assombrit. Il n’acceptera jamais la vérité.

- Je t’assure que je n’ai fais ça que pour son bien Marc. Faut les amener à se découvrir, c’est notre travail, sinon elles deviennent des salopes qu’on n’arrive plus à tenir.

- Ouais, bien sur, bien sur.

Je laisse échapper un soupir de soulagement quand je le vois se calmer.

- On va se baigner ? Me demande-t-il

- Ouais.

- Je te rejoins, je vais pisser.

- Ok.

Je saute et l’eau est super bonne.

- Alors elle est comment ? Me demande-t-il

- Super bonne, tu viens ?

- Non.

- Quoi ?

- T’aurais jamais du Henry, Alysson était toute ma vie.

- Déconne pas Marc.

Il ricane.

- C’est toi qui a déconné. Je n’ai jamais voulu voir le changement d’Alysson mais quand je t’ai vu avec ta propre fille, j’ai vite compris que tu faisais ça depuis bien longtemps.

- Je te jure que…

Je regarde autour de moi et je vois des ailerons.

- Marc !!!

- Je viens de déverser un seau de viande, ils ont très faim. Ce n’est pas très malin de se baigner dans leurs eaux tu sais.

- C’est bon j’ai compris, remonte moi !

- Je crois mon frère que tu es très malade et que ça ne se guérit pas. Je suis pour l’euthanasie quand elle est nécessaire et là elle l’est.

- C’est pas drôle, remonte moi !!! Ils vont me bouffer !!!

- Et je leur souhaite un très bon appétit.

Il disparaît et le moteur du bateau se met à ronronner.

- Marc !!!! Marc !!!! MARC !!!!!!

J’ai beau hurler, rien n’y fait et le bateau s’éloigne de moi alors que je sens quelque chose frôler mes jambes. Je m’immobilise, espérant qu’ils ne m’attaquent pas mais je dois bouger un minimum pour ne pas couler. Les ailerons se rapprochent.

- Mon dieu si vous existez, je vous en supplie, sortez moi de là !!! Je ne les ai pas violées, je vous le jure !!! Je n’ai fait que les éveiller à leur sexualité mais je ne les ai pas violées !!!

- Et Marielle ?

- Marielle était adulte, et consentante.

- Pas quand elle était dans le coma mon fils.

- Je…je je vous demande pardon. Je ne recommencerai plus je vous le jure.

- Pourquoi as-tu fais ça ?

- Parce que mon entraîneur de foot m’a rendu plus fort en m’éveillant à la sexualité. L’anus est la force et je voulais juste les rendre forte. Alysson a bien vécu sa prostitution grâce à moi, et Jennie aime ça, elle est comme sa mère.

- Tu as pêché mon fils, tu le sais.

- Mais vous nous pardonnez.

- Pas toujours mon fils…pas toujours.

Ma jambe !!!! Il a pris ma jambe !!!

- Aidez-moi par pitié aidez-moi !!!!

- Tu as pêché mon fils.

Mon bras !!!! Non pas mon bras !!!! Arrêtez !!!!

- C’est ce qu’elles voulaient, elles voulaient que tu arrêtes mais tu n’as jamais arrêté.

Mon dieu mais qu’est ce que j’ai fais !!!

- Voilà mon fils, enfin tu ouvres les yeux. Regarde le monstre que tu es. Regarde ce que tu as fais à tous ces enfants….mes enfants. Tu dois payer pour tout ça. Je te laisse avec tes remords et tes regrets.

- Non !!!!!!

Mon corps se fait emporter dans les profondeurs, déchiquetés par ses poissons mangeurs d’hommes ou plutôt mangeur de monstre car c’est ce que je suis…un monstre.

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