Les bâtiments produisent une agréable lumière dorée sur toute la ville. Celle-ci est extrêmement calme, comme toujours depuis l’instauration de ce couvre feu. Situé au centre d’une vallée, elle est également protégé de toute attaque militaire grâce à ses tours de garde placer tout autour de la vallée en hauteur.

Deux silhouette se détachent dans l’obscurité des murailles. Marchant lentement vers la porte de la ville, ils accélèrent leurs marche en voyant que la route situé entre eux et la sortie est libre de tout gardes. Après avoir poser un pied dehors, ils s’éloignent en direction d’un lac, s’enfonçant dans les ombres que projettent les arbres. Ils semblent agité et ne donnent pas l’impression d’accueillir les oreilles indiscrètes. Un simple coup d’œil suffit à faire comprendre qu’un mauvais coup est en train de se préparer.

Leurs pas sont malgré tout, lent et assuré. Arrivé au bord du petit lac, tout deux décident de s’asseoir sur des rochers assez proches pour pouvoir continuer leurs discussion.

Ni l’un ni l’autre n’avais l’air de vouloir lancer la discussion, ils regardent au loin, de l’autre côté du lac se dessine des silhouettes animals. Des oiseaux survole le lac en espérant attraper de la nourriture.

L’un d’eux décida de prendre la parole en regardant son partenaire.

— À tu réfléchit à ma proposition ? Dit-il d’une voix forte.

L’intéressé releva la tête et après plusieurs seconde, une voix féminine répondit.

— Je t’avoue être assez effrayer. Et si cela se passait mal ?

Une grande frayeur traversé sa voix, la personne qui l’accompagnait devait s’en être rendu compte car sa voix eux tout de suite l’air plus rassurante.

— Ne t’en fait pas, les meilleurs sorcier serons sur le coup. Cela n’a presque aucune chance de rater. Tu sais que notre armée en à réellement besoin, une fois la transplantation faite tu sera récompenser par le roi pour avoir sauvé le pays, cela ne fait aucun doute.

La jeune femme sembla réfléchir mais après un dernier regard dans la direction de son interlocuteur, elle répondit résigné.

— Très bien j’accepte, mais pourquoi ne pas le faire sur vous où sur quelqu’un d’autre ? Demanda t-elle curieuse.

L’homme se trémoussa, mal à l’aise.

— Et bien pour que l’opération réussisse, il faut que le sujet ai une puissance magique très élevé ce qui aurai put être mon cas mais mon corps à également était sujet à une autre transplantation. Ce qui fait que j’ai dut me mettre à chercher une autre personne montrant de la puissance magique.

L’explication sembla rassuré la jeune femme qui se détendit. Un sourire parcourra son visage quand elle prononça cette phrase.

— J’ai hâte de voir la réaction du roi quand il se rendra compte de ce que j’ai fait pour notre pays. Il fera peut être de moi une noble. Dit-elle les yeux plein d’espoir.

— Peut être bien oui, tu voie au final tout le monde est gagnant.

L’homme se leva et se dirigea vers le côté opposé à la ville.

—Et toi qu’y gagne tu ?

Il s’arrêta et la regarda, le visage caché par les ténèbres.

— Une précieuse allié. Lui dit-il en lui faisant un clin d’œil. Aller suit moi, l’opération ne doit pas attendre.

Tout à coup la femme sembla de nouveau stressé.

— Quoi maintenant ? Oh je pensait avoir le temps d’en parler avec ma famille.

— Nous n’avons pas de temps à perdre, demain il sera peut être déjà trop tard. Tu comprend ?

La femme baissa la tête.

— Oui bien sur, excuse moi c’est juste que je ne pensait pas devoir y passer maintenant.

L’homme reprit sa marche.

— Alors suis moi. Nous y serons dans cinq minutes.

Tout deux longèrent le lac et arrivèrent prêt d’une crevasser situé à la base de la vallée.

Le cœur de la jeune femme sembla battre de plus en plus vite tendit qu’ils arrivé là ou la transplantation devait avoir lieux. Juste avant d’y rentré l’homme la regarda et lui dit.

— Je vais t’attendre ici. Rentre et détend toi.

Elle ne fit qu’un simple signe de la tête, elle aurai put lui répondre mais elle sentit qu’en ouvrant la bouche, elle aurai vomit tout ce qu’elle avait manger de la journée.

Elle avança donc dans la crevasse, marchant à tâtons jusqu’à apercevoir une faible lumière. Elle marcha dans cette direction en sentant son rythme cardiaque accélérer de plus en plus et son rythme respiratoire accéléra par la même occasion.

Arriver au niveau de la lumière, elle aperçut plusieurs personne debout à côté d’une table faite de pierre. Des outils était disposé autour de celle-ci, ressemblant plutôt à des instruments de torture. Elle voulut s’enfuir en courant et ne jamais revenir mais sachant qu’une belle récompense l’attendrai si elle restait, elle ne bougea.

Les personnes ne prêtèrent pas tout de suite attention à sa présence. Ils semblait se préparer et une fois les outils bien ranger et la table nettoyé, l’un d’eux se déplaça vers la jeune femme.

— Bonjour mademoiselle. Dit-il d’une voix qui semblai vidé d’émotion. Vous êtes ici pour une transplantation de type sensoriel. Nous vous prierons de bien vouloir vous déshabiller et vous allongé sur cette table.

Elle rougit immédiatement, jamais elle n’aurai penser devoir se dénuder. Elle enleva donc le haut de sa tenu et s’allongea attendant la suite de l’opération. Ses seins entrant en contact avec la pierre froide la fit frémir. Cependant le stress pouvais aussi avoir son rôle à jouer dans ses frémissements.

Elle sentit également les différentes personne s’approcher de chaque côté et elle se sentit plus mal à l’aise que jamais.

Un homme posa sa main sur le dos de la jeune fille et le lui toucha en plusieurs endroit.

— Qu’êtes vous en train de faire ? Demanda t-elle afin de ne pas penser à l’action en elle même.

— Je cherche votre point de concentration magique, il est différent chez chaque personnes. Dit-il toujours de la même voix monotone.

— Il continua à toucher jusqu’à s’arrêter après avoir toucher juste en dessous des omoplates.

Ensuite, les hommes prirent un parchemin qu’ils avait prit soin de déposer sur un coin de la table. Il le posèrent contre le «point de concentration magique» ce qui fit frissonné la jeune femme.

Le parchemin s’accrocha à son dos. Les magiciens prirent un outil avec un embout arrondit et le firent passer par dessus le parchemin afin de faire pénétré le sortilège dans le corps de la jeune femme. Ils prirent ensuite un outil possédant deux pique au bout et le plantèrent au centre de la marque se qui fait hurler la jeune femmee et servit à faire couler du sang le long de la marque. Les quatre sorciers prirent alors une bougie chacun et la tendirent en l’air avant de verser de la cire dans les extrémité de la marque afin de bloquer le sortilège et qu’il ne sortent pas du corps de l’intéressé.

Une fois cela terminé, ils s’éloignèrent et sortirent de la crevasse pour aller prévenir l’homme qui attendait dehors. Il rentra alors après que la jeune femme ai remise sa tenu.

— Alors ? Demanda t-il. Comment cela c’est t-il passer ?

Après avoir essuyé les larmes qui couler sur son visage elle le regarda et lui dit d’une voix tremblante.

— J’ai mal, j’ai tellement mal.

Il s’assit auprès d’elle sur la table.

— Oui je me souvient de cette douleur, ne t’en fait pas cela passera bientôt. Est-ce que tu sent une différence au niveau de ton organisme ?

Elle lui fit un large sourire.

— Je sent bien une différence mais j’aimerai savoir quel effet était sensé me donner ce sortilège. Le sais tu ?

La ce fut à son tour de lui sourire.

— Oui c’est moi qui l’est choisit, ce parchemin contenait un sortilège dont l’utilité est de voir la position des autres marques à travers le monde entier. Pour connaître nos adversaire les plus dangereux.

Elle sembla douter quelques instant.

— Tu m’a bien dit que tu avais toi même était marqué n’est-ce pas ? Demanda t-elle déçu.

— Oui c’est bien le cas. Lui répondit-il en la regardant dans les yeux. Ne le voie tu pas ?

Elle sembla à nouveau mal à l’aise et la douleur qu’elle ressentait dans le dos la fit à nouveau pleurer.

— Je suis vraiment désolé mais je craint que la transplantation n’est pas fonctionner.

L’homme se releva, il semblait déçu de la tournure qu’avait prise les choses. Il marcha longuement autour de la table avant de s’adresser à la femme.

— Allonge toi, ne pleure pas. Je pense savoir pourquoi cela ne marche pas.

La jeune femme s’allongea et elle sembla surprise, la transplantation avait en faite marché ? Elle savait pourtant qu’elle ne voyait rien. Comment cela aurai t-il put être réussi.

Tout à coup l’homme prit une voix grave et lui sauta dessus.

La jeune femme hurla de toutes ses forces. Elle se débattit, mais l’homme était bien trop fort pour qu’elle ne puisse le repousser. Et celui-ci savait pertinemment qu’elle n’y arriverai pas. Restant immobile sur le ventre de sa victime il lui adressa les mots suivant.

— Je suis désolé, je souhaitait de tout cœur que l’opération se passe et que nous n’ayons pas à en arriver là. Respire sa sera vite fini.

Et avant que la jeune femme n’est put dire le moindre mot, il plongea ses doigts dans les orbites de sa victime, provocant de nouveaux cries de douleur. Il arracha les globes oculaire de la jeune femme et se relaissa tomba à côté d’elle qui hurlait et pleurait des larmes de sang.

Il se dirigea alors vers la sortie et s’arrêta à l’entré de la crevasse.

— Je repasserai demain, si tu es toujours vivante je t’emmènerai avec moi. Vous tous suivez moi. Dit-il à l’intention des sorciers.

— Oui seigneur Ulfric. Lui répondirent-il avant de s’en aller.