Chapitre 4 : Retour en ville

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Marchant à travers la forêt, je vois Earin passer devant moi, ses long cheveux rouge voltigent derrière elle.

Nous passons la journée à regarder les oiseaux volés, nous reposant prêt d'une rivière afin de nous rassasier en nourriture et en eau. Pendant tout le trajet je me pose beaucoup de question quand à sa présence au camp ainsi que sur sa blessure. Mais en voyant qu'elle ne répond à aucune de mes question, je me tait et nous continuons la route en silence.

Nous arrivons finalement à Efuran. La nuit commence à tomber, les arbres arbore cette aura démoniaque qui ont inspiré des tas de légende. La plupart racontant que lorsque les gens meurt, leurs esprits se réfugient dans un arbre et passe l'éternité au côté des humains.

Je vois que Earin se met à accéléré le pas et sachant que sa blessure doit être très douloureuse. Je l'emmène directement voir le médecin.

Nous arrivons rapidement chez celui-ci. Des qu'il vois le visage de ma jeune amie, il l'emmène directement sur un fauteuil, c'est à ce moment là que je me rend compte que son visage est d'une extrême pâleur.

- Que lui est t-il arrivé ?

Je voudrai lui répondre mais sachant que je ne connais pas la raison, je lui répond simplement que je n'en sais rien.

Voyant que je ne le sais vraiment pas, le médecin reporte son attention sur Earin en attendant une réponse.

Celle-ci baisse la tête et semble de pas vouloir répondre. Le médecin soupire et s'éloigne vers une salle situé à l'arrière. J'en profite pour observer la maison dans laquelle nous sommes pendant que Earin laisse ses yeux se refermé et s'endort.

La pièce ou nous sommes est assez petite, elle comporte un lit pour le patient situé dans un coin de la salle ainsi que deux chaises pour les personnes qui l'accompagnent. Des herbes et autres produit médicales sont disposé dans la pièce situé au fond. Le médecin revient d'ailleurs de cette salle avec la mains pleine d'herbe que je n'ai jamais vue ainsi que du bandage.

- Pouvez vous enlever sa veste jeune homme ? Me demande t-il.

Sachant qu'elle n'aurai pas voulut dévoilé son corps à une nouvelle personne je demande au médecin de se retourner. Retire la veste et la dépose sur sa poitrine sans cacher sa blessure.

Je vois celui-ci retiré les plantes et les bandages que j'ai poser sur le ventre de Earin et les poser sur une table. Il prend les herbes qu'il a récupéré dans la pièce du fond et les pose dans une bassine remplit d'eau chaude. Les plantes prennent une couleur bleu claire et une poudre se dispose au fond de la bassine, l'eau prend une teinte jaune et se solidifie pour devenir une pâte. Il prit cette pâte et la pose délicatement sur le ventre de Earin. Même endormit je l'entend pousser un soupir de soulagement.

- Elle ne doit pas bouger pendant un petit moment. Je lui dirai de vous rejoindre quand elle sera réveiller.

- Dites lui de venir directement chez moi, la maison avec le toit rouge là-bat. Lui dit-je en lui pointant ma maison du doigt par la fenêtre.

Après une dernière poignée de main, je sort de la battisse et je me dirige vers le château afin de rendre mon rapport à Almir.

Pendant que je marche sur le chemin du château, mes pensés sont dirigée vers Earin j'espère qu'elle va guérir rapidement et qu'elle ne souffrira pas longtemps. Je veux profité de la soirée un petit moment alors je me dirige vers l'un des banc situé devant le château, je m'assois et je regarde la lune s'élever dans le ciel. Je pense à ce que j'ai trouver prêt du feu cette nuit. Qu'est t-il arrivé à Earin pour qu'elle se retrouve dans cette état ?

Des questions me tourmentent l'esprit, des voix me harcèlent, je me sens oppressé. Je voie des centaines de silhouettes marcher autour de moi en me hurlant dans les oreilles. Ne supportant plus cela, je presse mes mains contre mes tempes et ferme les yeux en espérant que cela cesse.

Au bout de plusieurs minute enfin mon esprit se calme, je sent une main se poser sur mon épaule et en relevant la tête j'aperçois Almir qui me regarde en souriant.

- Encore une crise hein. De quand date la dernière ?

Me mettant debout, je le regarde dans les yeux avant de lui répondre.

- Je n'en avais pas ressentit depuis environs trois ans. Je pensait que s'en été terminé.

- Pourquoi c'est elle déclenché ? demande-il d'une voix lente avant de se laisser tomber sur le banc même où j'étais assis quelque seconde avant.

Lors-ce-que j'étais plus jeune, je faisais souvent des crises de ce genre et cela était toujours dut à un choc émotionnel. Ma première crise avait eu lieu quand ma mère adoptive étais morte. J'en avais ensuite fait quand j'avais vue Aria passer à quelque centimètre de la mort. Quand des bêtes sauvages m'avais sauté dessus et blessé gravement. Cependant depuis trois ans rien n'avais provoqué de crises. Jusqu'à aujourd'hui.

- Je suppose que j'ai simplement comprit ce que tu voulait dire en disant que quelque chose nous menace. Dans la forêt, j'ai sentit une présence obscure que j'avais jamais ressentit auparavant. J'ai également croise un homme étrange. Je pense que c'était un esprit. Et il y avait également un cadavre. La foret meurt Almir.

- Je croit que tu à comprit, nous ne sommes plus en sécurité ici. Tu devrai aller te reposer, nous parlerons demain.

Il se relève et commence à s'éloigner avant que je ne l'intercepte.

- Almir, j'ai également trouver une jeune femme là-bat, elle était blesser et se trouve actuellement chez le guérisseur. Elle m'a dit vouloir te parler.

- Nous en parlerons demain Darick, pour le moment rentre chez toi et repose toi.

Il s'éloigne lentement et je sent dans sa voix que mon rapport viens de brisé l'espoir qu'il garder.

- Almir, s'il te plaît, ne t'en fait pas trop. Nous réglerons tout cela, ton armée est puissante et tu le sais. Si quelqu'un s'en prend au royaume, nous l'arrêteront.

Je sais qu'il a entendu mes paroles mais il fait comme si ce n'était pas le cas, et s''éloigne la tête baisser.

Je sort du palais en réfléchissant à tout cela. Ma tête me fait encore légèrement mal mais cela ne m'empêche pas de marcher jusqu'à chez moi. En arrivant je vois de la lumière à l'intérieur. Je pousse donc légèrement la porte en espérant ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller Earin dans le cas où elle serai endormit. Mais ce n'est pas le cas, je la vois assise sur le canapé au côté de Aria.

Celle-ci avais dut me penser de retour en voyant la lumière et étais donc venu pour prendre de mes nouvelles mais avais à la place rencontré ma nouvelle amie.

J'entre en essayant de ne pas attiré l'attention sur moi mais c'est sans compté sur Aria qui en me voyant rentré s'écrit.

- Ah Darick, te voilà enfin, comment c'est passé ta mission ? Tu es allé voir le roi ? Qui est cette jeune fille ? Tu la connais depuis quand ?

J'ai une folle envie d'explosé de rire en voyant le visage de Earin qui semble n'avoir jamais connu un telle moulin à parole.

- Earin je te présente Aria, Aria voici Earin. Aria, je suis désolé mais on rentre d'une longue journée est-ce que tu pourrai revenir demain. On aimerai pouvoir se reposer.

Elle nous observe quelque instant, puis après un dernier sourire elle soupire et s'approche de la porte.

- Très bien, alors à demain. Reposez vous tout les deux. Earin tu à une mine horriblement pâle.

Après qu'elle soit sortie, je m'approche du canapé et me laisse lourdement tomber au côté de Earin.

- Est-ce qu'elle parle toujours autant ? Me demande t-elle d'une voix lente.

Explosant de rire, je lui réponds.

- Oui, mais tu sais, c'est une fille qui a un grand cœur. Elle est ma meilleure amie depuis toujours. Elle est le genre de personne sur laquelle je sais pouvoir toujours compté. Elle à toujours était là pour moi.

- Oh .. Elle doit être une fille bien.

Elle baisse la tête et je vois une larme coulé de ses yeux. Ne sachant pas quoi faire je la regarde simplement.

- Que comptera tu faire après avoir parler avec Almir ?

Elle redresse la tête et dirige ses yeux dans ma direction. C'est la première fois que je l'observe véritablement. Ses yeux sont d'une agréable couleur vert clair. Les traits de son visage forment l'une des créatures les plus belles que j'ai put apercevoir de ma vie. Elle ne semble pas être une mauvaise personne.

Je vois que des larmes sont en train de lui monter au yeux alors faisant la première chose qui me passe par la tête, je m'approche et la prend tendrement dans mes bras. Elle semble d'abord effrayer puis cela semble l'apaiser. Elle laisse sa tête tomber sur mon épaule et je l'entends sangloté. Nous restons comme sa pendant un long moment avant qu'elle ne s'endorme dans mes bras.

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