Chapitre 30 : Les armes antique

10 minutes de lecture

Nous marchons lentement sous la lumière de la lune. Les yeux de chacun d'entre nous ne demande rien d'autre qu'un peu de repos. Nous ne savons pas exactement combien de temps nous avons passé dans les marais. Teabian pense que nous sommes parti à la recherche du Despiarel il y a une journée. Bildagan quand à lui, pense que cela fait deux jours que nous avons quitter le village. Pour ma part, je n'en sais rien du tout et en réalité, cela m'importe peu. Depuis que nous avons quitté le marais, toute mon attention est retenu par le médaillon qui est attaché autour de mon cou. Celui-ci me rappel un objet que j'ai déjà vue auparavant mais je ne saurai dire lequel.

J'aperçois tous mes camarades qui baillent les uns après les autres et dont la démarche se fait de plus en plus lente. Quand à moi, je sent une chaleur se répandre dans mon corps et venir jusqu'à me faire trembler le bout des doigts, j'ai l'impression que j'ai maintenant assez d'énergie pour pouvoir tenir plusieurs jours sans dormir.

Au bout de plusieurs heures de marches nous décidons de nous arrêter afin de passer la nuit à côté d'un arbre. À peine son sac posé, je voie Earin qui s'allonge rapidement et s'endort aussitôt. Je m'allonge en souriant à ses côtés et ferme les yeux en regardant le ciel.
Mais le sommeil ne vient pas, je suis trop plein d'énergie pour pouvoir simplement dormir. Je me sent capable de me battre contre Ulfric lui même avec une seule main. Maintenant que j'y pense, cette homme m'a fait beaucoup de mal mais je n'ai encore jamais eu l'occasion de voir ses capacités de combat. Il nous prend encore pour des rigolos qui ne sont pas une réel menace pour lui. Bientôt il se rendra compte de son erreur.

Alors que mon cerveau se met à divagué en pensant à tout et n'importe quoi, je me met à me demander si les Kliar qui nous ont mener jusqu'au marais ont pût rentrer indemne jusqu'au village. En effet juste après nous avoir déposé, ils ont fait demi-tour et nous ont laisser tomber. De toute façon nous ne comptons pas retourné au village.

J'entends des bruits de pas à côté de moi et après m'être redressé soudainement, je voie Bildagan qui s'approche de moi.

- Tu devrai te reposer, nous n'avons pas dormi pendant assez longtemps et cela peut s'avérer dangereux.

- Je comprend bien, mais je ne ressent pas la moindre fatigue. Au contraire, je me sens tout à fait bien. Ne t'en fait pas pour moi.

Avec les rayons de la lune, j'aperçois sont visage qui prend un air sombre lors-ce-qu'il me dit.

- Au contraire, je m'inquiète. Ce que tu ressent c'est de l'énergie magique. Elle n'est pas réel. Ton corps est fatiguer, la pierre fait simplement croire à ton cerveau que non. Ce qui est d'autant plus dangereux. Écoute, donne moi cette pierre pour ce soir et repose toi. Je vais lui trouver un endroit où elle sera en sécurité. Fait moi confiance.

J'observe son visage afin de déduire s'il me ment où non mais je me doute au fond de moi même qu'il est entrain de me dire la vérité. Alors je passe la main à mon cou et après avoir décroché le pendentif, je le lui tend. Immédiatement, ma vision se brouille et je tombe à la renverse. Je sent toute la fatigue accumulé au fond de mon corps remonté en seulement quelques secondes. Une sensation vraiment très étrange. J'ai tout juste le temps de reporté mon attention sur les étoiles que je m'endors paisiblement.

Un certain temps plus tard, j'ouvre mes yeux et je me retourne sur moi même lors-ce-que les rayons du soleil rentre en contact direct avec mes pupilles. Je pousse un léger grognement et reste ainsi le temps que mes yeux s'habitue à la lumière. Je suis également assez content de me sentir reposé, prêt à repartir.

Tout le monde se réveille, les uns après les autres, certain assez grognons. Une fois tout le monde bien réveillé, nous ramassons nos affaires et Rizes me dit en me regardant avec une expression sérieuse.

- Bon Darick, où se trouve le prochain Despiarel ?

Sachant qu'il s'agit d'une question importante à laquelle je doit me dépêché de répondre, je sort la carte de mon sac et y porte toute mon attention. Je la parcours du regards pendant une longue vingtaine de secondes avant de trouvé une croix sur celle-ci. Elle se trouve au sommet d'une grande montagne situé à l'intérieur d'une ravin d'une taille inimaginable. Avant de ranger la carte pour donner toutes les précisions à mes compagnons, je me rend compte que la croix désignant le médaillon a complètement disparu.

- La croix la plus proche ce trouve à Nérüsas. Il nous faudra environs six jours pour y arriver.

J'entends aussitôt un crie de surprise et en relevant la tête j'aperçois Earin, le regard bloqué sur moi et les mains devant la bouche.
Je me rappelle alors le jours où elle m'a avoué être originaire de cette cité.

- Ce n'est pas possible, il ne peut pas y avoir de Despiarel là-bas. La carte ce trompe c'est évident.

Son attitude me rend perplexe car je vois à sa façon de bouger qu'elle n'est pas du tout à l'aise.
Heureusement Rizes prend la parole avant moi.

- Il s'agit de notre quête, nous irons dans tout les cas. S'il n'y en a pas alors tan pie mais si nous en trouvons un cela nous rapprochera de la fin d'Ulfric. Nous ne devons pas négliger cela.

Earin baisse la tête et son visage affiche une mine contrarié que je n'ai pas l'habitude de voir sur son doux visage.

Afin de changer de sujet, je demande d'une voix calme.

-Où est le médaillon ?

- Ne t'en fait pas c'est moi qui l'ai, répond une voix derrière moi.

Je me retourne et vois Bildagan qui me fait face, le Despiarel accroché autour du cou.

- Aller, nous devons nous dépêcher. Ramassez toutes vos affaires et nous partirons le plus vite possible, dit Rizes en voyant le relâchement dont tout le monde est victime.

Mon sac déjà tout prêt sur l'épaule, je regarde le ciel afin d'en déduire l'heure.
Le soleil ce trouve actuellement juste au dessus de moi ce qui me fait déduire qu'il est midi.

Nous finissons par reprendre la route reposé mais pas du tout motivé. Afin de faire passer le temps plus vite, je m'approche de Rizes et entreprend de discuté avec lui. Au bout d'un moment, la discussion dérive sur les fameux artéfacts.

-Comment ce genre d'objet pourrai rendre quelqu'un plus puissant ?

Il s'arrête et me regarde, je voie sur son visage une expression indéchiffrable. Comme s'il était entrain de fouiller dans sa mémoire à la recherche d'un souvenir en particulier.

-J'aurai préféré ne jamais avoir à vous en parler mais l'heure est grave et dieu sais que j'ai confiance en vous. Si je ne peut pas vous le dire en vous regardant droit dans les yeux, alors je ne suis pas digne d'être votre partenaire lors de cette aventure. Il y a fort longtemps, bien avant la période que vous a compter Toar. Il existait des êtres, des femmes exclusivement, au pouvoir incroyablement puissant. Une seul d'entre elle aurai pût tué des centaines de titans d'une seul attaque. Cette période a été l'une des plus sombre de l'histoire et à cause de cela, elle ne figure dans aucun livre. Nous sommes très peu à le savoir. À cette époque là, tout les peuples vivait en paix et vivaient les uns au côtés des autres. Après des années d'évolution où elles devenaient toutes de plus en plus intelligente, elles ont créée quelque chose d'incroyable nommé la technologie antique. Celle-ci était créé grâce à l'énergie du monde et servait à absolument tout. Elle permettait de construire des armes, des pont, des divertissement. Un jour malheureusement, l'un des peuples à voulu gouverner plus de terre pour profité de plus de cette technologie. Viens ensuite une grande guerre entre chaque peuple, l'un d'eux à rapidement créé une arme antique et l'a utilisé contre un clan adversaire. Il l'a éliminé entièrement en un seul coup. Tout les autres clans ont prit peur et se sont cacher. Et évidement, ils ont créé une arme similaire. Chacun s'attaquer avec leurs armes et rapidement il ne resta plus personne. La civilisation complète avait été éradiquer. Les terres étaient invivable et la vie à complètement disparu. Un très long moment après, les titans sont apparut et on été vaincu par les dieux comme vous le savez. Les dieux découvrirent ensuite des relique d'objet antique et en découvrant la puissance de ces armes, ils ont complètement détruit l'énergie antique du monde. Cependant, il est absolument impossible de faire entièrement disparaître quoi que ce soit. Alors au lieu de chercher en vain, un moyen pour la détruire, ils l'ont simplement envoyer dans un autre espace.
Et tu l'aura peut être comprit mais les Despiarels sont les clefs qui nous permettrons de récupérer la puissance de la technologie antique.

-Ulfric est également à la recherche des Despiarels. Est-ce qu'il souhaite lui aussi mettre la main sur cette puissance ? Demande Maéris d'une voix forte.

Rizes essaie de prendre sa voix la plus réconfortante possible mais je sent tout de même de l'hésitation lors-ce-qu'il lui répond.

-C'est possible, mais je ne peut pas l'affirmer. Comme je vous l'ai dit, nous sommes très peu à connaitre l'existence de ce pouvoir.

Il marque un temps d'hésitation, ramasse son sac et reprend.

-Pour le moment nous ne pouvons que prié en espérant qu'il ne la connaisse pas. Si par malheur il finit par mettre la main dessus, alors le monde n'aurai plus beaucoup de temps à vivre.

Je voie alors une masse de cheveux blond qui me dépasse et prend la direction que j'ai indiqué à Rizes quelques minutes avant. Earin se retourne et le visage grave elle nous dit.

-Alors nous devons nous dépêcher de rejoindre Nérüsas. Allons y.

Je marche un peu plus vite que tout les autres pour arriver à sa hauteur. Je tourne ma tête vers elle et regarde son visage, elle ne semble pas me remarquer alors je reporte mon attention devant moi.

-J'ai l'impression que tu regrette d'être avec nous. Que tu veux tout arrêté, je lui dit d'une voix calme.

Elle ne répond pas tout de suite et je pense d'abord qu'elle ne m'a pas entendu alors ne suis sur le point de me répéter quand elle répond.

-Évidemment que je préfèrerai ne pas être là. Tout les jours, nous prenons tous le risque de mourir, nous suivons une quête qui ne nous apportera peut être rien du tout. Bien entendu que j'aimerai être toujours chez moi, sous une lourde couverture bien chaude. Mais les fait sont que je suis ici avec vous et que je ne partirai pas car vous êtes mes amis et que malgré tout, nous avons de légère chance de gagner.

Là elle tourne sa tête dans ma direction et je voie qu'elle affiche un air vraiment grave.

-Écoute, si nous sommes ensemble ce n'est pas pour rien. Le rôle qui nous a été attribué et très important et tu le sais. En plus de cela, nous devons tout faire pour se protéger les uns les autres. Je serai toujours là pour toi.

À ce moment là elle me saute dans les bras et je sent de grosse goutes me couler le long du cou. Ses lèvres humide se posent au creux de mon cou. Je resserre son étreinte afin de lui faire comprendre que je compte lui accorder ma protection chaque fois qu'elle en aura besoin.

Nous restons ainsi plusieurs minutes, chaque membre de l'équipe se sont arrêté un peu plus loin, pas assez pour ne pas nous entendre mais assez pour nous donner l'impression d'être seul.

Alors que nous marchons pour les rejoindre, un violent tremblement de terre nous prend tous de court. Earin et moi nous accrochons l'un à l'autre mais cela ne nous empêche pas de tomber. Bildagan agrippe un arbre située juste à côté de lui, Teabian s'écrase également. Maéris et Aria se tiennent par la main, adossé à un arbre. Rizes lui, tient droit, parfaitement immobile. Je ne remarque qu'après qu'il lévite au dessus du sol, un léger nuage de fumé se trouve entre lui et le sol.

Puis aussi vite qu'il est arrivé, le tremblement disparait. Ce n'est qu'à ce moment que je me rend compte de n'avoir vue aucun animal depuis que nous avons quitté le sanctuaire du Despiarel. Quelque chose d'étrange ce passe dans cette forêt.

Loin du groupe au même moment, trois personnes sont regroupé autour d'une gigantesque statut, tout les trois sont en armure et aucun de leurs visage n'est visible. L'un d'entre eux marche devant les autres, rapidement. Il semble énervé. Il dégaine son arme et plante la lame doré directement dans le sol. Celui-ci se met alors à tremblé avec une puissance phénoménal.
L'un des deux autres, viens alors en courant et arrache l'épée du sol avant de la rendre à son propriétaire. Après cela il se passe frénétiquement les mains sur le visage afin de calmer sa colère.

-Calme toi Raldrik ! s'écrit t-il.

Le concerné à l'armure dorée se retourne et lui répond.

-Ne te mêle pas de ça Ven.

La troisième personne s'approche et une voix féminine s'échappe de sous son casque.

-Deux des Despiarels ont été récupéré. Nous devons les chercher et tuer les profanateurs de sanctuaire.

Ils se retournent alors et leurs armures disparaissent dans l'ombre des ruines d'un château. Ne laissant derrière eux que trois traîné de couleur, doré, bleu et rouge.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 2 versions.

Vous aimez lire Nicolas V Oswald ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0