Chapitre 25 : Retour à la nature

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J'observe le visage de mes coéquipiers. Rizes se tient à mes côtés et nous venons de leur avoué ce que nous avons découvert à Dalvos. Lind'ha est sous le choc, elle est assise sur une buche et je jurerait qu'elle lutte pour ne pas tomber à la renverse.
Bildagan à le même visage sérieux que d'habitude, on dirai qu'il à toujours sus la vérité.
Les filles ainsi que Teabian en revanche semblent seulement surprit. 

La voix de Lind'ha est faible est assez vexé quand elle s'exprime.

— Cette homme, pourquoi a-t-il fait cela ?

— En ce faisant passer pour un rebelle dont le but était d'assassiner le tyran, il nous a rallié à sa cause et nous a quand même fait participé à des quêtes qui servait notre ennemie, répond Rizes avant même que j'ai pût réfléchir à une réponse.

Bildagan se lève et lance d'une voix légèrement amusé pour calmer les esprits.

— Même s'il nous a trompé, je doit avoué que c'était très malin de sa part.

Cela m'importe peu, à cause de cette homme, j'ai assassiné mon propre  père et j'ai vue un ami mourir devant mes yeux. Rien que pour cela je sais que je ne pourrai jamais lui pardonner et je chéris le jour où je tiendrai sa tête dans ma main.

Un léger son me fait tourné la tête vers Maéris et je la voie, les mains sur la bouche et de légère gouttes de sang en train de perlé sur ses joues.

— Ulfric avait fait exprès de m'emmener prêt de Dalvos. Il avait prévu mon départ avant moi même. Je me suis faite manipulé par cette ordure. Il n'avais jamais prévu me ramener chez moi, sa voie faiblit lors-ce-qu'elle prononce c'est dernier mot. Il m'avais capturé, il savait donc que je ne travaillerai jamais pour lui. Alors il m'a emmener ici pour que ma marque puisse quand même le servir. Quel idiote ! s'exclame t-elle.

— Nous nous sommes tous fait avoir. On aurai pas pût deviner, lui répond Lind'ha.

Nous posons ensuite nos sac au sol et faisons un inventaire de tout ce que nous possédons. Ayant récupéré la feuille de communication que possédé Ragnac après sa mort, je décide de la laisser à Rizes afin de pouvoir le contacter en cas de problème. Avant la mort de Toar, il était quelqu'un de détaché de tout et de solitaire. Mais maintenant, son visage arbore une expression obscure et il semble avoir accepté son rôle de chef d'équipe.
Dans les sacs nous trouvons principalement des vivres et des médicaments mais également quelques objets qui semblent fort intéressant dont je ne connais pas l'utilité.

Après tout cela, je m'étire et nous repartons en directions des plages du sud. D'après Bildagan celle-ci se trouvent à environs un mois de marches car nous devons contourné le marais de l'illusion. Il porte ce nom car chaque personne qui s'y sont aventuré disent avoir vue tout leurs cauchemars y prendre vie. Certain disent même qu'ils se sont fait attaqué par leurs propre peur. Inutile de dire que très peu en sont revenu vivant et que l'éviter nous paraît être la meilleure solution. Il ne nous reste donc plus qu'a le contourné ce qui prendra donc un mois minimum. Heureusement Bildagan nous prévient quand même qu'un village se trouve à une semaine de notre position et qu'un bateau pourra nous rapproché de notre destination.

C'est donc après avoir échauffé nos jambes, déjà tremblante à la pensé d'un telle voyage, que nous partons.
En observant les alentour au fil des kilomètres, je me rend compte de quelques chose d'amusant. Plus ont s'éloigne du territoire d'Ulfric, plus les créatures sont abondante et la nature semble vivante. J'accepte d'ailleurs avec choix le chant d'un oiseau qui résonne dans mes oreilles. Il se trouve a environs cinq mètres de hauteur, posé sur une petite branche. Il est de couleur bleu et jaune et son simple plumage me réchauffe le coeur. Chacun d'entre nous d'ailleurs s'arrête de bouger et souris le temps du spectacle. Entendre le son qui se dégage de cette oiseau me procure un véritable sentiment d'euphorie et en fermant les yeux je me voie à Efuran en compagnie d'Aria en train de regarder le soleil se lever. Je me suis toujours juré de tout faire pour rendre sa splendeur passé à mon monde mais maintenant que j'y suis, j'en arrive à regretter mon ancienne vie. Quand j'y pensait en étant plus jeune, je pensais qu'elle ne durerait que quelque jours et qu'aucune personne que j'aimais ne mourrai. Je pensais que tout se passerai comme dans les contes que l'on raconte au enfant en les faisant rêvée d'un monde meilleur. Et aujourd'hui je me rend compte que j'avais faux. Que savoir tout cela en étant plus jeune m'aurai sans aucun doute faite changer d'avis quand à mes ambitions. Mais maintenant je ne regrette rien. Oui mon père et Toar sont mort mais je sais que c'est pour une cause noble et c'est de cette façon qu'ils ont toujours voulu partir. Grâce à eux, le monde connaîtra des jours meilleurs.

Je réouvre les yeux, étonné que le simple sifflement d'un oiseau est pût provoqué de telle sentiment dans mon esprit. J'ai le souffle coupé et bien que je sache qu'il ne s'agit que d'une petite créature qui à chanter pour son propre plaisir et non pour le notre. Les sentiments qui se bousculent dans mon cœur m'encourage à exprimé ma gratitude à cette petite bête. Alors sans réfléchir, je met à l'applaudir, évidemment cela la fait fuir mais je ne m'arrête pas et étrangement j'entends bientôt chacun de mes camarades qui se joignent à moi pour exprimé leur gratitude au petit chanteur.

Une fois cela terminé, nous restons immobile quelques minutes à contemplé la branche maintenant vide. Je fini par entendre Rizes se raclé la gorge et je me détourne de l'arbre les yeux toujours brillant. Nous reprenons notre marche et tombons sur un grand nombre de créature qui nous regarde sans bronché. Elles se demandent sans doute si elles doivent fuir ou simplement nous ignoré. Évidement nous ne leur faisons pas le moindre mal, bien trop heureux de revoir une partie de la foret encore débordante de vie. À un moment, je serre même les dents en devinant un rastic derrière les arbres. Celui-ci nous regarde et alors que je m'attends à le voir nous sauté dessus, il reprend simplement sa marche. Je suis éberlué par ce que je viens de voir. Les rastics sont réputé pour être des créatures d'une sauvagerie sans nom qui saute sur chaque morceau de viande qu'il croise. Et pourtant il ne s'est même pas intéressé à nous plus de quelques secondes.

Pendant une semaine, je me surprend à observé avec admiration tout ce qui nous entoure. Et lors-ce-que l'on fini par arrivé au village dont nous avait parlé Bildagan, je suis bouche bée par ce que je voie. Il y a quelques maisons qui sont dressé à des endroits aléatoire à côté de chemin de terre. Il y à également de petits stands sur lesquelles sont présenté des poissons, certain ne faisant que quelques centimètre et d'autre pouvant mesuré jusqu'à huit mètres de long.

— Nous en avons de plus gros mais pour les avoirs, il faut réservé à l'avance. C'est de la nourriture de très haut de gamme, me dit la femme qui s'occupe du stand en me voyant regarder les poissons la bouche grande ouverte.

Il faut dire que nous avons passé les derniers jours à ne manger que des produits périmé et des plantes sans gouts trouver sur le chemin. Ce n'est que lors-ce-que je voie Rizes et Lind'ha sortir d'une bâtisse derrière le stand que je comprend qu'il s'agit d'un restaurant. Ils nous disent avoir payé une table pour nous tous. Je me souvient qu'ils m'avais dit que quand ils travaillaient encore pour Raqfen, ils leur arrivaient de devoir partir loin et dans ce cas le chef leur donner toujours de l'argent pour pouvoir survivre. Rizes et Lind'ha ont donc prit tout ce qui leur restait avant d'entreprendre le voyage.

En rentrant dans le restaurant, je suis très agréablement surprit par ce que je voie. Il y à déjà certain client mais cela ne ressemble pas aux restaurant que nous possédions à Efuran. Là-bas, les clients était assis à une table séparé des autres et devait manger dans le silence le plus totale pour ne pas dérangé les autres clients. Seulement ici c'est différent, les clients sont assis le long de plusieurs longues tables commune. Certain sont debout et joue à une sorte de jeu assez étrange qui consiste à jeter des coquillages le plus fort possible dans un cercle entrecoupée en différente partie. J'apprends par le serveur que celui qui réussi à planté un coquillage dans la partie centrale gagne un poisson de cinq mètre de long à partager avec ses amis. C'est en sentant mon ventre se plaindre comme jamais auparavant que je décide de tenter ma chance sous le regard de mes amis et des autres clients. Ceux-ci se tiennent par les épaules et chantent ce qui ressemble à un chant de marin. Je me place derrière une ligne tracer au sol à dix mètre de la ligne et me met en position de lancer. Le serveur m'apprend que je n'ai le droit qu'a trois lancer. Je me met donc en position et me concentre. Une fois mon œil bien centré sur la cible, je me penche sur ma jambe arrière puis me redresse tout à coup en lançant le plus fort possible. Le coquillage part rapidement et viens taper le mur à un bon mètre de la cible. J'attrape un second coquillage et me remet en position. Je lance le projectile et cette fois je touche la partie la plus situé à l'extérieur de la cible. J'attrape le dernier coquillage et lui fait un bisou pour me souhaiter bonne chance. Je le lance de toute mes forces et je baisse la tête en le voyant touché un peu en dessous du rond. Alors que je rejoins mon siège déçu, je voie Aria se lever. Je souris car en effet, je n'avais pas pensé au fait que tout le monde pouvais essayé. Seulement tout cela se termine pareille, je voie chacun de mes alliés défilé devant la ligne de lancer sans résultat. Rizes pourtant réussi à touché la ligne mais leur serveur nous avait dit que seul le rond était comptabilisé. La dernière à se lever n'est nul autre que Earin qui se place devant la ligne et se prépare à faire son premier lancer. Elle ferme un œil et calle le projectile à côté de son œil dominant. Elle place ensuite sa main droit devant son visage puis après un mouvement rapide, le lance. Du premier coup elle arrive à touché la ligne qui entoure le centre. Rizes n'y était arrivé que au troisième essaie. Elle recommence ensuite le même rituel avec le deuxième coquillage mais au moment de lancer, je la voie déplacer légèrement son bras. Elle lance alors et son tir atteint la cible en plein milieu du cercle. J'entends alors des rires et je voie qu'il s'agit des hommes qui chantaient précédemment. L'ambiance qui se dégage de ce restaurant me fait sourire sans même y réfléchir. Et je ne suis pas le seul dans cette état, chacun d'entre nous arbore fièrement une mine réjouie. Surtout Earin lors-ce-qu'elle revient s'assoir à nos côté.

— Laisser passé la championne, dit elle d'une voix détaché et d'où l'ont sent sa bonne humeur se dégager.

Nous ne patientons pas longtemps avant de voir arrivé trois serveurs qui tiennent fièrement le plus gros poisson que j'ai vue de ma vie. Une fois celui-ci poser sur la table, je me rend compte que nous ne le finirons jamais à nous huit. Alors sans hésité longtemps je lance aux marin chanteur.

— Dites, vous voudriez vous joindre à nous ? On à beau avoir faim, jamais on ne finira un telle morceau.

— Et bien si cela peut vous aider jeune homme, je me dévoue à me remplir la panse pour la bonne cause.

Ils s'approchent alors de la table et nous apprenons à les connaitre pendant que nous dégustons ce délicieux repas. Nous apprenons que nos interlocuteurs possèdent leurs propre bateau de pêche et lors-ce-que nous leur avouons devoir rejoindre le camp des Umix, ils nous répondent avec légèreté qu'ils seraient ravis de nous y conduire le lendemain aux premières heures du matin. Nous décidons donc de passer la nuit à l'auberge une fois le ventre bien remplit et que nous commençons à sentir nos paupières se fermé automatiquement, un sourire franc plaqué sur chacun de nos visages.

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