Chapitre 24 : Trois égale un ?

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— Surtout reste calme. Ils vont seulement te demandé des détails par rapport à tout ce qui c'est passé. Dit leurs la vérité.

Je tourne la tête et voie Rizes qui me donne les derniers conseils avant que l'on ne pénètre dans la demeure des maîtres. Ceux-ci m'ont contacté le matin même en me demandant de les rejoindre cette après-midi. Et je suis là, le souffle court en train d'observer une bougie dont les flammes vacillent en attendant l'arrivé de mes interlocuteur.
Au bout de quelques instant, la patience n'étant pas le point fort de Rizes, celui-ci me propose d'aller se promené dans la demeure. D'abord réticent à cette idée, je fini par accepté en me rendant compte que nous ne risquons absolument rien.

Nous marchons alors plusieurs minutes en passant par des couloirs qui conduisent à d'autres couloirs, qui mènent à des escaliers, qui mène à un couloirs lié à plusieurs escalier. Pendant tout le chemin, nous essayé d'ouvrir chaque porte mais beaucoup d'entre elles sont fermé à clef. Mon compagnon pourrai passer au travers en utilisant sa capacité mais il n'en voie pas l'intérêt.

Après avoir visité une vingtaine de chambre, de toilette et de salle de bain, nous arrivons devant une porte d'aspect banal malgré sa légère teinte verte. Au travers de celle-ci je perçois une voix à la fois familière et complètement inconnu. Ne pouvant résister à la tentation, je me colle au panneau de celle-ci et écoute. Rizes me rejoins rapidement en comprenant ce que je fait.

— Oui je comprend seigneur. Oui ils ce sont occupé du groupe de rebelle. Non monsieur ils ne sont pas au courant. Oui il a été éliminé. Je suis à vos ordre seigneur.

Peu après, j'entends des bruits de pas se rapproché et la porte s'ouvre lentement. Là j'aperçois les maîtres, leurs visages sont toujours dissimulé derrière leurs capuches. J'ai également le temps de voir pendant quelques secondes une pierre bleu posé sur la table. Après s'être plain d'un certain allié militaire, ils nous font signe de les suivre et nous retournons à l'entrée du bâtiment, dans la salle de réunion. Ici, nous nous asseyions tout les cinq et l'un des maîtres commence à parler.

— Bien maintenant que nous sommes ici, Darick j'aimerai que tu me raconte tout ce qui c'est passé ces derniers jours.

Je réfléchis à ce que je peut lui répondre pendant que j'aperçois quelque chose d'étrange. Une fine tige tissé d'ombre se déplace lentement à même le sol en direction de la porte. Je devine qu'elle appartient à Rizes et bien que je n'en comprenne pas l'utilité, je commence à leurs raconté tout ce qu'ils veulent savoir, en faisant semblant de ne pas avoir vue la tige d'ombre.

Je commence donc à lui répondre, cependant je survole tout sans entré dans les détails car quelque chose me perturbe. Je ne sais pas quoi mais j'ai l'intuition que je ne doit pas leur en dire trop. Du coin de l'œil je voie l'ombre se rapproché de Rizes et au bout de celle-ci se trouve une lettre. Discrètement Rizes la ramasse en profitant du fait que l'attention des maîtres soit porté sur moi. À peine ai-je fini de parler que les maîtres détourne le regard de moi et commencent à discuté silencieusement entre eux. Rapidement,  le visage de Rizes se durcit au fur et à mesure que ses yeux parcoure la lettre. Une fois qu'il à fini de la lire, il la laisse tomber au sol et se lève sans prévenir.

— Darick suis moi, dit il d'une voix grave de sens.

Je ne comprend pas mais je le suis. Quelque chose cloche dans cette pièce et il semble l'avoir remarquer également. Je me lève donc et ensemble nous sortons de la pièce sous le regard perdu des maîtres. Ceux-ci se lèvent rapidement et nous suive.

— Que faites vous ? Revenez tout de suite nous n'avons pas terminé, disent-ils tout les trois d'une même voix.

Étrangement, cette simple phrase hérisse chaque poil de mon corps. Mais nous ne nous arrêtons pas et Rizes me conduit à travers les couloirs pendant que les maîtres continue de nous appeler, de plus en plus fort et d'une voix toujours plus énervé. Lors-ce-que nous arrivons devant la porte où nous nous trouvions plus tôt, les maîtres accourt et nous rattrape au moment où Rizes avance sa main vers la poignée.

— Arrêtez ! hurle l'un des maîtres d'une voix qui résonne bizarrement.

Nous nous tournons dans sa direction et sans que je m'y attende, Rizes s'écrit alors.

— Pourquoi qu'est-ce que vous nous caché d'autre ?

Les personnes concerné ne bougent pas d'une seul semelle. Leur respiration lente me file la chair de poule. Alors que je regarde en direction de Rizes pour en savoir plus, il me regarde et me dit.

— J'ai lu une lettre tout à l'heure. Lettre qui leur était destiné, je sais que c'est mal mais j'avais l'intuition de devoir le faire. La lettre que j'ai lu n'était adressé qu'a une seule personne et contenait d'étrange passage. La personne qui l'a écrite à parler d'un groupe de rebelle que nous aurions abattu et que cela était une bonne chose. Ils ont également dit que "le traître" a été éliminé.

Hésitant, je prend la parole.

— Cette lettre était donc destiné à l'un des trois ?

— Il y a deux possibilité, où bien tu a raison.

Tout à coup il s'élance à une vitesse ahurissante vers l'un des maîtres et le frappe en plein visage. Et la victime disparaît soudainement. Je suis bouche bée en voyant cela.

— Où bien ils nous ont mentit et ne sont en faite qu'une seule personne.

J'entends alors un rire sec et je me met à le chercher autour de moi. Avant de comprendre qu'il vient enfaite de l'un des maîtres. Le dernier disparais soudainement et aussitôt une ambiance malsaine prend place dans le couloir. Rapidement, l'homme qui nous fait face tend sa main vers nous et une tige de glace en sort, il l'attrape et la prend en main comme il aurai pût prendre une lance. Il ne bouge pas, entièrement immobile, je me surprend à penser qu'il s'agit d'une illusion. Mais je me ressaisit en remarquant que nous sommes certainement en grand danger. Mais Rizes garde un visage de marbre alors qu'ils s'élance vers son adversaire. Celui fait quelque pas en arrière avant de donner un coup de lance transversal vers mon allié. Qui l'évite facilement. Mais il fait tout de même apparaitre son épée à partir des ombres. S'ensuit ensuite un duel donc je ne retient que quelques élément tan les mouvement sont rapide. Le traitre enchaine les coups de pique de glace rapidement sans laisser d'ouverture à Rizes. Mais il semble tout de même épaté par le niveau de son adversaire qui semble à peu prêt équivalent au sien. Voyant qu'aucun des deux ne parvient à prendre l'avantage, je comprend qu'il est venu pour moi de faire un choix. Je n'hésite pas longtemps et j'arrive rapidement derrière le traître pour aider Rizes sans qu'aucun des deux ne me remarque. Je ramasse un pot de fleur qui traine dans le couloir et l'écrase sur le crâne du traitre qui s'écroule alors.

J'entends de léger gémissements de douleur sortir de la bouche de l'homme pendant que mon allié s'approche de la porte. Aussitôt le traitre se redresse et s'écrit.

— Non n'entre pas !

Rizes ne l'écoute pas et l'homme tend alors la main vers lui, un petit nuage de glace se dirige alors vers Rizes qui éloigne aussitôt sa main de la poignée. Sans réfléchir, je donne un coup de pied dans le crâne de l'homme qui s'évanouit aussitôt.

Nous entrons alors dans la salle. Rien d'intéressant ne nous saute au yeux. Alors nous fouillons en espérant trouvé quelque chose qui servirai à mettre l'homme en tord une bonne fois pour toute.

Une question me traverse l'esprit et souhaitant une réponse, je la pose à Rizes.

— A-t-il prit la place des maîtres où est-ce que c'était lui .. depuis le début ?

— Malheureusement, je croit que l'on c'est fait avoir depuis longtemps. 

Je suis perdu, moi qui avait pensé trouvé un nouveau foyer après la destruction d'Efuran. J'ai juste été utilisé par un homme mauvais.

Nous nous mettons alors à chercher des indices qui pourrai contenir plus de détail que la lettre mais chaque autre lettre, document, rapport que nous trouvons sont louche mais pas assez pour prouvé quoi que ce soit. Bien que l'ensemble permettrait sans doute de nuire à son règne. Quelque chose cependant attire mon attention, la pierre bleu qui se trouve sur la table. Je m'approche lentement de celle-ci et me rend compte qu'elle contient une sorte de fumé très opaque. Cette pierre à la forme sphérique est magnifique. Elle attirerait la convoitise de n'importe qui. Je m'en approche et une fois à quelques centimètre, une voix s'élève de celle-ci.

— Raqfen ? A tu des nouvelles concernant le fameux groupe ? À tu un message pour Ulfric ? Raqfen ?

La voix qui s'élève de la pierre semble appartenir à une femme. Je suis horrifié, Rizes avait raison. C'est un traitre au service de Ulfric. Rizes s'approche lentement de moi, il à tout entendu et a le même regard perdu que moi. Aussitôt tout s'éclaircit dans ma tête et je comprend. Le traitre qui était mentionné dans la première lettre. Il s'agit de Toar qui à attiré l'attention en ayant des soupsons. Il m'a dit de gardé la carte en sécurité et n'en parler à personne car il savait que quelque chose clochait. Raqfen à alors contacté Ulfric et à demander à ce qu'un garde vienne pour assassiné Toar. Et peut être même que c'est la faute de Raqfen que Ragnac est mort. Il aurai suffit que le manipulateur qui nous servait de chef demande à Ulfric de nous attendre devant la caverne e jour où nous étions sensé revenir.
Un élan de haine commence à se faire sentir dans mon cœur. Je meurt d'envie de tranché la gorge de Raqfen mais je me retient. Rizes attrape la pierre, la fourre dans une de ses poches et nous sortons aussitôt du bâtiment. En sortant, tout les gardes que nous croisons nous regarde d'un mauvais œil. Rizes m'attrape par l'épaule et me parle d'une voix très rapide.

— Rentre chez toi, prévient Earin que nous partons. Prépare toutes tes affaire et prévient ensuite Aria et Maéris. Après rejoins moi devant la caverne d'accord ?

J'acquiesce et le regarde dans les yeux pendant que je sent mon souffle s'emballer.

— Quand à moi je m'occupe de prévenir Lind'ha, Bildagan et Teabian. À tu une idée de notre première destination ? demande il.

Mon regard s'illumine Lors-ce-que je me souvient de ce que m'avais dit Toar.

— Oui, nous devons nous rendre aux plage du sud.

Son regard s'assombrit quelque secondes mais je continue de parler.

— Lors-ce-que nous sortirons il me faudra aller récupéré quelque chose que j'ai enterré. Sa sera rapide.

Il hoche la tête et nous partons chacun de notre côté, tout les sens en alerte. Courant le plus vite possible.

Lors-ce-que j'arrive chez moi, j'ouvre la porte violemment ce qui fait sursauter Earin.

— Qu'est-ce qui te prend voyons ?

Le souffle court je lui répond tout en me tenant le point de côté.

— Prépare tes affaire, on s'en va. Je t'expliquerai plus tard.

Elle me regarde quelque instant sans répondre puis se lève et commence à remplir son sac. Je fait de même et je remplit le lien avec mes dagues, une gourde, une couverture, une pierre de feu, une feuille de communication comme celle que Ragnac avait utilisé pour me contacté à Efuran, et je prend également le contenu du sac que j'avais auprès d'Earin lors de notre rencontre. Ensuite je le remplit principalement avec de la nourriture qui ce conserve facilement.

Une fois les sacs prêt, nous sortons sans prendre le temps de fermé la porte et courrons prévenir Aria et Maéris. Pendant qu'elle prépare leur sac, je garde les yeux rivé sur la rue en regardant par la fenêtre et suis incroyablement tendu. Chaque fois que quelqu'un passe devant, j'ai peur qu'il s'agisse d'un espion d'Ulfric qui vienne nous faire du mal. Mais personne ne s'arrête et je me dit qu'il ont certainement tous été trahit comme nous. Cependant nous ne pouvons pas les prévenir. Nous ne pouvons pas nous déplacer en trop grand nombre à l'extérieur.
Des qu'elles finissent de remplir leurs sac, nous sortons et marchons lentement pour ne pas attiré l'attention jusqu'à la sortie de la caverne. Au fur et à mesure que je grimpe les marches, je sent ma respiration accélérer et des images m'envahisse l'esprit. Je voie Raqfen planté une lame dans le cœur de Ragnac puis tranché la gorge de Toar. Je le déteste, je m'en veux tellement de lui avoir fait confiance. Je lui en veux autant qu'à Ulfric. C'est un monstre.
Une fois dehors, je demande aux filles d'attendre devant l'entrée l'arrivé des autres membres du groupe. Pendant ce temps je cours rejoindre la foret à l'endroit où j'avais enterré la carte. Là je me met à creusé et la récupère sans difficulté. Je rejoins ensuite les filles où je voie le groupe réuni au complet. Chacun à son sac sur le dos et se tient prêt au départ. En me voyant arrivé, Rizes dit en soupirant. 

— Et bien c'est partie, dit il alors que ses yeux se portent sur l'horizon. Direction le grand sud.

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