La face cachée du monde Part 10

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Face à la question de Jasmine, le jeune homme se sentit extrêmement gêné, il se mit à rougir, il fixa Jasmine de ses yeux ronds et traumatisés. Mais ne pouvant pas supporter de la regarder, il replia rapidement son bras, se tourna d’un quart de tour et toucha de sa main bandée ses cheveux cuivrés. Puis, il se mit à bégayer :


— Mais ça… ça… va pas la tête ! Bien… Bien sûr que non ! C’est Laï… Laïla qui l’a fait ! Sous ma… direction bien sûr ! Mais je… n’ait rien vu… strictement rien vu ! J’ai fermé les yeux et… en plus, j’étais bien trop con…centré à ra…mé ! Ne va pas croire que… c’est parce que je voulais te faire quelque chose… Et que… j’ai demandé à Laïla de t’habiller pour… repulser mes pulsions d’homme dominant… ce n’est vraiment pas mon…mon… genre ! Ou encore pire ! Ne pense pas que… je ne sais pas…que je n’aimais pas te voir comme ça… t’es… très jolie, mais… une femme habillée c’est… beaucoup… mieux… Non ! C’est parce que… je me suis dit que… tu aurais froid ou… que… tu allais attraper froid et franchement… c’était assez humiliant pour toi de te balader à… poile comme ça ! Donc… part respect envers… toi…j’ai…j’ai pensé bien faire, expliqua du mieux qu’il peut le Capitaine.

Sous les dires de Loukïan, Jasmine se mit à rire :

— C’est mignon ! Mais tu les as trouvées ou ces habilles ? redemanda-t-elle.

— Ils… étaient dans… la barque…

Elle était vêtue d’un corset noir avec de la dentelle violette, le côté droit avait une partie qui recouvrait son épaule. Elle avait également un short noir avec des poche blanches et des collant noir lui arrivant jusqu’à ses genoux. Le tout surélevé sur ses fameuses longues bottes de couleurs noirs et violets qui avaient la capacité de la faire voler.

Loukïan lui offrir son dos, afin de fixer l’homme qui les avait sauvés. Mais rapidement, la jeune femme sorti de ses gants une nouvelle fois contre son Capitaine et cette colère était légitime, elle s’approcha de lui et dans un acte de barbarie, elle lui octroya avec la paume de sa main de fer, un violent coup derrière la nuque :

— T’es complétement con ma parole ! ne put que râler Jasmine.

— Aïe ! Non mais tu pourrais frapper avec ta main de chair ! J’ai presque failli verser ! Qu’est-ce qu’il y a encore ? demanda furax Loukïan qui on avait marre de se faire taper par son second.

Le dos de Loukïan demeurait râper depuis le début de sa nuque jusqu’à l’arrêt de son postérieur, tous étaient remplis de sang et sa veste en cuir était déchire à de multiples places, formant des filaments fins à l’horizontale.

— Tu t’es fait ça comment ? rétorqua inquiet Jasmine qui toucha délicatement son dos.

— C’est… lorsqu’on s’est fait emporter dans l’eau, y avait une énorme roche t’as presque failli te la recevoir en plein face alors je te prise par la taille et je me suis retourné d’un coup pour te protéger, la roche étant trop près de moi je les prise en plein dos tu pourrais éviter de toucher, ça fait pas mal mais… je préfère que sa ne s’infecte pas d’avantage s’il te plaît, répondit calmement Loukïan. Je peux parler au Monsieur maintenant ?

— Ça ne fait pas mal, tu dis ? T’es qu’un sale menteur ! Vu la blessure tu dois souffrir le martyre ! Je me demandant même comment tu fais pour te mouvoir, rétorqua d’un quart de tour le second.

L’homme était en train de les regarder se disputer et cela le faisait extrêmement rire, les voir se chamailler comme ça était, le rendait heureux, il les fixait et mangé en même temps une pomme verte.

Arrêtant de ce disputé les deux Voyageurs Du Temps fixèrent alors l’homme âgé d’une quarantaine d’années, il avait un teint bronzé, un début de barbe. Des shlappes pourtant il ne portait qu’un simple boxeur blanc bien trop utiliser, il était rempli par de nombreuses tâches de partout, et même de la moisissure.

Les ricanements de l’homme les avaient énerver pourtant, c’était le seul homme qui avait pu trouver à des kilomètres à la ronde. Alors, ils prirent sur eux et commencèrent à discuter avec cet homme.

— Eh ! Jasm ! souffla Loukïan à sa navigatrice.

— Mmh ? Qu’est-ce qu’il y a ? questionna-t-elle.


Lorsqu’il eut son intention, il murmura :

— J’ai des hallucinations ou au loin il y a un stand ?

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