La face cachée du monde Part 2

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Après cette affirmation, il revenu à lui, il ouvrit ses yeux toujours plongé dans ce paysage paradisiaque, il restait assis les jambes devant sa bouche ouverte, il criait tel un hystérique. Ses hurlements avaient fini par réveiller Jasmine, qui énervée lui renvoya dans un rapide élan, un violent coup de seau derrière la nuque afin de le sortir de ses songes :

— NON MAIS ÇA VA PAS LA TÊTE ? T’ES TARÉ POUR HURLER COMME ÇA LA MORT ? IL TE MANQUE UNE CASE MA PAROLE ! SÉRIEUX ! Y a des réveillés beaucoup plus doux, renvoya furax l’ex-soldat maritime.

Il se toucha l’arrière du crâne, puis souleva son regard afin de la dévisager :

— Ça fait un mal de chien ! T’aurais pu m’énuquer avec ton seau ! D’ailleurs tu le sors d’où ce machin sérieux ? répondit le Capitaine.

— Je peux t’assurer que ça fait beaucoup moins mal que de se faire réveiller part des cris de porc qui agonise ! Et le seau je le sors de mon bras ouais ça te dérange peut-être ? se défendit la nouvelle.

Alors qu’il l’observait toujours, il remarqua que le regard de la jeune femme était meurtri, il senti à ce stade que le moindre faux pas lui serait profondément fatal :

— Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter un tel regard je peux savoir ? demanda-t-il perdu avec un léger soupçon de colère.

— Mais c’est que tu me prends vraiment pour une conne ! Tes hurlements d’oies dès le matin sérieux c’est horrible ! T’as fait un mauvais rêve, ? tenta d’expliqua la jeune femme.

— Mes… hurlements ? Mais tu délire ma vieille ! Les seuls sons qu’il y avait c’était ceux des pas, les cris, le feu et l’en… l’enfant, tu ne l’as pas entendu t’appeler ?

— Mais je vais vraiment finir par ton collé une ma parole ! ça te remettra les idées en place ! s’énerva la femme au teint hâlé en s’avançant d’un pas vers son Capitaine tout en fermant son poing de ferraille.

— Parce que le coup du seau en plein tranche ce n’était pas suffisant ! Ma parole mais t’es une vraie psychopathe ! renchérit Loukïan.

— Visiblement non ! Vu que tu as toujours l’énergie pour jacasser !

— Moi je jacasse ? Non mais c’est la meilleur ça ! Elle m’explose l’arrière du crâne, mais c’est moi le problème.

Elle ne répondit pas, elle se contenta de le snobé de son sombre regard tous en maintenant avec fermeté ses bras en croix. Son regard il le senti jusque dans ses tripes, il pensa aussitôt que la jeune femme à ses côtés était un vrai démon. Pour détendre l’atmosphère, le capitaine sorti à son second :

— Bon c’est sympa de parler broderie mais on est où là ? Au Paradis ? C’est ça on est mort ? questionna Loukïan.

— Non tu serais pas là sinon ! placarda t elle sans aucune état d’âme.

— Sympa ! Je crois que je préférais encore me faire insulté de fifrelin par Laïla, avoua Loukïan.

— Je suis certaine qu’au si irritable soit elle, elle ou moins elle ne crie pas tel une hystérique ! renvoya une nouvelle fois Jasmine.

— On voit que tu ne l’as jamais vu s’affolé en face d’un papillon, marmonna d’une voix grave le Capitaine.

Elle plissa ses yeux et le fixa, il demeurait gêné qu’elle le regard. Lorsqu’elle vu que son Chef cherchait à éviter tout contact visuel avec elle, Jasmine se calma, elle ferma les yeux et baissa la tête :

— Bon ! Sans rancune ? Ce pendant… t’avise plus de me réveiller comme ça ! J’ai cru que j’allais faire une attaque, avoua Jasmine en lui tenant sa main de chair afin de le relever.

— Sans rancune. J’ai les rêves agitaient je ne voulais pas troubler ton sommeil, expliqua le jeune homme en attrapant sa main.

Aussitôt la main de Jasmine en lasser dans la sienne, il senti son corps se soulever.

Sacré poigne la gonzesse ! pensa Loukïan.

Aussitôt remis sur pied, tous deux observaient l’horizon.

— J’ai l’impression qu’on se retrouve sous les flots, renvoya le plus ancien des Voyageurs Du Temps.

— T’as raison, la matière, la sensation et le sable dessous nous s’y prêt, mais si c’était le cas on devrait avoir des bronchites ou moins avoir un masque pour pouvoir respirer du gaz, ajouta Jasmine.


— Bon bah dans ce cas on est mort ! dessapera Loukïan.

— Ne dis pas ça ! Y a forcément une explication rationnelle à tout ça ! rassura Jasmine.

Loukïan entama la marche, sur le sable blanc et chaud. Ils observeraient les alentours autours d’eux, mais hors-mis du sable à perte de vue, un océan sur leur tête aucun être vivant semblait vivre en ses lieux.

— Y a personne ! Même pas un poisson chat, sorti-t-il.

— Normal, vu la gueuler que t’as fait, il a pris ses jambes à son cou, charia Jasmine.

— Dis pas de bêtise ! Il a pas de jambes. souffla Loukïan qui plongea son regard dans le paysage.


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