La face cachée du monde Part 1

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Laïla restait sur le rivage à mirait l’eau qui emporter ses compagnons au loin. Elle se senti impuissante et inutile, cette peur était un handicap pour elle, mais c’était beaucoup plus profond que ça. Elle en trembler d’effroi, lorsqu’elle devait ne serait-ce que mettre ses pieds dans de l’eau salé, elle restait paralysée, dégoûté comme si cette eau allé l’a tué, plus rien n’avait de sens, elle perdait toute sens de logique, c’était une phobie hors norme, qui dépasser l’y entendement. Pourtant, prendre une douche ou un bain n’était pas chose horrible, même elle adorait rester des heures dans sa toilette à se faire toute propre et toute belle pour être aussi parfaite qu’elle le souhaitait, mais lorsqu’elle effleuré de l’eau imprégner de sel, qu’elle voyait des vagues, un océan, c’était fini, elle ne pouvait en aucun cas touché ce liquide répugnant.


C’est pourquoi elle restait toujours à flotter en dessus de la chaloupe de Loukïan ou de n’importe quel moyen de transports maritimes, cela évitait qu’elle reçoive des éclaboussures d’eau, ce qui causerait sans nul doute une forte paralysie qui l’empêcherait d’être à son plus haut potentiel.

Pendant ce temps-là, à l’intérieur de l’océan remplie de bulles d’airs et de multiples espèces de poissons de toute genre. Étaient enlacé dans les bras de Morphée, Loukïan et Jasmine, qui restaient allongé sur du sable blanc. Tous autour d’eux régnait calme et paisibilité.

Ils étaient dans un lieu inimaginable sur la terre actuelle, il y avait de l’eau à perte de vue, de multiple banc de sardines rodaient autours d’eux, certains poissons chirurgiens venaient est repartaient afin de leur picorer le bout du nez. Un paysage aquatique était magnifique il restait dans les tons de couleurs, aquacole, un mélange entre le blanc du sable fin, du vert turquoise et du bleu marine pour les endroits les plus lointaines.

Pourtant dans ce milieu paradisiaque ce fit entendre, des bruits de pas, s’accompagnant de cris stridents et de flashes, des images de flammes ardant qui s’élever jusqu’au nuages s’accompagnant de débris de bois volant ci et là, causé par le cramé. Des fragments de souvenirs se mélangèrent dans ses flammes intenses, des bouts de souvenirs tellement rapides qu’ils venaient et repartaient en une fraction de secondes, avant de remonter ce sublime paysage subaquatique.

Face à ses images sortis tous droits des enfers, Loukïan avait des sueurs froides, il se débattait afin de se sortir de ses flammes, il se contorsionnait. Marmonnait mots énigmatiques. Agripper le sable en dessous de lui, avant de le frappait de son poing avec panache. Les particules de sable s’envolèrent alors de toute part, avant de tournoyaient autour de lui et de tomber en poussière.

— Laiss… Laissez-moi ! Laisse… Laissez-moi ! J’ai ja…mais…ce n’était pas de ma f… souffla tant bien que mal Loukïan dans le but de se défendre.

Loukïan, Loukïan… RÉVEILLE-TOI ! hurla une voix pré-enregistrer d’un enfant, celle-ci finit par raisonner dans tous l’océan.

D’un bon, Loukïan se réveilla accompagné d’un puissant cri. Son regard demeurait effrayé, comme s’il venait d’échapper à la mort. Il tremblait de tous ses membres, tant bien qu’il eût du mal à mettre de la force dans ses phalanges. Sa vue était entièrement floue, il haleté et transpirait comme un fou.

Avec difficulté, il plia son bras gauche afin de frôler de ses doigts tremblants sa cicatrice. Tous en expirant part la bouche, il ferma peu à peu ses yeux noisette. Aussitôt clos, il entendit une voix d’enfant. Cela ne ressemblait en rien au timbre de voix de celui qui le réveiller, non celle-ci était chaleureuse, elle demeurait certes du même âge, mais, elle, elle était amicale, elle ne lui voulait aucun mal.

  • Hey, Loukïan ! Comment tu vas ? questionna la voix.

Des souvenirs part milliers s’embrouilla dans sa mémoire, il vut un jeune enfant le saluer de loin. Hors-mi une petite taille, des habilles de couleurs blanc et brun, des cheveux châtains, il ne parvenait à savoir qui c’était, il demeurait loin de lui et complétement flou. Il essaya alors de s’approchait, il s’avança sur le sable sombre et lourde, ses pas restait encré dans le sol. Lorsqu’il fut près de ce jeune enfant à environ quatre mètres de lui, le paysage changea radicalement, l’enfant en question, n’était plus en face de lui entrain de le salué, mais il grimpait sur une colline à ses flans. Surpris le dompteur de flammes cligna des yeux avant de tourné la tête à sa gauche. Lorsque cela fut fait, il se téléporta à l’ancienne emplacement du jeune enfant.

  • T’as vu ! T’as vu Loukïan comme je suis fort ? Essaye de me rattraper si tu le peux !

Malgré le changement de positionnement si soudain, Il le regardait grimper avec aisance la colline, mais très vite, le paysage s’assombrit en instant. Il devenu noir et blanc, plus aucuns sons émanés de la plage, les vagues qui frapper contre les roches, les paroles de l’enfant qui grimper, la respiration des deux être vivant, le vent qui sifflait dans ses oreilles, tous avaient disparus. Il restait là comme un benêt à regarder autour de lui, lorsque cela ce produit en instant, puis, il se concentra sur l’enfant qui bouger ses lèvres humectées. Mais rien à faire il avait perdu l’ouïe.

L’ambiance devenu encore plus sombre lorsque des bandes blanches apparaissaient devant lui. Des croix se dessinaient sur les yeux de l’enfant. Et ses bandes s’apparentaient à des glitchs, ils entouraient le jeune bambin. Le paysage devenu pesant, compte à l’arrivé d’un autre souvenir beaucoup plus sombre, des tâches de sangs volant ci et là un peu partout, des corps à terre, tous se mélanger dans l’esprit du jeune marin. Si bien, qu’il se mit à paniquer. En une fraction de secondes, ses palpitations cardiaques s’accéléreraient de plus en plus vite, tellement du reste qu’il entendit tambouriner dans ses tympans, un effet purement hallucinatoire provoquer par la sensation de son cœur qui frappé avec rythme contre sa poitrine.

  • Bon sang ! C’est quoi ce bordel ! ça bourdonne trop dans ma tête ! C’est quoi la suite hein ? J’ai déjà la gerbe là ! s’énerva Loukïan qui posait ses mains sur ses oreilles.

Il ferma les yeux, lorsqu’ils les réouvrirent, il se retrouva dans une pièce sombre, le sol était inondé d’eau créant alors une parfaite symétrie, montrant Loukïan dans un parfait reflet sous lui, cette pièce donné l’impression d’être que le sol n’existait pas mais c’était purement un effet optique du aux parois sombres. Et alors que le son n’était toujours pas présent, il senti du vent dans ses oreilles un souffle glacial qui pénétra dans ses tympans. C’est alors qu’il retira doucement ses mains pour voir ou il se trouvait. Il n’eut pas le temps de retirer ses membres que la voix de l’enfant revenu le déranger :

  • T’es qu’un MONSTRE ! renvoya l’enfant qu’il faisait que de le réveillé à mainte et mainte reprise.

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