Chapitre 3

13 minutes de lecture

Point de vue de Molly :

J'ai trop parlé. J'aurais du sourire et faire comme si tout allais bien mais avec ce type c'est sortit tout seul ! Il a l'air rassurant d'une certaine manière.

Je sais pas trop comment mais j'arrive toujours à voir la vraie nature des gens. La plupart des gens du club de mon père ne sont pas vraiment méchant, juste un peu macho. Des personnes vraiment mauvaise j'en ai vu et eux ils sont pas comme ça. 

Viking semble gentil, du genre bourru, qui boit, qui baise et qui mâche pas ses mots, mais gentil... Ou alors je débloque totalement.

J'ai prévu d'aller attendre les petits à l'entrée du lycée, depuis le temps ils doivent en dernière année pour les plus vieux. J'espère qu'il ne vont pas trop m'en vouloir d'être partie. 

_____________

J'attend depuis environ dix minutes. Ici les cours finissent à dix-sept heure car les profs sont payés par l'état, donc comme de la merde, et ne veulent pas s'embêter à cause de "gosses à problèmes". Je stresse un peu de revoir les petits. Ils doivent avoir grandit depuis le temps ! 

Je cherche une tête connue quand deux mains noirs se posent sur mes yeux. 

"Devine qui c'est ? 

- Um... Ton numéro préféré c'est le quatorze, tu a la peau noir et des yeux bleus magnifiques... Tobi ?"

Les mains se retires et je me retourne pour faire face à Tobi. Il a cinq ans de moins que moi et c'est le plus âgé des enfants de l'orphelinat... des réguliers, ceux qui reviennent à chaque fois. Certains enfant sont vendu au gang de Sanchez et on ne les revois plus jamais. Entre réguliers on se soutient, mais les autres on n'essaye pas de s'attacher. De toute manière ils ne restaient que quelques semaines tout au plus. 

L'orphelinat gardait "les plus beau" pour faire bonne figure face aux inspecteurs. Ils gardaient surtout les "plus dociles", les "plus silencieux", ce qui ne risquaient pas de les dénoncer à qui que ce soit. Si on se taisait, on allait à l'école, on pouvait sortir et sortir de cet enfer la journée. 

Je n'ai jamais entendu aucun enfant rire dans cet endroit. 

" T'es revenue ? Je pensais que tu allais t'enfuir loin et ne plus te retourner ! Moi c'est ce que j'aurais fait !

- Ça n'aurait pas été juste. Si je peux vous aider, alors je vais le faire. Vous êtes ma famille et j'ai trop longtemps laissé ça de côté. 

- Tu n'apprendra jamais la nouvelle ! Le bruit cours que Sanchez est mort ! 

- Sérieusement ? La dernière fois il était juste en prison tu le sais ! 

- Aucun nouveau n'est repartit depuis plusieurs semaines. L'orphelinat est même obligé de refuser du monde ! 

- Je ne sais pas si c'est une bonne nouvelle Tobi. 

- Pour le moment tout le monde va bien. C'est ça qui compte. 

- Tu as raison. Et maintenant que les affaires de Sanchez sont mise en pause, je vais pouvoir en discuter avec un agent de police sans craindre les représailles. Je vais d'abord attendre quelques mois et il va me falloir des preuves. 

- J'aurais qu'à voler une des vidéos du surveillant Truman. Ça devrait suffire tu pense ? 

- Largement. Mais attention, dans quelques-mois seulement. Ne te met pas en danger en te précipitant ! 

- Promit ! Sinon racontes-moi ce qui se passe dans ta vie en attendant les autres !"

Je lui raconte ma vie à Saint-louis, la raison pour laquelle je suis revenue à L.A. 

"T'as de la chance. Moi j'adorerais avoir des parents qui attendent de me connaître. 

- J'aurais vraiment de la chance si mon père n'étais pas Biker. Je te rappelle que la plupart des MC sont des ennemis de Sanchez et ceux qui sont ses alliés sont à fond dans leurs truc de trafique d'enfant. S'ils apprennent quelle genre de famille m'a accueillit, je ne sais pas ce qu'il risque de se passer. 

- Tant qu'il ne savent pas tout va bien ! Et puis si ton père t'aime vraiment, il comprendra. Au pire tu déménage de l'autre côté de l'océan comme prévu dans le plan de secours après sortie de l'orphelinat ! 

- Tu as raison. Les autres sortent dans longtemps ? 

- Dans dix minutes normalement. J'ai le temps de te raconter les dernières catastrophes de monsieur Smith."

Nous discutons encore une dizaine de minutes et trois autres enfants nous rejoignent. Lola, Amy et Sayed. Ils ont tous les trois quinze ans cette année et n'ont pas changé d'un pouce mis à part quelques centimètres. Sayed à toujours son physique Asiatique pur-souche prononcé, Lola a toujours ses magnifiques cheveux roux et Amy à toujours son petit air Amérindiens. J'avais dit que pour choisir les prénoms ils tiraient au sort dans une chaussette à l'orphelinat ? 

Ils me sautent dessus et je regardent leurs visages. Une marque Jaunâtre se trouve sur la joue de Sayed et les deux autres portent des manches longue, ce qu'il ne faisaient pas avant. Je soupire en voyant ça. Je pense que je vais devoir sortir la trousse de secours plus rapidement que prévu. 

Nous passons récupérer les cinq autre au collège et direction la librairie du vieux Jacky. Ils nous accueille avec des chocolats chaud et les enfants s'installent pour faire leurs devoirs. Alors que je nettoie les tasses, le vieux Jacky me demande :

" Ils sont comme toi pas vrai ? J'ai vu le bleu sur la joue de Sayed et les manches longues des autres ne trompent pas."

Il est trop intelligent. Je soupire et répond : 

"Oui, n'interviens pas ça ne t'apporteras que des problèmes. J'irai voir la police dans quelques mois quand je serais bien installée et que j'aurais des preuves à leurs fournir. 

- J'ai entendu dire que les types de Sanchez étaient en prison pour la plupart ou mort pour d'autres. Tu n'a rien à craindre maintenant, tu n'as plus à te cacher. 

- Jacky, mon père est Biker et tu sais que traîner dans les magouilles de Sanchez fait d'eux mes ennemis. Je ne suis pas prête de sortir de ma cachette maintenant. 

- C'est une histoire bien compliquée... Je ne dirais rien, mais tu auras toujours une chambre qui t'attend chez moi si besoins. 

- Merci Jacky. 

- Et si c'est Biker te font chier compte sur moi pour leurs faire la misère ! J'ai été militaire alors autant que ça serve boudiou ! 

- Ceux qui sont devant la librairie seraient capable de te casser en deux avec le petit doigt ! Tes années dans l'armée n'y changeront rien ! Je ris. 

- Et alors ? J'étais démineur ! Je fais sauter leurs baraque et on n'en parle plus ! "

Note pour plus tard : ne pas mettre le vieux Jacky en contacte avec aucune forme de truc capable d'exploser....Micro-onde comprit. 

"Tu ne vas pas les faire entrer ? 

- Je ne veux pas effrayer les enfants. S'ils veulent entrer, qu'ils le fasse mais je ne les inviterais pas quand les petits sont là. 

- C'est toi qui vois !"

Et Jacky repart vers le comptoir. J'aide les petits pour leurs devoirs et nous repartons pour l'orphelinat ou je les dépose à dix-neuf heures pile. Les vielles habitudes ont la vie dure. 

___________________________________

Point de vue de Viking.

Elle nous a baladé jusqu'à un lycée, puis un collège, puis retour à la librairie. Elle a fait de l'aide au devoirs jusqu'au soir et ils sont tous partis vers l'orphelinat du coins pour arriver à dix-neuf heures pile. Elle est réglée comme une horloge cette meuf. 

Au moins maintenant j'ai le nom de son orphelinat. 

Je rentre au club-house une fois qu'elle est chez elle et laisse le prospect pour la surveiller au cas où. Le VP m'accueille avec sa tronche de "alors qu'est-ce que t'as trouvé ?". 

"Le nom de son orphelinat. Sans plus. Elle est allée chercher des gosses à la sortie des cours et elle les a ramené là-bas à dix-neuf heures piles. 

- J'ai demandé à mon père et il m'a dit qu'il avait toute confiance en elle. Apparemment il l'a connaît de quand elle était gosse. 

- Tu lui a dit comme quoi c'était sa petite-fille ? 

- Non pas encore. Je sais qu'elle pourrait très bien être ma fille, mais sa vie est trop propre alors je préfère tirer toute cette histoire au clair avant de lui faire des fausses-joies. 

- Mais tu aimerais bien qu'elle le soit vraiment et tu étais prêt à y croire jusqu'à ce que je te parle de ses emmerdes mystères. 

- Le fait qu'elle soit déjà proche de mon père avant de me rencontrer officiellement est bizarre et une coïncidence dans le milieu c'est aussi vrai que la troisième couille de Cat. 

- Il a vraiment une troisième couille ? C'est pas une blague ? 

- Toutes les brebis peuvent te dire que non. Et pourtant on se demande parfois où il va chercher toute sa testostérone ! 

- Je pige rien à ce que tu dis. 

- Ça se vois que t'a pas écouté en cours quand t'étais gosse. La Biologie ça sert à quelque chose tu sais ? 

- Mes profs étaient stone la plupart du temps ou carrément pas la. Tu voulais que j'écoutes quoi ? Bon c'est pas tout ça mais j'ai une bonne trique depuis un moment donc je vais me vider un bon coup. Besoin d'autre chose ? 

- Le nom de l'orphelinat. 

- Carlo Hernandez Orphenage."

Il reste figé comme une statue en entendant ça. J'ai loupé quelque-chose. 

" Tu sais que Carlo Hernandez c'est l'oncle de Carlo Sanchez qui s'est occupé du trafique de gosse pendant une bonne partie de sa vie ? C'est un énorme salopard selon des Dead Ravens d'ici. 

- Il y a pas un personnage historique qui porte ce nom ? 

- Pas que je sache. 

- Oh bah merde. 

- Malware ! Trouves tout ce que tu peux sur l'orphelinat Carlo Hernandez !

- Attend... Cet orphelinat ? Pourquoi vous voudriez des infos sur ces gars-là ? Demande... Comment il s'appelle déjà ? Et en plus il sort d'où ? 

- Je suis Gun, le prospect qui est arrivé il y a six mois si tu demande. Répond-il à ma question silencieuse. 

- Tu connais cet orphelinat petit ? Demande le VP. 

- J'ai dix-neuf ans, je suis pas un gosse et oui, je connaît. J'y ai grandit.

- Et c'est comment ? 

- Tu veux que je te parle de l'image qu'ils donnent où de l'option trafique de gosse qu'ils proposaient à Carlo Sanchez jusque-là ?"

Attendez... Quoi ? Ils font quoi aux gosses ? 

"Tu vas me raconter tout ce que tu sais petit, dans les moindres détails.

- Je pensais qu'il avait été fermé après que Sanchez ait été buté mais apparemment non. Ils doivent chercher un autre client à qui vendre les gosses. 

- Ok petit, commence par le début. 

- D'accord mais ça va pas vous plaire.

- Hey près' ! Je crie. 

- Quoi ?

- Apparement un des commerces de Sanchez tourne toujours !

- Racontes-moi ça un coup ? Dit-il en s'approchant. 

- Apparemment l'orphelinat dans lequel a été ma fille tourne dans le proxénétisme et la vente de mineurs. Dit le VP. 

- MESSE TOUT LE MONDE !!"

Et nous entrons dans La Chapelle dans le sous-sol du bâtiment. Le président frappe du marteau et tous les regards sont tournés vers le prospect qui flippe grave. 

"Bon petit, explique-nous ce bordel avec Carlo Sanchez. 

- J'ai grandit à l'orphelinat Hernandez comme pas mal de gosses. Ça à l'air d'être un endroit sympa mais pas du tout, une partie des enfants sont vendus et les autres restent pour faire bonne figure.

- Et ils deviennent quoi les gosses ? 

- Personne ne sait à part la directrice. Les adultes s'en foutent tant qu'ils sont payés et qu'ils peuvent se défouler sur ceux qui restent. 

- Et ils leurs arrive quoi à ceux qui restent ? 

- Pas grand chose s'ils restent sage. Après ça n'empêche pas les surveillant de frapper quand ils ont envie de le faire. Ensuite ça dépend des familles d'accueille. 

- Développe. Ordonne le VP. 

- Moi par exemple, il me forçaient à dealer de la drogue. Pour d'autres c'était dans le montage d'armes, les comptes ou simplement comme esclaves temporaires avec quelques avantages. On revenait après quelques semaines puis on recommençait. Si on est sage on peut aller à l'école et on a interdiction de revenir avant dix-neuf heures. On n'a pas le droit d'arriver une minute plus tard non plus. "

D'où le fait que la miss Squirrel soit réglée comme une horloge. Par contre le prospect semble avoir "oublié" de dire quelque-chose. J'espère pour lui que c'est pas important.

"Tu connais une certaine Molly ? Demande enfin le VP.

- Molly...Molly... Ah mais oui ! Cinq ! 

- Cinq ? Demande le près'. 

- Les surveillants avaient la flemme d'apprendre nos prénoms alors ils nous donnaient des numéro. Moi j'étais le numéro douze."

De mieux en mieux. 

"Ils vous ont fait du mal ? Demande un des frères."

Le prospect remonte une de ses manches et on peut voir beaucoup de coupures et de brûlures. 

"Et c'est rien comparé au dos. Pour cinq c'était pareil en pire. Apparement sa mère avait expressément demander à la faire souffrir. Elle a apprit à être aussi discrète qu'une ombre pour éviter de se faire "houspiller" comme dit la directrice."

Un long silence prend la pièce. Le VP se lève d'un coup et hurle. 

" Je vais buter cette putain de salope ! Je vais la buter ! Elle m'a caché ma fille et elle l'a confié à des salopards ! Je vais la buter ! "

J'ai pas envie d'être à la place de la meuf dont le VP parles. 

"Calmes-toi tout de suite Jump. On ne touche pas aux femmes. 

- Alors qui va venger ma fille ? hein !!! Je doute que ta régulière ait le goût du sang près'! 

- Quand il s'agit de Sanchez, les Dead Ravens ont de la ressource en terme de régulière qui veut tuer du monde. Paraît-il que l'une d'elle est totalement dingue ! Pour le moment, tu vas te calmer et on va gérer cette histoire en douceur. 

- On va buter tous les mecs qui lui ont fait du mal ? 

- Entre autre. Mais il faut faire ça bien. 

- Si vous voulez ils ont la liste précise des clients dans le bureau de la directrice. Dit le Prospect. 

- Enfin une bonne nouvelle ! Malware, je veux le max d'info sur l'endroit d'ici ce soir. 

- OK près'. 

- Quelqu'un à quelque-chose d'autre à rajouter ? 

- Je suis obligé de rester de surveillance ? Je demande. 

- Au vu des emmerdes de la petite de Jump, c'est mieux."

Je soupire... J'aurais au moins essayé. Je déteste le baby-sitting. Le président frappe du marteau et je vais me coucher dans ma piaule. Demain je vais encore devoir me lever tôt. 

________________________

Six heures du mat' putain ! Le prospect m'a appelé à six heures du matin pour me dire qu'elle était déjà sortie ! Elle va foutre quoi à cette heure-là ! Il l'a suivit jusqu'à l'orphelinat et apparemment c'était juste pour récupérer les gosses... Quel bordel.. L'autre prospect aurait pu nous dire qu'ils étaient foutu dehors aussi tôt ! Fait chier !

Du coup me voilà comme un con à l'attendre devant l'appartement alors qu'il fait un froid de canard ! On est en plein hiver et même s'il fait rarement froid à L.A, on est en plein hiver merde !

Elle descend sans les gosses vers six-heures trente et viens me voir directe. Elle a vraiment pas froid aux yeux cette nana. 

"Entre, il fait plutôt frais le matin même si ça se réchauffe pas mal en journée."

Je me fais pas prier et j'entre dans le minuscule deux pièces. Enfin c'est petit pour accueillir huit gamins et deux adultes. Il y en a trois qui dorment dans la chambre, deux sur le canapé et le plus âgé en train de boire un café sur une chaise. 

" Ils ont pas voulu me laisser tranquille ? 

- Non mais en même temps, vu ce qu'on a apprit sur ton orphelinat on allait pas te laisser sans surveillance. 

- Et vous avez apprit quoi de si contrariant ? Demande-t-elle l'air de rien. 

- Carlo Sanchez ?"

Le gosse recrache son café et Squirrel devient blanche. 

"Qui t'as dit ça ? 

- Un type qui s'appelle douze ? Il m'a pas donné son prénom. 

- Ce petit couillon est devenu Biker ?! Mais quel con merde ! Il veut crever c'est pas possible ! S'énerve-t-elle. 

- Il est que prospect pour le moment. 

- Mais j'en ai rien à foutre de son rôle merde ! Tu sais combien de club de Biker pas nets ont travaillé avec Sanchez ?! Et tous les autres détestent ceux qui sont lié avec cet enfoiré de prêt ou de loin ! Il se met en danger rien qu'en restant à moins d'un mètre de vous !"

Ok.. Je sais pas ce qu'on lui a raconté comme truc, mais ça va loin. 

"Déjà calmes-toi. On ne touche pas aux gosses. 

- Il a dix-neuf ans. Me coupe-t-elle. 

- Et on a aucunes raison de vous tuer. 

- Qu'est-ce que me ferait croire que vous étiez pas de ses alliés ? 

- On fait pas dans le trafique de gosses. 

- Mais le reste ça vous dérange pas ?! 

- C'est pas ce que j'ai dit. 

- Vous êtes du 1%. C'est pas compliqué de savoir de quel bois vous êtes fait. Vous me paraissez gentils pour des bikers, mais ça n'empêche pas de faire des choses immondes. "

L'écureuil est en colère. Je vais devoir la jouer fine si je veux pas qu'elle pique une crise. 

"Sortez s'il-vous-plaît. Dit le gosse. 

- Tobi, ne te mêle pas de ça. 

- Je veux qu'il sorte. Tu sais ce que les Bikers m'ont fait. Je veux qu'il s'en aille. 

- OK, je m'en vais pour le moment, mais tu vas devoir causer à ton père. Je dis. 

- De toute manière je dois coller une beigne à douze pour avoir joué au cons. On se reverra bien assez vite."

Elle me fout à la porte et j'appelle le VP. 

"Allo Jump ? 

- Ouais ! Un problème avec Molly ? 

- Apparemment ta chère fille a les bikers en horreur. 

- Qu'est-ce que t'as foutu ? 

- Rien du tout. Elle se méfiait du club depuis le début et je crois qu'un des gosses avec qui elle traîne en est la cause. 

- Reviens au Club, tu m'en parlera de vive voix une fois là-bas. 

- Et la surveillance ? 

- Un prospecte vas-te rejoindre d'ici cinq minutes. 

- OK à tout de suite."

Je raccroche et soupire. Cette fille va me rendre fou. Mais qu'est-ce qui a bien pu arriver à ces gosses pour qu'ils partent au quart de tour comme ça ? 

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