Chapitre 11 - Elle est douée, n'est ce pas ?

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En sonnant à sa porte, je fus accueilli par une femme très grande, habillée en soubrette avec un gros chignon sur la tête. Celle-ci me dévisagea.

- Mon Maître ne souhaite recevoir aucune visite.

Elle n'eut pas le temps de m'adresser la parole, qu'Elsa se mit entre nous. Cravache à la main, elle posa le bout sur la joue de sa "domestique".

- Au pied ! Cendrillon ! s'exclama Elsa, dans un ton grave.

Celle-ci s'aplatit aussitôt devant les bottines d'Elsa.

- A quatre pattes, tes fesses vers nous ! ordonna Elsa.

Celle-ci s’exécuta dans la minute, en se mettant à quatre pattes.

- Oui maître ! soupira-t-elle.

Sa robe lui arrivait au ras des fesses, les couvrant à peine. Je pouvais distinguer des jarretières qui soutenaient ses bas en résille et une partie de sa vulve.

En scrutant Elsa de la tête au pied, je vis qu’elle portait une chemise noire qui avalait ses formes et un pantalon tailleur qui lui donnait une allure masculine.

- Je dérange peut-être ? lui dis-je, gêné.

- Mais non ! Qu’est ce qui t 'amène ici Frost ? me demanda-t-elle curieuse.

Je me mis à rougir devant la soubrette au milieu de son studio. Elsa le vit et vint s'asseoir sur elle, en croisant les jambes.

- Vilaine Cendrillon ! Mais que vais-je faire de toi ? fit-elle, en caressant le vagin de cendrillon avec sa cravache.

Je l'entendis, gémir de plaisir.

- Elle a besoin d’être punie ! dit-elle, avec un sourire.

Je déglutis en connaissant Elsa. Puis elle souleva la jupe de Cendrillon, me montrant ses fesses rougis par les coups de cravache et sa vulve trempée, dégoulinante de mouille.

- Frost, pénètre-la ! m’ordonna-t-elle avec un sourire en coin.

Je restai tétanisé d’excitation et d’embarras par ce que j’entendis, n’en croyant pas mes oreilles.

- Pantoufles ! s’écria Cendrillon, avant de se relever.

- Désolé ma chérie ! Mais il me touche ! Je lui pète les bras ! me menaça-t-elle.

Je me raidis en entendant ses menaces.

- T'es sûre ? Juste un petit peu ? supplia Elsa, tout excitée.

- Je vous laisse ! A la prochaine ma chérie ! dit-elle en remettant son long manteau.

Puis elle partit en nous laissant seul.

- Je suis désolé, lui répétais-je gêné.

- Je commençais à en avoir marre ! me dit-elle, en rangeant les sex-toys qui traînaient sur son lit.

Je m’assis en attendant qu’elle termine.

- Elsa ! Tu penses que je peux rester dormir chez toi ? J'ai oublié mes clés chez Raiponce. Et je ne veux pas y retourner pour le moment, lui expliquai-je, intimidé.

- Bien sûr, me dit-elle, en déboutonnant sa chemise et en retirant son pantalon.

Ce fut la première fois que je la vis en sous-vêtements. Elle desserra les bandages qui maintenaient sa poitrine, avant d'enfiler son fameux kimono vert. Puis elle vint s’asseoir en face de moi. En dézippant mon blouson, elle vit mon torse nu et comprit, tout de suite.

- Laisse-moi deviner ! Tu étais en train de te taper Raiponce quand son copain
s’est pointé en douce ? me demanda-t-elle, pleins d’excitation.

- On était sur le point de le faire, mais j'ai préféré partir. Je ne voulais pas qu’elle se réveille dans mes bras, pleine de regrets ! Comme je l’avais fait ici, lui avouai-je, confus et triste.

- Tu es déprimant Frost ! Mais tu te fais désirer c’est bien ! me dit-elle souriante.

- Tu crois ? Je suis complètement largué !

- Au fait ! Tu ne m’as jamais donné les raisons de votre rupture ! me demanda-t-elle intriguée.

- Raiponce aimait sortir en boîte, avec ses copines Mérida et Astrid, en sommes. Et moi ! Je ne supportais pas de la savoir seule ! Livrée à elle-même parmi tous ces mecs !

- Jusqu'au jour où je l’ai suivi et que je lui ai fait une scène, avant de me battre avec un type qui la collait trop ! Ce type, s’avérait être un ancien ami de sa fac d’art. Elle a réussi à le convaincre de ne pas porter plainte, et après ça… Elle a rompu avec moi, lui racontais je honteusement.

- Je n’arrête pas de me demander, ce qui se serait passé si j’étais resté à la maison, lui avouai-je, torturé

- Je te voyais plutôt comme ça, jaloux et fusionnel en amour, m’expliqua-t-elle, en m’analysant.

- Tu restes tout le week-end, je présume ? me demanda-t-elle, en pianotant sur son téléphone avec une idée derrière la tête.

- Euh oui, lui répondis-je, avec hésitation.

- Je compte sur toi Frost ! me confirma-t-elle, de nouveau.

- Je viens d’annuler tous mes rendez-vous, m’assura-t-elle, avec un sourire diabolique.

- Et comment tu les as dégagé ? lui demandai-je sarcastique

- Je leur ai dit que j’avais choppé une MST, me répondit-elle, spontanément

- Quooooi ??? Hallucinais-je.
- T’as raison, je me protège avec les autres. Je vais dire que j’ai un problème familial, point, affirma-t-elle, en pleine réflexion.

Elsa m'étonnera toujours.

- Mais Frost ! Sache que ta semence m’appartient ! me déclara-t-elle le regard avide.

- Ok ! Je vais faire comme si je n’avais rien entendu ! Bonne nuit Elsa ! lui lançai -je, choqué.

- Repose toi bien ! me dit-elle avec un sourire en coin.

"Quoi tout simplement ?" me dis-je, en me couchant inquiet. Cela m’étonnait d’Elsa qui avait l'habitude de me violer pendant mon sommeil.

Le lendemain, nous avions rendez-vous avec une amie d'Elsa. En sortant de mes pensées, je m'aperçus que nous étions devant l'un des plus grands palaces de la ville, le Grand Hôtel.

- Tu ne penses pas que je devrais aller m'acheter un pull ou un T-shirt au moins, lui fis-je remarquer, complètement paniqué.

- Ce ne sera pas nécessaire, me répondit-elle, avec un sourire en coin.

Le Hall de l'Hôtel était tout aussi impressionnant que son lustre en cristal. Celui-ci éclairait l’entrée ainsi que ses cinq mètres de plafond. Une nuit ici devait coûter au moins un mois de salaire, voire plus. Je n'eus pas le temps de me retourner que j'aperçus Elsa à l'accueil. J'accourus, l'attrapant discrètement par le bras pendant que le réceptionniste avait le dos tourné.

- Partons d’ici pendant que monsieur est occupé, lui chuchotai-je

- Mais qu’est-ce que tu racontes ? me répondit-elle. Celui-ci revint avec les clés de la chambre.

- Suite 304, au 3ème étage, nous dit-il en nous remettant les clés de notre suite.
Puis il appela un groom qui nous conduisit jusqu'à la chambre.

- Elsa, je ne pourrais pas te rembourser tout de suite, lui avouai-je, confus

- Ne t'en fais pas, me dit-elle.

En y réfléchissant, il est vrai qu'Elsa avait plus d'ancienneté que moi. Elle, qui porte le pôle graphique toute seule, devait bien gagner sa vie. Sans parler de son studio, qui n'était pas extraordinaire, pour une cadre comme elle et qu'elle n'avait ni enfants, ni mari.

Arrivé devant la chambre, nous fûmes accueillis par une femme du même âge qu'Elsa, aux cheveux dorés.

Elle nous reçut autour d'un verre, nous dévoilant une suite luxueuse, avec une partie séjour et une partie chambre qui était fermé.

- Je suis Ariel ! Et toi tu dois être Jack Frost, n'est-ce pas ? me dit-elle, en se rapprochant de moi.

Je ne pus m'empêcher de lorgner sa grosse poitrine qui s'offrait à moi, dans son petit déshabillé violet qui lui arrivait au ras des fesses, cachant à peine ses jarretières.

- Heuu …Oui… lui répondis-je, en bégayant comme un enfant intimidé.

Elle avait quelque chose dans son regard et dans le ton de sa voix qui m'attiraient chez elle, je ne pouvais dire quoi.

- La couleur te va ? lui demanda t-elle en lui montrant sa chevelure

- C’est parfait !

Puis Elsa lui remit une enveloppe que celle-ci ouvrit, comptant la somme devant nous sans aucune gêne.

- Comme d'habitude, le petit bonus à la fin ! Comment ont été les recherches ? lui demanda-t-elle, avec un sourire en coin.

- Plus simple que la dernière fois, heureusement que c'est une accro des réseaux sociaux, lui répondit-elle.

J'avalai de travers, comprenant qui elle était vraiment.

Puis celle-ci partit se préparer dans la chambre.

- Elsa, je sais que tu gagnes beaucoup plus que moi ! Mais quand même ! lui dis-je.

- T'en fais pas Frost ! Vois ça comme un cadeau d'anniversaire ! me susurra-t-elle à l'oreille.

- T'en penses quoi d'elle ? me demanda-t-elle, le regard avide.

- Je ne sais pas, je ... la trouve plutôt jolie, lui balbutiai-je, en rougissant.

- Elle te plait donc ! se réjouit-elle.

- Je ne comprends pas où tu veux en venir ? Tu ne veux plus qu'on couche ensemble ? Dans ce cas, il fallait juste me le dire !

Celle-ci me pinça le bout du nez, avant de se lever du canapé et de retirer ses vêtements, me dévoilant un ensemble en dentelle. Je ne la quittais plus des yeux, la trouvant magnifique dans cette lingerie. Elsa retira mon blouson puis me traina jusque dans la partie chambre où Ariel nous attendais sur le lit.

Ariel, dans une nuisette violette, soutenue par des petits rubans, s'était fait deux couettes avec ses cheveux dorés.

J'étais en plein admiration devant elle.

- Je me sens si gênée ! nous fit-elle, en se couvrant le visage

- Tu es... magnifique, lui dis-je, mon cœur battant la chamade.

Je sentis le regard avide d'Elsa qui la déshabillait du regard.

- Mignonne hein ? J’ai envie de lui faire plein de cochonneries pas toi ? me murmura-t-elle, à l’oreille.

- Lâche toi Frost, je l’ai payé pour ça ! Fourre-la autant que tu veux ! Mais tu te vide en moi ! m’indiqua-t-elle, en me remettant des préservatifs.

Son souffle chaud, le long de ma nuque fit monter mon excitation.
Elsa se rapprocha d'elle, telle une prédatrice. Elle se plaça derrière elle, lui rabattant les cheveux sur les côtés. Tout en suçant son cou, Elsa me lança son fameux regard avide qui m'excitait tant. Ariel se mit à gémir d'une voix aigüe pendant qu’Elsa pétrissait sa poitrine généreuse, effleurant ses mamelons avant de dénouer sa nuisette. Je les contemplais, toutes les deux aussi splendide l'une que l’autre, tétanisé par le désir et la surprise.

Elsa descendit plus bas, enfonçant ses doigts en Ariel, la faisant gémir et se tordre de plaisir, trempant ses doigts

- Regarde-moi ça ! me dit-elle, en me montrant ses doigts visqueux.

Elsa retira sa culotte violette puis écarta les jambes d’Ariel, me dévoilant sa vulve prête à m’accueillir.

Dévoré par le désir, j'enfilai un préservatif avant de la pénétrer frénétiquement, la faisant cambrer de plaisirs. Ses cris, sa gestuelle me perturbaient énormément. Je ne pus m’empêcher de savourer cette vision d'Ariel qui se délectait de mes coups de reins. Ses gros seins et sa tête rebondissaient sur les cuisses d'Elsa. J'aperçus son regard avide qui n’en perdit pas une miette.

Emoustillée, Elsa se caressa les seins, transpirante de désirs, la voir dans cet état, attisait ma faim. Je me redressai, attrapant Elsa par le haut de sa lingerie, la tirant vers moi. Dévorant sa poitrine blanche aux mamelons foncés, je la contemplais prendre du plaisir avec la bouche d 'Ariel. Celle-ci avala goulûment sa vulve trempée, en y enfonçant deux doigts.

Tremblante de désirs, Elsa lapait ma langue, laissant nos baves jaillir de nos bouches. Entre Ariel qui était si étroite et cette vision d'Elsa, qui se cambrait de plaisir, la bave aux lèvres, je me vidai dans le préservatif.

- A mon tour ! me lança Elsa, plus avide que jamais.

Elsa me jeta sur le lit et retira le préservatif pour goûter les résidus de semences qui restait sur ma verge. Sautillant sur moi comme une hystérique, elle me lança son sublime regard, remplis de vices qui me fascinait tant. Ariel se plaça derrière elle, lui attrapant les seins et le clitoris.

Sentant ses parois se rétracter, je la pris par les fesses, l'aidant à bouger plus vite jusqu'à ce qu'Ariel la poussa contre moi. Celle-ci sortit un godmiché puis sodomisa Elsa. Elle se redressa d'un coup, en hurlant de plaisirs dans des tons grave. Nous accélérâmes le rythme, la rendant folle de désirs, la faisant basculer dans tout les sens. Tout en la sodomisant, Ariel lui caressait le clitoris jusqu'à ce qu'elle jouisse intensément. Le visage rougit de plaisirs, elle s'écroula à côté de moi, enivrée par l'endorphine.

Je me relevai en reprenant mon souffle, dégoulinant de transpiration.

- Et toi ? demandai-je à Ariel, en essuyant ma sueur.

- Moi ? que comptes tu me faire ? m'interrogea-t-elle, dans une petite voix douce et innocente.

Ses paroles réveillèrent chaque millimètre de mon corps. Etaient ce les hormones ? ou la fatigue ? ou son jeu d'actrice ? Mais j'eus l'impression pendant, ne serait-ce qu'une fraction de seconde de voir ma Raiponce.

Je me rapprochai d'elle puis l'embrassais tendrement, la serrant fort contre moi. Fermant les yeux, je me persuadais que c'était bien elle. Ses cheveux sentant aussi la camomille et le miel, je savourais avec gourmandise, sa grosse poitrine qu'elle m'offrit. Ariel déroula un préservatif sur ma verge avant de s'embrocher sur moi. Prenant appui sur mes épaules pour s'enfoncer, plus loin et plus fortement. Je plongeais mes doigts dans ses fesses, l'aidant à aller plus vite, faisant grincer le lit. Le souffle haletant, le visage trempait de sueur, je me perdis dans son regard vert, avant de lui mordre le cou.

- Je vais jouir Jacky ! Ne t'arrête pas ! s'écria-t-elle dans une voix aigüe et mielleuse. Elsa avait vraiment poussé le vice jusqu'au bout.

J'accélérai le rythme, faisant entrechoquer bruyamment sa grosse poitrine, jusqu'à ce qu'elle s'écroula sur le lit épuisée et vidée.

Mon cœur battit à tout rompre, persuadé que c'était bien elle. Elsa qui se repaissait de nos ébats, s'en lécha les babines. Elle se releva, posant sa tête sur mon épaule, sa poitrine en sueurs contre mon dos.

- Elle est douée, n'est-ce pas ? me dit-elle en croisant mon regard remplit de tristesse.

Je lui répondis avec mon plus beau sourire de façade. Elsa enfila son kimono vert pendant que je remis mon boxer, avant de la rejoindre dans la partie séjour. Le service de chambre avait déposé un chariot remplit de fruits de mer, avec plein de coquillage et de petits crustacés, qui était innommable pour moi. Elsa me tendit une huître, le seul coquillage que je connaissais.

- Non merci ! même ta mouille a meilleur goût, lui lançai-je, dégoûté

- Tu ne sais pas ce que tu râtes ! En plus c'est bourré de protéine ! me dit-elle, en gobant ce mollusque.

- Et comment je suis censé manger ce truc ? lui demandai-je, en faisant le con avec un homard.

Elsa éclata de rire, d'un rire sincère et chaleureux.

- On ne devrait pas l'appeler ? lui dis-je, avec un sourire en coin.

- Ariel adore rester des heures sous la douche, me révéla-t-elle, en ricanant.

- Je vois, lançai je, avec pleins d'idées en tête.

- Comment tu l'as connu ? Une escorte caméléon comme elle, c'est peu commun ! remarquai-je bluffé.

- Je l'ai rencontré dans la rue, je devais avoir à peu près ton âge ! Je me souviens que c'était la seule personne à m'avoir tendu la main. Mais tu aurais dû la voir sur scène, elle était si talentueuse, me confia-t-elle fascinée.

- Mais comment elle s'est retrouvée ici ? lui demandai-je, étonné.

- Comme la plupart des jeunes actrices qui montent à la capitale espérant trouver gloire et argent ! Sauf qu'Ariel était trop vieille et trop pulpeuse pour l'industrie du cinéma. Et qu'à force de graisser des pâtes, elle s'est découvert une nouvelle vocation, s’exprima -t-elle, en souriant.

Je l'observais silencieusement, m’imaginant à peu près dans quelles circonstances elles se seraient rencontrées.

- Emmerde - la avec, me dit-elle en me passant le homard, avec un sourire en coin.

D'un regard, nous nous mîmes d'accord, je lui souris en retour près à faire une farce.

En allant dans la partie chambre, j’aperçus Ariel sous la douche. Subjugué, je restais planté-là, ne pouvant détacher mon regard de ses courbes voluptueuses. Elsa passa devant moi, en se mettant nue avant de la rejoindre. Elle ne put s'empêcher de la prendre dans ses bras et de lui mordre les fesses.
Je dévorais du regard leurs corps nus et leurs poitrines qui s'entrechoquaient, ruisselantes sous le jet d'eau. Lorsqu’elles m'invitèrent à les rejoindre sous cette douche à l'italienne qui était assez grande pour qu'on tienne à trois.

En les rejoignant, elles se mirent à me lécher, me durcissant davantage. Je me régalais, de les voir s'embrasser langoureusement sur ma verge. La sensation et la vision de leur langue se chevauchant sur moi, me procuraient un plaisir indescriptible. Je lâchai des râles de plaisirs ne pouvant me contenir plus longtemps, me vidant sur elles. Celle-ci continuèrent de s'embrasser échangeant mon sperme avec leur langue, un pur délice.

Plus tard, je me décomposai sur le canapé, totalement vidé. Lorsqu' Elsa me fit gober une huitre de force, sentant le mollusque glisser le long de ma trachée, je me redressai écœuré.

- Tu veux me tuer ? On dirait de la morve ton truc !

- Il faut que tu prennes des forces ! me lança-t-elle, avec un autre coquillage à la main.

Quand Ariel arriva dans sa robe de chambre, elle lui tendit l'huître qu'elle goba goulûment, sous le regard affectueux d'Elsa.

Levant les yeux au ciel, je raclai ma gorge, agacé. Je m'avançai dépité, vers le chariot, en me rabattant sur une pomme. Lorsque je sentis une main, me pincer les fesses. Je me retournai, brusquement la pomme toujours entre les dents. Surpris de voir Ariel qui me reluquait de la tête aux pieds.

- Dis moi Jack.. qu'est ce qui te ferait plaisir ? me demanda t-elle, suavement

- Une pizza ? lui répondis-je, avec un sourire

- Les oreilles ! lança Elsa, en se servant des huitres.

Puis Ariel s'approcha de moi, me souffla dans l'oreille. Je la regardai, surpris.

- Comme ça ! lui fit Elsa.

Elle s'avança vers moi, en expirant de l'air chaud au creux de mon oreille, me faisant frémir.

- Tu peux faire ça aussi ! lui dit-elle, en me léchant l'oreille.

Avant de me mordiller doucement le cartilage, je lâchai un râle de plaisir, sentant le désir monter graduellement.

- Intéressant ! me soupira Ariel, en me léchant l'autre oreille.

Ariel plongea sa main dans mon boxer, caressant mon membre déjà durcit. Leurs poitrines collées contre moi et leurs souffles chauds au creux de mes oreilles. Je ne pouvais me contenir plus longtemps.

" ah.. quel pied !"

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