Chapitre 4

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Je me réveillai aux aurores. Il faisait encore bien froid. Je tremblais encore. Non seulement j’avais froid, mais en plus je sentais la fièvre qui avait dû monter durant mon sommeil. Me levant difficilement, allant nettoyer le sang qui avait coulé de mes blessures, puis me rhabilla. Dés que ce fut fait j’effaça les trace de ma présence en ces lieux. Djaïna, c’étant réveiller quand je me suis levée, s’était-elle aussi levée et m’attendait patiemment en broutant un peu d’herbe. Avant de partir, je remarquai un buisson portant un certain nombre de fruits. J’en pris quelqu’un et les mangea avec avidité. J’en offrit quelques-uns à ma jument qui les dévora avec gourmandise. Ayant repris quelque forces, je remonta sur son dos et repris mon chemin. Je savais que risquais de ne pas recroiser une source d’eau portable avant un très long moment, mais avais-je le choix ? J’étais déjà rester sur place bien trop longtemps, les Drows pouvaient me retrouvée à n’importe quel instant. Il fallait que je parte de là. J’éperonna les flancs de Djaïna qui avança docilement. En m’éloignant de l’Oasis, je me retourna et découvris qu’elle avait disparut dans un brouillard mystique. M’étais-je soigner, laver, abreuver, reposer et nourris dans l’Oasis magique des Bermullas ? Cette source aux pouvoirs magique exceptionnels ? Si tel était le cas, alors Ghelel tenait à ce que je survive ? Lui où une autre divinité, mais pourquoi ? Ne pouvant trouver de réponse a ces questions, je retourna mon regard vers l’avant, essayant de me concentrer sur l’unique but qui régnait alors dans mon esprit, ma survie.

Mon périple dura plusieurs jours. Mourant de chaud la journée, grelottant de froid la nuit. Et souffrant de la fièvre qui n’avait cessé de monter. Transpirant a grosse goutte, le souffle court et à moitié coucher sur ma monture. J’avais du mal a respiré, le poison coulait dans mon sang comme une rivière et mes blessures s’étaient infectées. J’avais tellement mal, mais je ne pouvais pas m’arrêter, il fallait que je continue à avancer. Ma survie en dépendait. Tout comme moi, ma jument mourrait de faim et de soif, mais elle faisait preuve de courage et de fidélité. Continuant inlassablement à avancer, les pattes tremblante du a la fatigue et au manque de nourriture. Je commençais à halluciner, la fièvre me faisait voir des choses qui n’étaient pas là. Ayant parfois l’impression de voir des Oasis ou des points d’eau là où il n’y en avait pas. J’ai même cru voir à un moment, les ombres d’une caravane marchande au loin. Mais je n’étais pas sûr, car ma vue était devenue flou depuis un moment. J’oscillait sur mon cheval, Et au bout d’un moment, je finis par tombée au sol. Mon corps souleva un nuage de sable autour de lui quand il atteignit le sol. J’eu une quinte de toux, recrachant une part des grains sablonneux que j’avais involontairement avaler en tombant.

Pendant longtemps, je restai là, dans le sable, luttant pour rester éveillée. Djaïna restait à mes coter, me faisant un peu d’ombre avec son corps. Ma gorge était tellement sèche que je ne parvenais même pas a avaler le peu de salive que ma bouche produisait. A un moment, dans une demi-conscience, je vis une ombre se pencher sur moi. Ayant l’impression d’entendre quelqu’un parler, je ne pus même pas prononcer le moindre son. J’étais tellement malade et faible, que je perdis connaissance.

Pendant longtemps, j’oscillais entre conscience et inconscience, sans même arriver à ouvrir les yeux. Ignorant le temps qui passer, si j’étais en danger ou non. Par moment, je pouvais sentir quelque chose de frais et humide sur mon front, d’autre fois je pouvais sentir quelque chose de liquide passer dans ma gorge, tantôt froid, tantôt chaud, je ne pouvais que supposer qu’il s’agissait d’eau et de soupe. Je me souvint aussi d’un horrible gout amer que j’avais en partie recracher. Malgré mon inconscience, j’avais reconnu un remède fait surement de plante. On me soignait et j’espérais que c’était par des personnes qui ne me ferais pas de mal.

A un moment, je commençai enfin à sortir de ce sommeil involontaire. Entendant des bruits lointains de conversation dont je ne parvenais pas à comprendre la teneur. Je sentais la chaleur d’une couverture sur mon corps et un tissu rêche et humide sur mon front. Doucement, je commençai à bouger mes doigts, puis mes orteils. Dégourdissant peu a peu mes membres, je déglutissait, du moins j’essayai, car ma gorge était bien trop sèche, je mourrais de soif. Lentement, je tenta d’ouvrir mes yeux, mes paupières me semblaient tellement lourde que je dû faire plusieurs essaie avant de parvenir a ouvrir mes yeux et à les garder ouvert.

La première chose que je vis fut une toiture en tissu. En regardant autour de moi, je pus constater que je me trouver dans ce qui devait être une tente de couleur bien sombre. Un froissement de tissus capta mon attention. Cherchant d’où ce son provenait, je finis par voir un homme entré dans l’habitacle. Il avait l’air de n’avoir même pas trente ans, habiller de vieux vêtement blanc et brun, usé et sal, il tenait ce qui ressembler a une sorte de bassine d’eau. Il avait le teint pâle et des cheveux châtain, maintenue a l’arrière de la tête par une demi-queue de cheval. Des yeux brun délavés lui donnait un air ennuyer. Il parut surpris de me voir éveillée. Mais ce repris bien vite, Il approcha de ce qui était la couche sur laquelle j’étais installée. Il posa le récipients sur le sol, retira de ma tête le chiffons humide qui y trônait, puis posa sa main a la place, semblant chercher a savoir si ma fièvre avait baisser. Je l’entendis claquer sa langue en ce qui me semblait être un signe de satisfaction.

- Et bien tu nous en aura faits baver. Heureusement nous t’avons ramassé à temps. Cela fait un mois que tu dors. Le poison que tu avais dans ton sang était une vrais plaie a neutralisé. Ton cheval nous a rapporter pas mal d’or.

Commença a babillé cet homme en m’aidant à boire un verre d’eau. Essayant de remettre de l’ordre dans mes penser, j’étais quelque peu perdue. J’avais compris qu’il avait vendu ma jument et je savais que son nouveau propriétaire aurait un mal fou à la faire obéir.

- Ne te fais pas d’illusion, nous n’allons pas te garder avec nous. Nous sommes des marchands. Nous avons l’œil pour les chose rare, précieuse et magnifique. Et toi tu va nous rapporter beaucoup d’or. Tes yeux vont être le clou du spectacle. Bien évidemment, nous ne pouvons vendre quelque chose en mauvais état. Il fallait donc que tu sois en bonne santé.

Ces mots hérissèrent mes poiles. J’avais été saucé par des marchand d’esclave. Et ils comptaient me vendre au plus offrant. Ce pourquoi ils m’avaient soigné. Rapidement, je sentis quelque chose sur mes poignets, en levant mes bras devant mon visage, j’eu l’horreur de découvrir de lourds bracelets en fer sur lesquels étaient attacher des chaines dans la même matière.

- Inutile de tenter de t’enfuir. Nous avons pris nos précautions. Tu ne pourras pas sortir d’ici avec ces fers aux bras. Tu vois ce poteau ? Ils y sont reliés. Ce n’est pas avec ta force de fillette que tu vas réussir à te détacher. Ta fièvre a baisser et tu sera guérie quand nous arriverons a Aziarah, Azra est le meilleur endroit pour vendre nos marchandises. Et toi tu es une marchandise de trop grande valeur pour que nous prenions le risque que tu prennes la fuite. Nous y serons dans un mois. Tes blessures seront guéries d’ici là.

Il faisait son discourt avec beaucoup d’emphase et à l’aide de grands gestes en tourant tout autour de moi. Il voulait vraiment faire en sorte que je sois la seule chose qui compte aux yeux de ces gens.

C’est avec un rire cynique qu’il arrêta de de parler. Il changea mes bandages et nettoya mes blessures qui avaient un bien meilleur aspect qu’il y’a un mois. Dès qu’il eut finit, il sortit de la tente. Un mois. Cela faisait donc un mois qu’ils étaient tous mort. Un mois que je me retrouvais seule, orpheline, sans plus aucune patrie, ni royaume. Je ne pouvais même plus me considérer comme une princesse, vue que je n’avais plus du Peuple sur lequel veiller. Mon Royaume n’existait plus maintenant. Azra et Istéria allait ce battre l’une contre l’autre pour savoir qui allait annexer ces terres désormais vide de vie. Ce sera le cas quand la nouvelle atteindrais leur souverain respectif. Je n’avais plus rien. Je n’étais qu’une survivante, la seule. Me rendant compte de tout cela, je ne pus que laisser mes larmes couler. Ma tristesse et ma solitude empoigna mon cœur avec force. Je restai là, prostrée pendant de long moments, pleurant sur mon malheur. Puis les mots de mon père me revinrent en mémoire. Il voulait que je survive. Je devais survivre pour lui et pour la mémoire de mon peuple. Je séchai mes larmes, essuya mon visage et décida de tout faire pour survivre, quitte a me blessée dans le processus, je devais vivre.

Trois jours après mon réveil, je fus habillée avec des vêtements vieux et masculin. Les fers toujours aux poignets, je fus installée dans une cage qui était monter sur un chariot. Le tout surmonter par des draps de tissu qui cachait son contenue a la vue de tous. Visiblement, je n’étais pas seule. D’autre personne, des hommes, des petits garçons, des femmes et des fillettes étaient eux aussi présents. Nous allions tous être vendus. Aux vues de leur apparence assez disparate, je pouvais dire qu’ils venaient des autres royaumes. Ils furent assez surpris de me voir là. Il est vrai qu’avec ma peau tanné, mes cheveux épais et noir et mes yeux bleu, je détonnais parmi ces gens au teint pâle, cheveux blond, roux, châtain, brun, des yeux clair, vert, gris, bleu, noisette. Je m’installai au fond du chariot en ignorant les regards curieux des enfants présents. Nos geôliers fermèrent la cellule de bois à l’aide d’un cadenas, le chariot s’ébranla. Le chemin était souvent cahoteux, boueux. J’avais pus entrevoir et découvrir, ce qu’était une forêt. L’endroit était froid et humide, il pleuvait souvent. Ont nous avaient donner une couverture mangée par les mites à chacun d’entre nous, afin d’éviter que nous tombions malade. Les autres se tenaient les uns contre les autres afin de garder le plus possible de chaleur. Ils avaient peur de moi, étant totalement différente d’eux. Par conséquent, ils ne m’approchaient pas, me laissant grelotter de froid. A vrais dire ils avaient a la fois peur de moi, ce méfier, mais m’admirais aussi, car je n’avais aucune peur de regarder nos geôliers dans les yeux avec un regard de défit et de détermination. Je me devais de leur montrer que je ne serais pas brisée.

Le temps passa, nous avions traverser la Frontière et étions entré dans le Royaume d’Azra. Le Royaume natal de Feu ma mère. Le temps c’était peu a peu adoucis et ce réchauffait. Nous n’avions plus besoin d’autant nous cacher dans les couvertures que l’on nous avait donner. Les enfants c’étaient mis à sangloter, aucun de nous ne voulaient arriver à destination. Car nous savions tous, que la chance seule, nous permettrait d’avoir une bonne vie. Pour ma part, je sentais que ce ne serait pas le cas. Je sentais que je n’aurais pas la chance d’avoir une vie libre. Cette fois, je comptais bien écouter mon instinct et mes présentiments, je ne commettrais plus l’erreur que j’avais fais ce jour-là. Et ce n’est qu’une semaine après avoir franchis la Frontière que notre véhicule s’immobilisa. Tout le monde fut alors envoyé dans une tente. Sous laquelle, on nous força à nous laver et nous changer.

Pour mon malheur, je fus affublée d’une horrible tenue de danseuse du ventre, je fus maquillée, coiffer, parfumé et ornée de nombres bijoux en or. Je trouvais que je ressemblais à une vulgaire prostituer attifer ainsi. Ce genre de tenue était interdite a Sashka, car elles étaient considérée comme une honte pour nos femmes. Malheureusement, je n’avais pas mon mot à dire, je devais me taire et enduré cette honte.

Dès que nous fûmes tous prêt, on nous emmena jusqu’à une estrade, ou d’autre avant nous furent mis aux enchères. J’entendais non loin le bruit des remous de l’eau, en plus fort. La rumeur de conversation plus loin. Une odeur salée et humide me pris au nez. Cette odeur qui m’était inconnue, tout comme ces sons. J’entendais les cries d’oiseau dont j’ignorais le non. Le ciel me paraissait d’un bleu plus clair que celui au-dessus du Désert et contrairement a ma contrée natal, je pouvais voir des brumes blanches cotonneuses passer, cachant par moment le soleil. Malgré ma situation, j’étais émerveillée par tout ce que je ne connaissais pas et n’avais jamais eu l’occasion de voir. L’odeur salée, bien qu’étrangère me plus énormément. Etrangement, elle me rappelais les odeurs d’épices de mon Peuple. C’est avec un air mélancolique, que l’on me força à monter sur l’estrade avec les autres. Mes camarades d’infortunes, passèrent avant moi. Une cohue improbable ce tenait à nos pieds, en bas de l’esplanade de bois. Les gens criaient, donner un prix, montant les enchères à grand coup de cries, d’insultes et de bras lever. Par moment, je pouvais voir quelque péquenauds se battre entre-deux pour miser une certaines sommes, afin d’acheter l’un d’entre nous. Comment pouvait-ont donner une valeur monétaire a un être humain ? A un être vivant et pensant ? Des hommes furent vendus à la garnison de la ville. Des femmes à des taverniers crasseux et édentée, qui arboraient des sourires et des regards plus que lubrique. Les pauvresses allaient devenir des prostituées. Certains enfants furent vendus a des fermiers qui en avaient besoin pour maintenir leurs fermes, d’autre a des famille nobles pour en faire des serviteurs.

Très vite, il ne resta plus que moi. On me fit avancer sur le devant de la plateforme, là on retira le voile que l’on m’avait mis sur le visage pour cacher mon apparence jusqu’à cet instant. Dés que le voile fut retiré et qu’il tomba sur le sol, un concert de murmure et de Wouah ce fit entendre.

- Messieurs, mesdames. Je vous présente le clou de cette vente aux enchères. Cette enfant est issue du Royaume de Sashka. Une authentique enfant du Désert. Regardez-la ! Magnifique avec ces yeux bleus. Encore pur. Jeune et en bonne santé, je suis sur qu’elle saura vous comblée de toutes les manières possibles. Les enchères comment a cent pièces d’or. Qui dit plus ? Allez ne soyez pas timide.

A la suite des mots du chef de la bande, des cries fusèrent de toute part du groupe. Les badauds ne cessaient de faire monter le prix. A tels point que mon prix était monté à 1500 pièces d’or. A partir de là, seul de riches marchand ou des nobles continuaient à donner des prix. Ce spectacle honteux dura presque toute la journée. Je fus forcée de me maintenir debout et droite devant tout ce monde, tantôt tourner sur la droite, tantôt tourner sur la gauche. On me fit tourner sur moi-même afin que les enchérisseurs puissent m’admirer sous toute les coutures ou presque. J’étais épuisée, je n’avais pas hâte d’être vendue, ni de découvrir a qui. Tout ce que je voulais c’était que cela cesse. Je ne sais pas si Ghelel m’avait entendus quand je pria pour qu’enfin cet stupidité finisse, mais a la nuit tombée, l’enchère ce termina. Je fus vendue à un Noble pour le prix exorbitant de 100 150 pièces d’or. A ce moment-là, il faisait si sombre que je n’avais pas pus voir qui était celui qui m’avait achetée.

On me poussa dans le dos avec rudesse, afin de me faire descendre de l’estrade. On me força a avancée dans le noir, éclairer seulement par la lueur de deux ou trois torches tenues par deux hommes au visage fermer. Rapidement, on me jeta dans les bras d’un homme encapuchonner, dont je ne pus distinguer le visage à cet instant. Je ne pouvais que dire qu’il était de taille moyenne. Me tenant par l’épaule, il sortis de sous sa cape noire deux grosse bourse bien fournis. Il les donna aux vendeurs d’esclaves qui partirent ensuite en me laissant là. Cet homme, m’enjoignis à marcher devant lui en continuant de tenir mon épaule dans sa main qui portait un tissue noir. Il me guida jusqu’à un autre homme aux allures de garde à qui il me confia. Ce garde me porta et m’installa sur le dos d’un cheval brun. La selle n’était pas confortable et l’homme monta a ma suite, passants ces bras de chaque coter de mon corps, il pris les rênes et nous fit avancer au pas. Devant nous, une calèche en bois doré, qui avancer dans des mouvements lents. Le trajet dura quelque jours, en observant tout autour de moi, je pouvais dire que nous nous dirigions vers le Nord d’Istéria. Visiblement nous ne quitterons pas le Royaume. On ne m’adressa pas la parole de tout le voyage, je n’eus que de l’eau et des tranches de viande séchées en guise de repas. On m’avait juste donné une cape pour me maintenir au chaud et pour cacher mon aspect a la vue de tous. J’étais passer de monture en monture, quand le soldat avait eu besoin de se reposer un peu. J’étais inquiète, j’ignorais pourquoi on m’avait achetée, ni pour qui.

Ce n’est que deux semaines après le départ que je pus apercevoir un grand manoir, au cœur d’un domaine. L’endroit me semblait sombre et glauque. Mais cela pouvait venir du fait qu’il faisait nuit quand nous arrivâmes enfin. La calèche s’arrêta devant un escalier en pierre menant à ce que je pensais être une porte menant à l’intérieur de cette immense maison. L’homme descendis de son habitacle et approcha du cheval sur lequel je me tenais encore. Il m’attrapa et le fis descendre. Puis il me força a le suivre, un soldats resta derrière moi, pour le cas où j’aurais la mauvaise idée de m’enfuir. La pièce que je découvris était vide, le sol blanc brillait, plus loin un grand escaliers tout aussi blanc que le sol. Les murs de la même couleur. Le plafond avait des peintures à la foi étrange, à la fois magnifique. Je n’avais jamais vue un tel endroit ni de tel peintures. Dans cette pièce, l’homme retira sa cape. Je pus voir qu’il était habillé en vêtements de velours noir. Il avait la peau blanche, des cheveux court, attacher en une queue de cheval basse. Il avait un certain âge, surtout aux vues de ces cheveux poivre et sel. Autour de sa taille, une ceinture avec une sorte de pochette assez imposante et quelque chose qui ressemblait étrangement à un fouet en cuir. Quand il se tourna vers moi, son regard olive était plutôt dur, il m’attrapa le bras et me conduisit de force a l’étage. Ne me laissant pas le temps d’admiré l’endroit, je fus rapidement jetée dans une pièce. La porte fut alors fermée derrière moi. J’entendis un son de cliquetis venant de la porte, ne comprenant pas, j’attrapa l’objet qu’il avait tenue et le tourna en poussant, rien a faire, la porte ne bougea pas.

Soupirant, je retournai au milieu de la pièce, sombre et exiguë. Pleine de poussière, de files blanc tombant du plafond, des monceaux de tissue gris à moitié déchirer pendaient du plafond en bois donnaient une impression horrifique à cet endroit. En hauteur, une ouverture ronde, boucher par quelque chose d’étrange et de transparent. Cette ouverture laissait passer la lumière de la lune. Un rond de lumière lunaire, éclairé le sol en centre de cet espèce de cagibi étrange. Et bien qu’épuisée, je me plaça au milieux de ce rond et me tins debout la tête levée, a observer la lune et a prier pour mon salut.

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