chapitre 4.6

2 minutes de lecture

Le tintement des épées tombées au sol, interrompit le silence. La terreur se lisait sur le visage de la jeune fille. « Un seul scientique porte la marque du conseil. »

— Le..professeur..Thierry Lecurier , souffla cette dernière.

Les hommes masqués enlevèrent soudainement leurs cagoules. Ces derniers, arboraient sur leur visage un tatouage semblable à celui du professeur. Elle en conclu aussitôt qu'il sagissait de l'armée luadonienne. Face à cette révélation, le regard d'Alice devint livide. Les règles de Luadoneo sont claires, s’attaquer aux membres du conseil implique une trahison, et cet acte est sévèrement puni de mort.

— Rendez-vous, dit le professeur , en affichant un air faussement compatissant.

— Qu’est-ce qu’il raconte ? S’agaça le jeune homme en regardant Alice.

Mais la jeune fille ne pût lui rendre son regard. Ses jambes étaient devenues comme des bouts de coton, et en un rien de temps, elle se retrouva à genoux. Il savait son nom, et cela était dangereux pour elle, et pour le reste de sa famille.

— Qu’est-ce que tu fais Alice ! Lève-toi ! Hurlait Leifco.

— Tais-toi ! Retorqua t-elle

Stupéfait, le jeune homme calma son ardeur. Alice avait la tête baissée, comme si elle voulait l’enfuir au plus profond du sol. En voyant cette scène, le professeur parut amusé. Il abordait un regard fier, et un sourire diabolique se dessina sur son visage. Puis, il se tourna vers Leifco, et s’avança vers lui.

— Je vais d’expliquer ce qui se passe, dit-il sévèrement, en continuant d’avancer. Le conseil a le droit de vie ou de mort sur la population. En d'autres termes, un mot de ma part et la famille Airelle appartiendra au passé.

— Pourriture ! Vociféra agressivement le jeune homme, en s’embrasant de nouveau.

— Tst, tst,tst , allons , tu devrais prendre exemple sur ton karadolestos et me supplier. Reprit le professeur, en réduisant la distance qui les sépare.

— Jamais ! Aboya Leifco. Alice, tu n’as qu’un mot à dire et cet homme n’est plus de ce monde, poursuivit-il.

— S’il te plait, dit-elle la gorge nouée. Fait ce qu’il te dit.

La tête toujours vers le bas, on pouvait voir les épaules de la jeune fille trembler.

— Grand-père, et Jessica... sont la seule famille qui me reste. Ajouta –t-elle en retenant ses larmes. Alors, je t’en prie ne fait rien qui puisse me retirer ma famille.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 10 versions.

Vous aimez lire Lagodk ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0