Chapitre 15

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5 semaines plus tard, mon collège réouvre. Le collège n’est pas obligatoire mais j’y vais. Car dans deux semaines c’est les vacances et que je dois leur dire ce qui se passe. En ce moment. De toute façon ils sont obligés de le découvrir un jour ou un autre. Léo, Léonie et Lisa m’attendent. Ils sont tous contents de se revoir. Sauf, moi… Qui… est boff. Je n’ai aucun sentiment. Je ne me reconnais plus depuis que mes parents m’ont dit ce qui va se passer. Ils me demandent se qui se passe et ce que je vais porter pendant des semaines. J’aurais plus le droit de se que je faisais avant. Dont le sport. Et ça commencera à partir des vacances cette année. Mes copains on a peut-prêt la même chose. Sauf que qu’ils peuvent avoir leur téléphone. Tous ce qui m’ont enlever les autres les ont toujours. Ils auront toujours une certaines libertés. Ils n’arrivent pas à comprendre pourquoi ils sont comme ça et moi non plus je ne les comprend plus.

Pendant mon cour de français, l’un des pions m’appelle est me dit que je dois aller voir la principal. Et que je dois y aller maintenant. Je prend mes affaires et j’y vais avec lui. On descent les escaliers en même temps. Je me pose tellement de question ! Surtout celle ci : « Qu’est ce que j’ai fais comme connerie !? J’en ai pas fait ! Je crois que je deviens parano. Avec tous ce qui se passent. Tu m’étonnes que je suis devenus comme ceci. En plus quand je retourne au collège on dirait que je suis une super star. Dans le couloir principale, on doit tourner à droite puis on fait que de la ligne droite jusqu’à la dernière porte à ma droite. C’est bon je suis devant la porte. Le stress monte. ON dirait que je vais faire une crise cardiaque. Le pion toque à la porte et il dit que je suis avec lui.

***

L’instant d’après je suis dans la pièce. Elle me demande à m’asseoir. Puis Mme Soucheau commence à parler :

« _ Bonjour Lucie, comment vas tu ?

_ Bonjour Madame, je vais bien et vous. Je suis vraiment pas dans mon état normal. Elle veut que ça dure plus longtemps et que je me stress à fond juste pour à rien.

_ Bien merci. Tu sais ta maman ma dit comment tu vas travailler pour ton brevet. Beaucoup d’élèves ont eu la même méthode que toi. Alors tu n’auras plus de sport cette année on est tous d’accord, sur tout les point. Je lui vais lui faire passée tout tes cours pour ta troisième, aussi. Et je lui es demandée si elle voulais que tu as des exercice sur table avec tes profs. Ta mère ma dit oui. Je trouve ça très bien. Je pense que ça serait pas mal que tu commencerait demain. Du coup ru ne viendra plus au collège. "

J’ai en plus une directrice qui est d’accord ! J’en suis sur qu’elle a demandé à ma mère avant de me le dire. Je sais juste le mots qui le qualifierai est C’EST UN ENFER !

« _ Ta maman est d’accord. Et je lui est passée aussi les cordonnées d’une adosister. J’ai fais aussi pour mes enfants. Elle est juste parfaite. Tu devras partir à midi avec ta maman, tu sais pourquoi ! Et je suis d’accord que tu dois te levé tôt et que tu dois te levé tôt et tu es obligé de porter autre chose que tes jean ! Je te donnerai les cours devant ta mère pour mettre dans ton sac ! Tu peux partir à tout à l’heure ! »

***

Pendant la récréation je pleures car j’ai qu’une heure pour profiter mon téléphone. Mes copains ne me disent plus rien. Je crois que je n’aurais plus de récré après les vacances et que je suppose que je serais seul devant tout la classe ! Non mais ça devient vraiment bizarre. Je me sens seule.

Il est 13 heures, la principale vient me voir pour me dire que je dois y aller. On y va. J’ai une tête de déprimer. La proviseur m’oblige de sourire. Elle a tout les document dans sa mains. On arrive vers le portail où que ma mère m’attend. Elle ouvre le portail puis le referme. La proviseur explique à ma mère ce qu j’ai en leçon. Ces explications dure dans 10 minutes.

***

Quand je rentre, il y a personne à la maison. Ma mère me demande mon téléphone. Puis elle me demande d’enlever mes vêtements pour mettre la mini-jupe et le chemisier blanc, uni. Ma mère regard en dessous de ma jupe. Si je n’ai rien. Dont une culotte. Elle m’oblige de la retirer. Puis ma mère me réexplique les règles. Je dois mettre les bras derrière moi et Madame me mets des menottes. On monte. Je rentre puis je vois que tout à changer mon lit c’est un lit d’hôpital. Elle ma enlevé mes vêtement qui était dans mon dressing. Ma mère me donne la montre banal et enlève les menottes. Pendant quelque jours je n’aurais pas le droit de travailler. Pour me temps que je m’y habitue. Ma « maîtresse » comme je pourrais le dire, part en fermant la porte à clef. Je ne peux pas m’avancer sur mes travaux. Madame, m’a laissé un livre que je viens de commencée. Je pense qu’en quatre jours je l’aurais terminée. Je pense que ça serait le dernier livres que je vais lire. Enfin ce que j’aime. J’entends ma mère entrain de demander un truc. J’entends très mal. Du coups je n’arrive pas à plonger dans ma lecture.

Une heure ou une heure et demi plus, il y a quelqu’un qui toque à la porte. En un instant ma mère ouvre la porte. Dix minutes plus tard, ma mère monte. Et j’entends ce qu’elle. « C’est une adolescente assez compliquée. Même elle est tout le temps aussi compliquée. » Elle ouvre la porte. Je commence juste à m’échapper. Sauf que ma ‘‘mère ’’ me retient. La dame, que je connais pas me dit : « Tient, tient, une jeune fille qui s’échappe tu sais quoi ta maman et toi vous allez m’adorer ! Je pensais à faire un entretiens tout les trois. Mais enfin compte on va faire toute les deux ! » Je crois que ça ne sent pas bon. Ma chère Madame, à re de nouveau un très grand sourire.

***

Cette dame est grande blonde, très fine, juste un corps de rêve. Sauf qu’elle a un regard sévère même glacial. Je commence à me méfier. Elle rentre dans ma chambre. Puis ma mère part en fermant la porte à clef. L’autre commence à me parler : « Bonjour, je m’appelle Mathilde. Toi tu es Lucie, le jeune fille rebelle ! Tu sais tu vas bien m’apprécier surtout là ! Toute ta famille l’auras ! Les règles sont simple. Tu dois faire tout ce que je te dis tu l’applique et tu ne dois pas me répondre à part quand je te demande de répondre. TU REPONDS ! Déjà tu t’es échapper, alors tu l’auras. »

Elle sort de sont sac des lances. Elle me prend par le bras puis s’installe sur ma chaise. Elle attache les bras sur les pied de la chaise. Du coup la tête en bas. Et enfin elle écarte une jambes pour l’attacher puis l’autre. Mathilde soulève la mini-jupe puis prend son fouet ma tape avec. Je hurle ? Mathilde m’informe : « Tu sais là se n’est pas illégale ! J’ai le droit car c’est mon métier. De remettre les enfants dans des cases donc écouter c’est parents. De plus on a signée un contrat c’est que ta majorité pour conduire etc… sera de 35 ans tu devras avoir un petit ami et quand tu l’auras tu sera enfin libre. Mais pas avant tes 35 ans. Du coup il faudra que je le fasse signée par tes parents. Je ne suis pas super Nanny mais je suis adositer. Oui c’est un métier. Tes parents et ta famille vont partir en vacances sans toi et tu sera bloquée avec moi. Tu verras tu vas m’adorer ! »

Puis la chère dame continue mais de plus en plus fort. De plus je ne pourrais pas porter plainte. Vue comme ils ont le droit. En plus je viens d’apprendre que mes parents et toutes ma famille pourront partir en vacances. Du coup je ne suis pas quand ils vont partir mais en tout cas j’en suis sur que je ne vais pas le savoir. Je vais haïr ma famille. Je ne peux rien faire. À part hurler à la mort. Je pense que mes prochaines punitions seront comme ceci. Je pense que le bouquet final ça serait qu’elle me dit, qu’elle va venir ici jusqu’à mon brevet, minimum, cette Mathilde. C’est bon, j’aurais plus de parti intimes qui seront à moi. Rien cas moi. Ça fait 15 minutes que je suis comme ceci et on est qu’à 40 ! Pour les claques. Elle met à chaque fois un temps de pose de deux secondes je penses ou plus, pour mettre assez d’élan pour me faire mal.

Une heure plus tard, la torture est enfin fini. Enfin pour le moment. Mathilde me remet ma jupe. Elle enlève les lances. Madame la torture m’oblige de porter une feuille comme le bonnet d’âne. Je me sens humilier et aussi déprimer car il reste 365 jours avant mon brevet et que je pense que je l’aurais tout les jours…

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