Trois semaines plus tard, mes amis sont enfin en vacances. Bon moi j’étais en vacances bien plus tôt, enfin si on peut le dire… Le « premier », livre que j’ai lue, c’était the 100. Et aussi mon dernier livre de science fictions. Maman ou comment je devrais dire : Madame Lucas, ou encore madame ma mère. Enfin je ne pense pas que ça va lui plaire. En tout cas je sais que je ne vais pas essayer ou du moins plus tard dans l’année scolaire, vers la fin. Après mon brevet. Je pense vers la fin de l’année scolaire. J’espère pas que ça va se passer comme ça. À l’épreuve du Bac. Ça me fait bizard de pensais à ça. Ou juste de le dire. Je vais vous raconter ce qui c’est passée pendant les trois semaines. Je dois me levée à 6h45 pour que je sois habiller comme ma mère elle veut. Je prend mon petit déjeuner à sept heures. Je devais terminée mon p’tit dej à sept heure quarante-cinq. Et après je commencer à travailler, avec les maths, ou une autre matière. Il y avait que deux matières ou que je ne devais pas travailler. C’est l’espagnole et l’EPS. Bon c’est pas trop important car je suis nulle dans les deux matières. En EPS je suis la plus nulle en course. Même si en course je suis à 10/20 et en espagnole 8/20… Bon après Matt venais toute les semaines. Il ma dit que je pouvais le tutoyer. Alors ces que normalement je n’avais pas le droit. Il me surveille de plus en plus prêt car dans moins de 5 mois j’aurais mon brevet blanc. J’aimerais bien l’avoir du premier coup. Et puis après optimisée pour la mention. Je pense que je vais arriver facilement. Voir même très facilement. Bon de toute façon. Si Matt me surveille de très prêts c’est parce que ma tension est trop haute. Ou trop basse. La prochaine fois qu’il vient donc demain, si ma tension n’est pas stable ou autre il me gardera en observation. Et moi je ne veux pas. Bon déjà quand je l’ai déjà vue j’avais une tentions haute. Normalement il devait venir tout les 15j. Après avec Mathilde, c’est comment dire… chiante, soûlante, agaçante, énervante, même je pourrais dire dépressif par moment. Alors, pour les punitions, comment je pourrais d’écrire… Le mot épuisante peut être pas mal. Elle commence vraiment à me gonfler. Ce confinement chelou je n’aime pas du tout.

Plus tard, ma famille sera là. Je ne sais pas si je vais pouvoir leur dire bonjour ou au contraire ne pas du tout les voir aujourd’hui. Franchement j’en sais rien. Strictement rien. On dirait le gouvernement en ce moment… On sait un ou deux jours en avance quand il y aura un confinement ou un couvre feu ! C’est dingues. Sauf que la c’est chez moi. Je sais qu’aujourd’hui mes parents devront me parler. Sauf que je ne sais pas c’est quoi au juste. Ça m’inquiète un peu. Mes parents arrivent dans ma chambre. Ils ouvrent la porte. Ma mère me dit :

« _ Bonjour, Lucie. Il faut que l’on te parle avec ton père. Je pense que tu vas être heureuse mais tu auras toujours des règles.

_ Oui, on est d’accord avec ta mère. Mais il y aura toujours ta famille ici. Ils pourront faire du shooping et tout même quand tu ne sera pas à la maison. Mais du coup nous avons eu un p’tit problème avec l’adositer. Du coup elle ne reviendra plus. Tu pourras être en vacances en mode détente mais tu auras un cahier de vacances. Tu réviseras ce que tu as fait. Et quand tu vas retrouver le collège, du coup tu travaillera mais pas non plus trop longtemps. Mais il y aura une condition de sortie par contre. M’informe mon père _ La condition est… après tes cours tu auras le droit de sortir pendant une heure avant de travailler. Avec tes amies. Par contre tu le sais très bien que l’on veut te géolocaliser avec ton téléphone. Du coup tu as que deux contraintes, ça va !? _ Je vais reprendre une vie normale !? Ou que je pourrais refaire ce que j’ai envie et tout et tout… _ Oui mais on sera exigent par contre. S’exclame mon pére _ Du coup je peux enfin me débarrasser de tout même des vêtement ? Je peux aussi jouer dehors ? _Oui me disent les deux en même temps. »

Plus tard je sors de ma chambre. Ma famille va bientôt arrivée. Dans une heure à peut près. On regard les information sur la chaîne d’information car le 13h est déjà passer. Du coup il y a le reportage du week-end. Ils sont toujours entrain de parler de moi. Ils disent que je n’ai pas encore ouvert Instagram car j’ai plus 600 000 demande d’amies et comme quoi ça se multiplie. Mes parents se regardent et puis ils me visent. Mon père va dans ça chambre pour prendre mon téléphone. Quand il revient il me le donne. Ils s’approchent pour voir si les infos disent la vérité. J’allume mon téléphone. Je configure mon mot de passe. J’ouvre l’application Instagram. Et en même temps que je l’ouvre, les infos disent que je suis en ligne. Les demandent se multiplie par deux ! Il y a tout ma ville mes aussi les autres villes de France. Je suis à 12 000 demandes. Mon téléphone commence à bouillonner. Il n’a plus le temps de calculer combien de demande car ça va très ou voir trop vite. Ma mère voit de la fumer qui sort de ma coque de téléphone. Je vais dans la cuisine et j’ouvre le frigo pour le mettre dans le frais. Je ferme le frigo et je monte dans ma chambre.

***

Je suis enfin seul. Je prend mon journal et je commence à écrire :

‘’Chers journal,

Je ne sais pas comment te l’écrire ou juste le dire à mes parents. Je ne savais pas que ma disparition été aller dans le monde entier. Et pourquoi ? Pourquoi et comment j’ai reçu plein de demande en amies ? Pourquoi maintenant je suis une célébrité alors qu’il y a moins de trois mois je ne l’étais pas !? Mon téléphone est en surchauffe à cause de tout ce bazar si je peux le dire ! Il y a le covid et ils n’en parlent plus ou très peu. Je ne suis pas un virus si ? J’ai du aller dans le frigo pour refroidir mon tel ! C’est dingue ! Je ne sais pas si je vais créé une page publiques dédiée à ça tient ! En plus mon compte je vais mettre mon surnom et mettre le 2 en plus. Enfin je vais comme même le faire.’’

Mes parents arrivent. Dans ma chambre. Puis ils me disent il faut que tu fasse un nouveau compte gratuit. Bon je ne voulais pas mes si c’est mes parents qui disent ceci alors vaut mieux que je le fasse. Non ? Enfin je ne sais pas. Ça me fait une pression hors du commun.