Un supplice coupable - Partie 2

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Dans l’obscurité des draps d’un lit qui n’est pas le sien, j’imagine qu’elle sent le résultat de nos ébats. Cette odeur de transpiration mélangée aux doux jeux du parfum que portait l’homme qu’elle convoitait. Une odeur de corps qui transpire. Une odeur animale, primaire et naturellement crue. Paralyser par ses sens elle ne peut pas bouger. Elle cherche ses mots, son souffle continuellement coupé par les petits gémissements de sa voix intérieure.

C’est au rythme de mes marées que ses seins bougent.nu, te voilà dans le cœur de la tempête, acceptant les tourments que l’on t’impose. Je te guide et je t’écoute dans notre échange profond.

Le mélange des sons dont nous sommes les instruments envahit nos oreilles. Les vagues viennent s’écraser accompagne son corps en mouvement. Jurons et exclamation s’entremêlent avec les grognements de ma satisfaction. Un tempo que nous tenons coute que coute. Ça ne doit pas s’arrêter. Nous ne pouvons pas nous arrêter comme une fatalité que nous avons tous deux initiée.

La posture suggestive à l’abri des regards, nous retire toute pudeur et crainte. On ne retient plus nos désirs. Nos corps se laissent aller, on ne se force pas, nous sommes juste présents pour l’un et l’autre. L’humidité festive glissant le long de notre peau n’est plus une préoccupation, mais le témoin que l’on s’aime.

Elle finit par s’effondrer, le souffle trop cout pour continuer, les jambes tremblantes. Elle se libère de moi et moi d’elle.

Je la tire vers moi, ne pouvant la laisser partir tout de suite. La légèreté et la fermeté viennent accompagner les caresses humides que je lui annonçais. Un doigt humide frottant ses cordes humides intérieures, laissant échapper une gamme lyrique

Je lui chuchotai alors que j’attendais d’elle qu’elle continue, qu’elle ne s’arrête pas. Je veux la pousser à bout et que nous n’avions pas encore terminé le premier couplet.

Je veux continuer à t’entendre. Je veux explorer avec toi des régions dont tu n’as pas encore pris connaissance.

Elle m’insulta avec le sourire, me traitant de tous les noms qui te venais à l’esprit avant de n’avoir qu’un seul mon à tes lèvres « oui », me regardant dans les yeux, le défi dans le regard. « Continue » me disais-elles.

Je remplis l’espace qui m’a été libre d’explorer. Bougeant pour être sûre de ne rien oublier. Parfois hésitant je me reprends pour son plus grand plaisir.

Nos mains s’enlacent les unes dans les autres. Nos corps continue à se frotter l’un contre l’autre et quand d’une main pleine d’intentions je m’attarde sur la perle devant moi. Un besoin de l’exprimer est là et les mots lui manquent. Incompréhensible, c’est un mélange de pleurs et d’excitation que j’entends. Dans l’ascension de nos sens, je m’arrête. Lui volant tout pouvoir ainsi que celui de jouir je vois de nouveau dans ses yeux le soulagement d’être libéré et le désespoir de n’avoir pue jouir.

Reprenant son souffle tu arrivas a me glisser a l’oreille :

Non non pas maintenant, on y était presque, pitié pas maintenant.

Comme une gamine à qui on retire son jouet. Je répondis juste avec un sourire.

Te soulevant à mon tour je te laisse tomber le sur le dos contre le lit. Surpris tu te relèves pour me regarder.

Devant elle se trouve le fruit de ses plaisirs, l’instrument avec lequel j’ai joué. Elle le voit brandi en pleine puissance, comme une poigner que n’attend qu’à être prise. Elle s’y précipite. À genoux elle croque à pleines lèvres, goutant ma chair lisse et irrégulière. Elle aiguise l’arme d’une langue précise. Me regardant alors qu’elle s’assure de mon approbation. Prit son temps, je la guide dans ce moment d’extase. Satisfaite du travail qu’elle a réalisé, elle s’arrête. Elle glissa un baiser sur le bas de mon ventre.

C’est à mon tour maintenant

La repoussant sur le dos et tirant sas jambes dans ma direction. Plaçant les jambes pointant vers le ciel elle, lui laissant la vue dégager pour le spectacle que j’allais lui offrir, elle compris ce qui lt’attendait. Je vis dans stes yeux la peur, et l’impatience de ce qui l’attendait. Je m’avançai et elle me regarda m’approcher comme une libération.

Jouant avec les armes à ma disposition je prépare mon entrée. Volontairement n’allant pas au bout de mes intentions, je trempe le bout de ma lance. Je m’arrête lui laissant sentir mon outil.

Elle le fixe, la bouche grande ouverte consciente de ce qui lui arrive et associant les sensations aux images qui se passent devant elle. Posant les, mais sur ses cuisses, je plongeai doucement le manche de ma lance en elle.

C’est alors qu’une dance rythmée se précipita. Les gémissements se mêlèrent chaos du moment.

Ta bouche s’ouvrit et les premiers gémissements commencèrent. Pincement dtes seins, les cheveux tirés, le cou mordillé sont d’autant plus d’instruments. Le rythme est irrégulier afin de te permettre de .retrouver. STon souffle devient irrégulier et elle commences à trembler. Elle a du mal à se contrôler. Nous sommes tous deux aux portes du grand final. Il ne nous reste peu avant de rendre les armes.

Voilà c'est faits.

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