Lucas ne venait pas en cours pour apprendre. Il trouvait ça d’une ennuie stupéfiante et contrairement a ces camarades. Il pensait que c’était une perte de temps. Il avait déjà fait l’intégralité des exercices de son cahier, non pas pour le plaisir, mais tout simplement parce qu’il le pouvait et qu'il ne voulait pas avoir a faire des devoirs cette l’année. De plus cela lui permettait de se concentrer sur quelque chose de bien plus intéressant, sa prof de français.

La petite dame, aux lunettes, talon, robe à pois étais une distraction que Lucas aimait contempler. Avec l’arrivée du beau temps les longueurs des robes ont tendance à se rétrécir et les tissus de plus en plus transparents. Ce matin la Lucas se trouvais au premier rang et la prof était arrivé en robe blanche. Ces sous-vêtements rouges en dessous aux mêmes couleurs que sont rouge a lèvres ressortait et mettait en avant les formes généreuses qu’elle avait. Quel idée de mettre des sous vetement rouge sous cette robe. Non seulement on voyait tout mais elle alimentais les curiosité obcène de Lucas.

Posant son sac sur le bureau, elle se pencha pour ramasser une feuille avant de se retourner vers la classe se présenter, sortir le livre de son sac et commencer sa cour. Autant de provoque qui ne laissais pas le jeune garcon indiférents.

Lucas se surpris à fixer ses longues jambes, un filet de bave dans le coin de sa bouche comme seul témoin. Elle était belle en plus d’être gentille. Elle ne s’énervait pas, restais polies et parfois même discrètement pointait du doigt des fautes que Lucas faisait lors des examens. Elle avait tout pour plaire.

De plus elle avait un gout pour l’élégance, toujours épilé elle mettait des robes d’une grande classe. Ses chaussures à talon étaient belles, lui afinait la silouette et la taille. On l'entendait arriver avec les claquements sur le carlage. Son jeune âge lui donnais presque l’impression d’être un élève en dernière année. Bref Lucas était amoureux ou simplement atirait par elle. Il ne pouvait ce décider.

Il pensait souvent à elle. Il se demandait si elle était célibataire, si elle pensait à quelqu’un comme lui pensait à elle et encore si cette personne était lui. Il se demandait ce à quoi elle pouvait bien ressembler en dessous ces robes. Il ce demandait quel gout avait ces levres, quel sensation avait sa langue.

Une voix au tableau, coupant Lucas des scènes et des questionnements qu'il pouvait bien s'imaginer. Il était l'heur pour lui de retourner au tableau et realiser les exercices demandé par .

***

Autre heure, autre jours mais toujours dans le même établissement.

Le professeur des sciences de la vie et de la terre avait quitter la salle pour aller cherche une professeuse pour qu’une femme puisse aussi parler au petit groupe d'élèves.

Parler de quoi vous aller me demander…

Et oui c’était ce fameux cours d’éducation sexuelle.

Oui il était obligatoire que chacun des élèves suive ce cours qui reprenait la reproduction sexuée sans passer par quatre chemin. Le prof de SVT revint avec la prof de français.

Voila qui va rendre les choses interessantes.

La prof de français toute souriante se présenta et parla des répercussions de la puberté sur la vie quotidienne des jeunes filles. Il vient ensuite une démonstration de la mise du préservatif.

La prof de français prit un préservatif dans les mains, souffla un ptit coup avant de l’enfila sur le pénis en polystyrène en erection. L'abilité supect fit lever les sourcis de Lucas. Il s’imagina ensuite une série de situations ou elle enfilais non pas le préservatif sur du polystyrène, mais sur le sien.

La douceur du latex sur sa peau.
L’humidité de sa salive et de sa bouche sur le latex.
L’humidité de son entre-jambe sur le latex

Après avoir exploré les fantasmes de son esprit et que le cours ai fini, il fit comme tous les élèves. Il prit ces affaires et la direction de la sortie de la classe. C’est alors que la prof de français agrippa son bras le tira sur le côté.

- Lucas, tu viendras me voir en fin de journée, je dois te parler de quelque chose.

Elle lui sourit, lui fit un clin d’œil et le laissa partir.