Les débuts de ETRE

13 minutes de lecture

Comment ai-je écrit ETRE ?

Cette histoire qui m’émeut, qui me fait voyager dans les secrets des inconnus que j’ai moi-même façonnés, si réels qu’ils en deviennent matériels à certaines heures de fatigues.

Pour répondre à cette question, nous devons nous demander pourquoi ai-je écrit des fictions. Un besoin vital ? Une envie de fixer mon imaginaire d’enfant sur du papier inflammable ?

Non, je pense que j’ai transcrit par essai sur un coup de tête.

Petite, aux alentours de 9 - 11 ans, je lisais beaucoup — par manque d’amies et par ennuis des autres. Avez-vous lu La Cabane magique quand vous étiez enfants ? C’est excellent, pour commencer la lecture. Je pense avoir lu tout son rayon dans la petite bibliothèque de l’école primaire. C’était à cet instant que j’ai découvert les joies de l’imagination. Comment une simple phrase pouvait me faire quitter la réalité des cris des enfants dans la cour de récréation, pour me retrouver dans une aventure rocambolesque avec Tom et Léa. Je ne me souviens pas, à cette période, avoir commencé à rédiger, mais je pense avoir essayé ; j’essayerai de retrouver les petits textes écrits sur le très vieil ordinateur portable de la famille.

À cette époque, je commençais à peine à dessiner, généralement des voitures que j’apprenais à modeler grâce à des livres d’apprentissages à la bibliothèque. Je me souviens que certains amis me disaient : « C’est pas toi qui as dessiné ça ! ». Cette remarque, je la prenais comme un compliment. Cela voulait dire que mon dessin était assez bien réussi pour qu’on me dise qu’il n’était pas de moi.

Puis j’ai arrêté de dessiner, d’écrire. Le collège est venu tout mettre en pause, parce que les enfants de 12 ans n’ont plus la place à la créativité en travaillant de 8 h 30 à 17 h.

Durant l’année de 6e, je m’ennuyais, mais je n’avais pas la force de lire, d’écrire — ça ne m’était pas venu à l’idée ou alors j’avais d’autres choses en tête. Oui, d’autres choses en tête : la danse et écouter de la musique. Après la joie de l’imagination par la lecture, j’ai découvert celle des harmonies qui libèrent mon imagination. J’ai vécu d’autres réalités dans mon esprit, j’inventai intrigues, rebondissements et esthétiques qui collaient avec la musique et ses intonations. D’autant plus que la danse en était impactée, je chorégraphiais, seule, des ballets dans ma chambre. Pour la première fois, j’ai des frissons, des sensations étranges lorsque j’entendais des accords et des nuances fabuleuses.

Néanmoins, au collège, je m’ennuyais et le fis savoir à ma mère. Par heureux hasard ou non, lors d’une évaluation de danse sur une scène et devant un public composé de parents, mais aussi d’un jury de professeurs de danses, on me repéra. Ils me proposèrent de participer à la sélection d’entrées à un conservatoire régional. J’ai passé la sélection avec brio. Je me souviendrais toujours de ce moment. Nous étions une tonne de petites danseuses d’à peine 12 - 13 ans, et faisions un cours de classique face à tous les professeurs du conservatoire installés sur une longue table. La pression était énorme, mais comparée à mon anxiété de maintenant, je n’avais éprouvé qu’un léger stress.

J’ai été accepté. Durant quatre ans, je jonglais entre cours le matin et dansais l’après-midi. Je faisais 15 h de danses par semaines, pas de quoi m’ennuyer. L’endurance, le respect, la discipline, le stress, la course, la fatigue du corps et du moral.

C’était durant cette période que j’ai commencé à écrire. Mon esprit stimulé par les musiques, l’esthétique des arts, mais surtout par les cours, lesquels devenaient intéressants pour ma culture, j’ai commencé à dessiner en autodidacte, mais surtout l’écriture. Mes parents m’ont forcé à découvrir la saga Harry Potter, ils n’aimaient pas le fait que ma petite sœur et moi ne lisions pas. Alors un arrangement s’est installé : à chaque tome lu et terminé, on pouvait regarder le film. Je peux vous dire que ça a accéléré ma lecture.

La découverte d’Harry Potter, de l’imaginaire a fait naître une envie de procurer les mêmes émotions, mais avec mon imagination et mon écriture. Un rêve d’enfant, en toute modestie.

J’ai donc écrit Pouvoir, les chapitres je les faisais lire à ma meilleure amie, dans les vestiaires — on passait notre vie dans les vestiaires — j’en avais fait une BD. L’histoire n’a jamais été terminée.

Voici le début de Pouvoir, écrit quand j’avais 14 - 15 ans, mais jamais terminée :

« Méa jeune orpheline découvre au pied du grand sapin, dans l’orphelinat où elle réside depuis sa naissance, un livre “Le Grimoire de l’Air”. Une lettre y figure, écrite par sa mère, elle lui déclare l’impensable, Méa peut maîtriser l’élément. Son amie Patricia a eu le même livre, mais celle-ci le lui cache. Plus tard, Méa apprendra lors d’une nuit de cauchemars et de cris que son amie est en réalité un loup-garou. Mais tout bascule, à l’arrivée de Paul à l’orphelinat, cet étrange garçon aux mêmes pouvoirs que Méa. Que vont-ils faire ? Entreprendre de sauver le monde ? »

C’est si enfantin, c’est attendrissant. Dommage que je ne peux vous montrer, ici, la BD.

En relisant les débuts et ce résumé, je vois déjà un début de ETRE — ne vous inquiétez pas il n’y a pas de loup-garou ni de personne au pouvoir de l’air. À cette période le film : Avatar Maître de l’Air a été vu 5 fois par mes yeux de jeune fille de 13 ans, vous devinez alors pourquoi Méa avait les pouvoirs de l’air. Le gigantesque orphelinat fait penser à Poudlard, je me suis littéralement inspiré d’Harry Potter et la directrice de l’orphelinat, peut s’apparenter à Dumbledore. Pour le loup-garou, je n’en ai aucune idée, puisque j’ai visualisé Twilight à 15-16 ans.

Pour ce qui est de sauver le monde, il me suffisait de regarder les actualités médiatiques pour me rendre compte du désastre climatique et social. Je me souviens encore parfaitement des images de Fukushima et du tsunami, j’avais à peine 11 ans.

J’ai dû arrêter d’écrire, le brevet arrivait et les ballets aussi. Cependant, j’avais découvert entre temps, Wattpad, cette plateforme d’écriture qui pouvait me servir pour dévoiler mon univers, en instance de fondations. Puis, vers mes 16 ans, Pouvoir n’était devenu qu’un vague souvenir, je l’avais oublié et abandonné rapidement.

Un peu plus mûre, j’ai découvert les Twilight, j’ai visionné les Divergente, les Hunger Games, je suis tombée sur le site SCP, je croyais à des trucs complotistes par manque de rationalité et de discernement. Tout ce beau monde allait se modifier, se mêler inconsciemment pour commencer une nouvelle histoire — au même fond, très implicite que pouvoir.

EARTH était né.

Son synopsis le voici :

« Mea fuit avec sa famille l’organisation SCP, qui la traque et souhaite l’anéantir. Paul Walker est à sa tête et n’hésitera pas à détruire toute sa famille. Proche de la mort, elle fut sauvée de justesse par Matthew Scott. Il l’amène à l’abri, loin des Traqueurs, et il lui apprend sa nature. Une anomalie aux yeux noirs et aux pouvoirs destructeurs. Paul n’a pas dit son dernier mot, il veut sa proie. Lors d’un assaut proche de leur planque, Mea commet une erreur. Paul devient leur ennemi de taille. Les deux protagonistes, à la recherche de leur passé, découvrent dans la maison de Lucile, grand-mère de Mea, dorénavant habitée par Leonora Anderson, les preuves de leurs protections par une société secrète nommée l’Iris. Mea et Matthew s’envolent pour Boston, où une traque sans merci les dévoile aux mondes entiers. »

La trame et les intrigues étaient placées, certains prénoms et noms ne changeront pas. Tout y était.

EARTH était la prémisse de ETRE. Mais perfectionniste dans l’âme, j’ai recommencé plusieurs fois pour trouver la noirceur, l’atmosphère adéquate à mon imagination. Je désirais — c’est toujours le cas — poser les bonnes images, émotions pour transporter le lecteur comme je fus transportée des nuits entières dans mon esprit.

J’ai découvert Dan Brown, à partir de 2016, j’ai mis en pause EARTH, ce n’était qu’une passion sans buts à ce stade, rien de plus. J’ai atteint le 1 k, 2k de vues sur Wattpad, ça me suffisait pour rendre heureuse. Un compte Instagram fut créé et le nombre de lecteurs augmentait. J’avais commencé Dan Brown, par envie de lire, je me suis servie dans la bibliothèque familiale : Da Vinci Code, Symbole Perdu, Inferno, etc. À ce jour, je les ai tous lus. Cet auteur m’a lancé dans un style, un genre que je n’avais pas encore découvert, celui de l’aventure, des mystères d’histoires, qui impactera mon écriture de Earth.

Je dois parler d’une chose, en 2017, ma professeur de français, durant ma seconde redoublante, nous faisait des sortes de compte rendu de lectures. On devait choisir un livre sur un nombre donné, le lire attentivement puis, à la date fixée, le présenter au reste de la classe. Grâce à elle, j’ai découvert Barjavel, quelle joie ! C’était « La Nuit des Temps », celui-ci est resté à ce jour, l’un de mes livres préférés — je vais le redécouvrir prochainement, pour comprendre davantage et apercevoir ce qui n’a pas été aperçu la première fois. Il y a eu une certaine inspiration avec « La Nuit des Temps », Mea et Matthew ont un amour qui pourrait se rapprocher d’Éléa et de Païkan. Je voulais les rendre uniques. Ce fut ma première lecture dans le genre de la science-fiction, mais je me suis davantage intéressée à ce genre bien plus tard, en 2021, et je peux dire qu’il le valait mieux pour ma compréhension.

Earth se mit en pause jusqu’en 2019.

C’était durant le confinement que je suis retombée sur cette histoire en me connectant sur Wattpad. J’ai alors décidé de la continuer, je l’ai réécrit légèrement. J’ai, surtout, changé certains prénoms, noms de société et d’organisations : Paul Walker devint Tom Walker, la société Iris devint l’Ordre et le SCP se transforma en un autre acronyme l’O.S.C.A.H.

J’ai changé le titre, pour un plus français et symbolique dans le livre : ETRE

Un verbe que je substantive.

J’intensifiais des amitiés, des profondeurs sur les personnages principaux et secondaires, j’évoluais en écriture, mais une part d’adolescence, que je ne visualisais pas, résistait. Après la bêta lecture de Maddy Rhodian rencontrée sur cette plateforme, j’ai décidé d’envoyer le livre à des Maisons d’Éditions sans aucune correction. Une débutante, il faut toujours passer par là.

J’étais fière, j’avais enfin terminé l’histoire, qui allait être une trilogie, les idées fusionnaient entre elles.

Pourquoi avoir envoyé le livre ?

Peut-être pour me dire que c’était possible, j’avais terminé un tome, alors je pouvais l’envoyer à des Maisons d’Édition. J’étais si naïve.

Puis, fin 2020, un peu déçue de ne pas recevoir de réponse sauf celles arnaqueuses, j’ai décidé de lire le manuscrit, celui imprimé et envoyé aux Maisons d’Édition. Fut-ce une erreur ou un bien ?

J’ai vu la partie enfantine, assez kitch, mais surtout aucune émotion, aucun décalque de celles qui m’émeuvent dans mon esprit.

J’ai ouvert Aliexpress, j’ai acheté un cahier de 300 pages, inexistant en France. La trame inscrite sur des feuilles volantes, les changements à opérer, à modifier, à améliorer voire à TOUT reprendre du départ. Chaque chapitre passa au peigne fin.

J’ai réécrit TOTALEMENT le tome 1.

Plus adulte, plus émotionnel, plus de violence, de destruction, plus de vérité sur notre monde, plus de mélancolie, de drame, de scènes grandioses. Je ne suis pas allée vers la facilité, au contraire, les erreurs de 2019 ont été abolies.

Le tome 1 a fini par faire 800 pages avec un nombre incalculable de chapitres. On me préconise de le couper en deux, je le fais et la version définitive naît.

Mea devient plus sûre d’elle, même si un peu naïve de la réalité qui l’entoure, mais dont elle n’a jamais pu en faire l’expérience. Elle ne se laisse pas marcher sur les dents, elle ose se battre, accepte sa fragilité psychique et ose s’ouvrir aux autres. Elle veut la vérité sur elle et sur lui, Matthew. Mais une part d’angoisse et de doute résidera toujours et jusqu’à la dernière page du tome 1. Âgée d’à peine 21 ans, elle essaye de comprendre une vie faite de fuites, de questions sans réponses, de soldats à la poursuite d’elle et ses parents. Elle devra sacrifier ses espérances pour vivre une existence prédestinée avant sa naissance.

Matt est dans l’illusion, nourrit par la rage d’une vengeance étalée sur les années, naïf ou faux naïf, il se cherche comme il recherche l’apaisement. Du même âge que Mea, il retrouvera en elle, le jeune garçon qu’il a été lors des premières semaines et mois après sa mutation. Réservé sur son passé, il n’ose s’ouvrir sur son enfance et sa famille perdue ; tant la cicatrice au cœur reste fragile à tout effleurement. Mais pour la première fois, il s’ouvrira à un autre sentiment, lequel sera une force dans la douleur et la solitude d’humains tels qu’eux. Il comprendra son lien avec elle. Mais à trop chercher la vérité, elle finit par décevoir ou se révéler plus complexe qu’une simple phrase. Elle s’étale sur des décennies, et sur les continents. Elle augmente le poids qui pèse sur leurs cervicales. Mea est en narration « je » tout comme Matthew. Je touche alors, les deux genres de lecteurs.

Tom Walker est un antagoniste qui n’est plus présent juste pour sa violence, pour les combats contre Mea et Matthew et ne sert pas l’intrigue comme un torchon poisseux dans le coin d’une pièce. Il a des convictions profondes, mais elles ne sont pas les siennes, elles sont les résidus de celles d’un père qui ne l’a jamais aimé. Celui-ci le jugeait comme n’étant pas assez digne pour être son fils. Tom est devenu l’antagoniste déchiré par son devoir de fils-héritier et celui d’un homme amoureux, prêt à se marier et à son rêve de famille à fonder. Son ambition démesurée contre l’existence de Mea et Matthew, lesquels dévoilent leur potentiel face à ce monde à l’espoir décédé et agonisant. Ils approfondiront sa haine et l’irrationalité de ses actes.

Leonora Anderson n’est plus cette seconde serviette qui essuie la difficulté, qu’on ne voit que deux fois pour marquer un temps d’arrêt entre deux endroits ; une pause, un café et les protagonistes repartaient. Ce personnage réside dans le fond, lié par la relation amicale qu’elle a entretenue avec une vieille femme, Lucile. Elle-même sera un jouet, un mystère à élucider.

Robert Groher, ce directeur de l’Iris — dorénavant l’Ordre — que j’avais représenté, au temps de EARTH en 2016 – 2017, comme un mage. Cette figure que tout livre de fantaisie a, celui qui guide les héros vers la fin de sa quête et sa destinée, a viré vers un autre bord. Alcoolique, dépressif, détruit par un drame familial, ce directeur qui protège les protagonistes ne fera qu’accentuer leurs désespoirs. Ils en finiront désorientés, perdus… Lui aussi est mêlé à Lucile, tendre et vieille amie d’un temps passé et révolu pour le pire des futurs.

J’ai accentué les autres personnages secondaires :

Jessica Basra, collaboratrice de Robert, transporte en elle une haine contre Tom, l’assassin de son bonheur. Elle finira par faire tomber, intelligemment, le roi de son château de cartes, entraînant la chute mondiale avec lui. Une foi incommensurable face aux actes de Mea et Matthew, elle verra en Mea une sœur qu’elle n’a pu avoir, inspirant une jalousie viscérale en son ami de toujours, Jeremy Marck.

Jeremy Marck, commandant des agents armés de l’Ordre, je lui ai octroyé une personnalité vide pour une autre plus remplie. Susceptible, jaloux et observateur assez objectifs sur Mea et Matthew qu’ils ne portent pas dans son cœur, Jeremy Marck se révélera plus complexe et falsifié qu’il ne le laisse paraître.

Émile Dubois, directeur adjoint de l’Ordre, celui que tous affectionnent quand il prend les commandes du navire, lorsque l’alcoolique lui cède par fatigue ou pour d’autres obligations. Respectueux de ceux qui travaillent au sein de cette forteresse en pleine ville, il amène la rationalité et la stabilité. Il guide Matt à ne pas croire à toutes tirades. Il est loin d’être le naïf, notamment par son âge avancé, il est le mentor sans en être un. Détestant l’injustice, les dangereux secrets et faussetés, il se mettra à dos celui sur qui il visualisait l’avenir et le progrès.

Lucile Eoleoner, cette grand-mère qui semble avoir vécu mille vies, a disparu depuis 2016. Ses pensées, ses traîtrises sont révélées au grand jour et aux moments exacts. Elle a aimé sa petite fille, elle l’a chérie de mots, de citation qui malgré elle forgeront l’avenir de cette pauvre enfant. Lucile est liée à tout, amie, voire seconde mère qui éleva Robert, elle fut la garante de tant de secrets ; elle sait tout sur Mea et Matthew. Amie de Leonora Anderson, elle lui légua la lourde tâche de leur transmettre ses derniers mots, toutes les vérités, inscrites sur deux pages.

Ashley Brown, cette infiltrée qui avait comme mission de séduire Tom. Elle finira par tomber sous le charme d’un homme que les médias dépeignent, froid, distant, vicieux, violent. Elle y verra tout l’amour qu’il n’a jamais pu donner, tous les rêves profonds qu’il attendait de réaliser. Folle amoureuse, elle en sacrifiera sa carrière, pour l’espoir d’un mariage et d’être mère.

J’ai envoyé le manuscrit le 1er février 2022 après des tonnes de relectures.

Aucune réponse positive sur les dix Maisons d’Édition, trois refus, dont un, qui il est allé jusqu’en comité de lecture. Mais cela ne fait rien, puisqu’entre temps, en m’informant sur l’édition, je m’informais sur l’auto-édition. J’étais et je suis toujours en contact avec des auteurs et autrices auto-édités, je vois la qualité des ouvrages, etc. Mais il y a surtout cette possession à 100 % des droits de mon œuvre. Je savais parfaitement où je voulais amener ETRE, sa couverture, sa promotion, etc. Alors, durant l’été 2022, j’ai tout réalisé, ebook, couverture, promotions et pleins d’autre chose.

Étant étudiante, je ne pouvais pas le sortir en papier pour des raisons de coûts. Puis, je ne souhaitais pas débuter sans comprendre, analyser le marché du livre, sans savoir si des lecteurs seraient intéressés par mon univers. Alors, je commence petit à petit, très timidement pour me faire les bases, pour comprendre comment tout fonctionne.

La première partie est sortie officiellement le 22 août en format ebook.

Mon premier livre.

Un jour, la trilogie ETRE sortira en papier.

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