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« Doit-on être libre pour être heureux ? Qui est libre, qu’est-ce que cette dite libertés ? »

« Nos dirigeants sont-ils heureux ? L’argent fait le bonheur ? Non il y contribue. »

« Un pauvre peut-être heureux, ont-ils une certaines libertés ? Plus grandes que nos dirigeants ? »

« La libertés est le contraire de l’esclavage. Cependant on doit contribuer à la sociétés donc sommes-nous libre où esclave de cette société ? Nos dirigeants travaillent plus pour améliorer ces sociétés ... »

« Travailler plus ne veux pas dire bonheur ni libertés. »

« Tant de fléaux sont à neutraliser, créer est-ce une de nos libertés ? »

« Comment être heureux ? » Dit Fannia.

« Il faut privilégier les aspect sociaux aux détriments des matériels, tout est éphémère, rien n’est éternel ! »

« Et l’aspect de soi-même ? »

« Aussi … nos dirigeants sont heureux, ils sont riches, ils ont une certaines sagesses et valeurs morales. »

« Qui te dit qu’ils sont heureux ? Comment ressentons-nous ce bonheur ? »

« Ils essayent de se satisfaire et satisfaire le peuple. »

« Il faut se satisfaire soi et son devenir, son avenir. »

« Tu crois que pour une personne modeste, boire de l’alcool sans cesse est une source de bonheur ? »

« Non, je crois qu’il faut se contenter de soi avant les autres où les matériels. »

« L’alcool permet d’oublier une partie de nous donc nos pires moments ? »

« Tu as sans doute raison mais l’alcool est un exemple assez pertinent ... »

« Concret ! »

« La liberté et le bonheur ne s’achètent pas, on le trouve en soi, on le cherche, c’est une quête spirituelle qui évolue en nous. »

« C’est quoi un peuple libre ? Prisonnier des lois ? » enchaîna Fannia.

« Non, les lois servent de règles, de transmettre du respect, des valeurs communes. »

« Pas pour tous les gouvernements ? Pas la dictature, on te dicte des règles ingrates et violentes ! » Critiqua Fannia.

« Tu as sans doute raison. On est obligés d’établir des règles. »

« Et nos libertés ? »

« Elles sont encadrés par ces règles, pour que les gens puissent se parler, pour l’ultime paix. »

« Donc la liberté est … faussée ? »

« Elle paraît, elle est juste pour tous, même en dictature, ce sont des lois. »

« Mais quand on boit l’alcool, il n’y a pas de règles ? »

« à consommer avec modération ? » Dit Anna.

« Certes, mais on peut boire quand on veut. Les gouvernements sont des profiteurs de ces règles qu’ils font eux-mêmes ? »

« Non, ils les respectent. »

« Ce sont des apparences … Encore et toujours … Depuis le début tu essayes de défendre tous ces gouvernements. Mais personne a tort ni raison ! Il faut un juste milieu pour la liberté, la justice, le bonheur, l’honnêteté, le mensonges ... »

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