Chapitre 4 Partie 1 : Séparation

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Chapitre 4 Partie 1 : Séparation

Elle commença son récit le dimanche soir :

-Avec ma fille, nous étions dans notre maison. Il y avait mon beau-frère qui était venu souper. Depuis la mort de mon mari, il venait assez souvent nous voir. J'avais déjà préparé le repas, nous l'attendions. Il était arrivé vers six heures et demie. Il n'avait pas de femme, c'était un solitaire. De plus, ses parents sont morts et son seul frère aussi, nous n'étions plus que sa seule famille. Tout se déroule bien, on se met à table. Le repas se passe bien. Finalement, il était 21 h 25, nous l'accompagnions sur le parking où il avait garé sa voiture et là, on aperçoit une étoile filante avec une fumée bleue qui sortait derrière. Nous étions tous étonnés, c'est pas tous les jours qu'on a de la chance de voir un tel spectacle. C'est alors qu'il m'informe qu'il reviendra demain matin parce qu'il disait que le moment était venu. Le moment de quoi, aucune idée, mais moi j'ai ri bêtement, mais si j'aurai su...

Le lendemain matin, Yves, mon beau-frère, était arrivé de bonne heure, Valentine n'était pas encore réveillée. Il me conseilla de ne pas emmener Valentine à l'école. Pour lui, quelque chose allait se passer. Après plusieurs minutes d'argumentation, il me convainc. Avec le recul, j'ai eu raison de l'écouter. Je ne suis pas allée travailler non plus. Il me restait des congés, j'en ai profité.

La matinée fût terriblement longue et monotone, rien ne s'était passée. Je commençais à croire qu'Yves racontait vraiment n'importe quoi. Encore une fois, j'avais tort.

Nous avions déjeuné de bonne heure, avant midi. Yves m'avait dit que s'il devait se passer quelque chose, se serrai à midi. Il avait belle et bien raison. On entendit des cris qui venait de la rue. Yves nous interdit de sortir de là. Il avait ouvert la fenêtre pour observer. Il nous informa qu'il avait vu des militaires dans la rue. Il répéta sans cesse que le moment était venu. Il nous dit que les militaires n'allaient pas tarder à entrer dans la maison et qu'il allait se sacrifier pour qu'on puisse vivre. Je ne comprenais rien à ce qu'il disait. Je pensais que c'était encore une de ses mauvaises blagues. Mais il me demandait de venir à la fenêtre et je compris qu'il ne rigolait pas. En effet, plusieurs personnes couraient dans tous les sens. Des militaires essayaient de regrouper les gens vers le centre-ville. Je lui demandais s'il ne fallait pas y aller, après tout, l'armée est de notre côté, non, dis-je. Mais il me fît une révélation alarmante, non l'armée n'était pas de notre côté. Il avait durement insisté sur le "notre". En y réfléchissant, que pouvait bien faire l'armée ici et pourquoi d'un coup regroupé tous les gens ? J'essayais d'obtenir désespérément ne serais qu'une once d'informations à ce propos mais il me refusa tous commentaires. Il en savait des choses mais pour une raison qui m'est obscure, il me cacha tout ça. Il me disait en souriant "Moins tu en sais pour l'instant, mieux c'est". J'avoue j'étais perdu. Alors qu'avec Valentine et Yves, on était à l'étage, on entendait que quelqu'un voulait entrait.

Il me dit alors "Reste ici et cache-toi avec Valentine. Pas de bruit. Je ne t'ai pas dit grand-chose, mais si tu veux en savoir plus, il y a mon journal personnel dans un coffre. Le premier code c'est 0 4 2 0 4 1 2 1 8 0 0 et le deuxième est..." On insistait toujours plus à la porte, il finit : "Je vous aime".

...

...

...

Excusez-moi, c'est les émotions, je venais de comprendre qu'il se... sacrifiait pour qu'on puisse vivre !

-On t'en prie, prends ton temps, l'informa Hugo.

-Je reprends. Euh, où j'en étais, oui, il descendit les escaliers et je l'entendis ouvrir la porte. Les hommes qui venaient d’entrer le connaissait visiblement par qu'ils criaient : "Tiens, tiens, tiens, c'est donc ici que tu te cachais, Collignon. Mon supérieur va se faire plaisir en te cuisinant, mécréant ! Y'a-t-il des autres personnes dans cette maison ?" Il lui répondit : "Ma belle-sœur et sa famille sont de sortis. Si tu me promets que je pourrai les revoirs, je suis prêt à tout avouer, de toute façon tout est perdu, vous allez gagnez.". C'est là les dernières paroles que j'entendis de lui. Je n'osais même pas voir à la fenêtre, j'avais honte qu'il se livre à eux pour nous sauver. Pourquoi nous a t-il pas dit qu'il fallait quitter la ville, on l'aurait suivi (Elle se mit à pleurer). J'aimerai tant le revoir pour lui dire merci.

-Écoute, ce qui est fait est fait, il doit certainement avoir une bonne raison, dit Hugo. Et comment vous avez rencontré ce Rayan.

-C'est un gros concours de circonstances qui ont fait qu'on a rencontré Rayan. J'ai mis pas mal de temps avant de retrouver mon esprit. Je n'arrêter de repenser à lui. Depuis la mort de mon mari il y a maintenant un an, Yves avait énormément changé, il se sentait comme obliger de nous protéger. Ils partaient souvent tous les deux pour des périodes assez longues mais je ne savais pas vraiment ce qu'ils faisaient. Mais un jour, ils sont partis et 2 mois plus tard, Yves est rentré sans lui, sans Richard. Mais comme tu le dis, ce qui est fait est fait, il faut savoir avancer. Donc je disais, au bout d'un moment, j'ai voulu sortir car j'ai vu, par la fenêtre, un garçon tout seul qui semblait perdu. Valentine m'a suivi, elle était intriguée elle aussi. Sauf que, ce gamin, n'était pas, euh, comment dire, "normal", dit-elle en articulent soigneusement le mot normal.

-Mais ma p'tite Aurélie, qu'est c'que la normalité ? Questionna-t-il en parlant lentement.

-Robert ! Laisses là parler, tu nous barbes et tu nous enquiquines avec tes questions à la noix, déclara Clément.

-Pfff, on n'peut plus rire, ça m'chiffonne tout ça.

-Ro... Robert, c'est vous ? Dit-elle en pointa du doigt le concerné. Ce dernier acquiesça. Je ne crois pas que rire soit vraiment très adapté à la situation. Ce gamin, qui est celui que vous voyiez, n'a plus vraiment grand-chose d'humain. Il semble dénuer d'intelligence. Il semble même incapable de parler, de répondre à des questions simples. Et surtout, et c'est vraiment le pire, lorsqu'il prend son compas et qu'il commence à courir vers vous, il vous regarde comme s'il veut vous tuer. J'avais essayé de lui parler, de savoir où était ses parents, comment il s’appelait, mais je n'avais aucune réponse. Inquiète, je voulais m'approcher de lui, peut-être qu'il avait perdu ses parents et qu'il était complètement perdu. Mais heureusement pour moi, Rayan est intervenu. Essoufflé, il me crie de ne surtout pas m'approcher de lui, qu'il était dangereux et que je pouvais mourir s'il me touchait avec son compas. Je le croyais vraiment pas, mais il y avait quelque chose dans sa voix, dans manière de le dire, je ne pouvais point le contredire. Rayan voulait que je le suive. Il avait besoin d'aide. Je ne pouvais et surtout je n'ai pas eu le courage de dire non.

Robert essaya une énième fois de la couper mais en voyant le visage grave de ses compagnons, il remarqua ce n'était pas forcément très lucide de commenter. Elle continua :

-Je ne savais pas si je devais y aller avec Valentine ou non. D'un côté, je ne voulais pas la laisser seul mais de l'autre, dehors c'est dangereux. De toute façon, elle reste collée à moi tout le temps. Alors, elle est venue avec moi. Rayan voulait aller je ne sais où. Nous l'avons suivi sans réfléchir. En supposant que ce garçon était un danger, et c'était le cas mais même sans ça, il avait plutôt agi pour notre bien, donc je ne voyais pas pourquoi est-ce-que ça aurait pû être dangereux. J'essayais de lui poser des questions mais il me demanda de me taire. Habitant Commercy, je me rendis compte qu'on marchait vers le centre-ville. Tout à coup, on entrait dans une maison. Je suis persuadé que cette maison n'était pas celle de Rayan mais je n'ai pas osé demander. Une fois à l'intérieur, nous sommes montés à l'étage. Il nous fît signe alors de nous arrêter. Il voulait vérifier quelque chose. Il nous dit alors : " Je vais voir au balcon se qu'il se passe sur la place. Il me fît venir sur le balcon et je vis deux grosses masses de gens. Il ne savait pas pourquoi des gens étaient ainsi séparés. Je voyais également beaucoup de militaires, ils devaient certainement sécuriser la ville. Mais comme ils avaient emmené Yves et que ce dernier s'était sacrifié pour ne pas que j'y aille, je dit à Rayan que les militaires étaient dangereux. Il me dit qu'il le savait déjà. Mais il ne voulait pas m'en dire plus. Encore une fois, on ne voulait rien me dire. Finalement nous sommes rentrés dans ma maison.

Alors que la veille on pouvait entendre des cris par-ci, par-là, mais ce matin, plus rien. On entendait que le silence. Rayan était sorti pour observer la situation en ville. Il m'avait laissé un mot comme quoi il rentrerait pour déjeuner. Il ne mentit pas. C'est durant l'après-midi que les choses se sont gâtées. Il me dit alors qu'il a trouvé de l'aide. Il me dit que seulement nous trois, ce serait trop risqué pour partir d'ici, mais avec eux, tout est possible. En fait, il parlait de vous. Il m'avait parlé de 6 personnes. Sauf que le petit problème qu'on a eu, c'est que quelques minutes après être sorti, on a recroisé ce gamin, c'était le même qu'hier. Le visage de Rayan devint haineux et il cria : "Couraient, ne vous faîtes surtout pas attraper par cette créature !". Nous avons couru le plus vite que nous pouvions et vous connaissait la suite.

-Il faut vraiment qu'il se rétablisse, il doit certainement avoir des informations sur tout ce chaos, dit Hugo.

-Un "chaos" ? Interrogea Aurélie.

-Tu ne savais pas ? C'est l’apocalypse dans les grandes villes, mais bizarrement à Commercy, il n'y a pas la guerre, de même à Montsec. Étrange tout ça, réfléchissait Clément.

-Quoi ? Tu es sérieux ?

-Oui et en plus tu nous confirmes nos hypothèses, l'armée n'est pas de notre côté, dit Robert alors qu'il était dans un coin avec les bras croisés. La seule piste et encore elle est douteuse, c'est le mec que vous avez croisé hier.

-Peut-on vraiment se fier à lui ? Demanda Anna.

-Il ne semblait pas mentir, rapporta Hugues.

-Se fier à lui, je ne suis pas sur. Ce qui est sur, c'est qu'il faut aller le rencontrer dans deux jours, il nous en dira plus, dit Hugo.

-Fait chier, on a aucune idée de ce qui est en train de se passer. On peut pas s'adresser à l'armée, le mec d'l'autre jour est bizarre et c'te Yves ne vous a rien dit, putain.

Au fond d'eux, chacun pensait ça. Il n'avait aucune idée de ce qui était en train d'arriver. Moussa écoutait d'une oreille, il était concentré à surveiller le gamin. Quant'à Clément, il médita sur les précédentes paroles, deux mots lui revenait en tête, "chaos" et "créatures". Ce dernier lui fît un électrochoc. Il dit :

-Le gamin, tu l'as appelé créature, Aurélie. Pourquoi ?

-Calme-toi, j'ai utilisé le mot de Rayan. C'est lui qui...

-Moussa, tu as son compas.

-Oui, moi avoi' compas lui.

-Donnes le moi, je sais comment le guérir.

Moussa s'exécuta. Clément s’apprêtait à planter le gamin, mais Hugo et les autres tentaient de l'en dissuader. Mais c'était trop tard, Clément avait déjà pénétré la peau du gamin. Il cria de douleur. Son visage qui était resté neutre tout ce temps devint colérique. Il semblait pouvoir tout détruire.

-Ah bah bravo, t'l'as bien guéri, champion. Il veut tous nous tuer. On fait quoi maintenant, chef

-Moussa ! Clément ! Écartez-vous !

Moussa n'eut pas le temps, il se fît mordre. Robert et Hugo essaya de l'aider. Clément, lui, restait impassible. Il avait lâché le compas. Bien que juste à côté, il ne bougea pas le moindre doigt. Une voix, dans sa tête, il entendit une voix dans sa tête. C'était une voix d'homme, il lui dit : " Clément... ta mission... souviens-toi... souviens-toi pour qui... pour la MEUSE... nous nous reverrons" Clément mettait ses mains sur ses oreilles pour ne rien entendre. Il s'écroula et hurla :

-J'y comprends rien, moi ! Sort de ma tête !

Il se mit à pleurer. Il était perdu, cette voix dans sa tête, elle lui était familière. Il l'avait déjà entendu, certes, mais il ne s'en souvenait pas. Robert, qui était juste à côté de lui, ne comprenait pas ce que Clément disait, mais il l'interpella :

-Hé gaillard, au lieu de chialer, viens nous aider, mauviette.

-Laisse-moi, Robert !

-Moussa est blessé, on a besoin de...

Sur le moment, il ne voulait perdre un compagnon. Instinctivement il poussa un cri :

-Aaararrgggghhh !!! Arrêtez de vous battre. Gamin, redeviens-toi même !

Suite à cela, Clément perdit connaissance. Robert, Hugo, Moussa et le gamin avaient cessé toute hostilité. Le gamin perdit connaissance lui aussi, Moussa de même. Que ce soit Hugues, Anna, Valentine, Aurélie, ceux qui étaient restés derrière, ou que ce soit ceux en premières lignes, Robert et Hugo, personne ne comprenait ce qui venait de se passer. Robert et Hugo se regardaient, aucun d'entre eux ne savait comment réagir. Ils emmenaient, avec l'aide des autres, Moussa, Clément et le gamin des endroits pour les allonger. Ils prenaient soin de ligoter une nouvelle fois le gamin. Hugo profita que Clément soit inconscient pour dire :

-Je sais pas comment dire, mais ce n'est pas uniquement une bipolarité qu'as Clément, c'est autre chose.

-Il a p                                        arlé d'une voix dans sa tête, il a peut-être des problèmes psychiques. Et puis, on peut pas vraiment aller consulter un psychiatre.

-N'empêche, c'est dingue, il lui a demandé de se redevenir normal et il s'est, comment dire, exécuté ?

-Je dirai plutôt qu'il lui a ordonné, intervint Hugues. Mais à réfléchir, ce n'est pas le plus grave actuellement.

-Le p'tiot a raison. Comment il l'a guéri, au final, ça n'change pas grand-chose. La question est c'est qui et quoi ce gamin ?

-Il voulait vraiment vous tuer, rappela Aurélie. Et ce compas, il a des pouvoirs magiques ? Normalement, après s'être fait piqué par un compas, on ne tombe pas dans les pommes et on ne reste pas inconscient pendant aussi longtemps.

-Pourtant, a y regarder de plus près, ce compas est totalement classique et il n'y a pas de poison ou un autre truc sur la pointe. Pourquoi Moussa et ce Rayan sont dans cet état alors ? Questionna Hugues.

-Espérons que Rayan se remette vite sur pieds, lui qui craignait cet enfant, il doit savoir des choses à ce sujet.

Anna et Aurélie restait avec les "blessés". Moussa et Rayan étaient très mal au point. Clément et le gamin pouvaient se réveiller d'un moment à l'autre. Au bout d'une heure, le gamin se réveilla. Les deux femmes appelaient leurs amis.

Ces derniers se demandaient s'il fallait aller vers la lumière, attendre à Montsec l'homme, ou même trouver le journal du beau-frère d'Aurélie. Yves habitait à Bure. Robert proposait de séparer le groupe en deux, qu'une partie aillent chercher ce fameux bouquin et l'autre partie attendait l'homme. Hugo, lui ne voulait pas séparer le groupe, c'était trop risqué. Montsec et Bure étaient assez éloignées. Hugues était du côté de Robert. Le livre pourrait avoir plus d'informations que l'homme et faire l'un après l'autre serait une grosse perte de temps, dit-il. Au réveil du gamin, ils montèrent le voir.

Il était totalement calme. La "créature", comme l'appelait Rayan, n'existait plus. Il était redevenu un petit garçon ordinaire. Il s'appelait Loïc. Il avait 6 ans. Il avait été séparé de ces parents le lundi matin et puis après, il ne souvenait de plus rien. Robert chuchota à l’oreille de Hugo :

-Avec deux p'tios, on n'va pas pouvoir aller aussi vite. Raison de plus pour se séparer.

-Oui mais on a besoin d'Aurélie pour le livre et elle refusera certainement d'être séparé de Valentine. Tu sais que Bure est plus loin à que Montsec en partant d'ici. On en reparlera plus tard.

Voyant que Loïc n'était plus hostile, Robert le libéra des cordes. Peu de temps après, Clément se réveilla. Hugo lui racontait ce qu'il s'était passé. Clément avait de vagues souvenirs. Il se rappela par contre très bien de la voix dans sa tête. Il dit à ses amis ce qu'il avait entendu. Robert demanda :

-Tu t'souviens pas d'une mission, chef ?

-Non ! Mais cette voix, je l'avais déjà entendu avant, mais je ne pourrai dire où.

-Super, on pédale dans la semoule.

-Si on se base sur cette voix, ce que l'homme nous a dit semble se confirmer, la Meuse joue un rôle dans tout ça, dit Hugo.

-Cocasse c'tte situation, ma foi.

-Au lieu de faire des cancans, on fait quoi maintenant ? Demanda Anna.

-Anna a raison, on tourne en rond. Je pense, tout comme Robert, qu'il faut se séparer en deux groupes. Un repart à Commercy et attend l'homme et l'autre part à Bure cherchait le journal d'Yves. S'il a un double code pour le protéger, il doit déceler des secrets que Yves voulait léguer, proposa Hugues.

-Alors oui mais pas tant que Rayan et Moussa aillent mieux. On ne peut pas les abandonner, dit Clément.

-Ça coule de source, pardi ! Conclu Robert.

Chacun essayait de passer le temps comme il le pouvait, ni Moussa, ni Rayan ne se réveillaient. Les heures passaient, le soleil commençait même à se coucher. Moussa semblait tout de même aller mieux que Rayan. Ce dernier luttait contre la mort. Les gens s'alternaient à surveiller un changement d'état des deux hommes. Durant toute l'après-midi, Robert, Clément, Hugues et Hugo réfléchissaient à comment faire deux groupes et quel chemin prendre pour aller à Bure. Bure devait être surveillé, étant un lieu possiblement d’implantation de déchets nucléaires, l'armée devrai garder la zone.

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