Chapitre 21 (Je savais que tu allais avoir des ennuies) Partie 2

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Avertissement: Ce chapitre contient un passage violent.

-Bonsoir, nous salua-t-elle, tout en nous servant chacun un verre d'eau. Je vous serre autre chose avant de vous laisser le menu? 

-Non, rien pour moi, lui répondit Nick, la regardant à peine. 

Elle ne semblait pas avoir attiré son œil. 

Je me faisais penser à ma mère en ce moment. Tellement paranoïaque. 

-Toi Taylor? Me demanda Nick. 

-Euh... non, rien pour moi. 

-Très bien. Alors je vous laisse les menus.

 

Elle nous déposa chacun un menu devant nous. 

-Je reviendrais dans quelques minutes. 

Cette serveuse, habillée de façon déplacée, se permit de caresser au passage l'épaule de Nick, juste avant de partir pour nous laisser faire notre choix. 

Nick ne l'avait même pas regardé, cependant, se contenta de garder les yeux sur moi. 

Je voyais l'embarras dans son visage. 

-Je me fais draguer, me dit-il, ayant attendu que la serveuse soit plus loin. 

-Ouais, j'avais remarqué. 

Heureusement, je félicitais Nick de ne pas avoir dévisagé cette femme, incapable de résister à son look trop sexy.  

Nous étions dans un pub, je ne devais pas oublier. Je n'étais pas habitué de voir des serveuses se pavaner comme ça autour de mon homme. 

Nick était difficile à ne pas regarder. Je devais vivre avec le fait que les femmes allaient observer Nick mais que ça n'arrivait pas exclusivement à lui, en revanche, à tous les hommes. C'était pourtant dur de contrôler ma colère en voyant une femme se permettre de draguer mon amoureux alors qu'elle voyait très bien que nous étions un couple. 

-Je le vois dans tes yeux, tu n'as pas l'air contente, constata Nick. 

-Effectivement. Mais rassure-toi, ce n'est pas contre toi que je le suis. Les femmes ont bien le droit de te regarder, mais il y a bien des limites. 

-Je comprends. ça serait pareil pour moi si je voyais un homme faire ça. 

-Je n'ai pas envie de te partager avec une autre. 

-ça n'arrivera pas. Tu es la seule et unique que j'aime et je me fou de ces femmes qui se ballade devant moi comme cette serveuse. 

Je lui fis un sourire, ayant l'assurance qu'il ne mentait plus. 

-Approche, me dit-il. 

Je me relevai légèrement pour pouvoir embrasser Nick de l'autre côté de la table. 

Je devais ignorer cette serveuse. Nous devions l'ignorer. Je n'avais plus la force ni l'envie d'être jalouse. 

Il y avait si longtemps que je n'avais pas autant mal manger, je veux dire de la malbouffe, mais ça avait été excellent. Oui, je n'avais pas honte de le dire, j'aimais bien la malbouffe même si je n'en mangeais pas souvent. 

J'avais fini par oublier dans quel genre d'endroit nous nous trouvions. Nick m'avait fait si rire que ça m'avait changé les idées et que je n'étais plus nerveuse d'être ici. J'étais certaine que nous avions attiré les regards des autres tant nous nous amusions, comme de vraies personnes en état d'ébriété.

Et pour cette serveuse, je crois qu'elle avait compris le message finalement. Durant le reste de notre repas, elle avait été un peu froide avec nous. Elle n'avait pas réussi à attirer l'œil de Nick comme elle l'aurait pensé.  En plus de nous bécoter à plusieurs reprises, je crois que ça ne lui avait pas plût.

J'avais l'impression de pouvoir me laisser aller avec lui. 

En gros, ça avait été un repas remarquable et je ne regrettais pas d'être venu ici avec Nick... du moins, pas encore.

Nick et moi étions si radieux et rigolions tellement que nous n'avions pas porté attention ce groupe de 4 hommes entrer dans le pub, ce groupe d'homme que je craignant tant de voir ici.

Je ne le savais pas au début et Nick non plus, or, ces hommes nous regardaient nous. 

Ce groupe, dès qu'ils eurent la confirmation de notre présence, virent dans notre direction et contournèrent la table de billard pour s'arrêter devant notre table. Nick et moi se sommes retournés vers eux, et nous avions perdu notre sourire. Ces hommes étaient imposants et je savais que s'ils étaient venus nous voir nous, ce n'était pas pour de bonnes raisons. 

En les voyants, je serrer la main de Nick plus fort. 

Je l'avais senti se raidir.

Ces hommes ne regardaient pas moi, mais bien Nick. 

Celui-ci n'osait rien dire à ces messieurs, puis l'un de ces hommes costauds, chauve et couvert de tatous sur les bras et même dans le cou, retira ses lunettes fumée pour mieux regarder Nick. 

-Nick, c'est toi ça? Lui demanda l'homme. 

-Oui, c'est moi. 

Je sentais sa main trembler dans la mienne. 

Qu'est-ce que ces hommes lui voulaient? 

-Et Aaron, c'est ton frère? Lui demanda le même homme. 

-Oui... mais que se passe-t-il enfin? Que faites-vous ici? 

-Aaron nous a dit que tu avais notre argent.

-L'argent? Quel argent? 

Je commençais sérieusement à avoir la frousse et à me poser des questions. De quel argent parlaient-ils et qu'est-ce que Nick avait avoir là-dedans?  

-Nick? Lui dis-je en chuchotant. 

-Ne te mêle pas de ça toi, me dit l'homme. 

Je n'osai pas lui désobéir. Nous ne savions pas à qui nous avions affaire, mais j'avais ma petite idée.

 

-Écouter, j'ignore qui vous êtes et je ne sais pas ce que vous me voulez, mais j'aimerais que vous partiez et que vous nous laissiez tranquille ma copine et moi. 

Promptement, cette situation se transforma en une scène de vrai film d'horreur. Ce genre de scène que nous ne voyions que dans des films. 

Les 4 hommes, sans exception, sortirent chacun une arme, un fusil pour être plus précise, et mon cœur faillit s'arrêter à les voyant sortir de tels objets sous nos yeux.

-Ne fait pas le malin avec nous! S'emporta l'homme en braquant son arme contre le front de Nick.   

-Mon dieu seigneur! Criais-je en me relevant de la banquette. 

Bien évidemment, mes cris d'alertes obligèrent les autres dans le bar à se retourner vers nous. 

Au début, personne ne réagissait, comme s'ils ne croyaient pas que cette scène pouvait être possible, comme s'ils ne comprenaient pas. 

Nick n'osait pas bouger, ayant une arme en plein contre le crâne.   

-Hey! Cria l'un des serveurs. Ficher le camp d'ici! 

Je pense que ce serveur ne se rendait pas compte de ce qui se passait. Nick avait une arme braqué sur lui et je ne sais pas ce que ces hommes lui voulaient. 

Mon cœur débattait et je sentais mon souffle couper. 

Qu'allaient-ils nous arriver? 

C'était un vrai cauchemar. C'était irréel, je ne pouvais le croire. 

-Faites-les sortir, ordonna l'homme à l'un de ses compagnons, celui qui tenait ce fusil contre la tête de Nick. 

Nick avait lâché ma main et il les avait levé, comme quand un policier nous arrête et nous demande de lever les mains en l'air. 

L'un des individus armés, leva son arme dans les airs et tira un coup, faisait un trou dans le plafond. 

Cette fois j'ai cru que mon cœur se serait vraiment arrêté de battre. Je n'entendais plus qu'un cillement. Les gens dans le bar avaient poussé un cri et instinctivement, ils se sont tous cacher derrière des chaises ou sous des tables.  

Je suis fondu en larmes, si terrorisé. ça semblait si irréel.

-Sortez! Cria l'homme qui avait tiré ce coup.   

Personne dans le pub n'osait bouger. Ils restèrent tous cacher à leur place, ignorant l'ordre de ce type.   

-Sortez j'ai dit! Hurla-t-il de nouveau. 

Très tranquillement, quelques personnes sortirent de leur cachette, les mains en l'air. 

-Aller, dehors! Leur commanda un autre des hommes, pointant sur eux une arme. Plus vite que ça! 

Ces personnes sont prestement sortit du bar en courant. Encore, il restait d'autres personnes, caché derrière des choses ou sous des tables, n'ayant pas suivi les autres. 

-Nous ne le répéterons pas une autre fois. Que tout le monde sorte! Cria cet homme chauve, qui retenait Nick avec un fusil contre la tête. 

Les derniers, restés dans le restaurant, durent sortir sous les menaces de ces hommes dangereux. 

Nous ne savions pas de quoi ils étaient capables, alors je crois qu'il était mieux d'obéir et de ne rien dire. 

Je n'avais jamais ressenti une telle frayeur de toute ma vie. Je me souviendrai toujours de cet événement catastrophique qui nous était arrivé à Nick et moi ce soir-là, dans ce bar. 

-Non, dis-je en chuchotant, voyant que les dernières personnes dans le bar quittèrent, menacé par une arme pointer sur eux. Je vous en supplie, ne partez pas! Leur suppliais-je de rester. 

-La ferme! Me cria l'un des hommes, le plus près de moi.   

Sans du tout m'y en attendre, celui-ci m'asséna un coup de poing en plein visage et je m'effondrai sur le sol. 

-Laisser-là! Leur cria Nick, voulant se lever pour intervenir. 

-Toi tu ne bouges pas! Lui ordonna l'homme qui le retenait en le repoussant contre la banquette pour qu'il reste assis, pointant toujours son fusil contre son front. 

La douleur infliger par ce coup était atroce. J'avais le sentiment que son poing m'avait ouvert le crâne. 

J'étais étourdit, étendu sur le sol froid et crasseux. 

Je devais désormais assister à une scène douloureuse. Ces hommes allaient donner une sale raclé à Nick. 

-Maintenant tu vas nous dire où est l'argent, lui redemanda-t-il, en empoignant Nick par le collet de son T-shirt.  

-Je n'ai pas votre argent. 

Celui-ci donna un premier coup de poing au visage de Nick. Ce coup lui avait brisé le nez, ça c'était certain. 

Un peu plus loin, sur le sol, près de moi, je vis mon portable. Il avait dû glisser au moment où cet homme m'avait frappé si violemment. 

Je tendis le bras mais ce même type, qui m'avait frappé, repoussa mon portable avec son pied pour ne plus y avoir accès, et ensuite, il m'empoigna et me releva précipitamment pour me retenir en otage, ayant enroulé son bras autour de mon cou, ses gros bras m'étouffant. 

-Ne me mens pas! Cria l'homme à Nick, continuant son interrogatoire.  

Ce simple coup avait déjà inondé son visage de sang. 

Je voulais me réveiller. Tout ça n'était qu'un horrible cauchemar. J'allais ouvrir les yeux et je serais de retour chez moi, avec ma famille. 

-Je vous dis la vérité, répondis Nick. 

L'homme s'emporta de nouveau puis il frappa Nick au visage, encore une fois. 

Je pouvais entendre la violence dans ses coups. 

Nick recracha une mare de sang avec ce dernier coup qu'il avait reçu. 

-Je vous en supplie, laisser-le! Leur suppliais-je, incapable d'en voir plus. Il vous a dit qu'il n'a pas l'argent! 

-Taylor... me dit Nick, affaiblit par ces chocs d'une violence extrême, ne te mêle pas de ça. 

Ne pas me mêler de ça? Hors de question. Je refusais de laisser ces criminels battre mon copain, et si je ne faisais rien, ils le battront sans doute jusqu'à mort. Je ne pouvais pas rester là à ne rien faire. 

-Tu dois être sa copine? Me demanda cet homme chauve, celui qui avait pris un grand plaisir à battre Nick. 

-Arrêter. Il dit la vérité. 

Je pensais les avoir convaincu pendant un instant. J'étais persuadé qu'ils allaient finir par nous laisser partir. J'avais eu un espoir. 

Mais je me trompais. ça n'avait fait qu'amplifier le mécontentement de ces hommes. 

Celui-ci empoigna Nick et il le releva de la banquette pour ensuite lui donner un coup derrière les jambes pour qu'il se mette à genoux sur le sol. Il fit ensuite un signe à celui qui me retenait prisonnière de ses bras. Il me fit mettre à genoux moi aussi, à présent face avec Nick. 

-Fouiller le portefeuille et le sac de la fille, leur demanda celui qui semblait être le chef dans ce groupe. 

Mes yeux étaient submergés par les larmes tandis que les hommes fouillèrent toutes nos choses, regardant Nick en face de moi, amoché par l'un de ces bandits, presque défiguré. 

Ils vidèrent ma sacoche, jetant tous mes effets personnels sur le sol, et également le portefeuille de Nick. 

J'envoyais un message au ciel. Je souhaitais que ce délire s'arrête, que quelqu'un vienne à notre secours. 

« Faites-en sorte qu'ils nous laissent la vie sauf, je l'implore ». 

L'un des hommes qui fouillaient nos trucs jeta inopinément et violemment le portefeuille de Nick par terre. Avant, j'avais pu voir qu'il y avait volé ses cartes et un peu d'argent également.

-Écoute-moi bien maintenant, lui dit l'homme chauve, qui le retenait à genoux au sol, tu as une dernière chance de t'expliquer. Tu nous dis où est l'argent ou sinon il arrivera quelque chose d'indésirable à ta copine. 

Mon cœur voulait s'arrêter, épouvanter. Qu'est-ce que ces hommes me réservaient comme sort? Je savais que ce n'était rien d'agréable. Néanmoins, qu'est-ce que Nick pouvait leur dire pour m'épargner s'il disait qu'il ne mentait pas?

-Qu'est-ce que mon frère vous a dit au juste? Osa-t-il les questionner. 

-Que tu avais notre argent. N'essaie pas de gagner du temps, salaud! 

Si ce que cet homme disait était la vérité, que le frère de Nick leur dit qu'il aurait l'argent, dans ce cas-là, ce qui nous arrivait était entièrement de sa faute?  Tout ça pour un ignoble mensonge? Comment osait-il mettre son frère dans un tel pétrin? 

Ce sera sa pire erreur. 

Encore, Nick disait-il vraiment la vérité mais il refusait de l'avouer? Je ne savais plus quoi en penser. Je ne voulais pas douter de lui. 

-Je te le redemande encore, où est l'argent? 

Je savais pourtant que Nick ne mentait pas. Il n'avait pas cet argent. Cet homme lui avait fait une menace en lui disant qu'il m'arriverait quelque chose d'indésirable. Alors je savais que Nick allait leur dire la vérité parce qu'il n'aurait jamais accepter de les laisser me faire du mal, et la vérité était qu'il n'avait pas l'argent. 

-Je vous assure que je n'ai pas votre argent. Je ne vous mens pas. 

Mais l'homme refusait de le croire. Il voulait avoir ce qu'il désirait et il allait tout faire pour arriver à ses fins. Ils étaient des malades, dangereux. 

Il fit donc un signe à son camarade, celui juste derrière moi. Celui-ci me plaqua avec violence contre le sol glacial.

C'est là que tout à basculer. Mon monde allait s'écrouler. J'allais être détruite. 

J'aurais voulu me débattre et crier à l'aide, toutefois, ça n'aurait servi absolument à rien. J'étais destiné à ça. 

Quand Nick comprit que cet homme tentait de me violer, il les supplia d'arrêter. Malheureusement, à la place, ignorant ses supplices, ils forcèrent Nick à observer cette scène horrible qui se déroulait sous ses yeux. 

Je me souviendrai toujours de la douleur qu'il m'infligeait. Tout ce que je pouvais faire à cet instant misérable, c'était de pleurer. Cet homme qui prenait un si grand plaisir à violer mon corps était beaucoup trop fort et trop lourd pour que je puisse le repousser ou me défendre. C'est pour cela que je devais le laisser faire, le laisser m'abîmer comme un vulgaire morceau de viande. 

Pendant cet instant où j'étais totalement impuissante, je me suis rendu dans un coin très loin dans ma tête, là où je pouvais me réfugier. J'étais dans un endroit paisible, là où tout était plus calme.  

Non seulement j'avais vécu la pire atrocité qu'une femme pouvait subir, mais je ne pouvais m'imaginer encore l'horreur pour Nick d'assister à cette affreuse scène, ne pouvait rien faire et obliger par ces hommes à regarder sa copine se faire martyriser par un autre homme, ne pouvait que verser des larmes. 

J'ignore combien de temps cet individu m'avait violé, en outre pour moi, ça semblait avoir duré une éternité. 

Au même instant où cet homme avait terminé son travail sur moi, les sirènes de police se firent entendre à l'extérieur du bar. 

Des gens avaient sans doute appelé les flics le temps qu'ils étaient dehors. 

Si seulement ils étaient arrivés 2 minutes plus tôt, je n'aurais pas eu à subir ce fardeau. 

Ces hommes ont alors rapidement pris la fuite, mais avant, le chef de la bande en profita pour donner un dernier coup de pied dans le ventre de Nick, ce qui l'obligea à tomber sur le sol, en douleur. 

-J'espère au moins que ça t'aura appris une leçon. 

Et il est partit, nous laissant seul ici, Nick et moi étendu sur le sol. 

J'étais en choc. Je n'arrivais pas à bouger. Mon corps tremblait de partout. Je souffrais tant et je cherchais de l'air. 

Nick ne prit pas de temps à se relever, oubliant la douleur infligé par les coups et il se jeta sur moi.

 

-Taylor! Dit-il en me prenant dans ses bras et en me serrant si fort contre lui, pleurant.  

Je recommençai à revenir à moi-même. Mais je fus prise de panique. 

Brusquement, je me dégageai d'entre ses bras, en affolement total. 

-Non! Ne me touche pas! Lui criais-je, presque comme si c'était lui le responsable. 

-Taylor, c'est moi. 

-Ne t'approche pas de moi! 

Les larmes se sont remises à couler quand je constatai qu'il y avait du sang sur le sol. Mon sang. J'avais le souffle coupé. Je ne pouvais plus respirer. 

Je pris mon visage entre mes mains, ne comprenant plus ce qui m'arrivait. 

Nick tenta de nouveau de s'approcher de moi. 

-Taylor, ils sont partit. Tu n'as plus rien à craindre maintenant. 

-Laisse-moi tranquille! Criais-je de plus bel. 

J'étais hystérique.

Ce n'était pourtant aucunement de la faute de Nick. Mais à ce moment-là, je n'arrivais plus à revenir à la réalité. Je ne réalisais pas ce qui venait de m'arriver. Je perdais la tête. J'avais si froid et si mal. 

Je me relevai en m'appuyant contre une table pour m'aider. 

C'était tellement douloureux. 

-Taylor, où vas-tu comme ça? 

Je ne lui répondis rien et je me frayai un chemin parmi les tables et les chaises, ayant de la difficulté à marcher correctement. 

-Taylor! M'appela de nouveau Nick, en se relevant. 

Je refusais de me retourner. 

Je sortis du bar, abandonnant Nick derrière moi, tout aussi choqué par ce terrible événement. 

À l'extérieur, les sirènes de police m'aveuglèrent, telle une lampe de poche pointée dans mon visage. Les gens à l'extérieur, étant dans le bar et forcer de quitter, racontaient ce dont ils avaient été témoin et décrivaient le physique de nos ravisseurs. 

Une fois dehors, j'ai tout simplement courut, sans savoir où j'irais. J'aurais pu me perdre dans la ville et ça ne m'aurait pas déranger, du temps que je courais. 

Ma vie était terminée.  

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