Beigbeder a tort quand il affirme que son désir d'être célèbre est l'affluent de son désir d'être aimé.

Etre aimé, c'est à la portée de tous. Non, la célébrité c'est l'aboutissement de la reconnaissance, de l'admiration, pas de l'amour. Notre désir d'être distingué, de sortir de la fange qui est enfin exaucé. Tendre vers la divinité à travers la gloire. Pourquoi pas ? Jésus était-il finalement la première superstar mondiale ? Surtout, son altruisme sacrificiel était-il une fin ou un moyen ? Enfin, en a-t-on réellement quelque chose à faire ?