Le Dénouement

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Mes petites étoiles, si vous aviez un corps, il serait plus judicieux de prendre un verre d’eau ! Car votre gorge va se nouer et s’assécher !

Ce qui va suivre va vous laisser sans voix.

Peut-être exploserez vous en route !
Comme une supernova vous transformant ainsi en un trou noir, pour vous éteindre dans l’obscurité sans que plus rien ne s’en échappe...

Sur le chemin j’imagine son mètre quatre-vingt-dix m’attendre. Sur le pas de la porte, son haleine fétide se répandre sur moi comme un nuage toxique .

Je passe devant lui baissant la tête mais à peine ai-je posé mon sac qu’il me saute dessus ! Il prend mon bras droit d’abord et ensuite ma jambe gauche, me soulevant au-dessus de sa tête, ce qui n’est pas un exploit du fait que je mesure 1 mètre 53 pour 40 kilos.

Puis il me relâche violemment sur la table à manger, brisant quelques assiettes, me coupant le dos au passage.

Où étais-tu ? Me chuchote t-il au creu de l’oreille, prenant sa voix diabolique. J’ai beau lui répéter que je suis passée à la bibliothèque.

Il ne veut rien entendre ! Alors que je gis sur la table le dos ensanglanté, mon père me regarde avec des yeux rouges de colère. Je relève alors ma petite robe jaune, enlève délicatement ma culotte pour laisser apparaître mon atout le plus précieux dans ce genre de circonstances.

Il m’observe et peu à peu il semble s’apaiser, je passe alors ma main dans mon dos. La main tâcher de sang je me caresse délicatement, lui montrant ce tableau de la vierge innocente encore pucelle, qui l’avait tant excité lors de mes six ans.

Je le regarde fixement lui faisant croire à un plaisir partager. Il s’empresse de descendre son bleue de travail et commence à se masturber, il grimace, il sue et s’approche !!!

Il me demande de continuer, que tout me sera pardonné !

Je me souviens encore l’odeur et le goût salé de sa verge pénétrant ma gorge ! faisant des allers-retours incessants, je lui caresse les bourses en même temps . J’espère une chose que cela s’arrête, qu’il éjacule au plus vite ! Voilà pourquoi je faisais tout cela. lorsqu’il avait bu comme ce soir la, c’était plus long et il en redemandé toujours plus.

Soudain il s’arrête et s’allonge à son tour sur la table. Il me demande alors explicitement de lui chevaucher le visage avec mon sexe.

Je m’assois sur lui devant la fenêtre, un rideau quelque peu mal fermé me laisse entrevoir la lune, elle est si belle à cet instant.

Est-ce un signe ?

L’homme de l’église !

Tout à coup je n’ai que lui en tête, ce qu’il m’a dit et demandé de faire.

J’ai enfin compris !

Alors Je tourne le dos, à la lune et accélère la cadence, je sens qu’il gémit comme un porc. Je m’allonge sur lui, il me lèche tandis que je tiens son sexe dans main, il éjacule sur mon visage tremblant de tout son être !

Il a de quoi trembler car je saisis le couteau à fromage poser juste à côté de moi. Je tiens toujours son sexe dans ma main alors je décide de scalper en commençant par les bourses pour ensuite lui détacher du corps ce qui lui a servi d’instruments de torture.

Il hurle à la mort me jetant au sol, avant de s’évanouir...

Quoi ?

Tu penses que c’est fini ?

Non !!!

Reste-la, assume, toi la lune, celle qui m’a donné la force de faire ce qu’il faut !

N’as-tu donc pas envie de savoir ce que j’ai fait ensuite ?

Ha ! C’est bien ce que je pensais.

Oupla !

J’ai failli tomber une fois de plus .

Désolée c’est l’émotion !

Ha non pas pour cette scène de sexe horrible avec mon père , mais pour ce qui va suivre bien sûr !

Le début de toutes choses ! le début qui m’amène à être là, maintenant !

Donc où en étais-je ?

Ha ! Il s’est évanoui le bougre !
Hahaha ! En six ans d’atroces sévices j’ai à peine tourné de l’œil. Mais toi une simple circoncision d’un peu trop prêt, tu me laisses à poil sur la table sans même pouvoir en discuter ?! N’as-tu donc pas honte ? Hors de question que tu perdes connaissance !

C’est pour ça que j’ai rapidement pris la nappe qui avait glissé. Simplement pour stopper l’hémorragie dont il devait sûrement souffrir.

Il ne peut pas mourir maintenant et aussi brusquement, ce ne serait pas juste ! J’y ajoute alors des poches de glaces les mêmes dont il se sert pour atténuer les bleus qu’il m’inflige lors de quelques raclées mémorables.

Il doit bien y avoir une corde à la cave ! Espérant qu’il ne se réveille pas entre temps.

Je prend la corde et le saucissonne comme le porc qu’il est.

Ça lui va si bien, non ? Il n’avais jamais été aussi beau de toute ça misérable vie.

Je m’assois alors sur son torse, je suis comme dans un état de transe, je me laisse guider par mes démons, comme l’homme me l’a demandé.

Papounnet, on se réveille ! c’est bien. Quoi tu as du mal à parler ? La seule chose qu’il m’a dite c’est

Pitié ! A sela je répond :

Quelle faiblesse je suis presque déçue papa

Je t’en prie aide-moi. Me dit-il . J’ai beau lui dire que je l’ai émasculé , mais son désir de vivre a l’air plus fort que tout !

Ça c’est mieux déjà, papa chéri ! Accroche-toi à la vie s’est important. Et arête de crier, personne ne t’entend ! Tu t’en souviens ? Tu a installé un isolant sur tous les murs pour que personne ne puisse entendre tes excès de colère, et mes cris lorsque tu me sodomises.

Quoi ? Tu me trouves vulgaire ? J’ai plus six ans et j’ai lu tout qu’il y avait à savoir sur le sexe, en plus des quelques vidéos que tu me montres pour que je puisse reproduire certaines scènes. Du coup j’ai une idée, je vais te faire vivre un fantasme comme tu n’en as jamais vécue. D’ailleurs ce sera ton dernier. Bon tu parles trop ! Donne-moi ta langue, je vais t’en débarrassé. Lui dis-je le sourire aux lèvres. 

Quoi ? Je vous vois venir pensant que je vais trop loin ou que j’affabule.

Ce sont en tout cas mes souvenirs, mes mots eux ont peut-être été légèrement différents, quoique j’étais vraiment précoce.

Je suis douée pour le sadisme, en même temps j’avais été à bonne école.

Effectivement je lui sectionne la langue ! Malheureusement il commence à se vider de son sang donc je vais devoir précipiter sa chute.

— Tu pleure, comme c’est mignon ! Pour en finir, je lui ai dit mot pour mot :
— Papa ta fin est proche, mais d’abord je vais t’ouvrir le torse y saisir ton cœur, m’installer à table car je n’ai pas mangé. Cette petite sauterie m’a donné faim. Au menu cœur de père sur son lit de mort.

Si vous aviez entendu comme j’ai ris ! Jamais, Ho non jamais cela ne s’était produit auparavant...

— Si tu as faim tu n’as qu’à mangé ta langue ! Tiens ouvre la bouche. Non tu n’en veux pas ? tant pis, je ne vais pas te forcer. Tu mourras donc le ventre vide !

Je saisis alors la hache près de la cheminée et lui assène une multitudes de coups au thorax.

Lui écarte les côtes farfouillant un peu partout. Je finis par le trouver.

Alors je mange assise sur une chaise le cœur sans âme de mon père, le corps nu recouvert de son sang.

Chacune de mes bouchées me rendent plus folle et hilare, c’est comme être possédé ou bien hypnotisé. Je me souviens, une fois terminé j’ai dit :

— Père j’ai englouti tes démons, il n’avait pas d’âmes !

A tel point que tu n’en avais pas toi-même.

Tu devrais me remercier. Mais bon ce serait trop demander...

Peut-être me voyez-vous comme un monstre maintenant ?

Je vous rassure ce fut mon cas lorsque je suis sortis de la douche. Toute cette adrénaline et cette folie qui s’était alors emparé de moi semblait avoir quitté mon corps. J’étais redevenue cette fillette de onze ans. Je me suis habillée. C’était un véritable carnage en bas.

D’ailleurs j’ai vomi une fois en bas. Qu’avait-t-il pu m’arriver ?

Que va-t-il m’arriver surtout lorsqu’ils découvriront son Corps torturer et sont cœur introuvable.

Je dois partir !

J’ai donc fait ce que m’a demandé l’homme d’Église, puis le retrouver comme il me l’a mentionné en fin de journée .

Je sors, les yeux rivés vers le sol, l’air coupable, il fait nuit noire. En sortant de chez moi je percute un homme. Ce n’est pas grave pas le temps de m’excuser.
J’arrive alors devant l’église.

j’ai beau frapper de toutes mes forces sur la porte personne ne m’ouvre.

Je passe donc la nuit au pied de l’église, sur un banc. À mon réveil, j’aperçois la police qui sort de l’église, les pompiers et la morgue.

Je suis tellement fatigué que je ne remarque pas tout ce tapage. Je pense même en me réveillant que ce que j’ai fait n’est qu’un cauchemar. J’essaie alors d’écouter ce que dit la police, mais de toute façon je devrais bientôt me confronter a leurs regards apeuré, lorsqu’ils viendront m’arrêter pour me punir de ma macabre entreprise.

Atendais j’en ai bientôt fini !

Promis après ça je prendrai une décision. Je saute, Je saute pas. Telle est la question... bla. bla. bla....

Lorsqu’un policier passe près de moi j’entends alors l’impensable !

Nous venons de retrouver le père Vincent assassiné, crucifié, visiblement le meurtrier a pris soin de lui ôter le cœur de sa poitrine. Vraiment c’est sordide comme histoire, d’autant plus qu’il avait dans la bouche une photo d’un enfant de la paroisse nue assis sur ces genoux. disais le policier à son collègue.

Autant vous dire que j’ai rapidement fait le lien avec l’homme du confessionnal.

J’en reviens pas. Pour moi cela s’annonce mal, très mal...

Je retourne à mon domicile et de là-bas j’appellerais alors la police.

Je suis maligne et pleine de ressources. Arrivée sur place la porte est grande ouverte .

Je m’en rappelle comme si c’était hier, je ferme les yeux en entrant, puis lorsque je les rouvre je m’aperçois que le salon est vide. Ni table, ni chaise, pas de sang ni de corps.

Suis-je folle ?

L’ai-je rêvé ?

En y réfléchissant bien, un détail me vînt à l’esprit.

L’homme que j’ai percuté la veille m’a dit tout bas :

Attention jeune fille...

Sa voix !

Cette douceur angélique !

Était-ce l’homme d’Église ?

Il aurait alors tout nettoyé ?

Ou bien simplement une coïncidence ?

Non je ne crois pas aux coïncidences, je suis trop intelligente. Désormais je le sais il existe, mon ange gardien ! mon protecteur...

Une question me taraude à cette époque. Et si c’est le diable !

Qui suis-je pour lui alors ?

Bon voilà j’ai finis.

À la une, a la deux et à l’aaaa !

Décidément vous êtes bien trop gourmandes !

Vous en redemandez ?

Que voulez-vous savoir, si l’homme d’Église est bien le diable ?

Ce qu’il a bien pu m’arriver ensuite ?

Pourquoi je suis sur le point de sauter dans le vide ?

Trop de questions tue la question, mais je comprends votre curiosité.

C’est un peu long, un peu de patience.

Est-ce-que je regrette mon acte ?

Non ! En aucun cas.

Mais à l’époque je n’étais pas cette femme de vingt cinq ans.

J’ai aussi aimer que croyez-vous ?

Oui, oui ça m’est arrivé.

Quoi vous me croyez sans cœur ?

Non, ça c’est mon père, l’homme sans cœur !

C’est ironique et en même temps ça me rend nostalgique.

En tout cas cette boîte de Pandore je l’avais mise en berne, mais ça n’a pas duré bien longtemp...

À SUVRE... ❜❜❜

(DÉSOLÉ SI CERTAINES SCÈNES ONT PU CHOQUER CERTAIN(E)S LECTEUR.ICES ) DÉSOLÉ AUSSI POUR LES FAUTES D’ORTHOGRAPHE ! UNE CORRECTION COMPLÈTE SE FERA UNE FOIS LES TRENTE CHAPITRES TERMINÉS. SI L’HISTOIRE VOUS A PLU POUR L’INSTANT CE N’EST QUE LE DÉBUT, N’HÉSITEZ PAS À VOTER ET À COMMENTER. TOUT AVIS EST BON À PRENDRE.

Afin de pouvoir vous repérez dans l’histoire. Ambre joue un peu comme une pièce de théâtre son histoire ! Lorsque les passages sont en gras, elle s’adresse à vous les étoiles avec sa voix d’adulte sortant de son rôle tout en en parlant au passé de ce qui lui est arrivé. Les passages simples, elle prend sa voix d’enfant, entrant dans son rôle s’ exprimant au présent. D’où son récit au présent pour des faits qui se sont déroulés ultérieurement. L’angle va sûrement vous perturber, au départ. Imaginez donc une pièce de théâtre se jouer devant vous avec un seul acteur ! Et des moments où l’acteur revient à lui pour s’adresser à vous droit dans les yeux ! Bonne lecture mes petites étoiles si l’histoire vous plaît voter, commenter. 

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