Chapitre 9. Patitiri (Alonisos), des passagères surprenantes !

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### Marc ###

L’entrée du port ne présentait aucun problème, Corina surveillait la manœuvre d’ancrage en marche arrière et sauta sur le quai amarre en main. C’était un plaisir de la voir toute joyeuse après cette journée très érotique.

Comme on n’avait pas mangé grand-chose de la journée, on se précipitait dans le restaurant de la plage. On était trop tôt aux normes des heures de repas en Grèce mais on n’était pas les seuls. Un couple de filles était assis à une table avec une bouteille de vin blanc comme apéritif.

Le gérant vint vers nous en demandant dans un anglais approximatif nos désirs. Je laissais le soin à Corina de lui répondre, ce qui mit l’homme à son aise, en entendant ma copine lui demander si on pouvait manger dans sa langue.

Elle commanda une bouteille de vin blanc et des brochettes ce qui devait aller assez vite. L’homme confirma que le cuisinier avait déjà allumé le gril pour les filles.

Elles parlaient anglais et Corina s’adressait à elles pour meubler le temps. Nous apprîmes ainsi qu’elles étaient venues avec le ferry et logeaient à l’hôtel un peu plus loin pour la semaine. Elles étaient arrivées deux jours auparavant et se demandaient que faire d’autre que de se balader et d’aller à la plage, Il y avait peu de monde dans le coin et donc peu d’occasions de socialiser.

Une s’appelait Elena et était grecque, l’autre se prénommait Cathy et était anglaise comme Corina.

Nous convînmes donc de se mettre à la même table plutôt que de faire la conversation à distance.

Elena était assez bien faite même si je la trouvais un peu rude d’aspect, elle était originaire du nord de la Grèce et n’avait jamais été dans les îles. Cathy avait échoué en Grèce il y a plusieurs années pour une étude démographique et avait rencontré Elena à Thessalonique.

Il me paraissait évident que Cathy qui n’avait quasi-pas de poitrine n’était pas très familière avec la langue grecque et avait trouvé un excellent appui chez Elena pour mener à bien son étude. Elena était bien proportionnée et regardait Corina avec un regard assez intéressé. Je n’étais pas dupe les filles devaient avoir une relation lesbienne.

Le repas fut servi à nous quatre en même temps et les premières minutes furent assez silencieuses. Puis Cathy nous demandait comment on était arrivés sur l’île et je répondis qu’on faisait une croisière et qu’on venait d’arriver il y a une heure environ.

– Ah c’est vous sur le voilier qui est arrivé ce soir !

– Oui dis-je et on va rester quelques jours dans les environs.

– Oh vous avez de la chance, cela doit être merveilleux de vous balader sur la mer !

– Oui ajouta Corina, il y a quelques jours on a même fait la course avec des dauphins !

– On a jamais vu les dauphins dit Elena, avec un peu d’envie dans sa voix.

– Elena, Corina et moi nous avons déjà beaucoup navigué avec le club et c’est seulement maintenant que nous les avons vus pour la première fois.

– Vous êtes en couple ? demanda Elena.

Il y eut un moment de silence, Corina me regardait mais je lui laissais la responsabilité de la réponse en lui souriant.

– En fait, dit-elle nous sommes des amis très très proches et nous aimons bien naviguer ensemble ! Marc m’a invitée à cette croisière et nous nous entendons très bien. Il cherchait une équipière expérimentée et j’ai accepté avec enthousiasme !

– Oui, dis-je quand on est que deux à naviguer ensemble, il faut une certaine routine et une confiance mutuelle totale.

Je sentis une petite main sur ma cuisse, Elena avait perçu le mouvement de Corina et eut un sourire franc.

Corina se penchait à mon oreille et me demanda en murmurant pendant que les filles faisaient un aparté :

– On les invite pour un tour demain ?

– Oui pourquoi pas, la météo prévoit un grand calme demain, donc le risque est minime !

– Ok alors, dit-elle, avez-vous le mal de mer ? demanda-t-elle aux filles.

– Non, lors de notre voyage à l’aller sur le ferry la mer était assez agitée mais nous n’avons pas été malades !

– Alors le capitaine et moi nous vous invitons à bord demain pour une balade de la journée.

La proposition fut accueillie avec grand enthousiasme par les deux filles.

– Bon alors je vous propose d’être devant le bateau demain à 9 heures dis-je prévoyez le pique-nique pour vous deux et une veste pour vous couvrir en soirée pour le retour car il peut encore faire frais en cette saison !

– Et des baskets à vos pieds, ajouta Corina.

Nous nous quittâmes avec un petit bisou pour moi et quelque chose de plus appuyé pour Corina.

– Je sais que ce n’est pas dans nos habitudes de prendre des inconnus comme passagers dit Corina, mais tu es d’accord qu’elles sont sympas !

– Tu dors avec moi ?

– Oui, mais c’est pour dormir, dit-elle mais tu peux faire comme moi, reste nu ! dit elle en souriant, comme ça si je me réveille avec une petite faim…

– Oui, j’ai compris !

Elle se coucha contre moi et mit ma main sur son sein, me donna un gros bisou et s’endormit d’un claquement de doigts.

Malgré que mon mât de misaine soit dressé, je m’assoupis très rapidement.

Durant la nuit je fus légèrement réveillé pas Corina qui cherchait un contact plus intime, mais c’était dans son sommeil et une fois trouvé la bonne position, elle ne bougea plus !

Au matin, je me réveillais avec les bruits habituels des pêcheurs partant pour leurs sorties journalières. Corina dormait encore profondément comme un bébé et je replaçais le drap sur son corps avant de sortir de la cabine. On avait encore tout le temps, les filles n’étaient pas attendues avant 9 heures ! Je ramassais nos vêtements disséminés au gré de notre déshabillage dans le carré et me fis un café.

Un peu plus tard, je vis une tête rousse pointer avec un large sourire, elle avait enfilé un t-shirt qui ne lui couvrait pas le nombril et n’avait encore rien sur ses fesses !

– Moussaillon bonjour ! Tu comptes montrer ta pleine lune et ton ticket de métro à toute la Grèce ?

– Non mon capitaine, mais c’est pour montrer que je suis une vraie rousse ! Puisque c’est à la couleur des poils pubiens qu’on peut certifier la vraie couleur des cheveux d’une femme !

– Je n’ai jamais douté que tu étais une vraie rousse même si je n’avais jamais vu tes poils pubiens ou tes aisselles que tu rasais régulièrement !

– Tu me regardais donc attentivement quand on nageait ensemble ?

– Oui, moussaillon ! Tu es une jolie fille et je te signale que j’étais en manque !

– Tu avais une arrière-pensée lorsque tu m’as invitée pour la croisière ?

– Je te jure sur l’honneur que cette pensée ne m’a pas effleurée ! Je t’ai choisie pour tes qualités de coéquipière et pour ta bonne humeur !

– Je te crois, d’ailleurs c’est moi qui t’ai agressé sexuellement !

– Mais je ne regrette pas ! Dis-moi tu avais envie de moi ?

– Oui, je l’avoue que durant la dernière plongée je t’ai vu remonter à bord avec une érection phénoménale et ce soir-là j’ai dû me calmer car je fantasmais sur toi !

– Oui, je me souviens de ce jour, lorsque tu as enlevé ta combinaison de plongée, tu avais les tétons tout tendus comme maintenant !

– Et ?

– Et rien, je ne me rappelle pas la raison de cette érection ! Mais ce n’était pas la vision de toi qui l’avait provoquée.

– Je crois savoir, avant de sortir de l’eau, je voulais attraper l’échelle de remontée et j’ai dû te toucher sans le vouloir ; j’ai agrippé un barreau de l’échelle, mais c’était toi !!!

– Je ne me rappelle pas ! Je devais penser à mon ex peut-être.

– Elle t’a fait bander tant que ça ?

– Oui ! Mais je te le raconterai ce soir ! Les filles vont bientôt arriver et nous devrions mettre quelque chose de décent !

Effectivement, on avait déjeuné et j’étais habillé d’un polo et d’un short, Corina était revêtue de son bikini qui me plaisait bien ! Les filles se présentaient sur le quai en t-shirt et short et chacune d’un sac de sport.

Elles étaient tout enthousiastes de faire une balade en mer, Corina leur indiquait qu’elles pouvaient se mettre à l’avant, car on allait naviguer au moteur et donc le génois n’allait pas les déranger pour leur bain de soleil. Corina les prévint que ne pas s’asseoir trop près de la chaîne de l’ancre que Marc allait remonter au départ.

Corina surveillait le départ et ramena l’amarre à bord dès que l’ancre était remontée.

Elle vint s’asseoir près de moi pour me donner un bisou puis s’installa pour profiter du soleil.

Les deux filles étaient étendues à l’avant, du cockpit je n’avais pas bonne vue, mais Corina qui était sur le bord me fit un signe en montrant sa poitrine. Elle s’approcha de moi et me dit tout bas :

– Capitaine, tes passagères sont à poil ! Alors je te recommande de ne pas quitter la barre pour aller vérifier la voilure ou autre chose !

– Ah bon ! Mais je n’ai pas l’intention de me rincer l’œil ! Je suis comblé par ta présence. Si tu veux faire pareil n’hésite pas ! Je serais moins excité car je te préfère de loin à ces filles.

Elle ne se le fit pas dire deux fois et le haut de son bikini disparut dans l’ouverture de la cabine. Elle vint s’asseoir tout près de moi

– Mais il n’est pas question que tu dévoiles tes attributs ! Ils me sont strictement réservés. D’autant plus qu’elles ne se contentent pas de prendre le soleil ! Elles sont en train de se masturber mutuellement. Oh Marc, elles m’excitent ces salopes, mon slip est tout mouillé !

En effet en me mettant debout je les vis nues en ciseau se frottant le clitoris sans la moindre gêne. Elles étaient absorbées dans leur excitation mutuelle alors qu’on avait à peine quitté le port !

Cette vue ne me laissa bien entendu pas insensible et mon mât de misaine voulait saluer l’évènement. Corina tout en regardant les filles jetait un coup d’œil vers moi et vit un pic de tente dans mon short.

– Ça t’excite à ce point Marc ?

– Oui, je l’avoue, j’ai l’impression de regarder un film porno version hard de « la croisière s’amuse ».

– Au point où on en est, les filles sont occupées on pourrait faire pareil !

Elle s’approchait de moi et descendit mon short libérant mon pieu qui demandait de l’air frais !

– OMG, Marc tu bandes ! me dit-elle sournoisement, Capitaine il y a le feu dans ton short !

– Moussaillon il ne te reste qu’à éteindre l’incendie !

– J’ai appris que sur certains feux il ne faut pas jeter de l’eau mais il faut couvrir et étouffer l’incendie.

Disant cela, elle se déculotta et présenta son cul à ma verge, d’un seul coup elle poussa son derrière sur ma verge qui glissa aisément à l’intérieur par la cyprine dégoulinante de son intimité.

Je bloquais la barre et pris Corina par les épaules pour me défoncer dans son corps !

– Oui Marc, fait moi jouir, ces salopes m’ont excitée comme toi, défoule-toi !

– Ça ne sera pas long, Corina mais je ne suis pas couvert !

– Je m’en fous, ce n’est pas la première fois, je te rappelle que je prends ma pilule tous les jours !

C’était trop violent, Corina s’appuyait contre l’entrée de la cabine, moi je la tenais à une épaule et réussis à saisir un sein tout en regardant les filles qui maintenant étaient en 69 broutant mutuellement leur minou.

Corina avait le même spectacle devant les yeux, mais lâcha une bordée d’injures anglaises en jouissant.

C’était de trop, je ne me retenais plus et dus me tenir à ses hanches pour ne pas tomber pendant que j’éjaculais puissamment.

En rouvrant les yeux je constatais que les lesbiennes nous regardaient intensément, sans doute nos cris de jouissance avaient attiré leur attention.

Corina avait noté la même chose mais sans commentaire se retournait vers moi pour un baiser profond d’après l’orgasme totalement indifférente au regard des filles :

– Si elles sont choquées tant pis ! Ce sont elles qui ont commencé dit-elle, en me faisant un clin d’œil.

Je me rassis en débloquant la barre et elle vint s’asseoir sur mes genoux en serrant ma verge toujours tendue entre ses fesses.

– Marc, ouf ! Quelle jouissance mais malgré cela je sens encore ton sexe qui vibre entre mes fesses. Tu es insatiable !

– Non Corina, je bande pour toi !

Mais Cathy vint dans notre direction et s’adressait à Corina :

– Bon, on est un peu gênées mais on a vu que vous étiez aussi très excités, cela vous dit de faire un plan à quatre ?

– Non dit Corina, merci mais je ne partage pas mon homme ! Mais ne vous en faites pas pour nous, on a bien profité du spectacle.

– Oui ça, j’avais compris dit-elle avec un grand sourire en retournant vers l’avant.

Je n’étais pas étonné de la réaction de Corina : « Je ne partage pas MON homme ». Notre relation évoluait ! Je n’étais plus son ami de plongée et de voile, ni son petit ami mais son homme !

### Corina ###

OMG ! Je n’avais pas imaginé que ces filles allaient nous donner un spectacle pareil !

Un film porno lesbien en life ! Et nous deux excités à l’extrême par ce spectacle.

– Marc, il est midi passé, si on soufflait un peu pour prendre le déjeuner ? Je les invite ?

– Oui, je peux me mettre en panne, dresser la table dans le cockpit, en principe elles ont prévu un lunch, on complétera avec nos boissons et nos sandwiches ! Il n’y a personne dans les environs.

– Alors je les invite à nous rejoindre dis-je, elles ne doivent pas se rhabiller je suppose ?

– Non répondit Marc, du moment que tu défends ta propriété !

– Comment ça « ma propriété » ?

– Corina, tu as dit tout à l’heure que tu ne partageais pas TON homme ! dit-il.

– Oui, mais tu ne dois pas te sentir gêné j’aime quand tu bandes, même si c’est à la vue d’autres femmes ! dis-je.

– Je n’ai pas besoin d’autres femmes pour bander, dit-il, Je l’ai déjà suffisamment prouvé depuis le début de ce voyage.

– Oui, et j’aime ton érection ! ajoutai-je, même si c’est exceptionnel que tu te montres ainsi devant d’autres femmes que moi, n’en fait pas une habitude !

J’appelais donc les deux femmes à nous rejoindre dans le cockpit en précisant qu’elles pouvaient venir sans se rhabiller, vu que nous restions nus également.

Les deux filles s’enthousiasmèrent un peu trop à mon goût et j’ajoutais donc :

– Oui, je précise quand même qu’on regarde mais pas toucher, pas de gestes inconsidérés ni entre vous, ni vers nous !

Ce qu’elles acquiescèrent.

Entre-temps Marc avait dressé la table pliante et sorti le vin, les verres et nos sandwiches.

Elena apportait le panier pique-nique préparé par leur hôtel, aucune des filles ne semblait gênée par l’érection phénoménale de Marc. J’aurais juré qu’il bandait encore plus fort que d’habitude et sans avoir la berlue, je voyais de l’humidité sur son gland !

En parlant d’humidité, les filles et moi-même on mouillait et je trouvais que leurs lèvres intimes étaient très gonflées, était-ce leur excitation ou dû au jeu pratiqué avant de nous rejoindre ?

Nous trinquions joyeusement, mais je devais vraiment me maîtriser de ne pas toucher Marc, car je ne tenais pas à transformer ce repas en orgie !

Marc n’avait sorti qu’une bouteille de vin et de l’eau, tacitement on n’avait pas l’intention de sortir une deuxième bouteille de vin, n’ayant pas envie de saouler les filles et de déraper dans une relation à quatre.

Les seins des deux filles étaient fort différents, Cathy montrait à peine un renflement mais les aréoles étaient très larges et les tétons avaient une protubérance au-delà de la normale. Elena par contre avait des seins plus lourds avec des petites aréoles et des tétons discrets.

Je crois que je ne devais pas les jalouser, Marc ayant déjà montré à de multiples reprises qu’il aimait mes seins fermes avec des aréoles de grandeur moyenne par rapport aux deux filles. Par contre mes tétons étaient toujours pointus depuis que j’étais avec Marc, phénomène peu courant en temps normal !

Après le repas Elena se proposait de faire la vaisselle avec moi et la proximité du coin cuisine ne l’empêchait pas de me frôler avec ses bras et ses seins, je trouvais cela fort plaisant, car si un jour je serai sans homme, une femme comme Elena pourrait me faire jouir.

Je mouillais abondamment ce qui n’échappa pas à Elena. Elle ne disait rien mais son regard en disait long, je crois qu’elle aurait bien bu toute la cyprine qui coulait le long de mes cuisses.

– Non Elena, je laisse cela pour Marc qui veut son dessert !

– Tu as de la chance, ton homme est vraiment une exception que je me le ferais volontiers s’il était libre !

– Tu es bi ?

– Oui cela m’arrive quand je rencontre des beaux spécimens comme ton homme !

– Comme je l’ai déjà dit tout à l’heure, tu devras te contenter de ton casse-croûte !

Tout ce dialogue s’était fait en grec, ce qui me permettait d’être un peu cru et sans que Marc nous comprenne !

Elena retournait à l’avant pour bronzer avec sa copine, moi en remontant de la cabine je voyais l’engin de Marc juste devant mes yeux et ne résistais pas !

Avant qu’il ne le réalise, sa verge était profondément dans ma bouche et ce fut d’après moi l’éjaculation la plus rapide entre nous ! Il était vraiment superexcité. Cela avait un avantage c’est qu’il ne bandait plus pendant quelque temps !

Les filles à l’avant s’étaient calmées aussi et la journée s’acheva sans autre fait marquant.

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