EPCOT
Nous avons donc commencé notre visite du parc EPCOT à dix, mais cela fut très difficile. S’il est encore possible, à sept, de faire les mêmes attractions en même temps, à dix, cela est un défi permanent aux lois de la démocratie et de la nature humaine. Nous nous sommes perdus et retrouvés plusieurs fois avant de perdre définitivement Serge et Adrien.
Le parc EPCOT est divisé en deux parties : le monde d’aujourd’hui et le monde du futur. Ce dernier a de grandes similitudes avec le FUTUROSCOPE de POITIERS. Quant au monde d’aujourd’hui, il ressemble étrangement au monde d’aujourd’hui. En plus petit, peut-être. Nous avons particulièrement appréciés le Mexique, la Norvège, la Chine et la France.
Les autres pays étaient très bien aussi.
Le Mexique était féerique et nous nous sommes crus, un instant, par une belle nuit étoilée sous le ciel de Mexico.
La Norvège était trollement bien aussi, mais nous avons fait une queue d’une heure avant de pouvoir traverser la mer du Nord sur notre Drakkar.
En Chine, nous nous sommes extasiés devant un film admirablement bien fait, projeté sur un écran géant circulaire qui nous donnait l’impression d’être au milieu du paysage.
Nous avons soupé dans un fast-food japonais dans lequel Aurélien a pu se régaler pour la première fois de sa vie d’une glace aux haricots rouges !
Tout cela, nous l’avons vécu parmi une foule bigarrée, cosmopolite, souffrant des pieds et d’excès pondéral.
Annotations
Versions