A fleur d'humanité, mon esprit envolé
Au-delà de moi-même, en recherche de sens
A l'absolu chaos se croyant ordonné,
Oubliant la raison en musique et en danse.
Affleure l'humanité en mon esprit ouvert,
Au rythme nous liant, apanage du beau
Où se donnent les cœurs en la valse du vert,
La toile d'un espoir où se noieraient les maux.
A fleur d'humilité où se cherche ma plume,
L'insolente candeur des questions se posant
A force de fouiller là où l'être s'exhume
En une vérité vide de jugement.
Affleure l'humilité en lit de ces mots,
Celle de regarder là où le cœur est laid
Et d'en tirer le beau où s'éteignent des maux
Facile à conjurer dans le prisme du vrai.
Affleure en poésie des mots parlant de moi
Et de tous les humains, semblables en différences
De surfaces et d'ego déréglé et sans lois,
Sinon l'odieuse honte équanime en le rance.