Journal - Jour 16: dimanche 18 juillet 2021, 09h25

2 minutes de lecture

En retard, je pense beaucoup, j'ai décidé de vivre pour moi, l'altruisme c'est terminé. C'est terminé depuis l'agression et le viol. Ce monde est plein de carriéristes à qui j'ai toujours laissé la place.
Je pense dissonance cognitive en ce moment, et elle va avoir lieu sur un mensonge tout frais qui a du être conté à beaucoup de militant lutteur. La concierge au genou ensanglantée, mais quel sale rôle qu'ils lui ont filé. Qui veut celui de Jordy dans le rôle du lâche qui tient son ancien collaborateur que dis-je donateur, pour qu'un inconnu le COGNE A COUP DE POINGS DANS LE VISAGE. Et le gros Jean Gine, faut le voir faire l'inspecteur des travaux finit. Et concierge, finalement dans un second rôle que celui d'éclater au sol caméra et téléphone et rechercher les cartes SD, alors que l'observatrice passe vite fait pour entrer chez elle, en trottinant comme apeurée jouant son rôle de martyr. Ils aident celle qui a porté plainte contre tous le commissariat pour harcèlement et qui bizarrement ne met en place aucune procédure contre moi mais préfère pourrir mes murs de son malentendu et me faire péter la gueule....
AMNESTY, même AMNESTY s''est fait duper....

tu ne crois pas, tu sais
depuis fort longtemps
mais tes certitudes
moquées, ne peuvent que
bien se porter.
Chahutées
Interloquées
déstabilisé.
Dans l'obligation
de te conforter,
tu choisiras selon
ton degré de soumission

C'est sur une lame de rasoir que j'avance comme un funambule. La ou je me dirige, ceux qui connaissent, sont peu à vouloir y retourner. La majorité stoppée en chemin par une peur de mourir ou de perdre la raison préfèrent abandonner,s'écorchant plus ou moins légèrement se promettant de ne pas y retourner. Celles et ceux qui ont mal agit par le mensonge ou la manipulation se trouvent dans un état prompt au mal-être avec leurs semblables, ils craignent qu'on les voit, ceux qui se mentent vont vivre un difficile affront de leur moi. C'est un lieu ou j'adore m'égarer pour observer mon corps totalement écorché que je vais pouvoir pousser dans ses retranchements, aucunes excuses, aucuns mensonges ne lui sera permis. Je l'ai eu conduis dans des contrées hostiles , des portes sur mon passé mon présent mon futur. Des portes qui ouvrent vers un intérieur des plus sombre, c'est un affront que je m'inflige, revivre des évidences douloureuses. Je suis chez moi et il m'importe d'en faire le tour pour une purification, une cure de jouvence. Rien n'est absout mais c'est humble qu'il faut se reconnaître pour s'améliorer.

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