N'importe quel loser sait que dans un état de droit, la confrontation de deux personnes, n'appartenant pas directement à l'état. Deux personnes non policières en ces temps de disette pour l'état qui n'a plus d'argent pour calmer la masse. Il ne peut vraiment payer que ses derniers combattants, flics et gendarmes. Il va falloir que l'on voit ou l'armée normalement seule se tient indivisible ? Mais à mon avis là aussi ça touche les classes aisés.
J'ai du mal à me dire que la violence de la frappe Covid n'a pas eu pour état de situation que d'exterminer quelques paliers, quelques classes cher Marxou, pour commencer à s’agacer après l'été quand progressivement malgré Vaccin tu vas leur demander de respecter tes horaires à la con.
J'ai vu les classes et ceux qui continuent de faire business, quelque part avec l'état, il y en a quelques-un là dedans, dîtes le et supprimait d'une quelconque lubies, vos idées d'un quelconque anarchisme. Il n'y en a pas un qui ne suit pas un ordre, au mieux il est divin au plus mauvais et ce fut mon cas, il est pris au piège de ces gens dans ces règles ICI LOIS. Figurez vous qu'elle sont partout ces LOIS, ne buvait pas, faute ou pas vous êtes un drogué donc la première des anarchie, l'ordre sans chef il ne commence que par soi. S'il est doctrinaire il perd tout son charme et là il l'est faute d'utiliser l'alcool pour gagner sur l'autre.
Ca marche grave je vous le dis, je connais quelqu'un qui a fait condamner son père pour deux canettes de bières et un verre de vin à table, comme consommation pour l'aider à accepter sa condition de veilleur de nuit d'un asile psychiatrique.
Imaginez le, lui, à l'endroit ou ils jugent l'imposture , lui, sobre car il ne boit qu'à table, ce jour là sur son 31 soutenant sa femme camerounaise mal habitué de comment on doit se comporter devant la justice française. Pour laquelle on me l'a rappelé il y a peu se tiens encore sur l'adage travail, famille, patrie. Il l'a tenue tant qu'il a pu, sa camerounaise hurleuse à la mort, tonitruant pour que sa voix domine ; son travail, sa famille, sa patrie ! Et qu'on leur laisse leurs enfants ?! Nous l'aimions, pourquoi la DASS ?! Les assistantes sociales obéirent et ramenèrent l'enfant au milieu des siens.

Cette personne est une femme du sud qui n'acceptant pas que son père refasse sa vie a cru bon de lui faire savoir qu'il était un mauvais père.