Exeter

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Tarzan erra pendant des heures dans la ville. Il ruminait comme une vache le ferait dans son champs, pensive, un brin de paille coincée entre deux molaires. Certes, il était maître chez lui, au moins dans les termes recevables d’une époque encore un peu obscure où les hommes profitaient d’insupportables privilèges.
Pourtant, il n’aimait pas l’idée de partir sans le consentement de Jane. Elle était son âme sœur, celle qui savait toujours ce qu’il convenait de faire quand le monde se mettait à trembler autour de lui. Depuis leur union, jamais ils n’étaient entrés en conflit aussi violemment. Jane lui manquerait cruellement. Il aurait mille fois préféré sa présence pour ce voyage.
S’il pouvait comprendre les interrogations d’une épouse sur les raisons d’un époux revenant au domicile conjugal en pleine nuit, passablement éméché et les souliers à la main, il se perdait encore en questions pour comprendre pourquoi Jane se moquait aussi inconsidérément du coût exorbitant de ses fruits préférés. Ne fallait-il pas intervenir au plus tôt pour éviter la ruine et voir le monde changer pour donner la primauté à des pommes, des poires ? Et pourquoi pas des carottes ?
Non, décidément, John Tarzan n’avait pas d’autre choix que de monter aux créneaux et défendre chèrement sa peau. De banane, la peau !

Hastings n’était pas une ville bien grande. Habitué à marcher depuis toujours, il se retrouva bientôt sur les plages de Brighton. La grande jetée en bois, inaugurée quelques dizaines d’années plus tôt, était animée d’une perpétuelle petite fête foraine. Il s’y dirigea d’un pas indifférent, les mains dans les poches et la tête basse. Il n’y resta pas longtemps, vite ennuyé par la foule des élégantes et des prétentieux qui avaient un jour décrété que cette petite ville portuaire convenait à leurs lubies bourgeoises. Tarzan s’éloigna sans regret pour arriver, quelques instants plus tard, au port de pêche. Là, patientaient quelques navires.
Son attention se porta sur les plus grands. Il n’avait pas la moindre connaissance en la matière, mais il tenta d’identifier celui qui le porterait jusqu’en Afrique. Parce qu’il devait être là, quelque part, ce fameux bateau pourfendeur de flots… Un deux-mâts barque. A quoi pouvait-il ressembler ? Comme le ferait n’importe quel candide, il dénombra les vaisseaux d’au moins deux mâts… Il chercha pendant des heures sans rien trouver. Se pouvait-il que le capitaine D’Arnot se fut moqué de lui ? D’humeur de plus en plus sombre, il n’était pas loin de le croire. Il soupira, puis, d’un pas un peu plus pesant encore, il s’éloigna en consultant sa montre gousset. Que faire ?
L’idée de revenir à la maison ne l’inspirait guère. Jane serait encore de méchante humeur, son départ en claquant la porte ne ferait probablement qu’alimenter un peu plus la discorde. Rude moment de solitude. Voilà où menait parfois le triste privilège masculin.
Quand, soudain…

  • Lord Greystoke, quelle heureuse surprise ! fit une voix derrière lui.

Le capitaine D’Arnot s’approcha à grands pas, le sourire aux lèvres et la démarche un peu hésitante. Il avait encore un peu trop bu, se dit Tarzan d’un air maussade.

  • Capitaine… N’êtes-vous pas en train de préparer votre navire pour notre expédition ? lança-t-il, d’un air un peu perfide.
  • Préparer le navire ? pouffa l’intéressé. Mais, mon cher, apprenez que mon navire est toujours prêt à partir !
  • Vraiment ? Et quand partirons-nous ?
  • Mais…répondit D’Arnot, un peu surpris du ton acide du jeune homme. Mais, nous partirons cette nuit, si vous y consentez !
  • Cette nuit ! Et pourquoi pas maintenant ?
  • Mais parce qu’il nous faut attendre les marées, mon bon Lord ! Voyez-vous, un navire, aussi puissant soit-il, est obligé d’attendre des courants favorables pour s’extraire des chenaux ! Selon mes calculs, savants n’en doutez pas, et compte tenu de la prochaine plein lune à venir, la marée sera montante aux environs de minuit. Si vous êtes si pressé de partir, alors donnons-nous rendez-vous ce soir un peu avant cette heure sur le quai principal. Je vous attendrai en personne pour vous accueillir à mon bord…
  • Minuit ? fit Tarzan. Qu’il en soit ainsi ! A plus tard, mon capitaine, alors.

Ils se séparèrent sur une poignée de main.
L’après-midi était déjà bien avancé, il ne restait plus que quelques heures à patienter.

***

La pluie était arrivée quelques minutes avant Tarzan. Les plages de galets, désertées depuis la fin du jour, disparaissaient dans la brume qui se répandait comme un linceul sur l’Angleterre. Pourtant, malgré l’ambiance lugubre, le jeune homme trépignait de joie à l’idée de repartir pour des horizons oubliés depuis trop longtemps. Il arpentait d’un pas vif et léger le quai encombré d’une nuée de marins qui chargeaient quelques derniers barils d’eau douce. L’air était au départ…
D’Arnot survint quelques minutes avant l’heure fatidique. Il était vêtu d’un costume un peu vieillot mais en parfait état. Il avait à la main un superbe tricorne noir, paré de trois plumes de perroquets. La vitalité des couleurs tranchaient dans la pénombre et les teintes sombres du décor.

  • Capitaine, enfin, vous voilà !
  • Inquiet ? rétorqua l’intéressé.
  • Impatient, plutôt. Sommes-nous prêts ?
  • Absolument !

Le marin s’approcha au plus près de Tarzan, l’air soudain mystérieux. Il le prit par le bras pour l’entraîner entre deux immenses caisses de bois en attente de transbordement. Puis, à voix basse, lui donna quelques consignes.

  • Milord, je vais vous demander de me suivre sans vous faire remarquer. Notre départ n’est connu de personne. Il m’a semblé préférable de n’avertir personne, pas même la capitainerie du port. L’affaire qui vous concerne est tellement importante, je crois, que j’ai décidé de laisser mon navire un peu plus loin, dans une anse que je connais et dont je sais la sécurité et le secret…
  • Mais…
  • Comment ai-je pu sortir de la rade alors que les courants étaient encore contraires, c’est bien ce que vous vous demandez ? Eh bien, vous pouvez d’ores et déjà juger de la qualité de mon équipage, non ? coupa D’Arnot.

Tarzan se contenta d’acquiescer, conscient qu’il ne saurait définitivement jamais rien de la Marine. Mais l’autre l’entraînait déjà vers un endroit un peu en retrait du port. L’activité y était bien moindre, seuls quelques marins affairés y passaient. Au bout d’une centaine de yards parcourus d’un pas rapide, ils arrivèrent au bout d’un petit quai désert.
Là, une chaloupe légère les attendait, sagement amarrée. D’Arnot sauta souplement du quai et assura la chaloupe près du mur pour recevoir son auguste passager. Celui-ci prit place d’un simple saut, à la grande admiration du marin.

  • Monseigneur, vous êtes fait pour la mer !
  • Trop facile… Quand nous serons arrivés dans la jungle africaine, je vous apprendrai comment vous déplacer dans les arbres à la vitesse du vent… répondit-il avec suffisance.

Tarzan s’assit sur le modeste banc à la proue de la chaloupe pendant que le capitaine s’emparait d’une paire de solides rames qu’il fixa aux dames de nage. Il sifflotait un air léger et gai.
Quelques secondes plus tard, ils étaient partis. L’obscurité de la nuit les cacha aux yeux des marins et des soldats de la capitainerie. Des pirates n’auraient pas été plus furtifs. D’Arnot avait un bon coup de rame et ils sortirent rapidement des eaux plates du port. Quand, pris par les premiers courants de mer, ils sentirent les effets du roulis, le capitaine redoubla d’efforts pour mener sa barque là où était caché son navire.
Puis, d’une voix un peu rude :

  • Majesté, sortez donc vos mains de vos poches et aidez-moi, voulez-vous ? fit-il en rangeant les rames. Nous allons dresser le mât et profiter du vent de terre qui nous pousse déjà.

Ne sachant que faire, Tarzan suivit avec application les ordres du marin. Celui-ci eut vite fait d’extraire du fond de la chaloupe un mât qu’il fixa solidement dans la quille. Il agissait avec assurance et rapidité. Avec quelques drisses, il déferla une voile carrée qu’il orienta au près, histoire de ne plus avoir à ramer plus longtemps. Très vite, l’esquif prit de la vitesse, jouant avec les crêtes des vagues qu’il franchissait sans effort. Le vent fouettait le visage de Tarzan qui se laissa griser par la belle sensation de vitesse. Les yeux rivés vers les feux de la côte qu’il voyait s’éloigner rapidement, il eut une dernière et affectueuse pensée pour Jane. Puis, se retournant vers la nuit profonde, il fit face à son destin.

  • Votre navire est loin d’ici ? demanda-t-il.
  • Non pas, mon ami. Je pense quand même, compte tenu de la mer et du vent, qu’il nous faudra patienter encore avant d’y prendre place… répondit l’autre en bordant ou choquant l’écoute de sa voile, selon les sautes des vents.
  • Mais nous ne sommes qu’au beau milieu de la nuit ! s’exclama Tarzan, fort surpris.
  • Et ce n’est que la première, que voulez-vous ? Gardez en tête que notre voyage durera plusieurs semaines !
  • Bon…si vous le dites, répondit Tarzan, regrettant déjà de ne pas avoir choisi un de ces clippers qui alimentaient l’Empire à grande vitesse.

D’Arnot ne prit pas la peine de rassurer son passager, trop occupé qu’il était à placer son bateau dans l’axe de la sortie du chenal portuaire. Puis, il ferla la voile…

  • Euh…Capitaine ? Vous venez d’abaisser la voile ? Sommes-nous arrivés ? demanda le jeune homme.
  • Pas exactement, Milord. En fait, nous allons attendre ici…
  • Ici ?
  • Plus ou moins, selon le courant. Mais comptez sur mes compétences pour ne pas nous éloigner de plus d’un quart de mille d’ici.
  • Mais, nous sommes en plein dans l’axe du port ! s’exclama Tarzan qui venait de réaliser. Nous allons nous faire aborder par les bateaux qui ne vont pas tarder à partir !
  • C’est bien ce que j’espère, mon ami !
  • Mais…et votre navire ?
  • Eh bien, quoi ? Il va venir !
  • Vous vous moquez de moi ? s’offusqua Tarzan.
  • Non, au contraire, rétorqua l’autre en se penchant soudain vers son passager, d’un air étrange. Je vous propose de choisir le meilleur navire de tout Brighton ! Il partira dans quelques instants, ne vous inquiétez pas…
  • Vous êtes fou ? Comment allons-nous embarquer ? Pourquoi ne pas l’avoir fait au port ?

D’Arnot se renfrogna un peu.

  • Disons que le prix que nous avons convenu pour la traversée était un peu juste pour convaincre un équipage entier de partir à l’aventure…
  • Que voulez-vous dire ?
  • Ceci : nous allons aborder l’Exeter pendant qu’il quittera le port. A cet instant, il n’aura pas encore eu le temps de se lancer et nous pourrons nous y accrocher en toute tranquillité…
  • A leur insu ? s’étrangla Tarzan.
  • C’est à peu près ça, avoua D’Arnot.
  • Des passagers clandestins, c’est ce que nous serons ?
  • Pas exactement… mais laissez-moi faire, je vous dis. Croyez-moi, vous allez voyager dans le sillage du plus rapide bateau à destination du Congo… Nous allons nous accrocher à sa propre chaloupe, nous y grimperons sans nous faire repérer, pendant que nous laisserons dériver la nôtre ; je connais les courants de la côte. Selon mes calculs, elle s’échouera sur les côtes, un peu plus au sud-est. Les plages sont sablonneuses, aussi ne se fracassera-t-elle pas sur les rochers. Pas bête, hein ?

Tarzan n’en croyait pas ses oreilles. D’Arnot se proposait de lui faire traverser l’Océan caché dans une chaloupe, au cul d’un transatlantique ! La fureur s’empara de lui, et d’un bond, il se jeta sur le marin. Les deux mains serrées autour de sa gorge, il allait le tuer, tout à sa colère, quand le marin, entre deux goulées d’air durement conquises, lui souffla avec conviction :

  • Si vous me tuez…argh…comment…argh…comment rentrerez-vous à terre ?

La question n’était pas mauvaise… Tarzan comprit qu’il n’avait plus le choix. Petit à petit, il desserra son étreinte, ce dont le marin lui sut gré, en profitant sans tarder pour avaler quelques litres d’oxygène en urgence.

  • Je sais que vous n’approuvez pas ma façon de faire, souffla-t-il en se massant le cou, mais comprenez-moi : les quelques guinées que vous m’avez données en guise d’acompte n’auraient persuadé aucun équipage au monde.
  • Je n’ai pas discuté le prix de mon voyage ! Vous m’avez indiqué une somme, et j’ai payé sans marchander ! S’il avait été nécessaire de payer plus, alors vous auriez touché la somme requise ! D’Arnot, je vous le jure, si nous arrivons à bon port un jour, je vous pendrai en haut d’un baobab !
  • Cochon qui s’en dédit ! rétorqua le capitaine. En attendant, veuillez serrer cette écoute pendant que je m’assure de notre position.

Il venait de passer un cordage à Tarzan, lui indiqua rapidement comment garder la voile, un simple petit foc, dans la bonne direction puis, puisant dans une de ses poches, sortit une longue vue qu’il pointa vers le port.

  • Il arrive ! Ces diables de la Marine Marchande me surprendront toujours par leur rapidité ! Vous n'aurez pas longtemps à attendre. Croyez-moi, Lord Greystoke, vous allez adorer ! Préparez-vous, ils seront sur nous dans quelques minutes, à peine !

D’Arnot avait déjà oublié l’algarade. Joyeux comme un enfant à Noël, il guettait l’Exeter, un énorme clipper quatre-mâts. Tarzan se voyait mort, coupé en deux par l’étrave du vaisseau qui ne les verrait même pas, qui ne sentirait même pas la chaloupe se fendre en deux avant de disparaître sous les flots amers !

  • Attention ! Il vire à l’Est, bordez la voile au largue ! Le vent va nous pousser sur sa route ! Allez, moussaillon, plus vite à la manœuvre ! Pensez à vos bananes ! Si nous ratons l’embarquement, il nous faudra attendre trois semaines de plus !

Le marin criait à tue-tête, soudain pris d’une folie qui paniquait Tarzan. Pendant ce temps, l’Exeter avançait. Les deux hommes voyaient grandir sa noire silhouette qui ne tarda pas à leur masquer la côte par sa masse gigantesque. Le bruit de la coque fendant les vagues devenait de plus en plus présent, les ordres du commandement arrivaient à leurs oreilles, portés par le vent.

  • Il va trop vite ! s’affola Tarzan. Nous allons le rater !
  • Mais non… faites ce que je vous dis et ne protestez pas ! Dans quelques minutes, vous prendrez vos aises dans la chaloupe la plus rapide du monde ! N’est-ce pas ce que je vous avais promis ?

Le clipper n’était plus qu’à quelques bordées. Alors, fulgurant de précision, D’Arnot hissa la voile et leur esquif bondit à l’assaut du géant des mers. David et Goliath…
Le marin avait bien calculé son coup. Placé du bon côté du vent, il profita de la légèreté de leur embarcation pour se placer par le travers de la coque du mastodonte et fila directement en direction de sa poupe.
Tarzan ne disait plus rien, persuadé de l’échec à venir. Il espérait à peine sortir vivant de l’expérience. D’Arnot, lui, ne pensait plus qu’à couper l’infime passage qui existait entre l’arrière du clipper et la chaloupe qu’il trainait à sa poupe.

  • Prenez cette gaffe, hurla soudain D’Arnot. Et attrapez-moi cette ligne qui est comme le cordon ombilical qui relie l’enfant à sa mère !
  • Quel cordon ? cria Tarzan, ne comprenant rien.
  • La corde qui relie la chaloupe au vaisseau ! Vite, si vous la ratez, tout est perdu !

Ce ne fut qu’à la dernière seconde que Tarzan vit la corde. Alors, sans réfléchir, il lança sa gaffe, comme un harponneur viserait un cachalot. L’effet se fit sentir quelques secondes plus tard, à peine. La chaloupe vira brusquement de cap, violemment entraînée par le clipper qui venait d’accrocher à son insu une barque de plus en son arrière. D’Arnot se jeta sur les drisses et les trancha d’un sec coup de couteau : la voile s’affala d’un coup. Un calme relatif s’instaura quelques instants, le temps pour le marin d’expliquer à Tarzan la suite des opérations.

  • Je vais rapprocher notre chaloupe de la leur. Dès que vous le pourrez, sautez à son bord, je vous rejoindrai tout de suite après, d’accord ?

Débordé, fasciné par la gigantesque poupe du clipper, terrorisé par les remous tumultueux du sillage du grand vaisseau, celui-ci acquiesça d’un simple coup de menton.
L’affaire fut rondement menée. En moins de temps qu’il n’en faudrait pour le dire (et encore moins pour l’écrire !) les deux hommes se retrouvèrent dans la chaloupe de l’Exeter. Personne n’avait rien vu.

  • Héhé, souffla D’Arnot, fier de lui. Alors, que pensez-vous de vos nouveaux quartiers ?
  • D’Arnot… Vous êtes le marin le plus fou que j’ai jamais rencontré ! Et qu’allons-nous faire jusqu’à Matadi ?
  • Eh bien, j’y ai pensé, voyez-vous, rétorqua le capitaine en sortant un jeu de cartes de ses poches.
  • Et pour survivre ?
  • J’y ai pensé aussi. Vous déciderez-vous donc à me faire confiance, oui ou non ? aboya soudain D’Arnot. Foi de marin, si j’ai un peu brodé sur mon navire et mon équipage, sachez quand même que vous êtes presque à bord du plus fier navire de toute la côte sud de l’Angleterre et que son équipage est le meilleur de tout l’Empire !

La discussion continua longtemps…

***

Pendant ce temps, sur le pont supérieur de l’Exeter, une jeune femme, les larmes aux yeux, lançait un dernier regard vers son pays. A ses côtés, un curé tentait de la consoler avec quelques doctes paroles.
Un solide gaillard roux, un peu hirsute et sentant un peu la sueur, s’approcha d’eux, les bras chargés d’un plateau d’argent.

  • Madame Greystoke, Père O’Reilly ? Le Capitaine Nelson, commandant de l’Exeter, vous offre ces boissons chaudes. Un chocolat en provenance d’Afrique. Et parmi les meilleurs, m’a-t-il demandé de vous préciser.
  • Merci, mon fils, répondit le curé, puisque la Comtesse Jane de Greystoke était incapable de répondre. Dites-lui que nous le remercions chaleureusement. Vous serez bien aimable. Et…quel est votre nom, mon ami, que je vous recommande auprès de votre commandant ?
  • Finn, mon Père. Edwin Finn, pour vous servir…

A suivre…

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