CHAPITRE 6

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Le lendemain après une bonne nuit, pleine de jolis rêve, bien qu’un sommeil difficile à trouver, je partais au travail enjouée. Mes collègues me regardaient intrigués lorsque je traversais le couloir qui menait à mon bureau. A tel point qu’ils envoyèrent Marie, une collègue avec qui je m’entendais bien, cueillir des nouvelles quant à ce qui me rendais guillerette et sexy avaient-ils dit. Bien que j’aimasse beaucoup mes collègues, je ne pensais pas qu’ils avaient besoin de connaitre les détails de ma vie privée. Je laissais donc entendre à Marie que ce n’était pas leur affaire mais que j’allais bien et que j’avais juste eu envie de mettre des nouveaux vêtements, c’était tout. C’est vrai que je m’étais habillé différemment de d’habitude aujourd’hui, je voulais être belle pour ce soir quand il me verrait, j’avais mis une combinaison noire moulante avec des escarpins en cuir rouges ainsi qu’un perfecto rouge. J’avais également lâché mes cheveux que j’avais fait ondulés et je m’étais maquillée. J’étais prête à le retrouver mais le temps ne passait pas assez vite à mon gout et je ne faisais que regarder ma montre toutes les deux minutes sans même prêter attention à ce que je faisais.

Quand cette journée de travail, anormalement longue s’acheva, j’allais rejoindre la gare, laissai ma voiture sur le parking et sautais dans mon train. Plus que deux heures et je le retrouverais. Je commençais à angoisser car je ne pouvais arrêter de me dire que peut-être il serait déçu ou bien que ce serait moi qui serais déçu, qu’il se pourrait qu’il se souvienne de moi d’une certaine façon et la réalité lui déplaise ou qu’il soit un vrai con dans son milieu naturel ou, bzz bzz bzz, mon téléphone se mit à vibrer, interrompant mes pensées. C’était lui qui m’envoyait un texto « Tu es dans le train ? Tu arrives à quelle heure ? ». Je souriais toute seule comme une idiote tellement j'été contente qu'il m'envoi un message et attende mon arrivée, aussi Je me hâtai de lui répondre pour lui dire qu’il me restait environ 1 heure avant que mon train n'arrive en gare et s’il aurait le temps de venir ou s’il préférait que je prenne un taxi ?, sa réponse ne se fit pas attendre, « Non je serais là, à tout à l’heure ». Une fois cela précisé, c'est toute excitée et terriblement impatiente que je reprenais le cours de mes pensées jusqu’au nouvel sms que je recevais, mais cette fois ci de Lilly qui me disait « arrête de stresser, je te rappelle que tu vas passer un bon week-end plein de roucoulades et de sexe alors calme toi sinon il va prendre peur ! Bisous ma belle ». Elle me connaissait tellement bien ! Elle savait que je stressais et elle savait également que j’avais très envie que cette relation fonctionne, je ne sais pourquoi d'ailleurs, je crois que j'avais eu une sorte de coup de foudre!

Essayant de l’écouter, j’attrapai mon téléphone et je branchai les écouteurs dans l’espoir qu’un peu de musique me détende. Je tombai sur une de ses chansons, je l’adorai avant de savoir qu’elle était de lui, l’homme qui me plaisait et qui faisait l’amour comme un dieu mais aussi, l’homme qui était connu et que je devrais partager avec des fans donc des femmes pour la plupart si notre relation prenait le bon chemin. Je ne savais pas si je devais continuer d’aimer ses chansons ou si en tant que maitresse ? Petite amie ? Je ne savais pas quoi, je devais m’en désintéresser complétement. Il faudrait que je lui pose la question ou peut-être était-ce mieux de la poser à Lilly ou alors à personne et faire ce que moi, je jugerai bon de faire ?

Bientôt je fus arrivée et mon estomac se noua comme si j’allais passer un entretien d’embauche !Je ressentais un mélange d'excitation et d'espoir qui m'emplissait en même temps que de l'angoisse et de la peur. Respirant un grand coup, j’enfilais mon perfecto et prenais ma valise, je descendais sur le quai et commençais à scruter ma gauche et ma droite dans l’attente de le trouver mais rien. Il n’était pas là, il m’avait planté. Je pouvais sentir mes larmes monter jusqu’à mes yeux, toutes mes craintes et les questions que je me posais avant d’accepter de venir ici ce week-end me revinrent en tête. J'essayais tout de même d'être plus terre à terre que ça en me disant qu'il devait être en retard car sinon pourquoi m'avoir envoyé un texto pour me dire qu'il viendrait me chercher? Alors, je resserrais ma main autour de ma valise tout en attrapant mon portable dans la poche de mon blouson de l’autre pour le joindre. Quand je vis au loin, un mec se hâter. C’était lui, il était là, il ne m’avait pas oublié, je laissais mes épaules retomber car en cet instant je fus tellement soulagée que mon stress avait disparu totalement le temps d’une minute. Il arriva sur moi précipitamment et m’embrassa. Ce fut un baiser qui me surprit car très dur, bref et sans passion, sans ses bras autour de moi, rien, juste des lèvres contre les miennes le temps d’une demi seconde, comme si ce fut un baiser de « bonjour » par habitude d’un couple ensemble depuis 40 ans ! Je crois que je m’attendais à mieux, à moins que j’eusse mis trop de pression à ce moment de retrouvailles ?

Il s’excusa d’être en retard, il me dit qu’il n’avait pas trouvé de place suffisamment tôt pour être à l’heure malgré le fait qu’il tournait dans les environs depuis 1 bonne heure. Je lui fis croire que je n’avais pas eu le temps de constater son retard pour ne pas l’affoler et jouer les filles hystériques en moins de deux, puis il m’emmena à sa voiture. Il s’occupait de charger ma valise dans le coffre de sa voiture et m’ouvrit la porte tel un gentleman ! Une fois dans le véhicule, il prit la direction de son loft et nous échangeâmes quelques banalités telles que si j’avais fait bon voyage ou qu’il ne faisait pas beau ou encore s’il nous faudrait longtemps pour arriver chez lui etc...

Après des bouchons n’en finissant pas, nous arrivâmes enfin au bout de presque 1 heure dans une petite rue paisible donnant sur une entrée de ce qui ressemblait à une usine. Une fois l’entrée du bâtiment passé, nous arrivâmes dans un grand salon salle à manger/cuisine de type industriel, j’aimais beaucoup ce style, c’était moderne et design mais pour autant ce n’était pas démesurément grand, la taille de la pièce était correcte dans les tons gris avec des touches de violet et de rouge de ci de là. Je ne fis aucun commentaire, je restais bouche bée face à tant de modernisme et de simplicité en même temps. Puis il nous conduisit à l’étage, sous forme de mezzanine donnant sur le bas du loft, sans mur ou quasiment pas, seulement pour la salle de bain. On arrivait dans sa chambre avec un grand lit à même le sol, des chevets en bois brut, un grand velux qui amenait beaucoup de clarté, des coussins au sol qui venaient meubler l’espace, le tout dans un décor bleu roi et gris avec deux portes coulissantes en bois brut elles aussi, qui dissimulaient la salle de bain et le dressing. Cette dernière était plutôt grande, noire parsemée de touches blanc/ivoire, une grande douche à l’italienne et une grande baignoire imbriquée directement dans le sol.

Maintenant j’avais des complexes sur la taille et la simplicité de mon appartement et sur mon incapacité à pouvoir m’offrir ce type de logement bien que je m’attendisse à plus luxueux venant d’un chanteur. Il dut remarquer mon malaise car il se rapprocha de moi.

- Qu’y a-t-il ? Ça ne te plait pas ? Il me touchait le bras et ça me donnait immédiatement des frissons.

- Si, bien sûr pourquoi ? Je me tournais vers lui pour le regarder dans les yeux. Il faudrait être difficile pour ne pas aimer cet appart !

- Tu as l’air mal à l’aise, mais si tu dis qu’il n’y a rien…. Installe-toi et rejoins moi en bas, je vais nous servir à boire. Visiblement il ne chercherait pas à savoir ce que j’avais pour ne pas me mettre encore plus mal à l’aise que je ne l’étais. Peut-être savait-il déjà ce que je ressentais. En tout cas j’appréciais beaucoup qu’il fasse comme si de rien n’était.

Je lui faisais un signe de la tête en guise d’accord et il descendait. Je me disais alors que l’ambiance était plutôt froide et que j’espérais qu’elle se déglace vite par un geste de sa part car je me sentais trop mal pour en faire un. Je posais ma valise dans le dressing et allais me passer un coup d’eau sur la figure. Je me repassais une touche de parfum et replacer le flacon dans ma valise pour ne rien laisser trainer. Ça y était, je descendais en espèrent que l’atmosphère se détende. Une fois arrivée en bas, je me dirigeais vers lui quand il me tendit un verre.

- C’est quoi ?

- Du champagne, tu veux autre chose peut-être ? Il était agité et je pouvais voir qu’il ne savait pas quoi faire pour que nous soyons tous deux normales l’un avec l’autre.

- Non du champagne c’est très bien, merci.

J’attrapais ma flute, trinquais avec lui et en buvais le contenu d’un seul trait tellement j’étais nerveuse. Ce qui l’étonna et le fit sourire, il fut un brin moqueur je crois. Il me resservit une flute et regarda si je l’engloutissais aussi.

- Tu peux prendre ton temps tu sais ? Me dit-il avec un regard moqueur

- Je sais, mais c’était pour faire passer le malaise que je ressens depuis ton arrivée à la gare. Je l’avais dit vite et d’un trait mais c’était dit au moins !

- ……….. Hum, eh bien, heu……… Il s’avança, saisit mon verre, le posa, pris mon visage entre ses mains et m’embrassa passionnément. Comme dans mes souvenirs de la semaine dernière, ce fut doux, tendre et langoureux puis au bout d’une minute, il me lâcha.

- Fiou !!! Je ne m’attendais pas à ça tout de suite ! J’étais toute retournée, il m’avait surprise avec ce baiser, moi qui croyais qu’il avait des doutes quant au fait de ma venue !

- En fait c’est ce que j’aurai dû faire à la gare mais avec tout le monde qu’il y avait et cette pression, ça a donné quelque chose de pas terrible et ça a créé un malaise qui n’a fait que s’accentuer. Je suis désolé, je suis content que tu sois là, ne va pas t’imaginer autre chose ok ?

Mes doutes s’étaient envolés et je pouvais enfin respirer. Je le prenais par la taille et déposais un léger baiser dans son cou, puis je posais ma tête contre son torse. J’étais bien à cet endroit et j’avais bel et bien l’intention de profiter de lui ce week-end, de toutes les manières qui soit et surtout d’apprendre à le connaitre mieux. Je pouvais le sentir embrasser ma mâchoire et faire remonter ses mains le long de mes bras. Je relevais la tête vers lui et l’embrassai avec toutes la force et la douceur dont j’étais capable. Alexandre me tenait la taille et je passais mes bras autour de son cou, notre baiser se faisait de plus en plus passionné et bientôt il descendait la fermeture éclair de ma combinaison, la laissant tomber. Il me fit de multiple baiser dans le cou tout en faisant remonter ses mains sur mon ventre et bientôt sur ma poitrine. Il continua en embrassant le lobe de mon oreille tandis qu'il faisait glisser mes bretelles de soutien gorge et que sa bouche prenait le chemin qui menait à mes seins. En même temps qu'il abbaissait le bout de tissu qui cachait ma poitrine pour en mordiller mon teton, il dégrafa mon soutien-gorge pour en libérer mes seins et les prendre à pleines mains alors que sa langue se baladait sur ces derniers. J’eus à peine le temps de lui enlever son pull qu’il descendait déjà mon slip et me portait devant lui. Je goutais à sa peau et lui à la mienne quand il m’installa sur l’ilot de la cuisine. Tout en lui couvrant le torse de baiser langoureux, je défaisais sa ceinture et déboutonnais son pantalon pour en abaisser son sous vêtement laissant son pénis libre de tout mouvements. Il me regardait dans les yeux tout en me caressant l'intérieur des cuisses, il me tenait la main et la portait à son long sexe tout dur auquel il m’intimait de mettre le préservatif qu’il me tendait. Ce que je fis tout de suite après avoir laissé mes doigts glisser le long de son sexe plusieurs fois tous en lui mordillant le lobe de l’oreille droite. Une fois bien protégé, et toute excité, nos corps s'assemblèrent. Je le sentais en moi, aller et venir à sa guise, m’emplissant tout entière et me faisant gémir de plus en plus fort. Nos regards se croisant, le sien tendre et brulant et le mien ardent, me faisait me sentir comme si j’étais la femme de ses rêves. Comme la semaine précédente, je trouvais ça géniale, magique même. Encore quelques minutes, ses à-coups se firent plus forts et plus rapides, il me caressa le dos et me mordit la lèvre inférieure et je jouissais dans un cri de plaisir intense tandis que lui aussi goutait à l’extase que le corps de l’autre produisait sur nous.

Nous restâmes quelques minutes comme ça, moi assise, la tête enfouie dans son cou et lui debout, caressant mon dos du bout des doigts. Une fois nos souffles repris, il s’écarta de moi, me donna un baiser et je filais dans sa salle de bain pour me rafraichir et mettre des sous-vêtements propres, chose qu’il fit dès que j’eus fini. J’étais un peu gênée, nous nous connaissions si peu que je ne savais pas trop quoi lui dire finalement et pourtant je venais de faire l’amour avec lui, du coup je me sentais terriblement mal à l’aise. Il du ressentir ce que j’éprouvais à ce moment-là, bien que lui, ne devait pas éprouver ce genre de sentiments car il vint se mettre derrière moi et me pris dans ses bras pour me dire au creux de l’oreille :

- Tu ne dois pas te sentir mal avec moi tu sais !

- Désolée, je…, on ne se connait pas vraiment alors … Ce n’est pas quelque chose d’habituel pour moi, enfin tu comprends ? J’étais très gênée qu’il s’aperçoive de mon malaise, je ne voulais pas qu’il se sente obligé de me réconforter et par la même le faire fuir !

- Ne t’inquiète pas, je comprends, on ne se connait pas encore bien, on ne s’est vu que quatre fois dont trois la semaine dernière ! Ne te sens pas obligée de dire quoi que soit, nous sommes tous les deux d’accord sur le fait que notre relation débute seulement et que nous devons apprendre à nous connaitre. Il disait ça calmement, comme s’il lisait en moi.

- Merci de comprendre. Notre relation ? J’étais curieuse, il avait parlé de notre relation, y en avait-il réellement une qui se dessinait pour lui ou était-ce simplement une façon de parler ?

- Oui, j’ai bien parlé de notre relation, pourquoi ? J’estime que lorsque c’est aussi fort aussi rapidement entre deux personnes, qui en plus, se revoient, on peut parler d’une relation ! Il disait ça le plus naturellement du monde comme si c’était normal que deux personnes qui couchent ensemble tout un week-end soient en « couple ».

- On est au 21 eme siècle tu sais, tout le monde ne pense pas la même chose de deux personnes qui couchent ensemble pendant un week-end, donc je ne savais pas trop où me situer ni vraiment quoi dire, c’est nouveau pour moi.

- C’est nouveau pour moi aussi tu sais. Ce n’est pas tellement mon truc les relations sans lendemain. Mais je sens que ce n’est pas pareil avec toi, il y a quelque chose de plus, je ne sais pas quoi ! Il me fit un sourire et m’embrassa. Laissons les choses se faire naturellement, je sais simplement que je suis bien avec toi alors continuons d’être bien ensemble et on verra ce qui se passe.

- Tu as raison, moi aussi j’ai ressenti quelque chose de spéciale je ne suis pas comme ça d’habitude, je veux dire, aussi rapidement. Nous nous regardâmes et savions tous deux que nous étions sur la même longueur d’ondes.

Après un baiser qui se value tendre et fougueux à la fois, il m’emmena au restaurant. C’était un restaurant chic et simple, comme je les aime, semi gastronomique avec une belle décoration et des serveurs discrets. Nous étions assis dans un endroit retiré du restaurant, dans une arrière salle qui se voulait faite pour les personnes importantes ou comme mon amant, connues du grand public. Moi qui avait peur qu’on le reconnaisse et que je doive le partager ou pire m’éclipser, je pouvais respirer. Une fois notre commande arrivée, la salle devint vite pleine de personne plus ou moins connue, pour ma part en tout cas ! Alexandre enchainait les poignées de main et les bises en oubliant quasiment tout le temps de me présenter. Je devais être insignifiante aux yeux des personnes qu’il saluait puisque je n’étais pas connue et que ça devait être monnaie courante dans ce milieu que des petites midinettes comme moi passent la soirée, la semaine même avec une célébrité ! Jusqu’à un jeune homme qui après avoir salué mon « copain », me salua à son tour.

- Bonsoir mademoiselle, j’espère que vous passez une bonne soirée. Il me faisait un grand sourire et il était très beau !

- Bonsoir, oui merci, je vous souhaite de passer une excellente soirée à vous aussi. Je lui rendais son sourire et je me reconcentrais sur Alexandre qui n’était pas ravi de cette apparition.

Ce dernier m’expliqua, une fois ce jeune homme parti, qu’ils se connaissaient car ils chantaient souvent dans les mêmes festivals ou émissions de télé mais qu’il ne l’aimait pas sans vraiment savoir dire pourquoi. Une fois notre diner terminé, Alexandre m’amena visiter la Tour Effel de nuit. Autant dire que j’étais morte de peur étant donné que j’ai le vertige et la peur du vide sans compter qu’il faisait nuit et que j’avais encore plus peur ! Mon petit ami sentant ma peur, me prit par la main tout le long et m’enlaçait fermement et tendrement à chaque fois que nous nous arrêtions pour contempler le paysage. Une fois tout en haut, la Tour Effel irradiait, les étoiles brillaient, la vue était à couper le souffle, à tel point que j’en oubliais ma peur et je dévorais la vue de mes yeux. Alexandre était derrière moi, il me tenait la taille et me couvrait le cou de baiser.

Au bout d’un moment, je me retournais vers lui, je voulais voir s’il était émerveillé comme moi ou s’il était blasé comme tous les gens qui y montent quand ils veulent et souvent juste pour draguer ! Je me retournais et l’apercevais en train de me regarder tout sourire.

- Qu’y a-t-il ? Pourquoi tu me regardes comme ça ?

- Pour rien. Dit-il avec un sourire malicieux.

- Je ne suis pas le point d’attraction pourtant, la vue est époustouflante, j’en ai presque oublié la hauteur ! Je lui déposais un baiser sur la joue et je me retournais de nouveau pour contempler la vue tout en le regardant à certains moments.

- Je suis heureux que ça te plaise et effectivement, la vue est époustouflante. Il avait un sourire ravageur et il me regardait avec envie, je compris que ce n’était pas la vue depuis la Tour Effel qu’il trouvait époustouflante ! Tu es magnifique et cette robe te va à ravir ! Même si en réalité, j’ai seulement hâte de te l’enlever.

- Merci. Je sentais que je rougissais et je faisais comme si je n’avais pas entendu la dernière partie de sa phrase. C’est vrai que tu dois avoir l’habitude de venir ici, tu connais le paysage ! Je disais ça avec un air quelque peu dépité car le fait de me dire qu’il devait emmener toutes ses conquêtes ici me faisait me sentir amer.

- Ce n’est pas souvent que je viens ici contrairement à ce que tu peux croire, et oui la vue est à tomber mais je n’arrive pas à détacher mes yeux de toi ce soir. Il m’attirait vers lui, prenant mon visage entre ses mains qui glissaient jusqu’à mon cou et mes reins puis il m’embrassait avec passion. Si tu as fini d’admirer la vue, nous pourrions rentrer chez moi si ça te dit ?

- Je serai bien restée quelques minutes de plus mais pourquoi pas ! J’étais un peu déçue de ne pas pouvoir profiter plus de cette vue que je ne reverrai peut-être jamais mais en même temps, aller chez lui et lui faire l’amour me tentait énormément...

- Ne t’inquiète pas, nous aurons d’autre occasions de venir ici si tu en as envie. Il me caressait le dessus de la main tout en m’attirant vers la sortie.

Une fois de retour chez lui et après un dernier verre de champagne, je l’attrapai autour de la taille et lui faisait comprendre en un baiser ce dont j’avais envie. Bien sûr, il ne se fit pas prier étant donné qu’il en avait envie depuis la Tour Effel. Il attrapa les bretelles de ma robe et fit glisser cette dernière au sol. Je faisais de même avec ses vêtements et le poussais sur le canapé. Je n’avais pas le temps de me mettre sur lui et d’exécuter mes plans qu’il se relevait pour se retrouver face à moi. Il m’attira vers la table de la salle à manger et m’allongea dessus. Il se retrouva au-dessus de moi en quelques secondes et commença de me couvrir de baiser. D’abord en haut de mon corps pour descendre jusqu’à mes seins qu’il léchait en aspirant mes tétons. Je ne peux me retenir d’émettre quelques gémissements tandis qu’il continua sa descente jusqu’à mon nombril dans lequel il laissait sa langue s’aventurer pendant que ses mains se perdaient dans l’intérieur de mes cuisses. Il faisait durer les choses alors que moi je mourrais d’envie que ses mains se dirigent vers mon intimité. Quelques minutes plus tard et de multiples gémissements de ma part, il vint se saisir totalement de l’endroit le plus humide de ma personne. Et tandis que je pouvais sentir sa langue s’y diriger, Je fermais les yeux pour profiter de ce moment délicieux qui m’arracha beaucoup de cri de plaisir.

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