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Dans une soirée orgiaque, les brumes de ta folie sont des glaces d’absinthe écartelées, déchirés comme des synapses junkies. Tu manges la chair de la vie de tes dents jaunies par les volutes voluptueuses et fumantes. Et dans l’ivresse des vapeurs d’alcool, tes pleurs bleu-blanc-rouge de clown triste à la gueule cassée se tarissent dans tes yeux grimés et tu ris…
La renaissance de ton âme castrée par les pythies-putains arrive enfin. Tel un phœnix solaire tu aimeras et seras aimé par-delà les corps et la mort.
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