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Les larmes d’ivoire pourpres sur les joues de l’esclave
Coulent avec fracas sur les dance-floor des raves
Et les cris de douleur vers un Dieu bon ? lancés
Tombent avec fracas dans le silence glacé
Les cœurs aliénés au grand percussionniste
Le sang battant au rythme de ses tamtams autistes
Ils se déhanchent et bougent dans une folle transe
Possédés : dieux vaudou est-ce alcool ou démence ?
Et ils dansent et ils dansent –bouche à bouche cliniques-
Baveux contre baveux en peu de temps ils niquent
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