Le jour qui suivit, il y eut un conseil ministériel. Elodie arriva avec dix minutes de retard.

« Veuillez m’excuser. »

« La situation est critique, la culture mondiale se perds. »

« Nous devons refaçonner le monde. » envoya la Ministre de la Culture.

« Mais comment ? Les jeunes sont au point psychologique le plus bas, beaucoup se suicident où dépriment. Ils ne veulent plus étudier, la politique les dégoûte ! »

« Il faut faire des lois où les passions seront maîtres. »

« Pourquoi ils dépriment ? » ajouta le président.

« Le monde n’est plus le leur, on leur a enlevés toutes confiances, avec la protection de la planète, beaucoup de proches, la précarité est là, l’écart des richesses est là ! »

« Que proposez-vous monsieur Duponti ? »

« Nous devons rendre justice en ce monde ? Pourquoi le monde n’avance pas hein ? À ton avis ? »

Elodie resta inerte et placide.

Elle répondit d’un ton mi hautain mi bienveillant.

« Je crois que la culture n’a pas de frontière, nous devons enrichir cet hostile monde dans lequel nous vivons. La culture doit rassembler doit nous rendre encore plus fort face aux défis de Demain ! »

« Que proposez-vous ? »

« Des suivis psychologiques pour ces gens plus poussés, il faut qu’ils aiment la vie ? »

« Vous vous moquez de nous ? » sarcasme une autre Ministre .

« Non je suis direct et franc, je crois que la richesse appartient en nous et qu’il faut protéger chaque humains et ses idées. »

« Oui les idées sont les faisceaux de l’humanité, c’est nos pensées nos propres cultures, nos racines ... »

La Ministre des Sports fut en désaccords.

« J’ai du mal à vous croire ... »

« Madame la Ministre de la Culture, si les jeunes sont en détresses c’est à cause des situations actuelles, ils ont une éducation ; donc il faut améliorer l’éducation et la psychologie de ces personnes et là … Ils auront accès à la culture. »

« Pourquoi ces gangs, ces stupéfiants et ces trafics ? » renvoya le président.

« Le monde est devenu violent. » pensa Elodie avec un regard perçant.

« Que comptez-vous faire ? »

« Améliorons les aides culturelles, des livres, des média, des jeux vidéo … Offrons à nos jeunes ce qui peux apporter leur bonheur. »

« Monsieur le Président, le système est capitaliste, votre demande dépasse l’Utopie. Offrir c’est beau et la valeur des choses ? La culture a une valeur. » dit le ministre de l’Intérieur.

« Je crois en un avenir meilleur si nous agissons ensemble ! »

« Pourquoi les jeunes n’écoutent plus la politique ? Car on a laissé craquer le système et nos société, tout est affaire de mondialisme. » répliqua la Ministre de la Culture.

« Les jeunes sont l’avenir, vous avez raison. »

« Monsieur le Président, ce débat sur la culture doit tous nous concernés, car sans cultures pas de civilisation ni d’éducation ni de passions, ni bonheurs …

Sans cultures, pas d’échanges sociaux, ni de relations … La culture fait partie de nous, faisons là évoluer ! »

« Madame la Ministre, nous ne sommes plus à l’époque des lumières ... »

« J’essaie de vous convaincre à prendre les bonnes décisions pour notre nation.

La culture est essentiel, car de plus on apprend par soi-même et de nous-même.

Il faut être néo-humaniste. »

« La séance est terminé. »

Elodie quitta la salle. La Ministre des Sports l’ignora. Est-ce que le gouvernement s’écoute ?