Frère Jean

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Mon frère rentres peu de temps après avec son “amant” il me dise bonjour et file dans la chambre de Jean. Je ne me fais aucune illusion sur ce qu’ils vont y faire. Décidément eux aussi baisent comme des lapins. Voyant que mes parents ne vont pas tarder, je me met au fourneaux pour voir si je peux déjà préparer quelques trucs.

Je me lance dans l'épluchage de pomme de terre et de carotte. Au moment ou maman rentre effectivement elle me remercie, je l’aide à préparer le repas. Plus qu’un simple comi je prend également un petit cours de cuisine particulier.

Papa s’occupe alors de mettre la table, très vite rejoint par Jean. Alan a disparu je ne l’ai pas vu partir ce petit voyou. J'aurai aimé lui parler, je ne sais pas trop comment je vais pouvoir discuter avec lui sans mon fréro.

Le repas est calme et sans grand intérêt. Tout le monde reste plutôt silencieux, c’est surprenant, habituellement les discussions fusent à table. Pour une fois personne ne semble parler, je passe alors le bonjour de Thibault à mes parents.

Évidemment en disant cela, la discussion se lance tout naturellement. Je leur raconte un peu ce que Thibault m’a raconté sur son dernier voyage. Ils hallucine sur le fait qu’il ai gravi le Népal avec ces parents.

Cette destination est une de celle qui fait rêver mes parents mais que le côté “randonnée” est moins leur délire. Moi non plus d’ailleurs, mais lorsque je leur raconte pour les nombreuses ampoules que Thibault a eues, ils sont réconforté dans leurs position.

Le reste du repas est essentiellement une discussion autour du voyage, bien sûr mes parents nous expliquent qu’ils ont pas forcément les moyens de nous faire voyager autant que Thibault. Je n’apprend rien, mais Jean comme moi les rassurons, nous aimons les voyages que nous faisons. Jamais nous nous sommes plaint de cela, au contraire, nous sommes heureux de ce que nous avons vécu.

Je ne connais pas le point de vue de Marie sur le sujet. Elle est la seule à ne pas s'être exprimé mais je ne doute pas qu’elle serait assez d'accord avec nous.Ce repas est très émouvant en fin de compte, tout le monde semble satisfait et heureu. On finit même pas une grosse séance bisous et calins.

On débarrasse alors rapidement la table avec mon frère Jean, puis on montent dans nos chambres respectives. J’ignore ce que fait, Jean mais personnellement je me fait une bonne partie de console, et je ne voit pas le temps passer.

Lorsque je m'arrête il est presque minuit déjà, je me glisse alors dans le lit. Je n’ai pas vu le temps passer aujourd’hui en fin de compte. J’ai bien sûr eu quelques tendres pensées envers ma douce Amandine mais il est vrai que finalement je n’ai pas eu le temps de m'apitoyer sur mon sort. J’y avais songé quelque temps auparavant, mais il est vrai qu’on ne peut pas toujours être l’un avec l’autre, il va nous falloir nous laisser une liberté. Loin de moi l’idée de ne plus être dutout avec elle bien sûr, mais juste de temps en temps une journée ou deux sans se voir. Ca me parait une plutôt bonne idée, je verrais à lui en parler.

Après un moment de réflexion dans ce sens je me dit que l’idée n’est pas forcément la meilleure. En effet, Amandine n’est supposée être là que durant les vacances, et que dès qu’elles seront finies nous serons séparés. D’ailleurs il va falloir que je voit avec elle comment on va gérer cet aspect de notre relation, je commence d’ailleur à le craindre.

Je ne veut pas m’encombrer la tête avec tout ces aspects. Je ne pense pas qu’il soit temps de soulever ces problèmes qui n’en sont pas. En réalité, j’en suis convaincu, les choses vont se passer naturellement et on trouvera des solutions. Les choses sont plus simple, surtout que depuis que mes parents et les siens savent pour nous. Il n’y a donc aucune vrai raison de se chercher des problèmes là où il n’y en a pas.

Ayant pas mal de choses en tête j’ai beaucoup de mal à m’endormir. Pour régler ce problème, j’ai une petite solution personnelle, la masturbation. Je me dénude intégralement et me masturbe. J’aime me masturber ca m’aide souvent a m’endormir. Je garde seulement mon boxer a porté de main, ainsi qu’un sopalin pour accueillir mon jus.

Je n’ai pas envie de me faire “capter” par qui que ce soit. Donc je ne peu pas allumé la télé sauf si je coupe le son se qui ne m’enchante pas. Je préfère ne rien avoir plutôt qu’un film sans son. Je ferme alors les yeux me souvenant de la bouche de ma bien aimée. Mon phallus se retrouve vite très gonflé. Je me masturbe avec délicatesse, alternant les mouvements lents et rapides.

Pensant toujours a la fellation vécue, je jouis violemment. J’essaye d'éviter d’en mettre partout en remontant ma main au moment de l’éjaculation. Malheureusement je m’en met un peu sur le ventre mais rien n’a fini sur mon lit, c’est déjà bien. Je m’essuie avec mon sopalin et renfile mon boxer. Je m'endors alors plutôt rapidement.

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