Un léger souffle viens soulever quelques mèches blonde sur mon visage, un sentiment de bien être cour le long de mes membres. Le bras de Dimitri m'enroule, me tenant contre son corps nu… Je n'arrive pas a réaliser ce qui c'est passé… Je ressent encore se tourbillon nous baigner de sa fougue pour ne faire plus qu'un seul corps… Je me retourne, essayant de ne pas le réveiller. Il semble profondément enfoui dans ses rêves, comme léthargiques. J'observe la cadence régulière du mouvement de son torse, le soleil caressant son visage… J'aimerais prolonger ce sentiment de plénitude, mais mes oreilles se tende sur l'extérieur. Des pas résonnent en notre direction. Je vai spour me lever quand ses yeux s'entrouvre. Il à l'air inquiet…

- Quoi ? Le suppliais je

Il ne m répond pas et d'un bon il cherche à la hâte quelque vêtements, je reste à le regarder, je ne comprend pas. Il se dirige en courant vers l’escalier. Je ne demande pas mon reste et m’empresse de m'habiller, je tremble.

Je met peu de temps a le rejoindre, il referme la porte, reste prostré a lire une feuille.

- Qu'est ce qui se passe Dimitri ? Je suis affolé, l'inquiétude me gagne.

- Rien d'important, en une fraction de seconde il m’apparaît de nouveaux dans son état normal.

Il glisse le morceaux de papier dans son pantalon et va dans la cuisine.

- Tu n'as pas cour aujourd'hui ?

- Dimi, tu sais bien que le lendemain de la fête il n'y en a pas !

Décidément il est bisard ce matin…

- Tu as quelque chose de prévu aujourd'hui… ? Son regards taquin par dessus son épaule m'électrise

- MMMM ...Peut être…

Je me glisse jusqu'à lui, glissant mes main en dessous de son pull.

- Aerin… il se cambre et essais de m écarter

- Quoi ?

Décidément je ne le comprend pas !

Il se retourne, il s'en veux d'avoir réagit comme sa, et ma réaction ne lui plait guerre. Il m'attire à lui en cramponnant ma taille. Ses yeux retrouve cette couleur que je n'ai découverte que cette nuit, ressemblant a un couché de soleil…

- Tu sais l'effet que j'ai a ton contact je…

- Et… ? Mon sourire rieur le déroute.

- Et si quelqu'un arrivais… ? Murmure t il

- Je pense que l'un comme l'autre aurions le temps de l'entendre… Si ton corps le veux bien…

Il rit et m’enlace, laissant de nouveau cette tornade nous emporter…

- Je vais prendre une douche…

Dimitri m'observe, sa main caressant mes seins. Il doit percevoir la petite lueur qui passe furtivement sur ma pupille.

- Aerin… sa tête bascule en arrière et il se met à rire.

Il se lève, sans prendre le temps de couvrir son corps, me laissant apprécier chaque centimètre a mesure qu'il remonte à l'étage. Je me lève et le suis, de toute manière il avait eu le temps d'explorer le moindre recoin de mon anatomie… J'ai l'impression qu'un nouveau souffle me porte sur mes jambes.

J'ouvre un des tiroirs de la commode de ma chambre, j'entends l'eau couler sous la douche, une idée me traverse l'esprit… A peine y ais je pensé que je me téléporte dans la salle de bain. Ma tête me tourne, décidément j'ai du mal avec cette capacité… Je distingue a peine son corps avec la buée qui se trouve dans la pièce. La porte de la douche coulisse, il attrape une serviette pour la passer autour de sa taille et une autre pour s'essuyer le visage. Des goutelettes glisse le long de sa peau… Son regards rieur me met mal à l'aise et me fait pensé que je n'ai plus rien sur moi ! Je bougonne et prend la place sous le jet d'eau chaude, je m'aprette à refermer la porte qu'il la bloque d'une main.

- Tu ne veux pas laisser ouvert… ? Il me défit du regard

Je préfère ne pas répondre et laisse l'eau chaude recouvrir mon corps, les images de cette nuit et ce matin reste comme incrustées dans ma peau…

Je ne me savais pas aussi démonstrative a vrai dire… Mon corps me guidais, était maître de moi, sans que je ne sache comment l’arrêter… Ce matin encore en était une preuve, et la peur que tout ça s’arrête me nouais l'estomac. Qui était venue ce matin, et il y avait quoi de marquer sur le papier que Dimitri tenais fébrilement… ?

Je préfère faire abstraction de toute ces questions, je ne veux pas entacher ce moment magique que nous venons de vivre. Je coupe l'eau, j'ai cru entendre la porte claquer… Je m'active a me sécher, et enfile à la hâte mes vêtement dans ma chambre. Je descend les escaliers quatre a quatre, une peur indéfinissable s'empare de moi, je ne comprend pas.

- Dimitri ? DIMITRI ? Ma voie s'affole, fouille les moindre recoins de la maison.

Un mots est déposer sur la table basse… J'avance, fébrile…

Ma Aerin,

Pardonne moi, c'était trop dure de t'attendre et de t'expliquer que je devais repartir…

Mon souffle se coupe, comment a t-il put ? La colère me porte à l'extérieur, je hurle son nom, impuissante. J’aperçois Alex qui accourt.

- Aerin arrête ! c'est la voie d'Alexandre, il me bar le chemin

- Tu le savais, tu étais au courant ? Hurlais-je

- Aerin arraite, tu me fait peur là !

Il essais de m'immobiliser, mes poing cogne contre son torse, je rage ! Une douleur insoutenable me broies de l'intérieur, comme si mes os se cassaient les un après les autres, des crissements émane de mon corps, je n'ai pas le temps de comprendre ce qu'il se passe, je laisse la douleur m'envahir et je sombre dans le noir absolus.

Je ne perçois que la panique des voies qui m'entourent.

- Que c'est il passé ? demande une femme.

- Laissez moi passer! hurle Alexandre

Des murmures et des cris orifié, je ne sais pas ce qu'il m'arrive, mais la douleur me ronge !

- Allonge là, je crois reconnaître la voie d'Aldaronn

- Je savais qu'il n'aurais pas du partir, ils ne m'ont pas écoutés ! Alex paraît furieux

- Allons Alexandre, notre volonté n'a peu de poids face à eux, et il ne devait surement pas se douter qu'elle réagirais ainsi !

- Après ce qu'on a découvert c'était prévisible, Alex est enragé.

Là je ne comprenais pas, qu'avait il découvert, et comment était il au courant que…

- Je vais lui injecter un sédatif, elle ne peu pas nous parler mais vu l'état de son corps elle doit souffrir le martyre…

Le mots était faible, j'avais l'impression d'être le héros principale dans INCASSABLE, comme si j'avais la maladie des os de verre et qu'on frappait sur chaque parcelle de mon corps, qu'on m'écartellais !

- Et Dimitri ? demande le médecin

- La navette est déjà partis, et on auras rien pour le contacter… Si c'est ce que je pense, elle ne tiendra pas le coup !

La douleurs s’intensifie, je n'arrive plus a réfléchir sur ce qu'ils disent.

- C'est une mission de quelque jours app…

Une porte claque, quelqu'un vient d'entrer

- Oh mon dieu ! S'écrie Niné

- Quand part la prochaine navette ? Il faut prévenir les anciens peut être que la navette peu faire demi tour ? Anthony est épouvanté.

- C'est une mission de routine, il devrait revenir vite, Alex essaye de se rassurer en pensant a voie haute, tu sais très bien que nous ne pouvons avoir aucun contact une foi la navette partie…

Des bruits de feuilles qu'on tourne et de livre geté a terre me transperce le crane.

- AH VOILA ! Ce n'est pas la meilleur des solutions mais sa peu la soulager…

Aldaronn n'a pas l'air vraiment emballée par ce qu'elle dit, néanmoins je l'entend fouiller dans un tiroir.

- Si tu m'entend Aerin, ce que je vais t'administré va t'aider, n'ai pas peur, nous sommes là…

Je ne sent rien de son injection, je me demande s'il la faite… Quand tout un coup, la douleur régresse, je ne peu plus bouger, mes yeux s'ouvre sur le noir total, je ne vois plus rien !