Chapitre 15

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Dimitri est partit depuis plus d'un moi maintenant, a vrai dire, j'ai arrêté de compter les jours. Je erre tel un fantôme entre la maison, celle de Honoryne où Alexandre c'est installé, et les différentes maison où sont donné les courts. La seul chose physique me rattachant à ses pensées est la petite louve marron, qui vient me voir jusqu'au chalet. Elle reste là, sans que l'on ai à se dire quelque chose, et nous restons assise sur la petite terrasse en bois à scruter le vide… Je n'ose lui faire part de ce vide qui me ronge, peut être le ressent-elle aussi...

Chaque matin, j’attends que Anthony ou Mia passe me prendre, puis nous allons ensemble jusqu'au village. J'essaie de paraître la plus heureuse du monde, mais j'ai comme un vide à l'intérieur de moi qui s'agrandit à chaque heure qui passe. Mes deux accompagnateurs sont compréhensif à mon silence. Mia à toujours quelque chose à raconter à ma place pour combler les mutismes.

Ce matin je l'attend, comme à mon habitude. Elle à l'air plus enjoué que les autres jours, une jalousie maladive me tord à chaque foi qu'elle est en présence d'Anthony. J'aimerais pouvoir vivre aussi librement, avec une personne tout aussi démonstrative que lui. Je finirais sûrement vieille fille !

- Tu sais quel jours on est ? Elle s'énerve comme si j'étais un paquet cadeau a déballer.

- Non, soupirais-je.

Pour moi c'était une journée comme une autre, fade et sen sens, pendant l'aquelle j'airerais de salle en salle pour me bourrer le crane d'histoire de Nevezamzer et tout ce qui s'en suivait.

- Aerin, eh oh, on est le jours ou on se réunis au village !

Ses bras se secoue dans tout les sens comme pour me dire de me réveiller.

- Tu n'as pas le choix ma belle, et deuxième surprise les cours sont annulés pour aujourd'hui, je t’emmène chez Mathilde, elle a reçus de nouveau vêtements dans sa boutique !

Faire les boutiques ? Franchement, même si je ne savais pas en quoi celà consistait, je n'en avait pas la moindre envie, mais vu sa tête, j'abdique et la suie. Loin de moi l'envie de la décevoir !

- Anthony me laisse le feu vert cette année, j'ai libre choix pour ma tenue, j'espère réussir à le surprendre!

Je ne sais pas si c'est par égare pour moi que Anthony à accepter la requête de Mia, mais le fait de ne pas avoir de cavalier, du moins mon cavalier car Mia avait tenté mainte foi de me présenter des garçon qui était loin d'égaler Dimitri ! Le fait qu'il ne soit pas là, effaçais mon droit d'entrer en vu des coutumes d'ici. Et je n'avais aucunement envie d'y allez au bras d'un étranger, aussi gentils soit il.

- ….Il faut que tu sois prête pour 17heure !...

Je n'ai pas entendu le reste de la conversation, mais là je commence à me faire fervente auditrice !

- Mia je t'ai déjà expliqué que…

- Que tu ne voulais pas d'un cavalier tatata et tatata, tu crois tout de même pas que l'on va te laisser te morfondre dans ton coin non ? Son regards m'implore.

- Je n'ai pas le choix a ce que je vois ?

- Pour sur non ! Et elle repars a rire.

Nous arrivons devant la boutique de Mathilde, je n'y est jamais mi les pieds depuis que je suis ici. C'est une battisse tout ce qu'il y a de plus banale, en pierre. Mia m'avais dit un jours que la propriétaire, qui était la vendeuse, habitais à l'étage. A l'intérieur, tout, du sol au plafond, est ranger sur des barres en bois tenue au mur. Je n'imagine même pas le temps qu'il va nous falloir pour inspecter tout les rayons !

- Et tu compte rester combien de temps ici, je m'étrangle presque à la vue des milliards de tenues tenant dans les 10m².

- Euh… une heure tout au plus, le temps d'essayer.

Je croyais quelle rigolais mais elle paraît sérieuse ! Elle s'adosse au meuble en bois et faire sonner la petite cloche à sa droite.

Une petite dame, dans les un mètre cinquante apparaît aussitôt. Les traits de son visage ne m'aide pas a lui donner un âge, ses cheveux sont aussi blond que les miens et ses yeux couleur cerise.

- Mia, ma cliente préféré ! S'écrie t-elle.

Je ne m'étonne pas qu'elle soit sa préféré, ce magasin est un des seuls sur l'île à ma connaissance et Mia est accro aux vêtements ! Pour sur elle à de meilleur goût que moi, toujours habillée comme une fille, séduisante et les lèvres pulpeuse a souhaits…

- Tu m’amène une nouvelle cliente ? Elle me toise OH MON DIEU, mais je reconnais cette robe !

Je porte la robe bleu que j'affectionne temps, et pas seulement a cause de celui qui l'a choisit !

- L'homme qui est venue me l'acheter ne mâchait pas ses mots pour la description, il n'étais pas en dessous a vrai dire, les mots était typiquement réaliste...!

- Mathilde, nous venons pour une tenue pour ce soir, Aerin n'est pas trop fan des magasins, et nous sommes pressées…

- Oh oui que suis je bête, elle lève les bras en l'air, il faut encore passer chez Arwenn, je vais faire vite !

Elle disparait sous l'amoncellement de tissus, les présentoir tangue, je l'entend grogner. Elle ressort et tend une tenue à Mia. Celle-ci l'attrape et esquive quelque mots au creux de son oreille.

- Ah oui oui oui, je vois, Mathilde me regarde et monte à l'étage, je reviens tout de suite, il te faut quelque chose d'un peu plus…

Je n'entends pas ce qu'elle dit ensuite, mais c'est cachotterie ne me rassure pas du tout ! Et Mia c'est vite éclipsée dans l'une des cabines avant que je lui demande quoique se soit !

Je peste en moi même, les surprises de Mia son souvent géniale, mais là je ne sais pas ce qu'elle me réserve et sa m'angoisse un peu !

Mia ressort au bout de quelques minutes, elle est splendide comme toujours ! Les vêtements ont toujours cet impression d'être taillé pour elle ! Une magnifique robe blanche légèrement décolleté s’arrêtant juste au dessus du genou, je reste à la regarder admirative sans ne pouvoir dire un mot.

- C'est un oui qui les remporte tous, elle tourne sur elle même et retourne dans la cabine.

Nous sommes à attendre encore dix minutes avant que Mathilde ne redescende. Je commence à m'impatienter et me demander si elle arrivera à trouver quelque chose pour moi malgré toute ces tenu.

- Essayez moi sa jeune fille.

Elle me tend une housse noir d'un regards malicieux.

J'entre à mon tour dans la cabine, je n'ai pas choisit la bonne, elle n'a pas de miroir. Je retire la housse, un tissus bordeaux s'offre devant moi. Sa se met comment cette chose ? Je grogne en moi même, je discerne une petite pince en haut, ce qui doit être le lien au niveau de la poitrine. Je la passe sur moi, le tissus est plongeant derrière, s’arrête à mes reins, et reprend sa course légèrement plus courte que celle de Mia. Je n'ose pas sortir, j'aurais voulu me voir avant ! Si je sort et que sa ne va pas…

J'ouvre le rideau me cachant, elles qui étaient à chuchoter, elles restent là, bouche grande ouverte.

- Sa ne va pas c'est sa ?? j'aimerais disparaitre.

- EUH… Mia ne sais pas quoi dire.

- Bien au contraire, on dirait une fée sortie d'un lac ! Rétorque la vendeuse.

Je me change puis vais les rejoindre sau guichet, je préfère rester sur leur jugement et ne pas m'éterniser ici, la surprise du rendu se sera devant le miroir se soir ! Je m'empresse de la régler et ressort en remerciant promptement notre hotesse.

- Allez, s'écrie Mia en m'agrippant le bras, chez Arwenn maintenant !

Je ne connaissais pas cette personne mais je compris vite. Même s'il était écrit COIFFEUR, je n'en comprenais pas son sens, ce n'est qu'en voyant les énormes sciseaux en grand sur ce qui semblais être la copie conforme du magasin d'où on venait, que je compris ce qui m'attendais …

- Mia, je n'ai jamais…

- Je sais, il faut un début a tout, aujourd'hui est un renouveau !

Elle me pousse à l'intérieur, fait rire la coiffeuse en lui demandant de m'attacher de peur que je m'en aille. La tension s'évacue au fil des soins, massage de mon cuir chevelu. Mais là, je commence à sentir des coups de ciseaux et voir des mèches tomber au sol ! Mes mains agrippe le siège.

- Laisse toi faire Aerin, tu ne vas pas te reconnaître ! Arwenn à un don extra pour métamorphosé les gens !

Et elle ne se trompe pas, car pour sur je reste 5minute à me demandé qui est dans mon reflet ! Elle m'a fait une sorte de carré plongeant, les cheveux de devant allant délicatement se déposer de chaque côté de ma poitrine, la mettant un peu plus en valeur…

Je suis encore branlante quand Mia me sort de la boutique…

- Tu es sublime, et avec la tenue complète, ton cavalier va tomber raide dingue !

- Mia, grognais-je , j'espère que ce n'est pas un de tes rendez vous galant arrangé !

- Tu me connais tout de même… ?

- Oh que oui, justement… !

Je gardais un mauvais souvenir de ce derniers bal, ou j'aurais mieux fait de resté chez moi. Mia m'avait trouvé un ''cavalier'' qui ne voyais qu'une chose profitez de l'occasion pour un peu plus qu'un moment a danser ! Elle m'avait prétexté que je devais m'amuser ! Heureusement pour moi, l'une de mes facultées étrange, si je regardais celle des autres habitant, était de disparaître si l'urgence le demandais. Je ne sais toujours pas comment j'ai fait, mais le gougea en question ne m'a plus jamais approché, je l'ai terrorisé ! Il devait s’être rendu compte de son comportement quelque peut déplacé, car il n'a souffler mots de ce phénomène à personne…. Ce qui n'était pas sans me déplaire !

- Voyons Aerin, tu ne va pas m'en vouloir toute ta vie quand même ? Là c'est Anthony qui c'est chargé de trouvé ton cavalier…

Autant j'adorais Anthony, que le fait qu'il l'ai choisit ne me rassurais aucunement !

On se décide à s’arrêter manger un bout au bar du village.

- Je vais rentrer me préparer, dis-je a Mia.

Il n'est que 14h30, mais je n'ai qu'une envie c'est de rentrer… Je sais que je risque de passer mon temps à ruminer avant la fête mais t'en pis...De plus je n'ai qu'à mettre ma robe, vu que la coiffure et le maquillage on été fait chez Arwenn, mais c'est le jour ou Aïka doit passer me voir...

- Je passe te prendre a 17heure, me réponds Mia.

Passer me prendre ? Je vois que beaucoup de choses on été changé en ce qui concerne l'est tradition ! Tout d'abord la robe que j'ai plus ou moins choisit, enfin on l'a choisit pour moi donc sa reviens au même et le fait que ce ne soit pas mon mystérieux cavalier qui vienne… Sans compté que l'heure du rendez-vous était 18heure et qu'il ne fallait pas 1heure pour atteindre la grande place ! Tout sa m'évitais de songer a Dimitri, mais me tracassais quand même…

Max étais muet depuis six ou sept jours, non pas sans me déplaire parfois mais ses discours prévenant me manquait tout de même. Je laisse la porte d'entré se refermer derrière moi et monte l'escalier, comme chaque foi, je reste devant la pile de carton… Je m'étais autorisée a aménager une ''vrai'' chambre en face de la mienne, ranger les vêtements de Dimitri dans un des meubles… Pas une seule lettre ou un mot en un peu plus d'un moi… Je ne doit pas lui manquer tant que sa… De plus il y a beaucoup de jolies filles sur le continent a ce qu'on m'en a dit...

J'accroche la robe sur la porte de ma chambre à l'aide du cintre, je n'avais même pas vu que celle de Dimitri était ouverte… Je vais voir à l'intérieur, j'ai du oublier de la fermer… Je reste la à scruter le vide, je me demande où il est et ce qu'il fait… Un hurlement me rappel vite où je suis moi ! Je dévale les escaliers quatre à quatre et me retrouve à l'extérieur.

C'est bien Aïka ! Je suis tellement heureuse que j'en oublis les formalités et me jette à son coup. Son odeur de bois, terre humide emplis mes narines, sa fourrure est si douce… Je ne sais pour quelle raison, mais je fond en larme contre sa gueule…

- Là, là… ça va aller Aerin…

Sa voie fait redescendre toute cette pression que je m'étais imposé inconsciemment, la fatigue devait aussi aider.

- Je ne reste pas, je venais juste voir comment tu allais… Il faut que je retourne auprès de la meute…

Je comprend qu'elle ne puisse pas rester et pourtant… Son contact me redonnais ce petit souffle qui me manquait, je la regarde s'évaporer sous le sous bois.

Je reprend mes occupations, passe ma tenue, j'hésite à passer devant le miroir de la salle de bain, le choque chez Arwenn était encore palpable, et je ne voulais pas vraiment voir à quoi je ressemblais, sa éviterais mon malaise.

Je tourne en rond entre la cuisine et le salon, je regarde l'horloge trouvé dans le bureau. Je l'avais accroché juste au dessus de la cheminé. 17H30, il me restait une demi heure encore…

Sa frappe à la porte, c'est déjà Mia !

- Merci de ton accueil dit elle, je peu attendre une demi heure dehors si tu veux ?

Peut être que je me serais attendu a quelqu'un d'autre oui, et j'imagine bien ma tête ! Mais il était, bien sur, hors de question de la laisser poiroter dehors, même si les température était agréable ! Et la voir dans sa tenue, coiffée et maquillé me subjuguais !

- Tiens, me dit elle en me tendant une boite, tu les enfiles et ta tenue sera complète !

- Mia, il ne fallait pas je…

Je suis extrêmement mal à l'aise, pas seulement parce que je ne suis pas à l'aise quand on m'offre des cadeaux, mais à cause des magnifique chaussures au talon interminable qu'il y a dans le carton. Comment je vais faire pour marcher avec sa ?

- Tu veux que je te les mettent ou tu va y arriver ris elle

J e dois avoir une tête a faire rire, car elle ne s’arrête plus ! Je me plie à sa demande. Elle s'écarte de moi et me sourie, comme fière du résultat.

- Tu es splendide Aerin ! Elle secoue la tête, Bon, voilà le programme, on passe a Kozh et les gars nous y rejoindrons vers 18heure. Elle me fixe, ON Y VA ? Appuit elle.

Le Kozh était le point de ralliement du coin, Mia adorais y passé ses soirées quand cela était possible. C'est à dire quand nous n'avions pas court le lendemain, et quand Anthony voulais bien l'accompagner ! Celui-ci était ouvert sur la place, de simple planche faisant office de mur, et les clients pouvaient profiter de la terrasse. Les jours de pluie il restait fermé, ce qui était rare ici.

Je la suie, contrairement à ce que j'aurais pensé mes chaussures ne me font ni mal au pied ni tomber ! J'ai l'impression d'être dans des chaussons!

La place est quasiment vide, tous le monde doit-être à se préparer pour ce soir. Les quelques gens présent terminent l'installation des câbles allant du générateur jusqu'à la table de musique. Nous nous dirigeons jusqu'au Kozh et nous asseyons au bar. Le patron est déjà à s'activer et ne nous remarque même pas !

- Tu compte nous servir ou il faut qu'on aille sur le continent, rie Mia.

Il sursaute se retourne, son sourire s'efface, sa bouche s'ouvre en grand, ce qui me fait sourire a mon tour.

- WOUAH, dite moi les filles vous avez un cavaliers pour ce soir ? Si ce n'est pas le qua j'en connais plus d'un qui laisserais sa demoiselle…

Son regards insistant sur moi est agréable mais m’incommode…

- Pour vous reine Mia comme d'habitude je suppose ? Et vous mademoiselle ?

Son regards revient sur moi, sa pupille s'éclaire d'une étincelle jaune.

- La même rie Mia, et deux normale, Anthony et…

Elle se cale la main sur la bouche, il s'en ai fallue de peu pour que je sache enfin !

- Pourquoi il n'est pas venu te chercher déjà ? J'aimerais qu'elle crache le morceaux !

- Je ne t'ai même pas dit ? Ah… Ben… Conférence avec les anciens j'espère qu'ils ne terminerons pas trop tard…

- La fameuse personne que tu as contraint de m'accompagner ce soir aussi ? Je me fait insistante.

- Oui elle aussi, mais tu pourras insister tu ne sauras pas ma belle, la curiosité est un vilains défaut, elle me tire la langue. Ah et notre fameux serveur s'appel Jon...

Malgré sa grimace elle paraît tout aussi canon… Donc mon mystérieux cavalier fait partit du conseil… Super, sa ne réduit les prétendant qu'à une centaine, même en enlevant ceux qui serait trop âgés ! J'ai à peine le temps de remarqué le petit morceaux de papier que Mia glisse sur le comptoirs. Sa ressemble à une serviette… Le serveur pose brutalement les quatre bières, j'espère au moins que les gars arriverons rapidement, car chaude elle prenais un léger goût d'amertume…

J 'oublie la serviette que le serveur prend furtivement, et essaye de suivre Mia dans son discourt sur les réunion et son point de vue sur le fait qu'on ne puyisse y assister.

- Je pense à sa Mia, tu sais quand la navette reviens ? La coupe le patron.

- Non dit-elle en secouant la tête.

- La dernière foi ils ne sont pas revenus avant 18 semaines, soupire t-il, je commence à être a court.

Son bras fait de grand cercle devant l'amoncellement de tonneau sur les étagères. En rupture ? Il y avait de quoi tenir 6mois encore, même en ayant de bon client !

18 semaines… Un mois et demi, même un peu plus, que la navette était partis… Je devrais prendre mon mal en patience…

- Ey, bonjours les filles ! S'écrit Anthony

Il à l'air comptant de sortir de sa réunion, il me jette juste un sourire, et embrasse tendrement Mia. Des étincelles s'écrase jusque sur le sol et le comptoirs !

- Dite les enfants, je ne tient pas à voir ma bicoque flamber, s'amuse Jon.

- Tu es seul ? S'indigne Mia

- Il avait quelque chose à régler avant… ses mains sont sur sa taille, tu es à croquer MA chérie,…

Les joues de Mia devienne rouge écarlate, le feu sur son visage se propage en petites bulle rose, leurs yeux s'entrecroisent et prennent cette couleur bleu océan… Il forme un beau couple tout les deux…

Encore ce pincement dans ma poitrine, je ne devrais pas les envier comme sa,…

Profite de ce moment et ne pense plus à lui

Ah te voilà enfin monsieur Max ? Il arrivait, nonchalant, et vue l'état de sa fourrure il avait du encore se rouler dans les feuilles. Un sentiment de plénitude m'envahis, il n'a pas tord, si Mia à organisé tout sa c'est pour que je me change les idées !

Nous sommes rendu à notre 3ième peinte, les villageois commence à arriver, apportant avec eux ce brouhaha et ces émotions qui me frôle à leur contact. J'ai moins de mal à contrôler la réception de leurs sentiments… La musique monte crescendo et Mia m’entraîne sur la piste. Je sent des regards sur moi, je ne suis plus si mal a l'aise a présent, et je pense que la mixture y est pour quelque chose… C'est plaisant d'être regardé ainsi… Je me laisse emporter par le tempo, Mia s'amuse et me pousse dans sa folie. Sa fait énormément de bien de se lâcher, j'aurais été bête de refuser son offre et rester à la maison… Je ne pense même plus au cavalier que Anthony ma trouvé, je ne pense plus a rien à vrai dire… Des bras m'emporte, je me cale sur ceux qui m’entoure quand le DJ passe un son appelé Ambiant jungle, je ne suis pas fan et me demande bien comment on peu danser là dessus ! Suit du Folk métal, du disco, une irlandaise… Ma tête tourne et je n'arrive pas vraiment a suivre ! Je me dirige vers le bar, le patron me tant une chope avec un liquide rose que je ne connais pas.

- Tenez princesse, sa vous fera tenir toute la nuit ! Il rit

- Combien ? Lui dis je en essayant de me faire entendre

Je vois ses mains se secouer pour me dire que je n'ai pas a le régler.

- Offert par … il sourit et son doigt se pointe vers la foule.

Je ne sais pas de qui c'est, soit Anthony ou Mia je suppose. Et la direction qu'il m'a montré ne risque pas de m'aider ! Je me faufile vers la droite, rasant les maisons, et essaye d’atteindre le début du bois. En une fraction de seconde je croie voir Aïka, tu te fait des idées, elle ne viendrais pas si près du village Aerin !

Je m’appuie contre un arbre, le contact de son écorce sur le haut de mon dos dénudé me donne une sensation de fourmillement jusque dans les mains… Je reste là, a regarder la foule mouver au son de l'harmonie sortant des enceintes géantes. Tout un coup sa devient plus calme, à mon grand étonnement je trouve que sa ne fait pas de mal, j'ai du peut être abusé de la bière, a moins que ce sois une réaction au fond de liquide qui reste dans mon verre… Une chaleur par de la pointe de mes cheveux puis atteint mes épaules, peut être une réaction avec le conifère qui me regarde de toute sa hauteur… Une musique familière résonne d'un coup, j'aurais aimer qu'ils ne passent pas cette chanson… Je me sent transportée dans mes souvenirs, je revois son visage, son sourire… Mes yeux restent à observer la foule, j'ai l'impression que tous ces hommes qui danse, enlacés dans les bras de leurs bien aimé, que tous ce sont métamorphosés ! Chacun est LUI, je panique et secoue ma tête, je ne sais pas si je doit rester ici, un vent de panique s'empare de moi, me faisant frissonner. Je secoue ma tête, ferme les yeux. En les rouvrant je me rend compte que tout est normale, une nouvelle musique détone, et mon ténébreux à disparue de la foule, les visages familiés sont de nouveau eux même… Tu déraille ma pauvre Aerin…

Anthony se dirige vers moi en courent, sourire aux lèvres. J'engloutis d'une traite les deux gorgé qu'il me reste à boire.

- Tu étais passé où ? Sa fait une bonne demi heure que l'on te cherche !

Il n'attend pas ma réponse et agrippe ma main. Il me tire avec aisance jusqu'au bistro, je grimace, je pense qu'il serait raisonnable que je ne boive pas une goutte de plus ! D'abords quelque étourdissement, après les hallucinations et la suite se sera quoi ? De plus je demanderais bien au serveur ce qu'il y avait dans la mixture qu'il m'a servit !

Le bruit envahis mes oreilles, il n'est plus si désagréable que ça en faite, Mia me lance son regards désapprobateur, et je m'efforce de lui sourire.

- Ça va pas de disparaître comme sa ? Je croyais que quelqu'un t'avais embarqué !

D'une part je ne suis pas sur que sa pouvais arrivé, malgré le regards insistant de quelque jeune, et d'autre part j'étais capable de me défendre !

La main de Mia est posé sur l'épaule d'un homme, je ne distingue que son dos et sa chevelure brune… Je n'y fait pas attention malgré ce petit soubresaut dans mon ventre.

- Tu veux un autre verre d'élixir ? Me demande Anthony

J'ouvre la bouche pour décliner, quand l'homme a côté de Mia se retourne, son sourire se fige. Je crois que mon cerveau me joue de nouveau des tours ! C'est impossible que ce soit lui… Ses yeux vert tourne au bleu en croisant mon regards, je sursaute en ressentant une décharge dans ma nuque et détourne la tête vers Anthony, tout compte fait un autre ''élixir'' comme il l'appel ne me fera pas de mal. Il est déjà a me tendre le verre, et ris en me voyant engloutir une bonne partie.

- Fait gaf Aerin, c'est pas de la bierre ton truc ! Il s'étrangle presque !

Je me fou de la recette de cet alcool, mais si le liquide rouge pouvais enlever mes hallucinations, sa m'aiderais fortement !

- Bonjours Aerin, une voie hésitante crie derrière moi, avec le vacarme qui m'entoure j'ai du mal a la reconnaître.

Je vois le sourire de Mia qui signifie ''je suis contente de moi'', et je ne comprend pas tout de suite, seulement en me retournant…

Mon sang ne fait qu'un tour, ma respiration se coupe, je devrais être euphorique et pourtant… Des jurons que je ne me connais pas fusent dans mon esprit, de la colère !

Dimitri est devant moi, il me dévisage des pieds à la tête comme si il me découvrais pour la première foi, comme si je sortais tout droit d'un conte et était l'une de ces princesses aux cheveux d'or. Je ne sais pas comment réagir, je me contiens et détourne mon regard, ce qui surprend Mia.

- Bonjours Dimitri ! Je ne sais s'il a entendu, mais j'enfourne le reste du liquide, il n'a pas le tant d'atteindre mon estomac que je retourne sur la piste en entraînant Mia.

Contrairement a son habitude, elle ne danse pas, ce qui cloche un peu avec les corps en mouvement autour de nous !

- Aerin, tu n'es pas contente de voir ton cavaliers ? J'ai eu du mal a tenir ma langue pour te faire la surprise ! Elle a l'air offusqué.

Donc ils étaient au courant que Dimitri était revenu ? Il n'avait même pas daigné venir me voir pour me prévenir, et m'avais laissé sans nouvelle, comment voulait elle que je réagisse ? Oui j'étais malheureuse de la distance qui nous séparais et je ne sais pourquoi, mais ma colère venait d'exploser dans ma tête en le voyant !

Aerin, tu devrais être contente non ?

Max n'a pas tord… Je m'efforce de me justifier auprès de Mia, prétextant la mésaventure de mes hallucination. Ça a l'air de marcher car elle explose de rire !

- Vas y molo avec l'élixir!

Elle me glisse la phrase à l'oreille, je la regarde perplexe. Elle secoue la tête comme si j'étais une ignorante !

- Le verre que Dimitri t'a fait servir s'appelle ''l'élixir'', ce n'est pas pour rien ! C'est un cocktail ! Il dévelloppe les facultées en sommeils.

Je ne comprend toujours rien ce qui la fait d’autans plus rire !

J e ne peu lui demander plus, qu'un grands garçon, cheveux bleu et yeux vert, m'agrippe pour danser un rock. Mes pensées ne suivent pas mes pas ce qui me fait louper quelque temps ! Mon danseur ne fait que des pas de base, mais j'arrive encore a lui marcherdessus !

De là ou nous somme, j’aperçois Dimitri, il observe la senne tout en étant en discutions avec Anthony, je ne sais pas ce qu'il lui dit, mais une étincelle rouge s'échappe de ses cheveux et je le vois approcher, la légère retourné de mon cavalier me permet de lui tourner le dos, la musique saute pour entamer un tempo plus endiabler sur le même registre. Je n'ai pas le temps de comprendre, le grand dadais au cheveux bleu se voit propulsé dans les bras d'une autre cavalière et des mains m agrippe de nouveau. Je reste figé et essaye de bloquer les sensations qui veulent s'échapper de mon corps… J'en était devenu doué pour camoufler mes émotions, et ca avais l'air de bien marcher, aucune étincelle, pas de vibration… Juste se cognement dans mon corps me priant de les laissés s'évader et exploser !

Je suis un pantin, mes jambes effectue leurs danse, je suis le tournoiement que son bras m'ordonne, il me soulève, et mon corps abdique à ses demande. Une douleurs émane de mon cœur, comme si on me le broyais, mais je tien bon, je ne veux pas laisser transparaître quoique ce sois ! La musique change pour un slow, il me dépose à terre, sa main effleure ma joue. Son regards s'embrase, mais je me contient, je ne me laisserais plus me dévoiler à cœur ouvert comme j'ai pu le faire avant, se serait trop facile de… Je sent que mon corps va lâcher, je m'écarte et le laisse planté sur la piste, il a l'air surpris, je ne sais pas s'il me suit… Je retourne auprès de Mia et Anthony, eux étant présent, je ne pense pas qu'il se laisserait aller a quoique ce sois !

Je reste à parloter avec Mia, pendant que Anthony et Dimitri sont en pleine discutions. J’aperçois quelque regards furtif, que je m’empresse aussitôt de détourner. Ce serait un peu trop facile, qu'il revienne la bouche en cœur après avoir disparu sans un mot, il aurait fallu quoi que je lui saute dans les bras ?

Nick, un de mes camarade d'école, essaye d'entamer une discutions avec moi, je vois bien que sa ne plaît guerre a mon ténébreux, je m'en moque… Je rie à ces blagues sur les hommes, je ne sais pas d'où il les sort, mais venant d'un homme c'est encore plus drôle !

- Bonne soirée les enfants, Niné et moi rentrons, il se fait tard ! Résonne la voie d'Alex dans mon oreille.

Je me tourne et acquiesce en leurs envoyant un baiser de la main.

- Je vais en faire autant, dit Nick, demain je part en excursion à la plage avec le groupe.

Il dépose un léger baiser sur ma joue, je voie bien que Dimitri nous observe et en profite pour laissé s'envoler quelque bulle rose. Je ne sais pas si j'aurais du, son visage se ferme et s'attriste. Il se retourne vers le groupe avec lequel il discutais à un mètre de moi. Je ne vois plus Mia et Anthony, ils on sûrement du rentrer.

- Un derniers verre pour la plus jolie des fleurs ? Susurre le patron

Je suis amusé par sa façon de me parler, et lui rend son sourire.

- Merci chef, je lui lance un clin d’œil en attrapant la choppe.

C'est le même liquide rouge, mais il a du me mettre le reste de son breuvage ! Au point ou j'en suis… Il doit être tard, la musique passe en sourdine depuis 10 minutes, seul quelques personne sont sur la piste.

- Quelqu'un te raccompagne chez toi j'espère ? Le patron me toise d'un air inquiet

Je reste silencieuse et il commence à claquer sa langue, il n'a pas l'air d'accord que je rentre seul.

- Ne t'inquiète pas Jon, JE la raccompagne. C'est Dimitri qui lui réponds

- Tachez de ne pas vous égarés dans la forêt, le serveur lui fait un geste complice illustrant la scène, puis retourne servir les dernier clients.

- Tu n'étais pas obliger, rétorquais je glaciale.

Mon regards se perds dans le verre, ma gorge se noue, je me retiens pour ne pas laisser le brouillards investir mes pupilles.

- J'ai envie de te raccompagner Aerin, je ne tiens pas qu'un de ces hommes ivre profite que tu sois seul. De plus je vis chez toi si tu te souviens bien, enfin si sa tiens toujours…

- Mein Haus ist dein Haus grognais je

Il est surpris… Peut être a cause de l'intonation, ou bien de la langue ? J'avais découvert de nouvelle faculté, et le court d'allemand m'avait montré que j'avais certaine capacité très intéressante envers les langues étrangères.

Il faudrait peut être que j'arrête de me renfrogner, je pense qu'il a compris que je n'avais pas apprécié qu'il s'en aille sans me dire au revoir ou sans un mot… Dans le font j'étais heureuse qu'il soit rentré, des cauchemars me montrant des scène atroce me réveillais en sueur depuis quelque jours, et j'avais énormément peur pour lui… Au moins j'étais rassuré !

- Et si on rentrais ? J’essaie d'adopter un comportement plus agréable.

Il hausse les sourcils face à mon changement de comportement. Faudrait savoir ce qu'il veut non ?

J'attends que Jon, le patron du bar, arrive à ma hauteur, lui fait un signe pour qu'il s'approche et lui décocher un smack. Il a l'air surpris, mais plus d'une foi j'avais vu Mia le faire, ainsi que d'autre et sa avait l'air d'une tradition pour lui ! Je m'étais peu-être emporté, mais mon accompagnateur avait fait volte face en grommelant !

- Tu devrais y aller, ton amis n'a pas l'air d'être content ! et il explose de rire

Ne pas être content le mots est faible ! Il avance les point serré, il à déjà passé la moitié de la distance nous séparant de la forêt. J’accours pour arriver à sa hauteur, cachant l'amusement qui manque de s'échapper de ma bouche.

- Tu aurais pu m'attendre, j'essaie de faire comme si je ne savais pas le pourquoi de sa colère

- Tu avais l'air d'être trop occupé, je ne tenais pas a vous interrompre ! Ses mots tranche l'air

Même si je suis confuse, je me félicite tout de même. Sa sera ma petite revanche pour tout ces moments à pleurer sur mon sort à cause de lui !

Ce n'est pas très gentil Aerin…

Pas très gentil c'est vrai, mais… Je soupire, nous passons devant la maison d'Emilie, les lumières sont éteinte. Je trouve étrange de ne pas l'avoir vu ce soir… Elle c'était dégoté un beau blond après son passage chez moi, elle paraissait moins agressive depuis et il lui arrivait même d'être agréable !

Nous arrivons enfin au chalet, je n'y voie presque rien et manque de louper une marche ! Dimitri me rattrape de justesse. Je me dégage promptement, sans même un geste de remerciement, ce qui le laisse indécis sur le fait d'entré ou non avec moi. Il reste inerte quelques seconde puis se décide enfin a rentrer. J'attrape deux bouteilles d'idromelle et les apportes au salon, il me suis du bout des yeux comme un agneau attendant de se faire attraper pas le chasseur.

Je m'assoie dans le canapé, même si mes chaussures sont confortable, j'ai l'impression qu'elles ont doubler de volume ! Heureusement que ce n'est qu'une impression !

- Comment c'est passé ton voyage...?

Il a l'air étourdis, s'approche du salon puis se décide enfin à me répondre.

- Ce n'était pas vraiment des vacances… il me paraît fatigué

C'est tout ce qu'il a a dire ? Son absence ne se résume qu'a sa ? Il tortille ses mains puis finit par les glisser dans ses poches. Il est tout aussi séduisant que dans mes rêves… Même si j'ai l'impression a ce moment là d'être face a un enfant qui doit faire son récitals devant une centaine de personne.

- Si tu préfères je peu m'en aller… il hésite

- Pour quelle raison ? Mon étonnement le radoucis et laisse réapparaître la facette de l'homme que j'ai l'habitude de voir : attitude assurée, décontracté…

- A ton retour tant attendu, murmurais entre mes dents

Je tend la bouteille dans le vide, sans le regarder.

Il s'adosse à la cheminée, face à moi, attrape la bouteille restante sur la table.

- A toi Aerin… les mots se brise, ses pupilles bleu turquoise me transperce, tu es magnifique ce soir…

Ce soir ? Donc d'habitude je ne le suis pas… ? Je me retiens de lui lancer ce pic, mon esprit se perd… Il faut que tu garde la tête froide Aerin !

- Tu es rentré depuis quand ?

- Deux jours, on dirais qu'il a hésité à me dire la vérité

Deux jours, il ose me dire sa ? Je ne sais vraiment pas comment le prendre… Contrairement a ce que j'aurais cru, la petite furie c'est endormie, je n'ai pas envie de me triturer l'esprit ce soir, je préfère jouer au jeu du silence qu'il aime tant.

- Tu m'en veut ?

Je le regarde perplexe.

- Les au revoir ne sont pas mon fort Aerin, c'est pour ça que je suis partit dans la nuit. Je n'avais pas le droit de t'envoyer de mes nouvelles, ma position aurait pu être découverte…

- Tu n'a pas a te justifier envers moi Dimitri, tranchais je, tu ne me doit rien.

Mes paroles son plus abrupt que je ne l'aurais voulu, ce qui a l'air de l’attrister. Il dépose sa canette sur la table et s'approche de moi se mettant a ma hauteur.

- Je ne peu pas te dire le pourquoi je suis partis,…

Ma mains brasse l'air, je me recroqueville sur le canapé, mon esprit est vidé. J'ai peut être trop pensé et imaginé ce qu'il pourrait faire pour finir par lui demander le pourquoi…

- … Tu ma manqué Aerin…

Il a l'air sincère, néanmoins cela fait deux jours qu'il est rentré, il aurait pu trouver le temps de venir me voir, non ?

- Ça fait deux jours que tu es rentré, et ce soir est la première foi que je te voie depuis des semaines TU…

- Aerin, il me coupe sa voie est embarrassé, sa fait deux jours que je me bat verbalement avec les érudits, les deux soir ou je suis rentré tu dormais déjà !

Je l'imagine, entrouvrant ma porte et me regarder dormir… C'est derniers mots abatte le si peu de rempart que je m’étais efforcé de construire pour ne pas que sa présence m'atteigne. Mes yeux s'embrume de nouveau, je sent la tristesse de tous ces soir remonter comme un volcan prêt à exploser…

Son bras passe autour de mes épaules m'attirant à lui. Ma tête se pose sur son torse, je ne sent pas le contact de sa peau a travers son pull blanc, mais son odeur… Je sent mon chagrin aspiré par son corps, me libérant de son poids…

- Aerin je…

Je ressent les sanglots remonter de sa poitrine a sa gorge, comme un flot amer de regret, sa main enflamme ma nuque, elle tremble… Je m'écarte doucement de son emprise, même si j'aimerais resté collé a son corps.

- Tu devrais allez te coucher Dimi, tu as l'air fatigué et je crois que l'alcool t’embrume l'esprit…

J'essaie de trouver une excuse à son comportement, qui effacerais l'idée plaisante que ma présence lui ai manqué. Je sais que mon esprit est verrouiller, malgré ses essaie que je ressent, je ne le laisserais pas rentrer… Pas sans que je le veuille…

- Tu as beaucoup appris dit t il en s'asseyant à côté de moi

Pour sur oui, les court sur la maîtrise de sois et des réactions psychique avaient porté leurs fruits ! Il n'a pas vraiment envie d'aller se coucher vu son comportement, comme s'il voulais que la soirée s'éternise, que le temps s’arrête.

- J'ai beaucoup appris aussi Aerin… ses mots flotte dans l'air, j'ai eu le temps nécessaire pour réfléchir et…

Je suis tout ouïe, l'attention que je lui porte le déstabilise, ses mains tremble !

- Et… ? Je reste étonné et ne voie pas a quoi il veut en venir

- Tu sais que je ne suis pas un grands fervent de discours… Je… Tu… J'avais l'impression qu'un énorme vide s’emparait de moi quand je suis partis…

- Tu as quasiment toujours vécu ici je …

- Laisse moi parler sil te plaît, ses yeux me supplie ses mains enveloppe les mienne comme pour les protéger ; ce vide je le ressent à chaque foi que tu es loin de moi Aerin…

Je ne sais vraiment pas quoi lui répondre, il à l'air d'attendre quelque chose… Je ne peu pas trouver les mots pour d'écrire le désespoir qui m’étreignais chaque jour, m'étouffant un peu plus…

C'est peut être risqué Aerin mais …

Max n'avait pas tord, je profite plus ou moins que mes mains soit recouverte des siennes, mes yeux se ferme, il n'a pas l'air de comprendre ce que je fait. Une chaleur enveloppe notre peau qui est en contact, je sais qu'à la couleur que prendra la bulle, il saura…

- Aerin tu n'est pas obligé de…

- CHUUUUT … le murmure de ma bouche s'évapore

Mon corps commence a trembler, il faut que je me focalise sur son absence, toute ces sensations… Je sais qu'elles se propulserons dans son esprit et son coup, les sentiments non pas de mots et ne peuvent se comprendre que par la façon dont on les perçois… Je ne m'attend pas à ce qui va suivre, son corps aussi se met à trembler, je veux le lâcher, ce n'est pas normal, la panique me gagne mais il m'agrippe plus fortement, mes état d'âme s’imprègne en lui… Un flo de sensibilité me reviens comme un boomerang, je ne comprend pas, je ne connais pas c'est… Ce n'est pas de moi… C'est…

Nous somme propulsé, le dos bloqué a l'assise… Je n'arrive pas sortir de phrase, ma tête me tourne j'ai l'impression que je vais m'évanouir ! Dimitri a l'air de se remettre plus facilement de cet échange, je retrouve l'animal sauvage aux yeux bleu, je m'attend à ce qu'il m'échappe, qu'il s’enfuit une foi de plus…

- Je ne veux pas partir Aerin, je ne m'enfuirais pas, il soulève ma tête délicatement, encore déboussolé.

Il ne me laisse pas répondre, il efface les quelque centimètre qui nous séparais l'un de l'autre, hésite,… Mes yeux se referme, son visage n'est qu'a quelque millimètre, il m’effleure presque… Ses lèvres tremblante dépose un légers baiser sur les miennes, il s'écarte… Comme pour voir ma réaction, mes yeux enlacent les siens au même moment que nos bras, mes doigts glisse le long de sa gorge puis sa nuque. Je l'attire a moi, je veux garder ce contact avec sa bouche, je veux laisser se brasiers consumer chaque parcelle de mon corps… Il frissonne, sa bouche s'entrouvre, ses mains se font pressante, mon cœur va exploser !

J'aimerais qu'il ne cesse de m'embrasser, des explosion dans mon cœur et mes tempe me font défaillir. Il écarte son visage du mien en caressant ma joue… Je ne connaissait pas encore ce regards si tendre… Je me blottie contre lui, dépose ma tête sur sa cage thoracique. J'ai l'impression d'entendre des chevaux en pleine courses. Ses mains caresses mes cheveux, je voudrais passer l'éternité ainsi.

- Aerin… ?

La main de Dimi accompagne sa voie, douce, chantante au creux de mes oreilles.

- Tu t'es assoupie…

Je me relève, délaissant ce corps qui m'attire tant.

- Pardonne moi Dimitri je…

- Chuuut, murmure t il en touchant ma bouche de son index, si on montaient se coucher ?

Je le sent me soulever, un sourire émane de mes lèvre, ma mains se glisse dans la mienne. Il me porte jusqu'à la chambre sans trop de difficulté, me dépose à côté du lit, effleure mes lèvre d'un baiser et fait demi tour.

- Où tu vas ? Une brise de panique remonte dans ma carotide.

Il se retourne en arrivant à la porte.

- Je ne sais pas si c'est une bonne idée Aerin…

Pardon ? AH… Une foie de plus ma belle tu t'ai laisser désarçonner, ton grand et beau ténébreux ne veux plus assumer c'est dernière paroles…

- Ce n'est pas sa Aerin, il a l'air perdu, je reste un homme et…

Je ne prend pas la peine de fermer l'accès a mes pensée et comprend vite en voyant son visage s'empourprer. J'avance de trois pas, mon bras enlace sa taille, ma main glisse a son coup, ses pupille bleu s'enflamme.

- Tu peu tout aussi bien rester… Murmurais je

Je ne sais pas ce qu'il me prend, je ne suis pas très entreprenante et … J'aimerais me contenir, mais mon corps à pris procession de mes gestes…

Il referme la porte, nous plongeant dans l'obscurité de la chambre, seul quelque bride de lumière venant d'en bas réussissent à s'infiltrer. Il esquisse mon geste, j'aimerais l’enlacer de nouveau mais…

- Je pense pas que ce soit une bonne idée Aerin…

Reprend toi et tien toi bon sang, c'est la deuxième foi qui te le demande, il a ses raison, accepte les !

Il me tourne le dos à présent, il retire son pull, dévoilant ses muscle. Le grand tatouage que j'avais grande peine à décrypter au manoir se dévoile sous le scintillement des étoiles traversant le sous bois. Un majestueux phénix recouvrant les 3/4 de sa peau, il retire son pantalon, une chaleur nouvelle m'interpelle. Je me détourne et retire mon haut, je lui tourne le dos, je ne tiens pas à me dévoiler nue devant lui je… Je n'ai jamais été nu devant un homme, le tambourinement de mon cœur remonte jusqu’à mes oreilles.

Je pense d'un coup a ma nuisette resté sur le meuble en dessous de la fenêtre… Je me retourne pour allez la chercher, couvrant ma poitrine comme je le pouvais… Dimitri est déjà glissé sous les draps, la tête de lit est dans le noir, je ne sais pas s'il m'observe, et j'avoue que ca ne fait qu'amplifier mon malaise ! Je lui tourne le dos et retire le reste de vêtement avant d'enfiler ma nuisette. J'aurais pu l'enfiler avant, cela aurai évité qu'il puisse apercevoir ce qui se cachais en dessous de mes reins ! Je n'ai pas réfléchis a vrai dire, et ma réflexion me fait trambler d'avantage ! J'essaie de prendre l’hatitude la plus naturel pour rejoindre le coté droit du lit.

Ce n'est pas la première foi que je me retrouve dans le même lit que Dimitri, mais j'ai l'impression que mon corps joue de moi et ne fait qu'accroître un peu plus se désir qui me ronge. Je m’allonge sur le côté, lui tournant le dos… Je veux effacer cette distance qui nous sépare, mais je n'ose pas. La femme entreprenante c'est évanouie a cette heure ci, a moins qu'elle n'ai déguerpie face à mon incompréhension ?

Soit Dimitri à ressentis la complainte de mon âme, soit il ressent se même besoin. Il s'approche et m'attire à lui.

- Tu ne compte pas finir ta nuit à l'autre bout du lit… ? Il ricane

Mes pensée sont clause, je préfère resté silencieuse…

- Aerin tu ne va pas m'en vouloir tout de même… ?

J'explose de rire, ce qui n'a pas l'air de lui plaire ! Il se rue sur moi pour me chatouiller, ce qui n'est pas si désagréable ! En un léger élan, je le fait basculer sur le dos, me retrouvant au dessus de lui. Nos rire se coupe, le silence s’installe avec comme des vibrations étranges… Mon corps se cambre sous ses mains, je m'abaisse a lui pour l'embrasser… Des picotements parcourt ma nuque se transformant en frisson, ses caresses propages des ondes brûlante…

- Aerin on ne devrais peut être pas…

Ma bouche s'entrouvre sur la sienne, je ne contrôle plus mes gestes, j'ai l'impression de sauter dans le vide….

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