Chapitre 10

23 minutes de lecture

La porte s'entrebâille et laisse apparaître le faciès tout excité d'Anthony.

- Debout Aerin, il danse d'impatience tanguant d'une jambe à l'autre comme un navire. Habille toi vite, il faut que je te montre quelque chose!

Il est débout au pied de mon lit. Max lève la tête, les yeux encore endormis. Je ne comprend pas ce qu'il me veut, aucune lumière ne descend des puis du plafond, je comprend donc que le soleil n'est pas encore levé. Je reprend vite mes esprit, encore un peu embrumés. A en croire sa posture il s'impatiente, ses bras sont croisé sur son torse. Il a vraiment un corps à tomber... Je secoue ma tête, décidément sa ne tourne pas rond chez moi!

Plusieurs année sans la présence d'un homme, sans vouloir offenser Alexandre, et je me surprend à les zieuter comme une pervers!

- Tu me laisse, au moins le temps que j'enfile quelque chose de plus... descend...?

Il baisse les yeux, honteux. Je ne suis habillé que d'une simple nuisette, dont je remercie intérieurement Dimitri d'avoir choisit. Et j'avoue ne pas avoir envies de sortir de dessous les couverture et me montrer ainsi devant lui! Le déshabillé ne couvre que mes fesses et mes seins, mais la transparence est plus que gênante! Malgré le si peu de lumière dans la pièce, il ne lui faudrait qu'un regards pour entrevoir chaque millimètre de mon corps.

Le feu me monte au joue à cette pensée. Il doit s'en rendre compte, se couvre les yeux et fait volte face pour disparaître derrière l'accès de ma chambre. Je soupir de soulagement, mon cœur palpite, quel idée aussi d'avoir choisit ce model ci! Je maudit Dimitri, j'aurais préféré une chemise de nuit à nounours à la place d'une tenue sexy! Quitte à être mal a l'aise autant être ridicule non?

J'enfile en une vitesse record mes vêtements et court le rejoindre dans la cuisine ou il m'attend. Essoufflé je regarde derrière moi, Max à dut pensé que l'invitation ne lui était pas destiné, il est resté coucher. Au moins un qui a de la chance!

- Tu es prête? Ses yeux pétille comme un feu d'artifice.

- Oui, grommelais je entre mes dents.

Nous sortons du trou creusé dans la cavité. Il fait encore nuit, je donnerais n'importe quoi pour quelque minute de plus a dormir! Qu'est-ce qu'il à de si important a me montrer, et surtout à cette heure ci!

Il ne me laisse aucune seconde pour m'expliquer et me fait signe de le suivre. Nous marchons une dizaine de minute le long d'un chemin caché sur le côté de la maison. J'arrive a peine a voir ou je met les pieds et manque de m'affaler sur mon guide! J'étouffe un jurons.

Un légers scintillement me laisse entrevoir l'extrémité du sentier. Des petites lucioles jaune dansent comme suspendu dans les airs. Je pose ma mains sur ma bouche pour étouffer un bruit de surprise. C'est magnifique! Des milliards de petite bette dévoile une énorme cascade, nous surplombant d'une 30 aine de mètres. L'eau retombe dans un lac immense en un grondement apaisant. Anthony redescend le long d'une brèche et va s’asseoir sur un rocher. A son contact la pierre émet de petit signaux bleu. Il se retourne tout excité et agite les bras pour que je le rejoigne.

Je suis en extase devant ce spectacle, les petites bestiole virevolte et semble effectuer une danse.

- C'est splendide, murmurais je.

Son regards croise le mien, puis tombe sur le sol, pour revenir vers ce magnifique spectacle. Nous restons là, silencieux, de peur que les lucioles disparaisse et nous plonge dans le noir. Soudain elles s'affolent, se regroupe, tel des étourneau, elles changent de rythme. De léger point jaune pointe au bout du lac, le ciel devient rouge. Le soleil se lève, comme naissant des profondeur de l'eau. Ma bouche s'ouvre, aucun son n'en sort, je crois que je vais me décrocher la mâchoire!

J'avais déjà vu des levé de soleil, mais comme sa AUCUN! La nature semblais prendre vie à son contact, les oiseaux commençait leurs sérénade. Une foi la clarté propagé, je me rendit compte que les lucioles étaient repartis. La chaleur des rayons s’encrait dans ma peau, me procurant un bien être fou!

Une claque d'eau glacé vint à mon visage, me faisant sauté sur mes jambes. Anthony riais à pleins poumon, je n'aurais pas voulu voir ma tête! La rage m'apprête a lui rendre la pareil, ma main s'engouffre dans le lac, mais mon pied glisse sur les galets, il a tout juste le temps de me rattraper. Il ris à plein poumon, je ne tarde pas à le suivre dans sa folie. Mon corps vacille pour retrouver son équilibre, et j'espère qu'il aura la bonté de ne pas me mettre a l'eau. Je vois son regards se poser derrière mon épaule. Ses mains lâche mes bras et je sent le sol se dérober sous moi, atterrissant comme une bombe dans le lac.

Je grogne et peste, je ne trouve plus sa si marrant que sa.

Je me relève et m'apprête à l'agripper par la jambe pour le faire tomber quand je me rend compte qu'il est resté inerte, le regards posé sur la rive d'en face. Le soleil m'éblouis, m'empêchant de voir se qu'il regarde. Je ne distingue qu'une silhouette le long de la berge, se diriger vers nous.

- Salut Dimitri. La voie d'Anthony me rappel celle quand Martia m'avait surprise avec le livre.

Pourquoi il réagit comme sa?

- Bonjour Anton. Sa voie est sèche. AERIN.

Il ne m'adresse aucun regards, mais accentues mon prénom. Pour qui est-ce qu'il se prend celui-là.

- Niné vous attends, je venais voir comment Aerin allais, reprend t-il d'une voie plus agréable.

- A parce que tu te souviens que j'existe peut être? Ma fureur ne gagnera pas, Aerin 2 mon corps 24.

Il a l'air surpris de ma réaction, se gratte la tête et soupir.

- Viens Aerin, coupe Anthony, si nous faisons attendre trop ma mère je n'ai pas finit d'en entendre parlé…

Comment est-ce qu'il sais que Honorine nous attend ?

Anthony me pousse pour m'aider à m'extraire de l'eau glacé, mes cheveux sont plaqué à ma tête comme une serpillière. Dimitri reste à me fixer, comme s'il était désolé. Le reste du retour se fait en silence et j'avoue ne pas avoir envies de laisser mes pensées s'exprimer. Nouvelle journée, nouveau départ, pas de retournement pour une nouvelle dispute, hier était grandement suffisant!

Niné nous attend sur le pas de la porte, bras croisé. Son visage est fermé et ne laisse entrevoir aucun sentiment. Nous entrons au rythme du silence lugubre.

- Aerin va te changer s'il te plais, je doit parler à Anthony seul. Dimitri tu peu rester si tu le souhaite.

Je ne demande pas mon reste et file à ma chambre, Max dors encore. J'attrape des vêtement secs et me retourne pour m’engouffrer tel une petite souris, dans la salle de bain.

Un tube descend du plafond pour finir sa course dans une grosse bonbonne en tissus, suspendue dans le vide au dessus d'un bac. J'en déduit que c'est la douche... Rien d'autre dans la pièce sauf une petite échelle en bois accoudé au mur décorer de serviette de toilette. Je dépose mes vêtement sur la petite chaise a ma droite et m'empresse d'aller me délasser sous le jet d'eau.

Niné voulais être seul avec son fils, mais la pièce dans laquelle je suis est bien trop proche de la cuisine pour que je ne puisse pas entendre une mouche voler. J'ouvre le robinet d'eau et le laisse me déverser sa chaleur. L'eau obstrue mes oreille mes la conversation me parviens.

- Anthony, la voie est pleine de reproche, tu aurais pus me prévenir que tu l'emmènerais au lac! Et en pleine nuit tu es dingue ou quoi! Et sa prise elle la eu ce matin?

- Allons maman, Anthony essais de dédramatisé tant bien que mal, tout c'est bien passé, on à juste profiter du levé de soleil...

- Et d'une bataille d'eau rapproché grogne Dimitri.

Je sent un soupir de désapprobation sortir de la bouche de Niné.

- Dimitri tu peu rester le temps qu'Aerin se prépare, sa voit est redevenus douce, quand a toi Anthony tu m'accompagne, ils on besoin de nous pour les préparatifs de ce soir.

- Mais maman...

- Il n'y a pas de MAIS, tranche t elle, Dimitri se chargera d'Aerin pour la journée, point finale!

J’entends la porte d'entré claquer. Passer la journée avec Dimitri? Si il était aussi désagréable que tout à l'heure sa promettais! Sa ne servirais à rien de m'éterniser sous la douche, de toute façon je devrais m'acclimater de sa présence!

Max aboie à l'extérieur, Dimitri est assis sur la terre et lui lance un bâton. Les rayons du soleil se répercute sur sa peau, dessinant chaque muscle sortant de son marcel à manche courte. Il doit être tout au plus 7heure du matin, mais la douceur de la brise me donne déjà chaud... A moins que la brise ne soit que le prétexte.

Max m'aperçois et me fonce dessus a tout allure. Il fait des bon, sa tête à hauteur de mon visage et sa langue happant l'air en essayant de m'atteindre. Dimitri n'a pas bougé, il reste là, à trifouiller les pierres et le sable avec le bâton. Ma présence ne le détourne pas de ses pensées. Je m'approche, sur mes garde à petit pad, prête à bondir sur lui ou à sortir le moindre mot pouvant mettre fin à ce comportement. Je refoule un pic s'apprêtant à sortir de ma bouche. Des taches foncé on obscurcis le sol. Bon sent mais... Il pleure? Il frotte son visage avec le bas de son tee-shirt, dévoilant quelque tablette de chocolat. Un frisson parcourt mon dos, puis ma nuque. Je me secoue, reprend toi Aerin, il crois que parce qu'il à le corps d'un dieu il peu se comporté comme sa avec toi? Jouer le grand amis pour faire son rapport auprès des anciens, passer du temps avec toi, prendre soin de toi et, du jour au lendemain te traiter comme une pestiféré? Je révulse mes pensée, ma tête bouillonne et il m'en faudrait de peu pour qu'elle explose tel un volcan!

- Tu veux visiter l'île? sa voie est absente, résigné.

En signe d'acquiescement je me poste devant lui et lui tant la main. Max observe la seine, incrédule. Une de ses oreilles est en pointe, tendit que l'autre est plié sur elle même. Avec sa langue pendant entre ses dents, il ressemble à un nounours. La main de Dimitri tremble, hésitante. Max émet un jappement. Je sent ses doigt glisser le long de ma peau, de petit picotement s'immisce le long de mon bras. J’essaie de calmer ma respiration qui je sent s'accélère. Il se relève sans prendre appuis ou se servir de ma main. Son visage se retrouve qu'a quelque centimètre du mien. Les fourmis au creux de mon ventre commence à se réveiller et entame leur java, comme si elle s'amusait a sauter! Je sent un vertige me prendre, ses pupilles sont bleu. Je pense apercevoir quelque point de couleur verte, essayé de se faire une plasse sur le fond bleu, mais ils disparaissent aussitôt. Comme si Dimitri essayais de refouler la moindre réaction me permettant de savoir ce qu'il ressent. Ses yeux son légèrement rouge, il reste à me fixer. Eux si agressif tout à leur on repris leur douceur, il à se petit soupçon d'air désoler au coin des yeux. Je sent sa main passer sur le coté de ma joue, me couvrant une partie de mon visage. Mes yeux s'embrume, changeant ma perception, les couleurs que discerne mon cerveau s'inverse je n'ose plus bouger. Sa main reste quelque seconde ainsi, relève une mèche pour la glisser derrière mon oreille, puis retombe le long de sa hanche. Son regards se détourne.

- Je suis désolé Aerin. Sa voie est murmure, suppliante.

Bon sent mais il joue a quoi? Et c’était quoi cette sensation, en plus de ressentir des choses, mon corps devenait défaillant! Il faudra que je réussisse à en parler à Alexandre, pouvoir comprendre au moins... Max abois et saute pour nous faire comprendre de nous activer. Il est déjà rendu en bas de la route qui mène au village que nous commençons seulement notre descente.

Je n'ai pas le cœur a répondre aux excuses de Dimitri, étrangement il à repris des distances, ne s'approchant pas a plus d'un mètre de moi. Arrivé à la hauteur de Max, celui-ci s'amuse à tourner en rond autour de nous, puis passer entre nous et slalome entre nos jambes. Décidément il n'y a pas que Dimitri qui a un comportement étrange!

Nous passons sous un tunnel d'arbre, tout est silencieux de nouveau. Nous débouchons sur ce qui me semble être la grande place du village. Des brouhaha, de rire et d'enfants qui joue virevolte entre les personnes qui s’active. De grands Mât on été disposés autour de la place avec des petits drapeaux accrochés au fil qui les relis. Il ne me semble ne jamais en avoir vu de pareil... Je reconnais tout de même celui du Canada, France...

Un crie me sort de mes songes, une silhouette rousse arrive en courant et en hurlant. En a peine une minute et elle est déjà rendu dans les bras de Dimitri. Son visage qui était fermé tout à l'heure, laisse exploser un sourire et des cris de joie. Des filament rose parte de son cuir chevelu jusqu'au pointe, me laissant perplexe. Donc c'est sa la démonstration de nos sentiments... Il arrivait peut être à bien les caché tout à l'heure, mais Dimitri c'était laissé allez à l'arrivé de la fillette!

- Et moi? m'indignais je. Je sourie en coin sous le regards amusé de Catiopé.

Dimitri la fait sauté une dernière foi en l'air avant de me faire signe de la rattraper en vol. La petite est hystérique, comme monter sur ressort!

- Dimitri est ton cavalier pour ce soir? Ses bras sont accrochés a mon coup, sont regards malicieux plongé dans le mien.

Je ne dit mots, le bonheur de la voir hors de sa chambre et de la sentir dans mes bras me foudroie. Elle sourit d'abords, puis rit après m'avoir posé la question du fameux cavalier. Je ne suis pas a l'aise, une journée entière avec lui me déstabilise, la soirée en plus et je ne donne pas cher sur la durée de vie de mon cœur.

- Tu devrais l'invité Dimi, je suis sur que sa lui ferais plaisir. Son regards malicieux se pose sur lui. Il semble embarrassé, laisse échapper un sourire.

- Dimitri à déjà sa cavalière, luis dis je gentiment. De plus je pense que Anthony voudras y allez avec moi.

Je jette un œil vers Dimitri, ma réponse n'a pas l'air vraiment de lui plaire. J'ai juste le temps d'apercevoir un courant électrique rouge le long de sa mâchoire que son visage se ferme aussitôt. Au moins mes dire aurons contenté Catiopé, qui est déjà rendu à courir avec Max.

Je secoue ma tête, pas envie que ma journée sois gâché à deviné ce qu'il pense. "C'est vraiment un ours!" comme m'avait dit Mia.

A peine ais je penser à elle que je reconnais sa chevelure verte se dessiner à 3 mètre de là. Elle est en compagnie d'Anthony, ils transporte à bout de bras une table. Je m’empresse de les rejoindre, esquivant les passant qui s'active aux préparatif. J'ai un peu de mal à me faufiler dans la fourmilière mais arrivent enfin à leurs hauteur. Voyant Mia forcer pour maintenir la table, je me faufile à ses côté pour l'aider à la porter. Anthony esquisse un sourire, il à l'air d'avoir beaucoup moins de mal face au poids de la plaque de bois. Elle semble peser une tonne!

- Heureuse de voir que certaine personne on pitié de mon dos, rit elle.

Sa voit est tout aussi haut perché que dans mes souvenirs. Je suis le mouvement et les aide a poser le billot rectangulaire sur des traitos. Je ne sais par quel miracle ils ne s'effondre pas.

- Aerin tu étais passé ou? la vois inquiète de Dimitri résonne dans ma nuque.

- Bonjours Dimi, chantonne Mia.

Elle ne prête même pas attention à ses yeux devenu jaune. Je suppose que monsieur est en colère...

- Je pense qu'on pourrais trouver une laisse, au moins tu ne me perdrais pas, sifflais je.

Il secoue la tête, décontenancé. Il crois peut être que Niné l'ayant chargé de me surveiller, je dois le suivre comme un petit chien? Ma réaction fait rire mes deux amis, mais Dimitri n'a pas l'air d'être de la même humeur. Tan pis.

- Aide nous au lieu de faire le rabas joi, je le regarde tête haute.

Depuis quelque jour j'ai l'impression de me redécouvrir, je me surprend de plus en plus...

Je m'attendais à ce qu'il réagisse, au lieu de sa il serre les dents. Son visage se détend, puis nous suis vers le hangars en bois près de ce qui semble être l'épicerie du village. J'ai bien du mal à suivre avec toute cette foule. Un léger tournis me prend au contact de ces gens. L'affolement, la joie, la peur, l'inquiétude se succède, comme si chaque contact me faisait ressentir leurs sentiment. Je tangue jusqu'à la grande bâtisse en bois. A l'intérieur des planches sont empilées, et des bottes de paille trône à droite de l'entrée. Je ne demande pas mon reste et m'assois sur l'une d'elle le temps que mon corps veuille bien me tenir droite et stable. A peine suis je assise que Dimitri est déjà à genoux devant moi. Il a l'air inquiet, me dévisage comme si je sortais tout droit d'un film d'horreur. Max est à coté de lui, je ne l'ai même pas vu arrivé. Il donne des coups de museau sous le coude de Dimitri, essaye de glisser sa tête entre son bras et son genoux.

- Ça va? chuchote sa voie, il est comme tétanisé.

- Çà va passé, juste un léger tournis. Chuchotais je.

Anthony et Mia se glisse derrière lui, je vois de l’effroi ce dessiner sur le visage de Mia.

- Qu'est-ce qu'il y a? répliquai je, son regards me terrorise.

- Aerin tu...., elle tremble, tu es aussi transparente qu'une feuille de papier calque!

- Antho tu peu allez chercher Aldaron, il me semble l'avoir vu près de la fontaine. La voie de Dimitri est oppressante, suppliante.

A peine eu t-il fini que Anthony était déjà partis à la recherche de ce fameux Aldaron. Dimitri essayais de calmer les gémissement de Max, et Mia semblais prête à tomber dans les pommes!

Une ou deux minute c'étaient écouler avant que mon tuteur ne revienne avec l’inconnu. Il ne me semblais pas l'avoir déjà vu, mais son visage m'était familier. Ses cheveux retombais jusqu'à ses cuisses. Son teint était pale et ses yeux d'un blanc... L'homme fit signe à Dimitri de lui laissé la place, je voyais ses mains s'agiter dans la fourrure de Max, comme si cela allais l'aider à le calmer.

- Mon nom est Aldaron, je suis médecin ici. Peut tu me décrire ce que tu ressent?

- Et vous pouvez vous arrête de me regarder comme sa vous me faite peur!

Ma mains repousse la sienne, je n'aime pas le contact de cette personne, j'ai l'impression de me vider de tout!

- Elle n'a pas pris son traitement ce matin? ses yeux passe de Anthony à Dimitri puis Mia.

- Euh non, ... La voie de Dimitri résonne.

- Bon écoute Aerin, tranche Aldaron, je vais t'injecter quelque chose dans le bras, d'ici quelque minute sa devrais allez... Dimitri, tu veux bien l’emmener jusqu'à chez moi? Essaye de faire vite, je n'aimerais pas affolé tous le village... Mia, peut tu garder Max avec toi? Le voir accolé à Aerin tout le temps risque de faire jasé, et elle n'a pas vraiment besoin de sa.

Mia acquiesce sans dire mot. Max à l'air de comprendre et se pose à ses coté, léchant la mains de la jeune fille. Je ne distingue que ses deux petits yeux, ils sont aussi blanc que celui du soigneur. Dimitri me soulève délicatement du sol, j'ai l'impression d'être propulse dans le vide à son contact. Il colle ma tête contre son torse. Les battements de son cœur s'accélère, je sent comme un souffle brûlant partir de ma tête et glisser jusqu'à mes orteils. Ses pad s'accélère, me balançant de haut en bas. Nous traversons la foule, je sent des personnes s'écarter. Dimitri essaye tant bien que mal d'éviter que je rentre en contact avec l'un deux. Des murmures se font entendre à notre passage, nous parvenons enfin à nous extirpé du brouhaha. Dimitri s'arrête et me dépose délicatement sur une table. Je ne sais pas si c'est le faite qu'il s'écarte pour laisser le médecin approché, ou bien la matière de l'ilot sur lequel je suis, mais un léger froid me mort les muscles. Aldaron demande a Dimitri de sortir et s'assurer que Mia va bien.

Je ne sent même pas l'injection se propager dans mes veines. Le médecin s'absente, puis reviens avec une couverture. Les murs de la pièce sont recouvert de paille, comme les maison de l'ancien temps faite en torchis. J'aperçois différents instrument sur une table en fer sur roulette et croise les doigt pour qu'il ne les utilise pas sur moi. A la place de ceux ci, l'homme me fait asseoir et m’envoie des impulsions de lumière dans les yeux, tout en maintenant mes paupière ouverte.

- Sa a l'air d’aller mieux... Il racle sa gorge, chantonne en faisant basculé a droite et a gauche ma tête entre ses mains. Au moins tu ne ressemble plus a un spectre. Il ricane. Tache de ne plus oublier ton injection. Nous verrons pour un suivis et diminuer les dose, pour le moment je pense que 30 milligramme sont nécessaire.

Je ne comprend rien à ce qu'il dit, mais pour sur je ne risque pas d'oublier mes prochaine dose, j'ai bien cru que j'allais y passer!

- Je vais voir si je trouve Mia ou ton tuteur, tu as l'air d’aller mieux et va pouvoir reprendre à tes occupations.

Il s'éclipse sous une petite voûte menant sur la place. Mes pensées sont confuse. Je n'ai pas le temps d'y remettre de l'ordre que Aldaron arrive, Anthony sous le bras, il a l'air mal en point!

- Qu'est ce qui c'est passé, dis je paniqué

Le bras d'Anthony forme un grand cercle, je me pousse pour lui laisser la place. Il s'assoit, les jambe ballottant dans le vide. Du sang inonde le sol, on dirais que son nez est casser! Et à en juger par la noirceur apparaissant sur le contour de son œil droit, il n'y a pas que ses narines qui en on pris un coup!

- T’inquiète Aerin, ca va allez. Son nez laisse échapper un sifflement.

- Décidément, le coupe Aldaron, vous pensé que je n'ai que sa a faire aujourd'hui. Il soupir. Tu peu y allez Aerin, Mia t'attend à la porte avec Max.

Je n'attend pas mon reste, cette pièce me glace le sang! Je jette un dernier regards à Anthony, pressant un bloc de chiffon sur son œil.

Mia est posté le long de l'habitation, le regards dans le vide, ses jambes se balancent l'une sur l'autre. Max est coucher sur la minuscule terrasse en paille attenant à la maison du médecin.

- Qu'est ce qui est arrivé à Anthony?

Mia sursaute, elle m'inspecte des pieds à la tête rassuré de me voir debout.

- Tu as l'air d'aller mieux? Elle est prise d'un énervement sans nom, Bon sang Aerin t'aurais du voir sa, Dimitri à tout d'abord commencer à réprimandé Anto parce qu'il avait oublié ton injection, t'aurais du voir sa, deux ours en plein combat! Elle sautille sur ses jambes.

- De quoi? Dimitri et Anthony se sont battu? j'étais tétanisé et sidéré par ce qu'elle me disait.

- Pas une simple bataille, elle rie, j'ai bien cru que Dimitri allais le tuer!

- Et où il est?

- Alors là, ne m'en demande pas trop, il est partis quand Max c'est interposé entre eux. Tu aurais du voir sa, un lion entre deux ours!

Je la laisse continué son épilogue sur ce qu'il vient de se passé. Dimitri est vraiment ingérable, qu'est ce qui lui a pris? Il n'y a pas mort d'homme tout de même? La pensée qu'il soit dans le même état que Anthony me ronge d'inquiétude... Et puis tant pis, je ne vais sûrement pas partir à sa recherche, il n'a qu'a apprendre à se tenir non mais!

Je me rediri-je vers le hangar ou son entreposé les tables, il faut que je puisse penser à autre chose. Les plaque de bois ne me semble pas si lourde à présent, ma rage se propage dans chacun de mes muscles. Je soulève la table sous l'œil médusé de Mia.

- Ben au moins ton légers malaise te réussi toi!

Nous continuons a vider petit à petit l'entrepôt et disposons les tables sous les instructions de Mia. La foule se disperse petit à petit. Mia laisse échapper un soupir de soulagement une foi la dernière planche posé sur son support.

- Tu veux que je te raccompagne chez Niné?

- Merci Mia, mais je pense que sa me fera du bien d'être seul. Et puis Max est là si j'ai besoin.

Son regards inquiet disparais aussitôt le nom de Max prononcer.

- Pour sur avec lui tu ne risque rien, pas froid aux yeux la boule de poile!

Max se tortille l'arrière trains, comme s'il savait que l'on parlais de lui. Mia lui décoche un léger bisous sur la truffe, puis essuies sa bouche avec sa manche.

- Si tu n'avais pas autant de poil et un si mauvais alêne je t'épouserais sur le chant! et elle repars en un fou rire communicatif.

- A ce soir Mia.

- A ce soir Aerin! Ah et n'oublie pas, tenue imposé par ton cavalier, Max devras resté chez Niné malheureusement. Son visage exprime un léger regret a cette idée.

Je la regarde s'éloigner vers la petite rue en face de nous. Il doit être pas loin de 12h30, et la faim me tiraille l'estomac. Je traverse la place et m'engouffre sur le petit chemin emprunté ce matin, savourant les quelque minute de silence avant d'arrivé à la maison de Niné.

Je me suis attardé, traînant légèrement des pieds. J'ai l'impression que chacune des feuilles qui m’entoure aspire mes pensées pour les transporter dans les branches, le tronc des arbres et les enfouir dans le sol.

Je fait face à la grande ouverture taillé dans la roche, je n'avait même pas prêté attention à la façade de la maison, recouverte de baie vitré. Du liaire grimpe le long de la colline, cette maison est vraiment magnifique et peu commune.

Niné est déjà attablé avec Anthony, je les rejoint et m'assois sur le banc. Le visage d'Anthony à l'air moins amoché sans toute les trace de sang. Max essaye de grimpé à coté de lui, et ne daigne même pas prêté attention a mes réprimandes. Il se croie chez lui ou quoi? Il s'allonge de tout son long, les pattes dans le vide et la tête sur les genoux d'Anthony. Niné m'apporte une assiette garnit de viande et de patte.

- Je suis désolé Aerin me sort Anthony.

Désolé de quoi? Il est fou ou bien? celui qui devrais s'excuser c'est Dimitri et pas lui!

- Je ne vois pas en quoi tu as a t'excuser, rétorquai-je.

- C'est ma faute si...

Je ne le laisse pas finir et sort de mes gond !

- Ta faute si quoi? Si je suis insouciante et n'écoute pas ce qu'on me dit? Je ne suis plus un bébé et je doit être capable de m'occuper de moi! Et si quelqu'un devait venir s'excuser maintenant c'est celui qui t'as fait sa! je pointe son visage, la main tremblante, Aucunement toi qui devrait t'excuser!

- C'est bon les enfants, soupir Niné, manger et allez vous préparer pour ce soir, elle se tourne vers moi. La cérémonie débute vers 17heure, ce qui te laisse a peine 3heure pour te préparer. Il y a tout ce qu'il te faut dans ta chambre et si tu as besoin n'hésite pas.

Je m'empresse à finir mon repas, les effort de ce matin on puisé dans mes dernière réserve et je commençais a ressentir de légers fourmillement dans mes doigt tellement j'avais faim!

Anthony c'est enfermé dans sa chambre bien avant que je ne rejoigne la mienne, je me poste devant, écoute, m'apprête à toquer puis me ravise. Je m'engouffre dans ma chambre, des petites bougies sur pieds on été disposé dans ma chambre, émanant une légère lumière tamisée. Un miroir à été installé il y a peu, a droite du lit. Une robe rouge est suspendu par je ne sais qu'elle prouesse dans le vide. Je l'enfile pour voir ce que sa donne. Je ne sais pas si c'est Niné ou Anthony qui l'a choisit, mais elle est sublime! Sa forme épouse mon corps comme si elle avait été tailler exprès pour moi! Je m'assois sur le tabouret posé devant la coiffeuse. Dessus des pinceau et des boite, que je devine être du maquillage. Je reste perplexe, j'avais déjà vu Martia se maquiller, mais elle ne m'avait jamais laisser le droit de le faire...

On frappe à ma porte.

- Oui? répondis je sans me retourner

- Pardon de te déranger Aerin, c'est la voie de Niné. Je suis venue voir si tu avais besoin d'aide...

Je me lève et me retourne pour lui faire face, mes mains se chevauche et s'agite un peu gêné. Les yeux de Niné laisse échapper un regards admiratif et rassurant.

- Est-ce que... J'hésite et n'ose pas. Est-ce que tu peu m'aider pour le maquillage et mes cheveux... Il y a tant de chose dont je ne sais pas à quoi sa sert. Je me pince les lèvre.

Niné me regarde, sourie et acquiesce.

- Assied toi que je vois ce que je peu faire, mais surtout ne triche pas, dit elle d'un air malicieux.

Mes main tremble à son contact, des flots de tendresse atteigne mon cœur. Le mouvement de ses mains dans mes cheveux m'apaise. Elle me fait me tourner, me passe une crème sur le visage. Elle me fait fermer mes yeux, et une petite brosse viens chatouiller mes paupières.

- Je crois que c'est bon, garde les yeux fermé et relève toi.

Je la sent qui me dirige vers le miroir, je sent que quelque fourmis on décidé de montré quel étaient toujours là, et s'amuse un faire des salto dans mon estomac.

- Ouvre les yeux.

Je n'y crois pas, je suis méconnaissable et ai bien du mal a croire que ce soit moi qui est en face!

- Tu est sublime Aerin, tu vas faire des jalouse ce soir... elle me sourie et je sent qu'elle hésite a parler puis sa voie douce me dit, ton cavalier à bien choisit ta tenue.

- Mon cavalier? m’étonnais je

Elle me fait un clein d'œil puis repart, me laissant face à cette étrangère, ce superbe canon plutôt! La pensé que Anthony m'accompagne ce soir engendre un petit souffle de bonheur. En espérant que Dimitri ne face pas irruptions pour gâcher la soirée, ou bien qu'il se soit calmé et face des excuses a mon tuteur!

- Aerin? Anthony et Mia viennent de partir, ton cavaliers ne devrais pas tarder. Alexandre m'attend je file vous nous rejoindrez là ba!

Je n'ai pas le temps de répondre ou de la rejoindre que j’entends déjà la porte d'entré claquer. Anthony est le cavalier de Mia, Alex celui de Niné... Qui va être mon cavaliers? David par déduction...

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