chapitre 8

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Mes yeux s'entrouvre, la blancheur de la lumière m'envoie des picots de douleur au cerveau. J'ai l'impression que tout mon corps à été passé au rouleau compresseur. Ma vue s'adapte peu à peu, je ne sais pas où je suis.

Les murs de la pièce son blanc, la lumière du jours y percute ses rayons me faisant cligné des paupières. A ma droite une grande fenêtre est recouverte d'un voile nacré, je ne distingue de l'extérieur que les ombres vacillantes. Une chaise trône dans l'angle en face. Une voie me fait sursauté.

- Alexandre, Aerin est réveillé!

Je ne reconnais pas cette petite voie de fillette qui me hurle dans les oreilles. Je ne voie qu'une ombre se précipiter à l'extérieur de la chambre, faisant tangué le hamac à ma gauche sur lequel elle avait du s’asseoir.

Ses mouvements sur le sol résonne tel un tambour dans ma tête. Mes mains se porte à mes tempe, effectuant un léger mouvement circulaire. Je n'entend pas les petits pas revenir. Je relève ma tête et aperçois Alexandre, avançant lentement jusqu'à moi. La petite ombre est caché derrière lui, je ne distingue que ses mains enlaçant fermement ses genoux.

Il s’assoit sur le bord du matelas, son sourire m’envoie des onde de chaleur, asséchant un peu plus ma gorge et ma bouche déjà pâteuse.

La fillette c'est installé dans le hamac, effectuant de léger va et viens à l'aide de ses jambes. Son visage m'est familier mais je ne la reconnais pas tout de suite. Ses cheveux roux sont attachés grossièrement en une queue de cheval, laissant dépasser quelques mèches rebelle. Ses pupilles d'un vert diamant me fixe de toute leurs splendeur.

- Catiopé! Murmurais-je.

Elle me sourie laissant dévoilant de jolies dents blanche. Je détourne mon regards pour le poser sur Alex. Il reste silencieux. M'observe. De petite cernes on élues domicile au coin de ses paupières, il à l'air tellement fatigué, cependant un soupir de soulagement émanent de ses lèvre, il examine mes pupilles, en faisant attention de ne toucher aucun millimètre de ma peau. Sa main me bloque au lit lorsque je m'apprête à le serrer contre moi. Ma surprise ne met pas longtemps a ce lire sur mon visage et son désarrois non plus.

- Aucun contact n'est autorisé pour le moment princesse. David et Dimitri, sa voie accentue froidement le deuxième non, sont en réunion. Ils doivent faire un rapport sur chaque événement passé avec toi. Nous avons eu le feu vert pour te sortir de ton comas, mais il faudra attendre un peu avant que la quarantaine ne sois levé. Catiopé ne devrais même pas être là…

- Tu n'as pas vraiment eu le choix non plus, rie Catiopé.

- Pourquoi aucun contact ? Ou estMax? répliquai je en un sourire.

- Aucun contact par précaution… Max est avec les autres en réunion, réponds Alex
- J'ai fusionné, le coupe énervé Catiopé, Je suis une grande maintenant et je n'ai plus peur, Astix est au creux de moi, c'est Alexandre qui me l'a dit.

Elle est debout sur ses petite jambe, la tête haute, se tenant comme un soldat fière de partir en guerre. Un rire confus émane de la bouche d'Alex. Je ne comprend pas vraiment ses paroles, et un légers sentiment de tristesse m'envahis à la pensé que je ne reverrais plus cette boule de poil. Je ne le voyais que une foi l'année, depuis 3ans maintenant, mais je m'y était énormément attaché. 3ans... Donc Catiopé devait avoir a peu près 3-4ans, vu que Astix n'habitait pas chez Alexandre il y a 4-5ans et que la fusion se faisais avant les 6ans. Elle ne semblais nullement affecté par cette perte, je ne lisais aucune tristesse sur son visage enfantin. Elle continuais a me fixer de ses beau yeux vert, sourire au lèvre.

Je n'imagine même qu'elle serait ma réaction. Si comme Alex le disait, Max et moi nous fusionnons... Je ne pourrais plus l'enlacer de mes bras, sentir sa truffe humide sur mon visage, enfouir ma tête dans sa fourrure... Cette pensé m'attriste et fait rouler une petite larme salé de long de ma joue. J'esquive un geste pour la dissimuler, Catiopé à du me voir faire et reprend son piaffement effréné.

- Astix restera toujours avec moi maintenant je ne serais jamais seul, j'en suis sur, il ne m'abandonnera pas comme maman et papa,je l'entend dans…

Alexandre la coupe dans sa course, son ton est ferme.

- Aerin à besoin de récupérer un peu Cati, de plus il faut que je m'entretienne avec elle. Et comme pour l'encourager a partir: Les autres ne vont pas tardé a arrivé, et je n'en donne pas cher ni de moi, ni de la punition qu'il risque de te donner.

- Il peuvent toujours, je court aussi vite qu'Astix maintenant, et à ce que j’entends, elle s'arrête les yeux en l'air, ils ne serons là que dans...euh... A peine une dizaine de minutes.

Un soupir exaspéré sort de la bouche d'Alex, son regards désapprobateur suis la fillette comme pour s'assurer qu'elle sort bien de la chambre. Elle trottine les bras en balancelle chantonnant jusqu'à la porte que je devine en face. Elle l'ouvre puis disparaît derrière elle, laissant entrer quelque feuilles. Alex pose ses yeux sur moi, il semble sondé mon esprit.

- Nous n'avons que peu de temps pour que je t'explique tout malheureusement.

Sa main fait taire les mots voulant sortir de ma bouche.

- Laisse moi parlé Aerin, s'il te plais. Sa voie est suppliante. David et Dimitri vont arrivé pour nous donner, je l'espère, des réponses. Dans tout les cas, nous t'avons trouvé une famille qui peut t'accueillir chez eux. Et crois moi ce n'a pas été sans mal! Ils prendrons soins de toi et serons ta nouvelle famille, tu es inscrite pour suivre des court...

- Et pourquoi je ne peu pas rester avec toi? Ou David? m'indignais je.

- Je ne peu pas Aerin, il faut que je retourne à Glen. Catiopé resteras avec toi.

Il dit peut être sa pour me rassurer, mais Catiopé ne remplacera pas sa présence, LUI, ce père que je n'ai jamais eu. Du moins que je ne crois pas avoir... Mes yeux s’embue de larme, de légers sanglot font sursauter mes épaules. J’entends la porte d'entré s'ouvrir, une voie arrive dans notre direction.

En quelque minute, je suis étouffé sous un amoncellement de poile et de bave, me faisant oublier mon désarrois. Max avait mis que quelque seconde avant d'atteindre le lit et me trempé jusqu'aux os. J'écarte ma tête de sa fourrure, lui maintenant la tête pour voir ses accompagnateur. Je reconnais aussitôt David. Mon regards se pose sur le reste de la pièce, effaçant mon sourire. Ou était Dimitri? Une peur indéchiffrable m'électrise le cœur, les fourmis dans mon estomac se réveille affolé, comme si elles étaient attaqué par un prédateur.

- Je vois que tu es enfin réveillé? Tu nous as fait peur tu sais? La voie de David se fait rassurante. Nous attendons depuis bientôt deux semaine que tu ouvre tes yeux.

Il sourit de toute ses dents. Depuis combien de temps suis je dans le comas? Ma tête recommence son bourdonnement.

- Comment c'est passé l'entretient? le questionne Alex.

Le sourire de David disparaît aussitôt, pour laissé place à un haire grave que je ne lui connaissait pas encore.

- On reste sur les directive. Ils t'attendent.

Il me regarde hésitant. Je suppose entrevoir un acquiescement de la par de Alexandre, comme si il lui faisait signe qu'il pouvais me le dire, avant de s'évanouir vers la sortie sur les directive de David.

- Aerin tu ira chez les Béarn. Comme prévu. Tu reprendra avec ceux de ton âge d'ici quelques jours et aura des court particuliers avec tes tuteurs.

Je le fixe indigné, et MOI? On me demande toujours pas mon avis? C'est imposé de nouveau? Il doit bien voir à ma tête que cela ne me plais pas du tout.

- Écoute Aerin, nous avons eu beaucoup de mal à te trouver une famille pour t'accueillir... contrairement au nombre de tuteur qui se présentait à nous. Il grimace.

- Et pourquoi ce n'est pas Alex mon tuteur? Ou Toi? mon regards devient brûlant.

- Tuteur ici n'a pas la même définition que chez les humains. Ce ne sont pas les liens qui primes, bien au contraire… Celà serait trop dangereux et compliqué...

Je hausse les sourcils, décidément je ne comprendrais jamais rien à leurs bla bla!

- Tuteur ici signifies prescripteur. Pour faire court ils t'accompagnerons et devront faire des rapports sur toi.

- Comme un rat de laboratoire quoi... Grognais je

- Aerin... il soupir. Tu ne te rend pas compte combien tu es exceptionnelle, et vu le rapport de Dimitri, tu es est plus complexe que nous l'imaginions.

Il se frotte la tête, comme s'il se sentais impuissant de ne pouvoir m'en dire plus, puis reprend.

- Il nous as dit pour ta "descente", il n'a écarté aucun détail, y compris les réactions de ton corps lors de votre promenade derrière le manoir…

Sa voie se coupe d'un coup, il ne continus pas, me toise. Ses yeux s'écarquille et semble effrayé par quelque chose. Il ne bouge pas pendant quelque minute, puis semble redescendre rapidement de sa torpeur quand ma voie explose.

- Je suis fatigué David! Comment réagirais tu si on t'arrachais à ta vie, sans un mot, que l'on te baladais de droite et de gauche, que tu apprenais la mort de celle qui comptais le plus à tes yeux, que tu sentais des choses que tu ne peu expliqué et que ceux pouvant te répondre joue au jeu des devinettes?

Je ne sais pas si c’était la fatigue qui me faisait agir ainsi, toute ces cachotteries, l'énervement qu'ils en sache plus sur moi ou bien le fait de me rendre compte que le comportement de Dimitri résultait du faite que je sois une bête de foire! Je ne me connaissait pas aussi caractériel!

Et Alexandre, qui me disait que la proximité de ses dernière années ne résultait pas de sa non plus? Je sent la colère chargé de tristesse et de rage s'emparer de moi, mes yeux me brûle tel de l'acide. J'ai envie de cogné, jusqu'à extraire cette douleurs de mon corps. J'ai l'impression que des flemme naisse dans mes pieds, je me sent projeté, je veut être seul loin de tous! J’entends un cris effaré, sûrement David vu que les autres ne sont plus avec moi.

- Aerin calme toi, je t'en pris! il est paniqué et apparemment ne sais pas comment réagir.
Des picotements transperce mes membres, ce qui me semble ni désagréable ni agréable pour autant. Une fraîcheur caresse mon visage, je sent un vent léger soulever mes cheveux en bataille. J'ai l'impression que ma main est aspirer dans la fourrure de Max. La fatigue remonte tel un ouragan, endormant chaque centimètre de ma peau. Je sent comme une matière duveteuse, douillette…. J'aimerais être ailleurs, loin de tous...

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Bon sent mais qu'est-ce que je fait là? Où suis je?

Max m'avait réveillé en me donnant simultanément des cou de truffes et de langue, me flairant comme si j'avais du chocolat sur le visage.

Je m'accroupis et sent la structure sur laquelle je suis tanguer, me faisant me rasseoir instinctivement. Max flair l'air tel un chien de chasse à la recherche de sa proie. J'ai enfoncé sans m'en rendre compte mes mains dans ce qui me soutient. La matière est douce, pareil à un nid de plume. Cependant ce que mes yeux me font voir est tout autre: des branches dure et sèche qui craque sous mon poids, recouverte d'épines! Ma gorge se noue.

Comment est-ce que j'ai fait pour arriver là?
Ma tête s'oriente dans tous les sens, j'essaie de contrôler ma respiration pour ne pas paniquer. Je suis entouré d'arbres aussi petit que le sapin en plastique que Martia et moi décorions pour noël. Des feuilles orange, rouge tacheté de point jaune sont accroché à leurs branches. La couleurs de leur bois me met en extase, d'un bleu aussi clair que le ciel!

Mon Dieu mais je doit rêver? Ou alors je me suis pris un sacrais coup sur la tête!

Ma jambe s'apprête à descendre de mon perchoir, passe par dessus le bord. J'essaie de ne pas la mettre en contact avec les branches qui m'entoure. Malgré cet impression de duvet sous les mains, je ne tien pas à me retrouver avec des épines incrustée dans la peau! Max agrippe mon bras avec sa mâchoire m'évitant de tomber dans le vide! La douleur me foudroie le bras, mon cœur manque un battement. Un crie émane de mes lèvres le faisant de suite lâcher prise.

Je me retrouve recroquevillé, la main plaquer sur la morsure. Je regarde la manche de mon pull, la soulève. La marque de ses dents picte ma peau de petits points rouge, mais rien de très alarmant. Je m'avance à quatre patte, imitant mon compagnon qui lui, a plutôt l'air à l'aise perché a cet hauteur; laissant juste ma tête dépasser de la structure.

Un gémissement sort de ma gorge... Mon cœur est comme serrer dans un étau, je sent de la bile remonter dans ma bouche, j'ai envie de vomir! Ce n'est pas de minuscule sapin que je vois autour de moi, mais des arbres immense! Et c'est sur l'un d'eux que nous sommes perché! La panique s'empare de mon corps, je tremble...

Des oiseaux marron à collerettes rouge chantonne un air rieur.

Comment nous avons fait pour atterrir là, comment on va en redescendre? Et surtout, à qui ou bien quoi appartient ce qui me semble être un nid pour éléphant?

Max me regarde, comme s'il était tout naturel de se retrouver à plus de 10 mètre du sol. Décidément j'aurais tout vu!

Ses babine se relève, laissant dépasser ses canine en une grimace mauqueuse, j'ai l'impression qu'il me souris, ne lui manque plus que la parole pour l'entendre me dire : "SURPRISE!!!".

Eh ben si c'est une surprise elle est vraiment pas drôle du tout! Il lève sa gueule en arrière et se met à hurler à la mort. Je ne l'ai jamais vu ou entendu faire sa, ce qui ne fait qu’accroître ma peur!

- Max, je t'en supplies, tais toi!

Mes mains se joignent, le suppliant tel une none pendant sa prière, ma voie est basse. J'ai peur de ce qui pourrait émerger de ces bois, et de ce qui pourrait nous arriver. Aucune de mes supplication ne l'interpelle, il continu ainsi et finit par se taire. Ses oreilles se redresse, ses yeux jaune figé vers la cime des arbres. Sa queue commence à battre de l'air doucement, puis rapidement faisant virevolté des pétales jaunes caché sous le tapis qui nous supporte. Il est maintenant sur ses quatre patte, la langue pendant entre ses crocs.

Quelque chose arrive dans notre direction, et malgré l'enthousiasme de Max, je ne suis aucunement rassuré! Sa tête se balance entre moi et le vide, je l'agrippe par la peau du coup, il n'oserais tout de même pas sauté? Ma gorge se sert un peu plus…

J'aimerais être comme cette homme dans le film "l'homme qui murmurais à l'oreille des chevaux", et pouvoir savoir ce qui se passe dans sa tête! Ou bien avoir la bonne surprise de découvrir un don de télépathie? La panique me donne des pensée vraiment dingue en ce moment!

- Dans quelque minute tu vas te réveillée Aerin, tu seras allongé dans ton beau lit à la ferme, et quand tu raconteras sa a Martia, elle rigolera! Ou bien elle te feras enfermé?

Je me met à penser à voie haute maintenant! Décidément il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez moi, et ce n'est pas Max qui va me répondre.
Je scrute le sol, ma mains gauche sur l'encolure de Max et l'autre sur le bord du nid pour m'éviter de passer par dessus. Des petites tache blanche fonce à vive allure vers les racines de l'arbre sur lequel nous sommes prisonnier. Je les vois tourner autour, nous encercler.

Merci Max, comme si sa ne suffisait pas, dans quelque minute nous servirons de déjeuner!

Je me tourne vers lui, cette ronde macabre sous nos pieds n'a pas vraiment l'air de le tracasser, bien au contraire! Des jappement de joie sorte de sa gueule, il sautille tel un chiot devant un jouet! Je sent la structure bouger, ma main le caresse au niveau de sa gorge, j'aimerais bien qu'il se calme! Au lieu de sa un hurlement résonne de nouveau dans sa gueule, mes mains agrippe sont museau, il faut qu'il se taise! Un écho se fait entendre en dessous, comme si Max et la petite troupe qui venait d'arrivé communiquais ensemble.

Sa ne fait qu'un tourd dans ma tête: ombre blanche, hurlement... Ce sont des loups! Il me reste plus qu'a implorer le ciel, ou bien me pincer pour être sur que je ne rêve pas!

- Tout dous les loulou, vous vous souvenez de moi? Je suis Aerin…

En vrai j'avais peu de chance que ce soit les même loups ou la même meute que j'avais rencontré, mais mes idées se chamboulait tellement, et plus rien a vrai dire ne pouvais m'étonner a présent, je pouvais donc me bercer de quelques ilusions ? Et puis cela m'aiderais peut être à me calmer!

Je chantonne comme si cela allais leur faire oublier que nous sommes de la viande sur patte et que l'on est comestible! Décidément je n'ai pas inventé l'eau chaude! D'une les animaux ne parle pas, ne nous comprenne pas ou peu, de deux les loups charge pour se défendre mais attaque l'homme quand ils on faim. Et tant qu'à faire ils repère les proies vulnérable.

Pour ce qui est de proies vulnérable, nous en faisions de belle Max et moi, et je croise les doigt pour qu'il n'ai pas trop faim et surtout qu'ils ne sachent pas grimper au arbres. Une pensées encore irrationnel ma pauvre Aerin, comme si des loups pouvaient grimper sur des branche a plus de 10 mètres du sol! Pour sur, dès que nous serons descendu de là, je demande à me faire enfermé!
Des voies me parvienne rapidement, me sortant vite de mes pensées loufoques.

- Ils doivent êtres par là! s'époumone les voies.

Des claquements de sourd de courses nous parviennent. Des silhouettes se dessinent sur le plancher de terre.

- Aerin? Max?

Je pense reconnaître la voie de Dimitri! Une énergie me soulève, me faisant oublier la hauteur et manquant de m'aspirer dans le vide. Un soulagement, mêlé à l'affolement me submerge.

- Tout va bien là haut? une voie aiguë remonte jusqu'à moi.

- Euh, je crois que oui... Sifflais je.

Si sa allais? Par je ne sais quel prodige je m'étais réveillé a plus de 10 mètre du sol, et une étrangère me demandais comment sa allais? Elle attend quoi, que je lui dise oui, que nous sommes en pleins pic-nique et qu'ils peuvent se joindre à nous?

Bien sur que NON ça ne va pas, comme d'habitude je ne comprend rien de ce qui ce passe! Je dois avoir la guigne, OUI C'EST ça!! Un aimant est incrusté à moi et m'empoisonne la vie depuis plusieurs semaines maintenant.

Des grattements se propage le long du tronc, quelqu'un monte. Je recul d'un bon, atterrissant sur mes fesses. Max se poste devant moi. Une tête surgis du précipice. Comment il a fait celui là pour monter aussi vite?

Ses cheveux sont roux, comme ceux de Catiopé, mais en beaucoup plus foncé. Sa peau est clair, et des tout petit yeux rond au pupille noir on été comme calquer sur son visage. Un sourire attendrissent provient de la commissure de ses lèvres.

- Tu compte rester là ou je t'aide à redescendre?

- Je trouve la vue pas si mal que sa d'ici.

Mon regards le défis, il semble perplexe à mes propos.

- Comme tu veux... Sa main passe dans ses cheveux.

- Et tu compte me faire glisser le long du tronc comme un pompier sur sa barre?

Son sourire s’agrandit et il par en fou rire. Comme si c’était hilarant? Il compte m'aider à descendre ou bien continué à rire de moi comme sa?

Je sent la furie me sortir des yeux, se qui l'interromps nette. Il n'ose plus dire un seul mots et me tant une corde de sa main droite.

- Et Max? mon regards se tourne vers lui.

- Euh... Je m'en occupe...

Je jette un œil à Max, ses yeux m'incite à me soumettre à la proposition de l’inconnue. Je sert le cordage entre mes mains, passe mes jambes dans le vide, m'empresse de les coller au nœuds sur la ficelle tressé.

Ne regarde pas en bas, NE REGARDE PAS EN BAS...!!

J'oblige mes paupières à rester close, et entame mon ascension, tel un grimpeur sur l'Everest ayant les yeux bandé. Je sent les regards des occupant en bas, aucun ne dit mot, les oiseaux eux même on l'air de retenir leur souffle. Je sent mes pieds toucher enfin la terre ferme, ENFIN! Je me touche frénétiquement les bras, pour sur je suis bien en vie!

OUUAAAHH, quel exploits! Mes muscles se fige brusquement, ma tête se lève vers les cieux. Je recul de trois pas, le mystérieux inconnu descend l'arbre a main nu!

Aerin, pince toi, c'est impossible!

En deux minute il me rejoint, Max à califourchon sur son coup les pattes ballottant sur son torse. Mes yeux suivent chacun de ces geste, ma bouche est grande ouverte. Comment a t il fait sa? Il dépose délicatement mon compagnon sur le sol, se relève et me tend sa main.

- Je m'appelle Anthony, heureux de faire ta connaissance Aerin, même si j'aurais préféré que ce soit dans d'autre circonstance. Il grimace en faisant un geste de monté et descente avec son bras.

Je reste là, comme une idiote, et finit par lui serrer la main. Il doit avoir dans les 35ans, deux tête de plus que moi.

- Aerin... siflais je.

Une décharge descend de mon épaule et fait reculer mon sauveur.

Comme s'il le savais pas déjà ton prénom! Niveau dialogue évoluer tu n'aurais pas la meilleur des notes!

Je ne prête aucune attention a l'embrasement de ma main, l'image de son ascension est omniprésente, je n'entend même pas le rire de Dimitri qui roule à terre en essayant de se libérer du mastodonte à poile. Il arrive enfin à se détacher de son emprise, ses mains frictionne sa veste en toile rouge pour enlever la verdure s’étant incrusté dessus. Dimitri ne me regarde même pas, sa voie est cassante.

- Anthony est ton tuteur. Il fait volte face.

Je vois qu'il est content de me retrouvé, sa fait peur... J'aurais aimé autant de démonstration que celle porté envers Max... Un sentiment de tristesse viens brouiller ma vision. A quoi tu t'attendais? Maintenant que ta surveillance est relayé à un autre il n'a plus de raison qu'il t'accorde la moindre attention! Heureusement la petite troupe romps le silence pour se présenter à moi.

- Ne fait pas attention à lui, c'est un ours!La voie aiguë me sourit de toute ses dents. Moi c'est Mia, Anthony c'est déjà présenté quand à Dimitri pas besoin de le faire je crois. Elle esquisse un clin d'œil.

- Jolie percer, un léger sifflement sort de la bouche d'Anthony, Dimitri m'a bien dit que j'allais avoir des surprises, mais je m'attendais pas a autant! Quand à sa description de toi, je comprend pourquoi il à éviter certain détail, sa voie est taquin.

Je ne fait pas attention à ce qu'ils disent et reste silencieuse. Dimitri disparais sous des buissons. Je n'arriverais vraiment jamais à le cerner celui là...

- Nous sommes qu'à une demi heure du village, sa t'arrive souvent de te téléporter aussi loin?... Non pas que sa me dérange mais étant ton tuteur je ne tien pas a courir à ta recherche en pleine nuit! Il rit, voyant que je ne réagit pas puis lance un léger pic. Et Dimitri ne sera pas toujours là pour nous aider à retrouver ta trace.

Mon sang ne fait qu'un tour, et vu le regards que je lui lance il ne dit mot le reste du chemin.

Dimitri avait donc aidé à me retrouver? Par contrainte à mon avis…

Seul le bruit des oiseaux résonne dans la forêt et la voie chantonnant de Mia. Elle à vraiment une voie magnifique, tout en accord avec sa silhouette. Des cheveux vert pomme, ce qui me choque un peu. Je me demande ou elle a pu trouver une coloration pareil... Ses yeux sont tout aussi vert avec un légers liserais bleu autour de sa pupille, elle est tout simplement sublime!

Dimitri nous attend à l'orée du bois. Accoudé a un arbre, les mains dans sa veste. Sa capuche recouvre sa tête, ne me laissant pas voir son visage. Je m'apprête à le remercier, puis me ravise en le voyant reprendre sa route à notre approche. Il n'est qu'a un mètre de nous. Je ne sais pas si c'est son comportement ou bien sa présence, mais une atmosphère pesante c'est glissé dans le groupe. Même Max c'est retenu de le rejoindre, on dirais qu'une force le tien a présent à l'écart de lui, l'empêchant de s'approcher à plus d'un mètre.

Mon air soucieux n'a pas du resté invisible à Mia, et elle me répète comme un magnétophone que l'on rembobine:

- T'occupe pas de lui Aerin, c'est un ours.

Un ours peut être envers moi, mais apparemment pas envers tous, une fille s'élance vers lui tel une panthère. Cheveux grisonnant, yeux bleu, la vingtaine... Je vois les bras de Dimitri s'ouvrir, laissant retomber sa capuche sur ses magnifiques épaules. Je détourne le regard, je veut faire partir ces fourmis qui me retourne le ventre, faire taire le grondement qui monte dans mes oreilles. La truffe de Max viens ouvrir mon poing. Je ne m’étais même pas rendu compte que je l'avais serré...

- A plus tard les jeunes... La voie de Mia est gêné, elle s'éloigne tout doucement pour se mêler à la foule.

Je me calme peu a peu. Décidément je ne comprend rien à ce que je peu ressentir, mais au moins j'arrive à les dompter. Ce sera un point positif à marquer contre toutes ces fois ou je n'y arriverais pas. Aerin 1 point, mon corps 21! Pour sur il est loin devant, mais j'arriverais à remédier a ce score!

Nous passons devant des tables ou des gens son à manger, il doit être midi. J'essaie d'avancer comme si leurs regards et leur chuchotement ne m’atteignais pas. Sans même profiter de la beauté de la ville, mes yeux fixe le sol.

Je décline promptement l'invitation d'Anthony pour une visite improvisé, je le suis jusqu'à une maison, ou plutôt devrais je dire une grotte.

Nous arrivons devant une grande baie vitré, un trou a été creusé dans la roche, ce qui m'aurais subjugué en d'autre circonstance. Nous marchons sur un sol de pierre, nous devons être dans la salle a mangers car une table, des bancs orne la pièce. Je distingue deux voûte creusées, une grande dame se tient dos a nous derrière l'une d'elle mon tuteur prétexte à cette femme brune que je suis exténué, ce qui n'est pas faux et que je doit me reposer.

- Alexandre à apporté ses affaires, il doit repasser dans la soirée. Sa voie est douce.

Je suis mon tuteur dans le couloir que cachais le deuxième encadrement. La première porte donne a la salle de bain vu l’écriteau accroché dessus. la deuxième en face est celle de la maîtresse de maison, deux autre portes se font face, la chambre de Anthony, et l'autre celle de Catiopé. Plus loin, il ouvre la dernière porte. Une pièce de 10m², des puis de lumière sortant des plafonds. Les murs son de pierre et de terre. Un lit est posé contre le mur face à l'entrée. Mes sacs on été déposé sur une commode en bois.

- Je suis désolé je n'ai pas osé ranger tes affaires dans les tiroirs. Je n'avait pas vus la femme se faufiler derrière nous. Mon nom est Honorine, mais tu peu m'appeler Niné, comme tous ici. Tu es ici chez toi.

Son visage est doux, ses cheveux brens masque la couleur de ses yeux en une frange grossière. Elle est à peu près de la même taille que moi, dans les 1mètre 60.

Tous ici on l'air d'avoir un physique tout droit sortis de magazine de top modèle... Je me sent mal à l'aise, et Niné à du le sentir, un sursaut sur ses jambe me dévoile ses yeux ivoir bleuté, et fait un signe de tête à Anthony pour lui faire comprendre de sortir.

Elle referme la porte, puis la rouvre en laissant apparaître juste son visage:

- Veux tu que je t'apporte quelque chose a manger? Tu dois avoir les crocs?

- Euh... Non merci madame...

Max gémis a ma réponse son regards désaprobatteur me laisse pensé que lui meurt de fin!

Au moins quelque mots de sortis, je n'ai qu'une envie c'est de m'allonger Max au pied de mon lit, et de voir à mon réveil que tout sa n'étais que le fruit de mon imagination. Et si ce n'est pas un rêve, je n'ai aucune envie de rester ici, et de continué a vivre autour de non dit dans un monde tout droit sortis d'un livre de science fiction!

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